Fin de chantier 1
Récit érotique écrit par Frank83 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2015 dans la catégorie Plus on est
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Fin de chantier 1
Fin de chantier
Nous sommes un couple de bientôt cinquante ans, nous résidons dans le sud de la France. Moi Marc, 1,84 m, 95 kg, sportif mais quelques kilos en trop. Elle Valérie, 1,65 m, 63 kg, une superbe poitrine 90 D qui commence à s’affaisser avec le poids des années mais qui ne manque pas d’attirer l’œil du connaisseur, avec de gros tétons bruns que je ne me lasse de téter, elle est très sensible à ce traitement. Une silhouette qui ne laisse pas indifférent sur son passage, un beau petit 38, un peu trop plat à mon goût et quelques kilos suite à un peu de laisser-aller cet hiver, soit plutôt un 90/75/90 tout à fait appétissant.
Jusqu’à ces derniers événements que je vais tenter de vous faire vivre, rien de particulier à signaler.
J’ai bien essayé de la débrider mais toujours sans succès, j’ai droit à la fellation mais pas de sodomie ou plutôt, plus depuis quelques années. Je lui ai aussi demandé de s’épiler en particulier au niveau des lèvres car ce n’est pas particulièrement agréable d’avoir des poils lors des cunnilingus, mais sans succès. Pour ma part, je me suis fait épiler avec la technique de la lumière pulsée, traitement long, plus de deux ans. Ça n’est pas désagréable de se faire tripoter toutes les dix semaines par une belle inconnue et en plus, le résultat en vaut la chandelle, une vraie petite bite de pré-pubère.
Je me suis toujours demandé si elle était satisfaite lors de nos rapports car malheureusement la nature ne m’a pas particulièrement gâté : environ sept centimètres au repos et moins de douze en pleine forme, c’est moins que la moyenne et cela sans compter les pannes en cours de route. Je me pose cette question et c’est le sentiment que je ressens à la fin de l’acte, elle me dit que tout va bien, mais est-ce la vérité ?
Il y a quelques temps, nous avons fait rénover notre villa, des travaux très lourds : création d’un étage et redistribution du rez-de-chaussée. J’ai fait appel à une entreprise avec laquelle mon frère travaille et nous n’avons pas été déçus. Il restait quelques détails à reprendre et les enduits de façade à réaliser. Mon frère a donc dépêché ses meilleurs éléments, quatre roumains. Présentations faites par ce qui semble être le chef, Lucian, la quarantaine, blond aux yeux clairs ; Stefan la quarantaine aussi, châtain foncé, yeux verts, un peu typé italien ; Marian, la trentaine, un physique de rugbyman, la boule à zéro, et Victor la trentaine aussi, un gros bébé châtain clair, les yeux verts avec un sourire enjôleur. Tous bien bâtis étant donné leur activité physique quotidienne. Ils comprennent et parlent juste quelques mots de français, mais de toute façon, ils ne sont pas là pour faire des discours.
Pour leur faciliter la tâche, nous avons choisi de les héberger, vu qu’avec les travaux d’agrandissement ce n’est pas la place qui manque. Nous occupons pour le moment la seule chambre terminée à l’étage, la future chambre d’amis. Trois sont installés en lits d’une personne dans ce qui devrait devenir la grande chambre du rez-de-chaussée avec salle de bain attenante que nous n’occupons pas encore car je n’ai pas encore eu le temps de finir les aménagements, peinture, placards, etc., et le quatrième, l’équivalent du chef d’équipe, dans une pièce à l’étage où il y a un convertible et une salle d’eau attenante. À ce moment-là, je ne savais pas encore que le loup et sa meute étaient entrés dans la bergerie.
La première semaine se déroule sans encombre, rien de particulier à signaler, d’autant plus que je m’absente tous les jours du domicile de 7 heures jusqu’à environ 19 heures. Pour Valérie, c’est différent, elle est auxiliaire de vie et travaille à temps partiel chez des personnes âgées, elle est toujours prête à rendre service ; c’est une qualité, cela peut devenir un défaut.
Le vendredi soir, je fais le tour du chantier avec le responsable. Satisfaits du travail effectué, nous les invitons le lendemain pour une soirée barbecue.
Samedi matin, ils partent en balade ; de notre côté rien de particulier.
Dans l’après-midi, on prépare une bonne ratatouille en accompagnement du barbecue, Valérie s’occupe d’éplucher les légumes, j’essaie de la détourner en venant par derrière lui masser sa belle poitrine, mais elle me renvoie dans mes buts en me disant que pour le moment il y a autre chose à faire.
Je lui demande : — Ce soir alors ?
Pour toute réponse, j’ai obtenu un : — On verra.
On entend leur retour dans la chambre. Ils sont entrés par la porte-fenêtre de la terrasse et viennent remplir avec des sacs de course, le frigo qu’on leur a mis à disposition dans la salle à manger, enfin c’est ce que cette pièce deviendra à la fin des travaux.
Je m’occupe de l’apéro, toasts, olives, tomates-cerises et prépare la braise pour le barbecue. On entend l’eau de la douche, ils vont se rafraîchir avant de venir nous rejoindre, Valérie et moi, sur la terrasse. Lucian est le premier, c’est d’ailleurs celui qui s’exprime le mieux, puis arrivent dans l’ordre Stefan, Victor et Marian qui est en débardeur et pantacourt. Ils ont tous fait un effort de tenue pour ce soir. Je sers l’apéro et je commence à m’occuper des grillades, mon verre ne se retrouve jamais vide ainsi que celui de Valérie. Elle qui ne tient pas l’alcool, boit le rosé litchi comme du petit lait. Malgré les difficultés nous arrivons à échanger et à avoir un semblant de discussion.
Valérie, qui est à table entourée des quatre hommes, leur demande si ce n’est pas trop difficile de vivre loin de son pays et des siens. D’après ce que je peux entendre, ils lui répondent qu’ils peuvent téléphoner et ainsi avoir des nouvelles et, en tendant l’oreille car je ne suis pas à côté, ce qu’il leur manque le plus, c’est leur femme.
Nous continuons la soirée en passant à table. Elle va chercher la ratatouille à la cuisine et moi j’apporte les grillades. À son retour, la lumière de la cuisine donne une vue imprenable sur ses formes par transparence de sa robe, elle n’a rien vu mais le regard des quatre roumains en dit long.
Nous mangeons et surtout buvons plus que de raison, en tout cas Valérie, c’est sûr, qui rit à gorge déployée et moi qui ai toujours le verre plein. Lorsqu’une bouteille est vide, il y a toujours un volontaire pour aller en chercher une dans leur frigo. Je vois bien que celui qui se dévoue pour le service ne se gêne pas pour jeter un œil dans le décolleté de madame. Je ne suis plus très lucide mais je me rends compte qu’à tour de rôle, un couteau, une fourchette, une serviette tombent à terre et qu’ils prennent beaucoup de temps pour ramasser. Ma curiosité est récompensée lorsque je fais de même et aperçois ce qui attire leur regard : les jambes de Valérie sont écartées, on voit sa jolie culotte en dentelle blanche et on devine le bourrelet de ses lèvres, je comprends le manège.
Le repas tire à sa fin, elle veut se lever pour aller chercher le dessert, titube et se rassoit aussitôt. Il m’arrive la même chose, présumant de mes forces, mais mon état d’ébriété est trop avancé pour rejoindre la cuisine. Marian se dévoue, revient avec le gâteau et une bouteille de pétillant. Il dépose le gâteau devant Valérie qui réussit tant bien que mal à se lever pour le couper. Elle se trémousse tout en le coupant, je ne réagis pas, ou plutôt plus, mais c’est sûrement une des mains de Lucian ou de Stefan voire peut-être les deux, sous sa robe qui doivent la perturber.
J’ai de plus en plus de mal à me tenir éveillé, heureusement le café arrive, cette fois c’est Victor qui fait le service et malencontreusement en renverse sur la robe blanche de Valérie. Lucian et Stefan l’accompagnent jusqu’à la maison pour aller se changer, je ne me rends pas compte du temps qui passe car les deux autres me font goûter à un alcool qu’ils ont ramené du pays. À partir de ce moment-là, je n’ai plus de souvenirs…Je me réveille en sursaut avec un orchestre de percussions dans la tête. Je suis seul dans la chambre, déshabillé, je ne me souviens de rien pour le moment. Je réussis à ouvrir l’œil, et essaie de comprendre ce qui a pu se passer, je fais un effort surhumain mais réussis à tenir debout. Malgré le mal de tête, je me dirige vers la porte de la chambre et commence à l’ouvrir ; là j’aperçois de la lumière qui provient de la chambre de Lucian, la porte est entrouverte et j’entends des gémissements. Je me fais le plus discret possible, arrive à la porte et dans l’embrasure, vois Valérie, dos à Lucian qui est allongé, en train de monter et descendre sur son vit. Il accompagne ses mouvement en la maintenant sous les fesses, elle se caresse les seins et s’astique le clitoris, enfin c’est ce que je suppose car je ne vois pas tout ce qui se passe, l’ouverture est trop faible. Elle jouit et retenant un cri. D’habitude avec moi, cela s’arrête là car moi aussi je jouis et s’ensuit une débandade de plusieurs heures. Mais là, lui n’a pas encore éjaculé ou reprend plus rapidement que moi la forme. Il lui fait changer de position, elle se place à quatre pattes sur le lit dans l’alignement de l’ouverture de la porte et il se présente mais pas dans sa chatte : il la sodomise et elle ne se refuse pas. D’ailleurs de la manière où ça rentre, c’est sûrement l’orifice qui était déjà visité dans la précédente position.
Il envoie une main lui grattouiller le clito, elle feule de nouveau, toute en retenue, de peur de me réveiller peut-être ? Je suis dégoûté, elle lui cède le premier soir ce qu’elle me refuse depuis tant d’années. D’autant qu’elle doit le sentir passer car sans être monté comme un âne, il est tout de même mieux équipé que moi, et vous me direz que ce n’est pas difficile. Il change à nouveau de position, il la couche sur le côté droit tout en restant fiché en elle et soulève sa jambe gauche, une main qui joue avec le clito et que je vois pénétrer à plusieurs reprises sa chatte. Il se penche et lui triture le téton gauche, elle aime ça la coquine, elle ne va pas tarder à partir de nouveau. Ça y est, ses jambes se raidissent elle a un nouvel orgasme. Il se retire, la met sur le dos, tête tournée sur le côté, s’approche de sa bouche entrouverte, et jouit. Je n’ai jamais vu ça : une telle quantité et une consistance… on dirait du concentré. Elle lui nettoie la bête, c’est sûr, cela doit lui changer de l’ordinaire.
Il se lève, va à la salle d’eau qui est attenante à la chambre, elle somnole et me tourne le dos, j’entends la porte s’ouvrir. J’ai juste le temps de regagner la chambre qu’il sort et descend rejoindre les autres.
À peine est-il arrivé en bas, que j’entends des pas dans les escaliers. Je me dis qu’il a oublié quelque chose, je surveille mais ce n’est pas Lucian qui remonte, c’est Stefan qui entre dans la chambre, laissant la porte beaucoup plus ouverte. Cette fois, je vais être aux premières loges. Il se déshabille, il n’a qu’un slip et un tee-shirt c’est vite fait. Son sexe est un peu plus gros et plus long que Lucian, il s’allonge contre le dos de Valérie, réussit à passer un bras sous elle pour venir jouer avec sa poitrine et envoie la main vers sa chatte et son clito. D’où je suis, je ne peux que deviner.
Elle sort de sa somnolence et roucoule sous l’action des doigts de Stefan. Il se cale bien dans le creux de ses fesses. Cette fois, c’est elle qui se positionne et se tortille pour se faire prendre. Pour le moment, elle ne sait toujours pas que ce n’est plus Lucian. Il donne un coup de rein pour s’introduire, elle a dû être surprise par la grosseur car elle réagit et tourne la tête pour découvrir que ce n’est plus le même amant. Elle tente de se dégager mais il lui met un doigt sur la bouche, afin de lui faire comprendre que cela pourrait me réveiller. Il entame ses va-et-vient et elle se radoucit et commence à reprendre du plaisir. Il en profite pour changer de position, la met sur le dos et la prend en missionnaire puis lui prend les jambes et les place sur ses épaules. De ses mains, il joue avec ses seins, alterne sur son clitoris. Elle part de nouveau, je ne l’ai jamais vue autant jouir que cette nuit, moi qui la croyais beaucoup plus réservée. Ils ont trouvé les clés pour l’emmener à n’en plus finir au septième ciel.
Est-ce le fait d’avoir attendu son tour ou tout simplement qu’il est moins endurant mais je le vois se retirer, la chevaucher et venir se vider dans sa bouche tout en maintenant son excitation en jouant avec sa poitrine que je sais plutôt réceptive. Elle prend la peine de bien le nettoyer en le branlant, elle doit apprécier la taille, pour une fois qu’elle en a une qui ne tient pas dans sa main en longueur et, j’en ai bien l’impression, aussi en diamètre. D’ailleurs elle en a plein la bouche et il en reste un bon morceau dehors. Une fois terminé, ils reprennent la position initiale quelques instants avant qu’il ne se lève pour quitter la chambre. J’ai eu juste le temps de rejoindre la nôtre ou plutôt devrais-je dire, la mienne.
J’ai toujours le kangourou qui fait un combat de boxe dans ma tête et ce que je viens de voir n’arrange rien.
De nouveau du bruit dans les escaliers, je veille, je regarde l’heure, il est déjà minuit et demie. Deux ombres entrent dans la chambre, malheureusement ils ont presque fermé la porte. Elle s’est endormie, toujours sur le côté, je ne vois que ses fesses. Ils sont déjà en tenue de combat, Marian passe devant la porte, j’ai juste le temps de voir que malgré son allure de rugbyman, il est plutôt dans la moyenne, on dira supérieure, entre quinze et dix-sept centimètres je pense et plutôt fine, une peu la mienne, mais avec environ cinq centimètres de plus. Il disparaît.
Victor qui jusqu’à maintenant, me tournait le dos, s’installe sur le lit, se place sur son côté gauche et là, surprise, il cache bien son jeu le petit, un truc qui pend jusqu’à la moitié de sa cuisse. Même s’il n’est pas grand, cela doit bien faire dans les vingt centimètres au moins et d’un beau diamètre, je dirais une canette de Redbull. Excusez-moi pour la comparaison mais c’est ce qui m’est venu à l’esprit sur le moment, cela fait un drôle de contraste avec toutes ses rondeurs. Il lui caresse le côté droit de l’aisselle jusque la hanche, cela la fait changer de position dans son sommeil, et elle se met sur le dos, les jambes plus ou moins écartées, les bras le long du corps, position habituelle dans son sommeil. Il se penche sur son mont de Vénus et commence à lui faire un cunnilingus. Je ne vois pas ce que fait Marian, j’aperçois juste sa main caresser son ventre et je suppose sa poitrine. Comme il doit me tourner le dos et Victor étant très occupé, je tente d’agrandir l’ouverture de la porte, j’ai peur que cela grince mais tout se passe bien.
En fait, il est à genoux à hauteur de son visage. Tiens d’ailleurs, elle a la tête tournée vers lui, elle a entrouvert la bouche et commence à avoir des soupirs de plaisirs. Victor se déplace tout en maintenant sa main droite sur son clitoris et vient se mettre entre ses jambes, il reprend son léchage qui semble efficace, lui replie les jambes avec douceur afin de lui faciliter l’accès. Elle les écarte d’elle-même dans son sommeil ou son semi-réveil !
Toujours à la hauteur de son visage, Marian présente son sexe à ses lèvres, mais pas de réaction, elle dort toujours. Je vois des flashes dans la chambre, il doit être en train de prendre des photos souvenirs. Il lui caresse les lèvres avec son gland, tandis que Victor vient d’ajouter deux doigts, tout en continuant à lui lécher le clitoris, cela la fait sortir du sommeil. Par réflexe sûrement, elle referme les jambes qui viennent enserrer la tête de Victor, mais il ne s’arrête pas. D’une main, elle tente de repousser Marian qui a toujours son sexe en main, elle ouvre les yeux et comprend ce qui se passe. Elle essaie de se relever mais Marian la maintient d’une main sur la poitrine et de l’autre sur sa bouche, elle se calme. Victor, toujours en action, doit avoir réveillé de nouveau son excitation. Faut dire qu’il y va de bon cœur, ce ne sont plus deux mais trois doigts qu’il introduit en faisant des va-et-vient. Il prépare le terrain car vu la taille de son instrument, elle va le sentir passer, Valérie, le bâton de berger.
Marian qui, d’une main joue avec ses seins, agaçant les tétons, commence à retirer doucement la main de sa bouche. Elle reste passive, le souffle un peu court. Il revient à la charge, la verge en main, il la lui présente à la bouche. Il a gagné, elle ouvre les lèvres et commence une fellation comme elle sait bien les faire, juste le gland puis elle descend le long de la hampe et mordille sur la longueur. Cela lui fait de l’effet car il se cambre, elle lèche les bourses et mordille encore. Il apprécie le traitement, ils changent de position.
Marian s’allonge, elle le prend en main, elle se met à quatre pattes sur le lit et Victor reprend son cunnilingus, il élargit la zone d’ailleurs car je le vois remonter sur l’anus tout en lui doigtant la chatte. Elle a l’air d’apprécier, elle s’applique sur la fellation de Marian, lui bouffe les bourses et descend vers l’anus. Moi j’apprécie mais lui a l’air surpris, elle tente un doigt mais il repousse l’intrusion. Elle reprend donc sa fellation en faisant des cercles de son doigt autour de son anus. Cette fois il laisse faire, il ne va pas tarder à venir, il perd pied, elle en profite pour lui masser sa prostate en lui introduisant en douceur son majeur. Cela le fait partir, il éjacule, elle ne peut tout avaler tellement il y en a. Victor se redresse et présente son gourdin face à l’ouverture de sa chatte. Je me demande comment ça peut rentrer mais la nature est bien faite et le passage s’élargit sous la pression. Il est doux, il doit savoir qu’il faut y aller en douceur pour ne pas la blesser et qu’elle s’habitue petit à petit à la taille de l’engin. Il parvient à complètement introduire sa verge et commence son va-et-vient. À chaque fois qu’il arrive au fond ses bourses claquent contre les lèvres et elle pousse un soupir, elle a toujours en main la queue molle de Marian qui n’a pas encore récupéré.
Victor sort de son fourreau si confortable, s’allonge sur le dos et la fait venir sur lui. Il guide d’une main l’introduction de son majestueux appendice entre les lèvres vaginales, il parfait le tout en donnant un coup de reins afin de se caler bien au fond. Elle s’agrippe à ses épaules et commence son lent va-et-vient afin d’apprécier toute la longueur de la colonne. Je ne sais pas si elle a déjà connu une telle expérience car il est largement au-dessus de tout ce que j’ai déjà pu croiser. Il en profite pour lui mordiller les tétons, elle apprécie le traitement, elle geint le plus discrètement possible.
Marian s’est redressé et présente de nouveau sa verge à sucer. Quasiment en face de l’ouverture de la porte, j’ai une vue sur sa chatte bien remplie. Elle le suce, il commence à reprendre forme, je me rends compte qu’il possède une tige bien différente de Victor fine et longue, il apprécie le traitement qu’elle lui donne. Victor donne plus de vigueur à sa pénétration, sous les coups de bélier, elle n’arrive plus à satisfaire Marian qui se recule et maintient son érection en se branlant. Tout à coup, il se lève, j’ai failli me faire surprendre, il descend. J’entends des bruits de bouteille, puis il remonte aussi vite qu’il est parti. Par chance, l’espace d’ouverture de la porte est suffisant pour que je voie tout ce qui se passe sur le convertible. Il a une bouteille d’huile d’olive dans la main, c’est une petite bouteille avec pulvérisateur intégré ; il envoie une pression dans sa main gauche et s’enduit la verge avec, une deuxième pression en direction de l’anus de Valérie qui sur le coup contracte ses fesses. Il s’asperge une dernière fois le gland avant de poser la bouteille et commence à masser doucement l’anus en faisant pénétrer petit à petit une phalange puis deux puis le majeur entier. J’hallucine, elle se laisse faire, l’ont-ils droguée pour qu’elle se soumette comme cela ? De mieux en mieux, il vient l’annulaire, je pense avoir saisi le fond de sa pensée, il masse avec douceur, les deux doigts rentrent maintenant sans difficulté, il monte sur le lit se saisit de sa verge retire ses doigts et les remplace par quelque chose d’un peu plus conséquent mais surtout beaucoup plus long.
Valérie encaisse, s’allonge sur Victor pour faciliter l’accès, Victor me bouge plus, bien calé au fond de son vagin. Marian progresse par une poussée lente et continue, il va très doucement, on dirait un film au ralenti. Ils prennent bien attention de ne pas la faire souffrir, on n’entend plus que le souffle de chacun dans la pièce. Il réussit à la pénétrer totalement, ses bourses sont au contact des fesses. Je n’en reviens pas, ils sont tous les deux en elle. C’est elle qui commence à onduler du bassin ; du coup, Marian prend cela pour une invite et lime d’abord doucement puis de plus en plus énergiquement, tandis que Victor, en la maintenant fermement aux hanches, ne donne que de petits coups de bassin qui font à peine sortir son gourdin de sa chatte dilatée. Je n’ai jamais vu Valérie dans cet état, elle est en transe ; tout à coup, elle s’effondre sur Victor, l’orgasme a dû être trop violent, je vois qu’ils se contractent tous les deux quasiment simultanément à son orgasme, ils doivent être en train de décharger dans ses orifices.
Marian se retire et elle s’allonge à leurs côtés. Son anus met un peu de temps à se refermer, juste le temps de voir perler son sperme. Doucement, Victor la fait remonter sur lui afin que son engin se dégage, il l’attrape sous les fesses pour la tirer vers lui, l’anaconda sort, cela met un temps fou. Même au repos, c’est plus impressionnant que la mienne en pleine érection par la taille et la grosseur ; enfin elle sort complètement et s’affaisse sur ses bourses, les lèvres restent ouvertes et sa semence s’écoule sur son pubis, elle reste allongée sur lui. J’en ai déjà trop vu, je vais m’enfermer dans ma chambre, j’ai du mal à trouver le sommeil. Avec ce que je viens de voir et la gueule-de-bois que je tiens, j’ai l’impression d’avoir vécu un cauchemar.
Je suis réveillé par une drôle de sensation, Valérie nue à mes côtés en train de me faire une fellation de première. C’est la première fois que j’ai droit à ce genre de réveil, je me demande si cette nuit j’ai vécu un cauchemar ou si c’est la réalité, vu son acharnement à me faire venir dans sa bouche. Je suppose qu’elle souhaite préserver ses orifices maltraités durant cette nuit. J’avance une main sur ses fesses, mon majeur pénètre son anus sans aucune difficulté, je fais doucement du bout du doigt mais je me rends bien compte que cette entrée a reçu de la visite récemment et me confirme bien ce que ce n’est pas un rêve mais une réalité difficile à accepter. Je ne sais comment réagir : faire l’ignorant et voir comment cela se passe ou tout lui raconter en lui faisant comprendre que je ne lui en veux pas car je sais que cela ne durera pas ? J’opte pour la première solution ; si elle souhaite en parler, je saurais l’écouter, et la laisse finir sa fellation. D’ailleurs je ne vais pas tenir longtemps, ça y est, j’envoie tout, elle n’en laisse aucune goutte et vient m’embrasser. Je ne peux lui en vouloir, elle a vécu sûrement des sensations inconnues et très fortes cette nuit et, malgré tout, cela m’a beaucoup excité de la voir à la merci des deux jeunes jusqu’à s’évanouir de jouissance.
Elle se lève, s’habille et quitte la chambre. Je me remémore le film de cette nuit, je pense que j’ai dû manquer tout le début car, pour arriver à la séquence où Lucian la sodomise, il a dû savoir la préparer, ensuite en bon chef, il a partagé sa pitance en premier avec le plus ancien, respect de l’âge sûrement, pour terminer par les deux plus fougueux. Une chose qui m’a marqué : pourquoi les deux premiers ont choisi d’éjaculer dans sa bouche, les deux jeunes eux ne se sont pas privés pour la souiller de leur semence.
Comment a-t-elle pu se laisser convaincre, a-t-elle tenté de résister ? Qui m’a déposé dans mon lit et m’a déshabillé ? Si c’est eux, ils ont dû bien rire en voyant la taille de mes attributs. Je ressombre dans les bras de Morphée, je n’ai pas suffisamment récupéré.
Si vous avez apprécié, laissez-moi vos commentaires, une suite peut être, car le chantier n’est pas fini !
Nous sommes un couple de bientôt cinquante ans, nous résidons dans le sud de la France. Moi Marc, 1,84 m, 95 kg, sportif mais quelques kilos en trop. Elle Valérie, 1,65 m, 63 kg, une superbe poitrine 90 D qui commence à s’affaisser avec le poids des années mais qui ne manque pas d’attirer l’œil du connaisseur, avec de gros tétons bruns que je ne me lasse de téter, elle est très sensible à ce traitement. Une silhouette qui ne laisse pas indifférent sur son passage, un beau petit 38, un peu trop plat à mon goût et quelques kilos suite à un peu de laisser-aller cet hiver, soit plutôt un 90/75/90 tout à fait appétissant.
Jusqu’à ces derniers événements que je vais tenter de vous faire vivre, rien de particulier à signaler.
J’ai bien essayé de la débrider mais toujours sans succès, j’ai droit à la fellation mais pas de sodomie ou plutôt, plus depuis quelques années. Je lui ai aussi demandé de s’épiler en particulier au niveau des lèvres car ce n’est pas particulièrement agréable d’avoir des poils lors des cunnilingus, mais sans succès. Pour ma part, je me suis fait épiler avec la technique de la lumière pulsée, traitement long, plus de deux ans. Ça n’est pas désagréable de se faire tripoter toutes les dix semaines par une belle inconnue et en plus, le résultat en vaut la chandelle, une vraie petite bite de pré-pubère.
Je me suis toujours demandé si elle était satisfaite lors de nos rapports car malheureusement la nature ne m’a pas particulièrement gâté : environ sept centimètres au repos et moins de douze en pleine forme, c’est moins que la moyenne et cela sans compter les pannes en cours de route. Je me pose cette question et c’est le sentiment que je ressens à la fin de l’acte, elle me dit que tout va bien, mais est-ce la vérité ?
Il y a quelques temps, nous avons fait rénover notre villa, des travaux très lourds : création d’un étage et redistribution du rez-de-chaussée. J’ai fait appel à une entreprise avec laquelle mon frère travaille et nous n’avons pas été déçus. Il restait quelques détails à reprendre et les enduits de façade à réaliser. Mon frère a donc dépêché ses meilleurs éléments, quatre roumains. Présentations faites par ce qui semble être le chef, Lucian, la quarantaine, blond aux yeux clairs ; Stefan la quarantaine aussi, châtain foncé, yeux verts, un peu typé italien ; Marian, la trentaine, un physique de rugbyman, la boule à zéro, et Victor la trentaine aussi, un gros bébé châtain clair, les yeux verts avec un sourire enjôleur. Tous bien bâtis étant donné leur activité physique quotidienne. Ils comprennent et parlent juste quelques mots de français, mais de toute façon, ils ne sont pas là pour faire des discours.
Pour leur faciliter la tâche, nous avons choisi de les héberger, vu qu’avec les travaux d’agrandissement ce n’est pas la place qui manque. Nous occupons pour le moment la seule chambre terminée à l’étage, la future chambre d’amis. Trois sont installés en lits d’une personne dans ce qui devrait devenir la grande chambre du rez-de-chaussée avec salle de bain attenante que nous n’occupons pas encore car je n’ai pas encore eu le temps de finir les aménagements, peinture, placards, etc., et le quatrième, l’équivalent du chef d’équipe, dans une pièce à l’étage où il y a un convertible et une salle d’eau attenante. À ce moment-là, je ne savais pas encore que le loup et sa meute étaient entrés dans la bergerie.
La première semaine se déroule sans encombre, rien de particulier à signaler, d’autant plus que je m’absente tous les jours du domicile de 7 heures jusqu’à environ 19 heures. Pour Valérie, c’est différent, elle est auxiliaire de vie et travaille à temps partiel chez des personnes âgées, elle est toujours prête à rendre service ; c’est une qualité, cela peut devenir un défaut.
Le vendredi soir, je fais le tour du chantier avec le responsable. Satisfaits du travail effectué, nous les invitons le lendemain pour une soirée barbecue.
Samedi matin, ils partent en balade ; de notre côté rien de particulier.
Dans l’après-midi, on prépare une bonne ratatouille en accompagnement du barbecue, Valérie s’occupe d’éplucher les légumes, j’essaie de la détourner en venant par derrière lui masser sa belle poitrine, mais elle me renvoie dans mes buts en me disant que pour le moment il y a autre chose à faire.
Je lui demande : — Ce soir alors ?
Pour toute réponse, j’ai obtenu un : — On verra.
On entend leur retour dans la chambre. Ils sont entrés par la porte-fenêtre de la terrasse et viennent remplir avec des sacs de course, le frigo qu’on leur a mis à disposition dans la salle à manger, enfin c’est ce que cette pièce deviendra à la fin des travaux.
Je m’occupe de l’apéro, toasts, olives, tomates-cerises et prépare la braise pour le barbecue. On entend l’eau de la douche, ils vont se rafraîchir avant de venir nous rejoindre, Valérie et moi, sur la terrasse. Lucian est le premier, c’est d’ailleurs celui qui s’exprime le mieux, puis arrivent dans l’ordre Stefan, Victor et Marian qui est en débardeur et pantacourt. Ils ont tous fait un effort de tenue pour ce soir. Je sers l’apéro et je commence à m’occuper des grillades, mon verre ne se retrouve jamais vide ainsi que celui de Valérie. Elle qui ne tient pas l’alcool, boit le rosé litchi comme du petit lait. Malgré les difficultés nous arrivons à échanger et à avoir un semblant de discussion.
Valérie, qui est à table entourée des quatre hommes, leur demande si ce n’est pas trop difficile de vivre loin de son pays et des siens. D’après ce que je peux entendre, ils lui répondent qu’ils peuvent téléphoner et ainsi avoir des nouvelles et, en tendant l’oreille car je ne suis pas à côté, ce qu’il leur manque le plus, c’est leur femme.
Nous continuons la soirée en passant à table. Elle va chercher la ratatouille à la cuisine et moi j’apporte les grillades. À son retour, la lumière de la cuisine donne une vue imprenable sur ses formes par transparence de sa robe, elle n’a rien vu mais le regard des quatre roumains en dit long.
Nous mangeons et surtout buvons plus que de raison, en tout cas Valérie, c’est sûr, qui rit à gorge déployée et moi qui ai toujours le verre plein. Lorsqu’une bouteille est vide, il y a toujours un volontaire pour aller en chercher une dans leur frigo. Je vois bien que celui qui se dévoue pour le service ne se gêne pas pour jeter un œil dans le décolleté de madame. Je ne suis plus très lucide mais je me rends compte qu’à tour de rôle, un couteau, une fourchette, une serviette tombent à terre et qu’ils prennent beaucoup de temps pour ramasser. Ma curiosité est récompensée lorsque je fais de même et aperçois ce qui attire leur regard : les jambes de Valérie sont écartées, on voit sa jolie culotte en dentelle blanche et on devine le bourrelet de ses lèvres, je comprends le manège.
Le repas tire à sa fin, elle veut se lever pour aller chercher le dessert, titube et se rassoit aussitôt. Il m’arrive la même chose, présumant de mes forces, mais mon état d’ébriété est trop avancé pour rejoindre la cuisine. Marian se dévoue, revient avec le gâteau et une bouteille de pétillant. Il dépose le gâteau devant Valérie qui réussit tant bien que mal à se lever pour le couper. Elle se trémousse tout en le coupant, je ne réagis pas, ou plutôt plus, mais c’est sûrement une des mains de Lucian ou de Stefan voire peut-être les deux, sous sa robe qui doivent la perturber.
J’ai de plus en plus de mal à me tenir éveillé, heureusement le café arrive, cette fois c’est Victor qui fait le service et malencontreusement en renverse sur la robe blanche de Valérie. Lucian et Stefan l’accompagnent jusqu’à la maison pour aller se changer, je ne me rends pas compte du temps qui passe car les deux autres me font goûter à un alcool qu’ils ont ramené du pays. À partir de ce moment-là, je n’ai plus de souvenirs…Je me réveille en sursaut avec un orchestre de percussions dans la tête. Je suis seul dans la chambre, déshabillé, je ne me souviens de rien pour le moment. Je réussis à ouvrir l’œil, et essaie de comprendre ce qui a pu se passer, je fais un effort surhumain mais réussis à tenir debout. Malgré le mal de tête, je me dirige vers la porte de la chambre et commence à l’ouvrir ; là j’aperçois de la lumière qui provient de la chambre de Lucian, la porte est entrouverte et j’entends des gémissements. Je me fais le plus discret possible, arrive à la porte et dans l’embrasure, vois Valérie, dos à Lucian qui est allongé, en train de monter et descendre sur son vit. Il accompagne ses mouvement en la maintenant sous les fesses, elle se caresse les seins et s’astique le clitoris, enfin c’est ce que je suppose car je ne vois pas tout ce qui se passe, l’ouverture est trop faible. Elle jouit et retenant un cri. D’habitude avec moi, cela s’arrête là car moi aussi je jouis et s’ensuit une débandade de plusieurs heures. Mais là, lui n’a pas encore éjaculé ou reprend plus rapidement que moi la forme. Il lui fait changer de position, elle se place à quatre pattes sur le lit dans l’alignement de l’ouverture de la porte et il se présente mais pas dans sa chatte : il la sodomise et elle ne se refuse pas. D’ailleurs de la manière où ça rentre, c’est sûrement l’orifice qui était déjà visité dans la précédente position.
Il envoie une main lui grattouiller le clito, elle feule de nouveau, toute en retenue, de peur de me réveiller peut-être ? Je suis dégoûté, elle lui cède le premier soir ce qu’elle me refuse depuis tant d’années. D’autant qu’elle doit le sentir passer car sans être monté comme un âne, il est tout de même mieux équipé que moi, et vous me direz que ce n’est pas difficile. Il change à nouveau de position, il la couche sur le côté droit tout en restant fiché en elle et soulève sa jambe gauche, une main qui joue avec le clito et que je vois pénétrer à plusieurs reprises sa chatte. Il se penche et lui triture le téton gauche, elle aime ça la coquine, elle ne va pas tarder à partir de nouveau. Ça y est, ses jambes se raidissent elle a un nouvel orgasme. Il se retire, la met sur le dos, tête tournée sur le côté, s’approche de sa bouche entrouverte, et jouit. Je n’ai jamais vu ça : une telle quantité et une consistance… on dirait du concentré. Elle lui nettoie la bête, c’est sûr, cela doit lui changer de l’ordinaire.
Il se lève, va à la salle d’eau qui est attenante à la chambre, elle somnole et me tourne le dos, j’entends la porte s’ouvrir. J’ai juste le temps de regagner la chambre qu’il sort et descend rejoindre les autres.
À peine est-il arrivé en bas, que j’entends des pas dans les escaliers. Je me dis qu’il a oublié quelque chose, je surveille mais ce n’est pas Lucian qui remonte, c’est Stefan qui entre dans la chambre, laissant la porte beaucoup plus ouverte. Cette fois, je vais être aux premières loges. Il se déshabille, il n’a qu’un slip et un tee-shirt c’est vite fait. Son sexe est un peu plus gros et plus long que Lucian, il s’allonge contre le dos de Valérie, réussit à passer un bras sous elle pour venir jouer avec sa poitrine et envoie la main vers sa chatte et son clito. D’où je suis, je ne peux que deviner.
Elle sort de sa somnolence et roucoule sous l’action des doigts de Stefan. Il se cale bien dans le creux de ses fesses. Cette fois, c’est elle qui se positionne et se tortille pour se faire prendre. Pour le moment, elle ne sait toujours pas que ce n’est plus Lucian. Il donne un coup de rein pour s’introduire, elle a dû être surprise par la grosseur car elle réagit et tourne la tête pour découvrir que ce n’est plus le même amant. Elle tente de se dégager mais il lui met un doigt sur la bouche, afin de lui faire comprendre que cela pourrait me réveiller. Il entame ses va-et-vient et elle se radoucit et commence à reprendre du plaisir. Il en profite pour changer de position, la met sur le dos et la prend en missionnaire puis lui prend les jambes et les place sur ses épaules. De ses mains, il joue avec ses seins, alterne sur son clitoris. Elle part de nouveau, je ne l’ai jamais vue autant jouir que cette nuit, moi qui la croyais beaucoup plus réservée. Ils ont trouvé les clés pour l’emmener à n’en plus finir au septième ciel.
Est-ce le fait d’avoir attendu son tour ou tout simplement qu’il est moins endurant mais je le vois se retirer, la chevaucher et venir se vider dans sa bouche tout en maintenant son excitation en jouant avec sa poitrine que je sais plutôt réceptive. Elle prend la peine de bien le nettoyer en le branlant, elle doit apprécier la taille, pour une fois qu’elle en a une qui ne tient pas dans sa main en longueur et, j’en ai bien l’impression, aussi en diamètre. D’ailleurs elle en a plein la bouche et il en reste un bon morceau dehors. Une fois terminé, ils reprennent la position initiale quelques instants avant qu’il ne se lève pour quitter la chambre. J’ai eu juste le temps de rejoindre la nôtre ou plutôt devrais-je dire, la mienne.
J’ai toujours le kangourou qui fait un combat de boxe dans ma tête et ce que je viens de voir n’arrange rien.
De nouveau du bruit dans les escaliers, je veille, je regarde l’heure, il est déjà minuit et demie. Deux ombres entrent dans la chambre, malheureusement ils ont presque fermé la porte. Elle s’est endormie, toujours sur le côté, je ne vois que ses fesses. Ils sont déjà en tenue de combat, Marian passe devant la porte, j’ai juste le temps de voir que malgré son allure de rugbyman, il est plutôt dans la moyenne, on dira supérieure, entre quinze et dix-sept centimètres je pense et plutôt fine, une peu la mienne, mais avec environ cinq centimètres de plus. Il disparaît.
Victor qui jusqu’à maintenant, me tournait le dos, s’installe sur le lit, se place sur son côté gauche et là, surprise, il cache bien son jeu le petit, un truc qui pend jusqu’à la moitié de sa cuisse. Même s’il n’est pas grand, cela doit bien faire dans les vingt centimètres au moins et d’un beau diamètre, je dirais une canette de Redbull. Excusez-moi pour la comparaison mais c’est ce qui m’est venu à l’esprit sur le moment, cela fait un drôle de contraste avec toutes ses rondeurs. Il lui caresse le côté droit de l’aisselle jusque la hanche, cela la fait changer de position dans son sommeil, et elle se met sur le dos, les jambes plus ou moins écartées, les bras le long du corps, position habituelle dans son sommeil. Il se penche sur son mont de Vénus et commence à lui faire un cunnilingus. Je ne vois pas ce que fait Marian, j’aperçois juste sa main caresser son ventre et je suppose sa poitrine. Comme il doit me tourner le dos et Victor étant très occupé, je tente d’agrandir l’ouverture de la porte, j’ai peur que cela grince mais tout se passe bien.
En fait, il est à genoux à hauteur de son visage. Tiens d’ailleurs, elle a la tête tournée vers lui, elle a entrouvert la bouche et commence à avoir des soupirs de plaisirs. Victor se déplace tout en maintenant sa main droite sur son clitoris et vient se mettre entre ses jambes, il reprend son léchage qui semble efficace, lui replie les jambes avec douceur afin de lui faciliter l’accès. Elle les écarte d’elle-même dans son sommeil ou son semi-réveil !
Toujours à la hauteur de son visage, Marian présente son sexe à ses lèvres, mais pas de réaction, elle dort toujours. Je vois des flashes dans la chambre, il doit être en train de prendre des photos souvenirs. Il lui caresse les lèvres avec son gland, tandis que Victor vient d’ajouter deux doigts, tout en continuant à lui lécher le clitoris, cela la fait sortir du sommeil. Par réflexe sûrement, elle referme les jambes qui viennent enserrer la tête de Victor, mais il ne s’arrête pas. D’une main, elle tente de repousser Marian qui a toujours son sexe en main, elle ouvre les yeux et comprend ce qui se passe. Elle essaie de se relever mais Marian la maintient d’une main sur la poitrine et de l’autre sur sa bouche, elle se calme. Victor, toujours en action, doit avoir réveillé de nouveau son excitation. Faut dire qu’il y va de bon cœur, ce ne sont plus deux mais trois doigts qu’il introduit en faisant des va-et-vient. Il prépare le terrain car vu la taille de son instrument, elle va le sentir passer, Valérie, le bâton de berger.
Marian qui, d’une main joue avec ses seins, agaçant les tétons, commence à retirer doucement la main de sa bouche. Elle reste passive, le souffle un peu court. Il revient à la charge, la verge en main, il la lui présente à la bouche. Il a gagné, elle ouvre les lèvres et commence une fellation comme elle sait bien les faire, juste le gland puis elle descend le long de la hampe et mordille sur la longueur. Cela lui fait de l’effet car il se cambre, elle lèche les bourses et mordille encore. Il apprécie le traitement, ils changent de position.
Marian s’allonge, elle le prend en main, elle se met à quatre pattes sur le lit et Victor reprend son cunnilingus, il élargit la zone d’ailleurs car je le vois remonter sur l’anus tout en lui doigtant la chatte. Elle a l’air d’apprécier, elle s’applique sur la fellation de Marian, lui bouffe les bourses et descend vers l’anus. Moi j’apprécie mais lui a l’air surpris, elle tente un doigt mais il repousse l’intrusion. Elle reprend donc sa fellation en faisant des cercles de son doigt autour de son anus. Cette fois il laisse faire, il ne va pas tarder à venir, il perd pied, elle en profite pour lui masser sa prostate en lui introduisant en douceur son majeur. Cela le fait partir, il éjacule, elle ne peut tout avaler tellement il y en a. Victor se redresse et présente son gourdin face à l’ouverture de sa chatte. Je me demande comment ça peut rentrer mais la nature est bien faite et le passage s’élargit sous la pression. Il est doux, il doit savoir qu’il faut y aller en douceur pour ne pas la blesser et qu’elle s’habitue petit à petit à la taille de l’engin. Il parvient à complètement introduire sa verge et commence son va-et-vient. À chaque fois qu’il arrive au fond ses bourses claquent contre les lèvres et elle pousse un soupir, elle a toujours en main la queue molle de Marian qui n’a pas encore récupéré.
Victor sort de son fourreau si confortable, s’allonge sur le dos et la fait venir sur lui. Il guide d’une main l’introduction de son majestueux appendice entre les lèvres vaginales, il parfait le tout en donnant un coup de reins afin de se caler bien au fond. Elle s’agrippe à ses épaules et commence son lent va-et-vient afin d’apprécier toute la longueur de la colonne. Je ne sais pas si elle a déjà connu une telle expérience car il est largement au-dessus de tout ce que j’ai déjà pu croiser. Il en profite pour lui mordiller les tétons, elle apprécie le traitement, elle geint le plus discrètement possible.
Marian s’est redressé et présente de nouveau sa verge à sucer. Quasiment en face de l’ouverture de la porte, j’ai une vue sur sa chatte bien remplie. Elle le suce, il commence à reprendre forme, je me rends compte qu’il possède une tige bien différente de Victor fine et longue, il apprécie le traitement qu’elle lui donne. Victor donne plus de vigueur à sa pénétration, sous les coups de bélier, elle n’arrive plus à satisfaire Marian qui se recule et maintient son érection en se branlant. Tout à coup, il se lève, j’ai failli me faire surprendre, il descend. J’entends des bruits de bouteille, puis il remonte aussi vite qu’il est parti. Par chance, l’espace d’ouverture de la porte est suffisant pour que je voie tout ce qui se passe sur le convertible. Il a une bouteille d’huile d’olive dans la main, c’est une petite bouteille avec pulvérisateur intégré ; il envoie une pression dans sa main gauche et s’enduit la verge avec, une deuxième pression en direction de l’anus de Valérie qui sur le coup contracte ses fesses. Il s’asperge une dernière fois le gland avant de poser la bouteille et commence à masser doucement l’anus en faisant pénétrer petit à petit une phalange puis deux puis le majeur entier. J’hallucine, elle se laisse faire, l’ont-ils droguée pour qu’elle se soumette comme cela ? De mieux en mieux, il vient l’annulaire, je pense avoir saisi le fond de sa pensée, il masse avec douceur, les deux doigts rentrent maintenant sans difficulté, il monte sur le lit se saisit de sa verge retire ses doigts et les remplace par quelque chose d’un peu plus conséquent mais surtout beaucoup plus long.
Valérie encaisse, s’allonge sur Victor pour faciliter l’accès, Victor me bouge plus, bien calé au fond de son vagin. Marian progresse par une poussée lente et continue, il va très doucement, on dirait un film au ralenti. Ils prennent bien attention de ne pas la faire souffrir, on n’entend plus que le souffle de chacun dans la pièce. Il réussit à la pénétrer totalement, ses bourses sont au contact des fesses. Je n’en reviens pas, ils sont tous les deux en elle. C’est elle qui commence à onduler du bassin ; du coup, Marian prend cela pour une invite et lime d’abord doucement puis de plus en plus énergiquement, tandis que Victor, en la maintenant fermement aux hanches, ne donne que de petits coups de bassin qui font à peine sortir son gourdin de sa chatte dilatée. Je n’ai jamais vu Valérie dans cet état, elle est en transe ; tout à coup, elle s’effondre sur Victor, l’orgasme a dû être trop violent, je vois qu’ils se contractent tous les deux quasiment simultanément à son orgasme, ils doivent être en train de décharger dans ses orifices.
Marian se retire et elle s’allonge à leurs côtés. Son anus met un peu de temps à se refermer, juste le temps de voir perler son sperme. Doucement, Victor la fait remonter sur lui afin que son engin se dégage, il l’attrape sous les fesses pour la tirer vers lui, l’anaconda sort, cela met un temps fou. Même au repos, c’est plus impressionnant que la mienne en pleine érection par la taille et la grosseur ; enfin elle sort complètement et s’affaisse sur ses bourses, les lèvres restent ouvertes et sa semence s’écoule sur son pubis, elle reste allongée sur lui. J’en ai déjà trop vu, je vais m’enfermer dans ma chambre, j’ai du mal à trouver le sommeil. Avec ce que je viens de voir et la gueule-de-bois que je tiens, j’ai l’impression d’avoir vécu un cauchemar.
Je suis réveillé par une drôle de sensation, Valérie nue à mes côtés en train de me faire une fellation de première. C’est la première fois que j’ai droit à ce genre de réveil, je me demande si cette nuit j’ai vécu un cauchemar ou si c’est la réalité, vu son acharnement à me faire venir dans sa bouche. Je suppose qu’elle souhaite préserver ses orifices maltraités durant cette nuit. J’avance une main sur ses fesses, mon majeur pénètre son anus sans aucune difficulté, je fais doucement du bout du doigt mais je me rends bien compte que cette entrée a reçu de la visite récemment et me confirme bien ce que ce n’est pas un rêve mais une réalité difficile à accepter. Je ne sais comment réagir : faire l’ignorant et voir comment cela se passe ou tout lui raconter en lui faisant comprendre que je ne lui en veux pas car je sais que cela ne durera pas ? J’opte pour la première solution ; si elle souhaite en parler, je saurais l’écouter, et la laisse finir sa fellation. D’ailleurs je ne vais pas tenir longtemps, ça y est, j’envoie tout, elle n’en laisse aucune goutte et vient m’embrasser. Je ne peux lui en vouloir, elle a vécu sûrement des sensations inconnues et très fortes cette nuit et, malgré tout, cela m’a beaucoup excité de la voir à la merci des deux jeunes jusqu’à s’évanouir de jouissance.
Elle se lève, s’habille et quitte la chambre. Je me remémore le film de cette nuit, je pense que j’ai dû manquer tout le début car, pour arriver à la séquence où Lucian la sodomise, il a dû savoir la préparer, ensuite en bon chef, il a partagé sa pitance en premier avec le plus ancien, respect de l’âge sûrement, pour terminer par les deux plus fougueux. Une chose qui m’a marqué : pourquoi les deux premiers ont choisi d’éjaculer dans sa bouche, les deux jeunes eux ne se sont pas privés pour la souiller de leur semence.
Comment a-t-elle pu se laisser convaincre, a-t-elle tenté de résister ? Qui m’a déposé dans mon lit et m’a déshabillé ? Si c’est eux, ils ont dû bien rire en voyant la taille de mes attributs. Je ressombre dans les bras de Morphée, je n’ai pas suffisamment récupéré.
Si vous avez apprécié, laissez-moi vos commentaires, une suite peut être, car le chantier n’est pas fini !
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