Majorettes, Flic et triple-foyer
Récit érotique écrit par HdsBreves [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Majorettes, Flic et triple-foyer
Chapitre 1 – MAJORETTES.
De mon temps, j'ai 80 ans, les choses du sexe étaient beaucoup plus secrètes et tabous que maintenant. Il était très difficile d'apercevoir les beautés qui se cachent sous les longues robes des filles. Mon adolescence, je l'ai passée à trouver tout les stratagèmes possibles et imaginables pour satisfaire les besoins du voyeur naissant que j'étais. Ainsi je me rendais à toute les fêtes des villages des environs pour profiter des défilés de la fanfare et de ses…. Majorettes ! Voir les jolies gambettes des filles était pour moi un vrai bonheur, je m'extasiais devant le jolie galbe des jeunes beautés, je me régalais de la vision de ses femmes devenues expertes dans le levée de jambe ! Une main dans la poche, je me masturbais discrètement pendant que passait devant moi le joli spectacle qui se déroulait sous mes yeux avides . J'ai gardé ce vice très longtemps et je ne remercierai jamais assez ces filles des jouissances qu'elles m'ont offert sans le savoir.
Chapitre 2 - MON SEXE EST BÊTE !
Comment mon sexe peut il être aussi bête ! "Ah la vache" s'écrie t'il quand il voit une jolie fille, "tu viens ma poule, on va jouer au jeu du chat et de la souris !". Il ne sait faire qu'une chose, jouer au dur. Dès qu'il aperçoit une jolie chatte c'est plus fort que lui, il faut qu'il lui rentre dedans. Mais une fois entré croyez vous qu'il se comporte en gentleman ? Bien sur que non, cet espèce de zèbre la traite de chienne et de cochonne. En plus de ça il est comme un lion en cage, il va et vient sans arrêt ! Parfois il tombe sur une tigresse qui essaie de le dompter mais loin d’être effrayé, l'étalon redouble de goujaterie car qu'elles soient panthère ou doux minou il fini toujours par leur cracher dessus.
Chapitre 3 - LE FLIC.
Je suis loin d’être un Don Juan, je suis loin d’être une lumière et jusqu'à aujourd'hui je n'avais que très peu de succès avec les filles… Mais aujourd'hui tout à changé depuis que je suis flic ! Très vite je me suis rendu compte que l'uniforme plaisait à ces dames… Normalement je devrais me comporter comme un gentleman… Oui mais voilà ! Je suis loin d'en être un et profite de la situation dès que l'occasion ce présente … Certaines se donnent à moi pour faire sauter un PV, d'autres sous n'importe quel prétexte engagent la conversation pour au final me draguer ouvertement. Mon sexe devient une belle matraque au sein de leur bouche gourmande. Je sais que pour elles je ne suis qu'un instrument pour assouvir leur fantasme, je me prête au jeu très facilement et semble les satisfaire pleinement… Finalement j'ai trouvé ma vocation, faire respecter la loi et jouer au sérial lover !
Chapitre 4 – CHLAC !
Chlac…. Chlac, font les lanières du fouet quand elles s'abattent sur mes fesses rebondies. Paf… Paf, font les claques que m'envoient mon maître. Jeune soumise, je suis obéissante et attentive aux moindres désirs de mon dominateur. Sévère il l'est pour mon plus grand plaisir tant j'aime être humiliée et punie. Mes cris de plaisirs mêlés de douce souffrance résonnent quand il me pince les tétons ou me défonce le cul violemment. Ma sexualité a faite de moi une chienne salope et perverse. Souvent attachée, fessée, pincée, tel est mon bon plaisir et le bon plaisir de mon maître. Personne autour de moi ne connais mon secret, pas même mon mari… Car, oui j'ai oublié de préciser, mon maître n'est point mon mari, il en serait bien incapable le pauvre ! Mon maître est le voisin d'en face, celui que critique tant mon époux parce qu'il pense que c'est un bon à rien… S'il savait comme il est bon pour baiser sa femme !
Chapitre 5 – TRIPLE-FOYER,
Sans mes lunettes à triple foyer, je n'y vois pas grand-chose ! Celles-ci ne sont pas très élégantes mais je ne peu m'en passer. Plus jeune, j'étais complexée d'avoir ces grosses lunettes qui me mangeaient le visage. Pourtant j'étais et je suis toujours très jolie et bien foutue au dire des garçons. Petit à petit au fil des ans, j'ai appris à les accepter et je leur ai même trouvé une utilité inattendu : depuis que je suis à la fac, je me suis décoincée et me suis mise à avoir des relations avec des garçons. J'ai adorée de plus en plus ça au point de fréquenter les clubs de partouzes… Et comme j'aime par-dessus tout recevoir la semence de mes amants par la figure, mes lunettes me permettent de me protéger les yeux. Elles me permettent aussi et surtout d'avoir la possibilité de garder les yeux ouverts quand je reçois mes douches de sperme adorées…
De mon temps, j'ai 80 ans, les choses du sexe étaient beaucoup plus secrètes et tabous que maintenant. Il était très difficile d'apercevoir les beautés qui se cachent sous les longues robes des filles. Mon adolescence, je l'ai passée à trouver tout les stratagèmes possibles et imaginables pour satisfaire les besoins du voyeur naissant que j'étais. Ainsi je me rendais à toute les fêtes des villages des environs pour profiter des défilés de la fanfare et de ses…. Majorettes ! Voir les jolies gambettes des filles était pour moi un vrai bonheur, je m'extasiais devant le jolie galbe des jeunes beautés, je me régalais de la vision de ses femmes devenues expertes dans le levée de jambe ! Une main dans la poche, je me masturbais discrètement pendant que passait devant moi le joli spectacle qui se déroulait sous mes yeux avides . J'ai gardé ce vice très longtemps et je ne remercierai jamais assez ces filles des jouissances qu'elles m'ont offert sans le savoir.
Chapitre 2 - MON SEXE EST BÊTE !
Comment mon sexe peut il être aussi bête ! "Ah la vache" s'écrie t'il quand il voit une jolie fille, "tu viens ma poule, on va jouer au jeu du chat et de la souris !". Il ne sait faire qu'une chose, jouer au dur. Dès qu'il aperçoit une jolie chatte c'est plus fort que lui, il faut qu'il lui rentre dedans. Mais une fois entré croyez vous qu'il se comporte en gentleman ? Bien sur que non, cet espèce de zèbre la traite de chienne et de cochonne. En plus de ça il est comme un lion en cage, il va et vient sans arrêt ! Parfois il tombe sur une tigresse qui essaie de le dompter mais loin d’être effrayé, l'étalon redouble de goujaterie car qu'elles soient panthère ou doux minou il fini toujours par leur cracher dessus.
Chapitre 3 - LE FLIC.
Je suis loin d’être un Don Juan, je suis loin d’être une lumière et jusqu'à aujourd'hui je n'avais que très peu de succès avec les filles… Mais aujourd'hui tout à changé depuis que je suis flic ! Très vite je me suis rendu compte que l'uniforme plaisait à ces dames… Normalement je devrais me comporter comme un gentleman… Oui mais voilà ! Je suis loin d'en être un et profite de la situation dès que l'occasion ce présente … Certaines se donnent à moi pour faire sauter un PV, d'autres sous n'importe quel prétexte engagent la conversation pour au final me draguer ouvertement. Mon sexe devient une belle matraque au sein de leur bouche gourmande. Je sais que pour elles je ne suis qu'un instrument pour assouvir leur fantasme, je me prête au jeu très facilement et semble les satisfaire pleinement… Finalement j'ai trouvé ma vocation, faire respecter la loi et jouer au sérial lover !
Chapitre 4 – CHLAC !
Chlac…. Chlac, font les lanières du fouet quand elles s'abattent sur mes fesses rebondies. Paf… Paf, font les claques que m'envoient mon maître. Jeune soumise, je suis obéissante et attentive aux moindres désirs de mon dominateur. Sévère il l'est pour mon plus grand plaisir tant j'aime être humiliée et punie. Mes cris de plaisirs mêlés de douce souffrance résonnent quand il me pince les tétons ou me défonce le cul violemment. Ma sexualité a faite de moi une chienne salope et perverse. Souvent attachée, fessée, pincée, tel est mon bon plaisir et le bon plaisir de mon maître. Personne autour de moi ne connais mon secret, pas même mon mari… Car, oui j'ai oublié de préciser, mon maître n'est point mon mari, il en serait bien incapable le pauvre ! Mon maître est le voisin d'en face, celui que critique tant mon époux parce qu'il pense que c'est un bon à rien… S'il savait comme il est bon pour baiser sa femme !
Chapitre 5 – TRIPLE-FOYER,
Sans mes lunettes à triple foyer, je n'y vois pas grand-chose ! Celles-ci ne sont pas très élégantes mais je ne peu m'en passer. Plus jeune, j'étais complexée d'avoir ces grosses lunettes qui me mangeaient le visage. Pourtant j'étais et je suis toujours très jolie et bien foutue au dire des garçons. Petit à petit au fil des ans, j'ai appris à les accepter et je leur ai même trouvé une utilité inattendu : depuis que je suis à la fac, je me suis décoincée et me suis mise à avoir des relations avec des garçons. J'ai adorée de plus en plus ça au point de fréquenter les clubs de partouzes… Et comme j'aime par-dessus tout recevoir la semence de mes amants par la figure, mes lunettes me permettent de me protéger les yeux. Elles me permettent aussi et surtout d'avoir la possibilité de garder les yeux ouverts quand je reçois mes douches de sperme adorées…
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