Fin de chantier - 5- sous le auvent de la caravane
Récit érotique écrit par Frank83 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fin de chantier - 5- sous le auvent de la caravane
Fin de chantier (5)
Résumé de l’épisode précédent
Marc s’est rendu compte que Valérie ne s’est pas lâchée qu’avec les ouvriers mais que cela a dû commencer il y a bien longtemps.
Il a pu découvrir au fil des enregistrements vidéo qu’elle assure une prestation d’auxiliaire de vie bien supérieure à ce que l’on pourrait attendre d’elle.
Ces dernières révélations permettent à Marc de discerner le véritable visage d’une épouse qui remplit souvent un autre rôle qui va au-delà des espérances de ses employeurs.
Comble-t-elle ainsi un manque qu’il n’a pas détecté ? Est-ce pour trouver là un certain équilibre qu’il ne lui offre pas ?
Jusqu’à maintenant Marc n’avait remarqué aucun changement dans son comportement, ni supposé que Valérie puisse avoir cette sexualité débordante.
Sexualité débridée qui fait bien l’affaire de ses relations professionnelles masculines au nez et à la barbe de son cocu de mari.
12:00 : tous les collègues quittent le bureau pour aller manger, ayant envie d’être seul, je m’enferme dans mon bureau, je réfléchis et tente de trouver le moindre indice qui aurait pu me mettre la puce à l’oreille.
Je me souviens qu’il lui est arrivé qu’elle me parle de telle ou telle personne chez qui elle intervenait mais sans que cela ait particulièrement retenu mon attention.
Tout en essayant de retracer dans mon esprit ce qui aurait dû ou pu m’alerter, je suis de nouveau attiré par ces enregistrements qui m’ont déjà beaucoup appris. Chaque carte que j’ai réussi à copier a été enregistrée dans un répertoire.
J’en sélectionne le plus ancien. Pas de film mais des photos, elle a été mitraillée sous toutes les coutures.
Je commence à les regarder en détail et je me rends compte rapidement que ces clichés datent un peu. En fait, ils remontent à la première période de travaux, lors de la réalisation de l’extension à l’été 2013.
A l’époque, nous avions hébergé une équipe de 4 ouvriers, rapidement l’un d’entre eux était rentré au pays, et nous avions installé une caravane derrière la maison, uniquement pour y dormir, pour avoir un peu d’intimité, laissant la maison en chantier aux roumains. Seul la cuisine et la salle de bain sont toujours restées plus ou moins opérationnelles.
La première semaine a été consacrée aux démolitions, toiture et murs sur la dalle qui va recevoir le premier étage, puis vient ensuite le rez-de-chaussée qui sera complètement redistribué afin de le rendre plus fonctionnel, création d’ouvertures mais aussi rebouchage d’existantes qui demandent donc le démontage des menuiseries.
Le point final a été le démontage de la salle de bain qui à l’avenir sera partagée entre les WC et la cage d’escalier pour accéder au futur étage.
Afin de conserver sa fonction, une douche provisoire a été mise en place. La totalité des portes ont été démontées afin de les remplacer par des blocs portes neufs et surtout identiques avec ceux de l’étage. Une fois, les démolitions achevées, la maison ressemblait plus à une ruine avec tous ces trous béants un peu partout, ce qui n’etait pas pour me rassurer, mais les ouvriers étaient confiants.
La salle de bain se résume à une cabine de douche le reste ayant été démonté, l’intimité de la pièce est garantie par une cloison et une porte provisoire car pour les futurs escaliers, le mur de séparation avec le couloir a été abattu afin de permettre l’évacuation de l’ensemble des gravats encombrants le chantier dès le début.
Il y a toute une série de Valérie dans la salle de bain provisoire, se déshabillant, entrant, sortant, sous la douche, cela fait un drôle d’effet de voir ces photos.
Une autre série, elle est en train de soigner un des ouvriers blessé sur le haut du crane, assis sur une chaise, elle est debout à cheval sur sa jambe gauche, elle est encore en peignoir, une autre, on peut voir que discrètement il fait glisser le nœud du peignoir. Sur la suivante, le peignoir est entrouvert, il a son avant-bras posé sur sa jambe gauche et je pense la main juste à la bonne hauteur pour jouer avec son berlingot, Valérie ne semble pas réagir en tout cas pas violemment.
Encore dans la même série, cette fois, il a le bras droit qui doit être en train de caresser sa poitrine, elle semble apprécier et le laisse faire, les deux mains accrochées à la tête de l’ouvrier qui semble aller déjà beaucoup mieux.
Cela a donc du commencer ainsi ; je continue mon visionnage, toujours dans cette salle de bain de fortune mais cette fois accompagnée, l’ouvrier dont je ne rappelle plus le nom, la savonne sous la douche, les seins, le dos, les fesses, les jambes, l’entre-jambe en remontant jusqu’à la fourche, ça mousse puis la rince avec le pommeau, en insistant sur ses seins, puis jambes écartées le jet dirigé vers le haut sur le sexe, elle les deux mains en appui sur la paroi, et enfin le séchage avec une simple serviette et un pelotage en règle de toutes ses formes.
Sait elle qu’à ce moment là elle était la cible d’un paparazzi ?
Il a posé la serviette, et fait courir les mains sur tout son corps.
Derrière elle, il se saisit de ses seins en les remontant, passant les bouts de ses majeurs sur les tétines afin de les faire pointer, il l’embrasse dans le cou, elle bascule sa tête sur son épaule. Il la tient à sa merci, il laisse retomber le sein gauche et dirige sa main vers sa fourche, il commence à manipuler avec doigté car Valérie a la tête rejetée en arrière et les yeux fermés, les tétons érigés, il l’entraine vers une jouissance certaine.
A genou, elle a en main son instrument, en proportion par rapport à ses mains je dirai qu’il est plutôt gâté par la nature. Pas encore en pleine érection et pourtant une dimension plus que respectable (17/18 cm) elle est en approche, puis le gland aux bords des lèvres, la langue vient de laper le pré sperme qui s’écoule du méat.
Valérie en pleine action, les joues complètement déformées par la taille de la verge, elle va surement le faire venir.
Il vient de se vider, elle en a aux commissures des lèvres et ça coule sur sa poitrine, il en avait une sacrée quantité à évacuer et consistante en plus, d’autant que la connaissant elle ne rechigne pas à la tâche.
Elle ramasse du bout des doigts et se les lèche pour ne pas en perdre une goutte. J’imagine qu’il ne s’est pas contenté de se faire sucer. Sait-elle qu’un complice prend des photos ? Probablement vu les prises de vue.
Peut-être vais-je en trouver la preuve dans les autres clichés.
Je ne tarde pas à découvrir le complice qui apparait sur les clichés suivants, il a pris la place de l’autre et c’est à son tour de faire la toilette de Valérie. Elle savait donc qu’elle était en train d’exciter un deuxième mec qui allait ensuite la baiser.
Il a prévu d’être plus actif car il est en tenue d’Adam. Il reproduit quasiment le même rituel puis lui aussi rentre dans la douche et cette fois c’est Valérie qui s’en occupe. Elle insiste particulièrement, y mettant les 2 mains, sur l’hygiène du service trois pièces qu’on distingue à peine tellement il y a de mousse.
Une fois bien rincé, il sort et se laisse sécher, elle accroche la serviette à la paroi de douche. Derrière elle, bien calé entre ses fesses il se saisit de ses seins qu’il malaxe comme pour en faire sortir le lait. Suivante, il l’a faite retourner et lui est agenouillé à s’occuper de son mont de vénus qu’il embrasse délicatement. Suivante, il lui ouvre doucement les jambes pour accéder à sa pachole qu’il lape à grand coup de bavette qu’il a pointu et très développée. Il lui écarte les lèvres pour agacer le clito, elle doit apprécier car elle lui maintient la tête à deux mains contre sa chatoune.
Elle est chauffée à blanc, il s’est redressé, passé derrière elle, la queue qui s’active contre sa vulve, elle se saisit du manche et le présente à l’entrée de sa caverne ruisselante. Elle prend appui sur le mur, il tient ses hanches et semble la labourer à grand coup d’aller-retour.
Ça en fait déjà deux qui ont réussi à profiter de ces charmes.
Je continue mes investigations, il est déjà 12:45, il me reste encore ¾ d’heure.
Tiens un petit film, ça se passe dans l’auvent de la caravane, pratiquement en plein air.
Valérie de dos vient de se débarrasser de sa robe rouge boutonnée devant.
Un homme lui fait face, il a découvert ses fesses en faisant glisser sa culotte dans la raie des fesses, pour mieux exposer son cul à la camera.
Elle a glissé ses mains dans son slip et le branle vigoureusement. L'homme la retourne rapidement sans me laisser de temps de le distinguer.
Elle est maintenant de face, lui collé à son dos.
Je réalise qu'elle porte un ensemble, soutien-gorge, culotte et porte-jarretelles le tout accompagné de bas noirs.
Je ne connais pas ces dessous, d’ailleurs elle n’a jamais voulu que je lui offre ce genre d’ensemble.
Je ne peux toujours que deviner la silhouette derrière elle, l'homme lui a libéré les seins et les masse voluptueusement en agaçant ses tétons.
Qu’ont-ils tous avec sa poitrine, c’est vrai qu’elle est superbe et en plus très sensible ce qui je me doute doit leur faciliter la tache car une fois sous pression, Valérie devient beaucoup plus avenante et succombe très rapidement à ce genre de torture. Elle semble en transe comme droguée.
Je n'arrive pas à bien distinguer.
Elle continue de tripoter la queue et les couilles de l'homme derrière elle sans cesser d'onduler, tournant son cul dans tous les sens comme une roue.
Vas y cocotte, laisses mes joujoux et occupes toi de ta chatte, c'est bon hein de se caresser la chatte ?
Ouiiiii... Ouaaah…C’est bon !!!
Oui... baisses ta culotte, c'est mieux ainsi. Tu as les tétons qui pointent, tu aimes te faire caresser, t'exhiber, tu es une belle salope, hein, Valérie ?
Ohhhhh…..Encore…… Oui..
Ça t'excite hein, de te faire tripoter dehors en plein chantier, montre tes gros nichons et ton barbu !
Oh……Pascal….arrête…non… oui…..plus fort.
Allez dis-le que ça t'excite, de faire ça habillée comme une pute avec les ouvriers juste à côté, allez dis-le !
Je viens de reconnaître la voix de l'homme derrière elle.
J’en prends plein les yeux, la silhouette, c’est Pascal, mon frère qui est en train de faire partir Valérie, direction l’extase suprême.
Oh ouiiii… ça m’exciteeeee…Qu’est-ce qui t’excite ?
Me comporter comme une pute avec les ouvriers juste à côté.
Tout en parlant, Il vient de lui enfoncer deux doigts dans la bouche pour jouer avec sa langue et deux autres dans l’anus
Elle repasse les mains dans le dos pour se saisir de son membre.
Va t’asseoir, cochonne, t’aimes ça ma grosse queue, ça te changes, hein !
Il la pousse vers le convertible (et oui c’est celui que nous avons par la suite mis dans la chambre de Lucian cf. fin de chantier 1) et elle s’assoie pour se retrouver nez à nez avec une belle queue de taille plus qu’honorable (vous me direz, ma référence n’est pas à prendre en exemple).
A la distribution, il a reçu le rab qu’ils ont oublié de me donner, on dit souvent que c’est celui qui ressemble le plus à mon père, de ce coté effectivement il n’a rien perdu, la longueur passe encore mais l’épaisseur c’est carrément un colosse.
Allez, vas-y, suces moi, ma belle sœur adorée, on m’a dit que tu étais une sacrée suceuse.
Soudain, elle semble avoir un remord, l’excitation retombée, réalise-t-elle ce qu’elle commet ?
Mais, Hé, Marc ! Je ne peux pas ….
Et avec Viorel, Costel, Mitica et Sandu, tu pouvais alors dépêches-toi.
Viorel m’a eue par surprise et après ils m’ont piégée…
Ce n’est pas ce qu’ils m’ont dit. Il est clair que tu aimes les belles bites et que celle de Marc ne te suffit pas, c’est vrai que le pauvre n’a pas été gâté, allez avale…
Il s’avance et lui remet la main sur la colonne, de nouveaux elle a le regard qui brille, il a vaincu le dernier rempart.
Elle n’en fait pas le tour avec sa main qui n’est pourtant pas du tout petite pour une femme. Je comprends maintenant mieux son empressement et son excuse pour revenir cette année, d’autant qu’il a dû être mis au courant par sa bande de joyeux drille sur l’accueil toujours très chaleureux de Valérie.
Je suis fébrile face à ces images et pourtant je ne peux m’empêcher d’être en érection.
Elle le prend en bouche, enfin ce qu’elle peut. Au bout d’un moment, ne voulant pas jouir comme cela, il la fait se relever et mettre à genoux sur le canapé.
Allez, cambre toi bien et lève bien haut ton beau cul, tu vas voir, il va te faire gueuler ton beauf.
Il s’approche et la flagelle à coup de queue sur les fesses, son petit chaton, elle glousse, il la tient, elle est à sa merci.
Oh oui…vas-y….. baise-moi fort….
Il présente son gland entre les lèvres, il s’amuse à juste l’entrer et le sortir, vu la taille, ses lèvres restent entrouvertes après chaque intrusion, la sentant sûrement prête il la prend par les hanches et s’enfonce d’une traite jusqu’aux couilles.
Tiens prends ça, c’est de la bonne hein !!!
Ouhahh…… tu me remplis……
Pascal s’active, il a remonté les mains vers sa poitrine, et fait rouler ses tétons érigés entre ses doigts.
Oh que c’est bon….. t’es gros…. je vais……jouir….
Attend ma belle, viens là.
Il s’assoit sur le canapé et la fait venir face à lui, elle s’empale de nouveau et c’est elle maintenant qui s’active.
Viorel ne reste pas planté à nous regarder, tu ne vois pas qu’elle est affamée !!!!…….
J’arrive chef
Le chef d’équipe entre dans le champ de la caméra, tombe pantalon et slip et monte sur le canapé pour se retrouver au niveau de la bouche de Valérie.
Déchainée elle se saisit de son membre en érection et l’approche de ses lèvres, elle a du mal à coordonner ses deux activité, Pascal, lui, vient en aide en plaçant une main sous chaque fesses, et reprend le pilonnage de plus belle en la faisant coulisser sur son gros vier.
Il en profite pour venir chatouiller la rosette du bout des doigts qui petit à petit pénètre, une phalange a déjà disparu.
Elle est bonne la patronne.
Elle suce trop bien !
Allez, viens, j’ai préparé le passage.
Viorel descend du canapé, Pascal attire Valérie tout contre lui.
Viens la ma belle, tu vas passer un moment merveilleux ! A toi de jouer Viorel.
Doucement, tu es tellement gros…
Viorel pointe son membre vers la cible et appuie doucement le gland sur la fleur qui s’ouvre sous la poussée. Il marque un temps d’arrêt puis reprend sa progression et reste bien au fond sans bouger afin que Valérie ait le temps de s’habituer à cette présence.
Alors, c’est bon deux belles bites qui te remplissent, t’aime ça, hein !!!
Doucement….. Oh, oui…… c’est bon……..
Allez Viorel vas-y, elle attend que ça.
C’est bon, chef, elle est vraiment bonne Mme Valérie.
Aaaah…. Oui ………plus fort……. Défoncez-moi……….
Tu vois, elle est faite pour ça, elle aime le cul, alors on va lui en donner.
Ils s’activent tous les deux, ils ont réussi à se synchroniser, Valérie est un pantin entre les mains de ces deux brutes qui maintenant la ramonent comme des bucherons. Viorel bien cramponné à ses hanches, la pistonne maintenant bestialement, il veut l’amener à la jouissance, tandis que Pascal en profite pour lui téter les miches.
Elle jouit en poussant un cri que tout le quartier a du l’entendre.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii………………..
Je baisse le son de l’ordi, j’ai été surpris de la puissance de son orgasme, personne ne vient voir, je dois encore être seul dans les bureaux.
Les deux comparses qui la besognent, se libèrent au fond de ses orifices.
Ah putain que c’est bon, et avec toi, Viorel, j’étais serré comme dans un con de vierge.
Ah oui chef, merci, bon cul la patronne, merci.
Tu vois, il faut savoir les prendre et après elles font ce que tu veux, pas vrai belle-sœur !
Pfff…
Valérie ne répond pas, toujours allongée sur Pascal, elle récupère, l’orgasme a du être violent car elle semble épuisée. Pascal la prend dans ses bras et la bascule sur le canapé, il se dégage, lui met une claque sur la cuisse.
Allez, repose toi bien, ma jolie, on aura encore besoin de toi.
Tous les deux se rajustent, puis s’éloignent se dirigeant vers la caméra.
On va récompenser les hommes, ils travaillent durs sous ces chaleurs et en plus elle n’attend que ça, pas vrai Viorel ?
Hhumm………
Tu vois Viorel, tu voulais pour eux la maîtresse de maison, eh bien, il suffit de demander. Tu n’y croyais pas et pourtant rien de plus facile?
Oh, oui chef…
Souviens bien toi de ça pour les prochaines fois, la patronne, elle aime être dominée par de vrais hommes comme toi. N’hésitez pas à la considérer comme votre salope et elle sera toute à vous. Elle aime ça, la coquine.
En plus elle est gentille Mme Valérie.
N’oublie pas qu’elle a beaucoup apprécié jouer à la pute et qu’on l’a prenne à deux avec les autres ouvriers jusque à coté.
Ça coupe, j’en suis tout retourné mais j’ai aussi failli tout envoyer dans le caleçon tellement j’étais excité. Je savais que Valérie aimait le cul mais là elle m’a soufflé, Pascal lui a donc fait tourner la tête.
J’avais jusqu’à maintenant le doute, mais aujourd’hui j’en ai la preuve. Il connait mes faiblesses, celle de Valérie et s’en est servi pour la faire tomber dans les mailles de son filet et espère bien la faire replonger en se présentant dès cette semaine à la maison.
Afin d’en avoir le cœur nette, j’ai posé 2 jours de récupération, j’aurai ainsi la possibilité de pouvoir la suivre sans être obligé d’abandonner mon pistage pour me rendre au travail. Comme elle intervient dans des villas suffisamment isolés j’aurais tout à loisir de pouvoir me dissimuler pour avoir une idée plus précise de son emploi du temps et de ces activités.
16 :25, il est l’heure de reprendre la route, comme d’habitude les bouchons, je ne peux que repenser à Valérie et à son dévouement au service de ses employeurs, je comprends maintenant quand je l’accompagne au village que tout le monde la connait, l’embrasse des fois d’un peu trop près, je sais pourquoi elle est si populaire auprès des anciens. A chaque fois, je n’ai que des compliments sur elle :
« Vous avez de la chance, Monsieur, d’avoir une femme comme ça, toujours joyeuse, gentille et prête à rendre service. »
Je comprends maintenant plus précisément tous le sens qu’on peut donner à ces compliments pleins de sous-entendus.
Mesdames, en particulier, si vous avez apprécié, ou pas, n’hésitez pas à me laissez-moi vos commentaires, impressions, réactions… Merci.
Résumé de l’épisode précédent
Marc s’est rendu compte que Valérie ne s’est pas lâchée qu’avec les ouvriers mais que cela a dû commencer il y a bien longtemps.
Il a pu découvrir au fil des enregistrements vidéo qu’elle assure une prestation d’auxiliaire de vie bien supérieure à ce que l’on pourrait attendre d’elle.
Ces dernières révélations permettent à Marc de discerner le véritable visage d’une épouse qui remplit souvent un autre rôle qui va au-delà des espérances de ses employeurs.
Comble-t-elle ainsi un manque qu’il n’a pas détecté ? Est-ce pour trouver là un certain équilibre qu’il ne lui offre pas ?
Jusqu’à maintenant Marc n’avait remarqué aucun changement dans son comportement, ni supposé que Valérie puisse avoir cette sexualité débordante.
Sexualité débridée qui fait bien l’affaire de ses relations professionnelles masculines au nez et à la barbe de son cocu de mari.
12:00 : tous les collègues quittent le bureau pour aller manger, ayant envie d’être seul, je m’enferme dans mon bureau, je réfléchis et tente de trouver le moindre indice qui aurait pu me mettre la puce à l’oreille.
Je me souviens qu’il lui est arrivé qu’elle me parle de telle ou telle personne chez qui elle intervenait mais sans que cela ait particulièrement retenu mon attention.
Tout en essayant de retracer dans mon esprit ce qui aurait dû ou pu m’alerter, je suis de nouveau attiré par ces enregistrements qui m’ont déjà beaucoup appris. Chaque carte que j’ai réussi à copier a été enregistrée dans un répertoire.
J’en sélectionne le plus ancien. Pas de film mais des photos, elle a été mitraillée sous toutes les coutures.
Je commence à les regarder en détail et je me rends compte rapidement que ces clichés datent un peu. En fait, ils remontent à la première période de travaux, lors de la réalisation de l’extension à l’été 2013.
A l’époque, nous avions hébergé une équipe de 4 ouvriers, rapidement l’un d’entre eux était rentré au pays, et nous avions installé une caravane derrière la maison, uniquement pour y dormir, pour avoir un peu d’intimité, laissant la maison en chantier aux roumains. Seul la cuisine et la salle de bain sont toujours restées plus ou moins opérationnelles.
La première semaine a été consacrée aux démolitions, toiture et murs sur la dalle qui va recevoir le premier étage, puis vient ensuite le rez-de-chaussée qui sera complètement redistribué afin de le rendre plus fonctionnel, création d’ouvertures mais aussi rebouchage d’existantes qui demandent donc le démontage des menuiseries.
Le point final a été le démontage de la salle de bain qui à l’avenir sera partagée entre les WC et la cage d’escalier pour accéder au futur étage.
Afin de conserver sa fonction, une douche provisoire a été mise en place. La totalité des portes ont été démontées afin de les remplacer par des blocs portes neufs et surtout identiques avec ceux de l’étage. Une fois, les démolitions achevées, la maison ressemblait plus à une ruine avec tous ces trous béants un peu partout, ce qui n’etait pas pour me rassurer, mais les ouvriers étaient confiants.
La salle de bain se résume à une cabine de douche le reste ayant été démonté, l’intimité de la pièce est garantie par une cloison et une porte provisoire car pour les futurs escaliers, le mur de séparation avec le couloir a été abattu afin de permettre l’évacuation de l’ensemble des gravats encombrants le chantier dès le début.
Il y a toute une série de Valérie dans la salle de bain provisoire, se déshabillant, entrant, sortant, sous la douche, cela fait un drôle d’effet de voir ces photos.
Une autre série, elle est en train de soigner un des ouvriers blessé sur le haut du crane, assis sur une chaise, elle est debout à cheval sur sa jambe gauche, elle est encore en peignoir, une autre, on peut voir que discrètement il fait glisser le nœud du peignoir. Sur la suivante, le peignoir est entrouvert, il a son avant-bras posé sur sa jambe gauche et je pense la main juste à la bonne hauteur pour jouer avec son berlingot, Valérie ne semble pas réagir en tout cas pas violemment.
Encore dans la même série, cette fois, il a le bras droit qui doit être en train de caresser sa poitrine, elle semble apprécier et le laisse faire, les deux mains accrochées à la tête de l’ouvrier qui semble aller déjà beaucoup mieux.
Cela a donc du commencer ainsi ; je continue mon visionnage, toujours dans cette salle de bain de fortune mais cette fois accompagnée, l’ouvrier dont je ne rappelle plus le nom, la savonne sous la douche, les seins, le dos, les fesses, les jambes, l’entre-jambe en remontant jusqu’à la fourche, ça mousse puis la rince avec le pommeau, en insistant sur ses seins, puis jambes écartées le jet dirigé vers le haut sur le sexe, elle les deux mains en appui sur la paroi, et enfin le séchage avec une simple serviette et un pelotage en règle de toutes ses formes.
Sait elle qu’à ce moment là elle était la cible d’un paparazzi ?
Il a posé la serviette, et fait courir les mains sur tout son corps.
Derrière elle, il se saisit de ses seins en les remontant, passant les bouts de ses majeurs sur les tétines afin de les faire pointer, il l’embrasse dans le cou, elle bascule sa tête sur son épaule. Il la tient à sa merci, il laisse retomber le sein gauche et dirige sa main vers sa fourche, il commence à manipuler avec doigté car Valérie a la tête rejetée en arrière et les yeux fermés, les tétons érigés, il l’entraine vers une jouissance certaine.
A genou, elle a en main son instrument, en proportion par rapport à ses mains je dirai qu’il est plutôt gâté par la nature. Pas encore en pleine érection et pourtant une dimension plus que respectable (17/18 cm) elle est en approche, puis le gland aux bords des lèvres, la langue vient de laper le pré sperme qui s’écoule du méat.
Valérie en pleine action, les joues complètement déformées par la taille de la verge, elle va surement le faire venir.
Il vient de se vider, elle en a aux commissures des lèvres et ça coule sur sa poitrine, il en avait une sacrée quantité à évacuer et consistante en plus, d’autant que la connaissant elle ne rechigne pas à la tâche.
Elle ramasse du bout des doigts et se les lèche pour ne pas en perdre une goutte. J’imagine qu’il ne s’est pas contenté de se faire sucer. Sait-elle qu’un complice prend des photos ? Probablement vu les prises de vue.
Peut-être vais-je en trouver la preuve dans les autres clichés.
Je ne tarde pas à découvrir le complice qui apparait sur les clichés suivants, il a pris la place de l’autre et c’est à son tour de faire la toilette de Valérie. Elle savait donc qu’elle était en train d’exciter un deuxième mec qui allait ensuite la baiser.
Il a prévu d’être plus actif car il est en tenue d’Adam. Il reproduit quasiment le même rituel puis lui aussi rentre dans la douche et cette fois c’est Valérie qui s’en occupe. Elle insiste particulièrement, y mettant les 2 mains, sur l’hygiène du service trois pièces qu’on distingue à peine tellement il y a de mousse.
Une fois bien rincé, il sort et se laisse sécher, elle accroche la serviette à la paroi de douche. Derrière elle, bien calé entre ses fesses il se saisit de ses seins qu’il malaxe comme pour en faire sortir le lait. Suivante, il l’a faite retourner et lui est agenouillé à s’occuper de son mont de vénus qu’il embrasse délicatement. Suivante, il lui ouvre doucement les jambes pour accéder à sa pachole qu’il lape à grand coup de bavette qu’il a pointu et très développée. Il lui écarte les lèvres pour agacer le clito, elle doit apprécier car elle lui maintient la tête à deux mains contre sa chatoune.
Elle est chauffée à blanc, il s’est redressé, passé derrière elle, la queue qui s’active contre sa vulve, elle se saisit du manche et le présente à l’entrée de sa caverne ruisselante. Elle prend appui sur le mur, il tient ses hanches et semble la labourer à grand coup d’aller-retour.
Ça en fait déjà deux qui ont réussi à profiter de ces charmes.
Je continue mes investigations, il est déjà 12:45, il me reste encore ¾ d’heure.
Tiens un petit film, ça se passe dans l’auvent de la caravane, pratiquement en plein air.
Valérie de dos vient de se débarrasser de sa robe rouge boutonnée devant.
Un homme lui fait face, il a découvert ses fesses en faisant glisser sa culotte dans la raie des fesses, pour mieux exposer son cul à la camera.
Elle a glissé ses mains dans son slip et le branle vigoureusement. L'homme la retourne rapidement sans me laisser de temps de le distinguer.
Elle est maintenant de face, lui collé à son dos.
Je réalise qu'elle porte un ensemble, soutien-gorge, culotte et porte-jarretelles le tout accompagné de bas noirs.
Je ne connais pas ces dessous, d’ailleurs elle n’a jamais voulu que je lui offre ce genre d’ensemble.
Je ne peux toujours que deviner la silhouette derrière elle, l'homme lui a libéré les seins et les masse voluptueusement en agaçant ses tétons.
Qu’ont-ils tous avec sa poitrine, c’est vrai qu’elle est superbe et en plus très sensible ce qui je me doute doit leur faciliter la tache car une fois sous pression, Valérie devient beaucoup plus avenante et succombe très rapidement à ce genre de torture. Elle semble en transe comme droguée.
Je n'arrive pas à bien distinguer.
Elle continue de tripoter la queue et les couilles de l'homme derrière elle sans cesser d'onduler, tournant son cul dans tous les sens comme une roue.
Vas y cocotte, laisses mes joujoux et occupes toi de ta chatte, c'est bon hein de se caresser la chatte ?
Ouiiiii... Ouaaah…C’est bon !!!
Oui... baisses ta culotte, c'est mieux ainsi. Tu as les tétons qui pointent, tu aimes te faire caresser, t'exhiber, tu es une belle salope, hein, Valérie ?
Ohhhhh…..Encore…… Oui..
Ça t'excite hein, de te faire tripoter dehors en plein chantier, montre tes gros nichons et ton barbu !
Oh……Pascal….arrête…non… oui…..plus fort.
Allez dis-le que ça t'excite, de faire ça habillée comme une pute avec les ouvriers juste à côté, allez dis-le !
Je viens de reconnaître la voix de l'homme derrière elle.
J’en prends plein les yeux, la silhouette, c’est Pascal, mon frère qui est en train de faire partir Valérie, direction l’extase suprême.
Oh ouiiii… ça m’exciteeeee…Qu’est-ce qui t’excite ?
Me comporter comme une pute avec les ouvriers juste à côté.
Tout en parlant, Il vient de lui enfoncer deux doigts dans la bouche pour jouer avec sa langue et deux autres dans l’anus
Elle repasse les mains dans le dos pour se saisir de son membre.
Va t’asseoir, cochonne, t’aimes ça ma grosse queue, ça te changes, hein !
Il la pousse vers le convertible (et oui c’est celui que nous avons par la suite mis dans la chambre de Lucian cf. fin de chantier 1) et elle s’assoie pour se retrouver nez à nez avec une belle queue de taille plus qu’honorable (vous me direz, ma référence n’est pas à prendre en exemple).
A la distribution, il a reçu le rab qu’ils ont oublié de me donner, on dit souvent que c’est celui qui ressemble le plus à mon père, de ce coté effectivement il n’a rien perdu, la longueur passe encore mais l’épaisseur c’est carrément un colosse.
Allez, vas-y, suces moi, ma belle sœur adorée, on m’a dit que tu étais une sacrée suceuse.
Soudain, elle semble avoir un remord, l’excitation retombée, réalise-t-elle ce qu’elle commet ?
Mais, Hé, Marc ! Je ne peux pas ….
Et avec Viorel, Costel, Mitica et Sandu, tu pouvais alors dépêches-toi.
Viorel m’a eue par surprise et après ils m’ont piégée…
Ce n’est pas ce qu’ils m’ont dit. Il est clair que tu aimes les belles bites et que celle de Marc ne te suffit pas, c’est vrai que le pauvre n’a pas été gâté, allez avale…
Il s’avance et lui remet la main sur la colonne, de nouveaux elle a le regard qui brille, il a vaincu le dernier rempart.
Elle n’en fait pas le tour avec sa main qui n’est pourtant pas du tout petite pour une femme. Je comprends maintenant mieux son empressement et son excuse pour revenir cette année, d’autant qu’il a dû être mis au courant par sa bande de joyeux drille sur l’accueil toujours très chaleureux de Valérie.
Je suis fébrile face à ces images et pourtant je ne peux m’empêcher d’être en érection.
Elle le prend en bouche, enfin ce qu’elle peut. Au bout d’un moment, ne voulant pas jouir comme cela, il la fait se relever et mettre à genoux sur le canapé.
Allez, cambre toi bien et lève bien haut ton beau cul, tu vas voir, il va te faire gueuler ton beauf.
Il s’approche et la flagelle à coup de queue sur les fesses, son petit chaton, elle glousse, il la tient, elle est à sa merci.
Oh oui…vas-y….. baise-moi fort….
Il présente son gland entre les lèvres, il s’amuse à juste l’entrer et le sortir, vu la taille, ses lèvres restent entrouvertes après chaque intrusion, la sentant sûrement prête il la prend par les hanches et s’enfonce d’une traite jusqu’aux couilles.
Tiens prends ça, c’est de la bonne hein !!!
Ouhahh…… tu me remplis……
Pascal s’active, il a remonté les mains vers sa poitrine, et fait rouler ses tétons érigés entre ses doigts.
Oh que c’est bon….. t’es gros…. je vais……jouir….
Attend ma belle, viens là.
Il s’assoit sur le canapé et la fait venir face à lui, elle s’empale de nouveau et c’est elle maintenant qui s’active.
Viorel ne reste pas planté à nous regarder, tu ne vois pas qu’elle est affamée !!!!…….
J’arrive chef
Le chef d’équipe entre dans le champ de la caméra, tombe pantalon et slip et monte sur le canapé pour se retrouver au niveau de la bouche de Valérie.
Déchainée elle se saisit de son membre en érection et l’approche de ses lèvres, elle a du mal à coordonner ses deux activité, Pascal, lui, vient en aide en plaçant une main sous chaque fesses, et reprend le pilonnage de plus belle en la faisant coulisser sur son gros vier.
Il en profite pour venir chatouiller la rosette du bout des doigts qui petit à petit pénètre, une phalange a déjà disparu.
Elle est bonne la patronne.
Elle suce trop bien !
Allez, viens, j’ai préparé le passage.
Viorel descend du canapé, Pascal attire Valérie tout contre lui.
Viens la ma belle, tu vas passer un moment merveilleux ! A toi de jouer Viorel.
Doucement, tu es tellement gros…
Viorel pointe son membre vers la cible et appuie doucement le gland sur la fleur qui s’ouvre sous la poussée. Il marque un temps d’arrêt puis reprend sa progression et reste bien au fond sans bouger afin que Valérie ait le temps de s’habituer à cette présence.
Alors, c’est bon deux belles bites qui te remplissent, t’aime ça, hein !!!
Doucement….. Oh, oui…… c’est bon……..
Allez Viorel vas-y, elle attend que ça.
C’est bon, chef, elle est vraiment bonne Mme Valérie.
Aaaah…. Oui ………plus fort……. Défoncez-moi……….
Tu vois, elle est faite pour ça, elle aime le cul, alors on va lui en donner.
Ils s’activent tous les deux, ils ont réussi à se synchroniser, Valérie est un pantin entre les mains de ces deux brutes qui maintenant la ramonent comme des bucherons. Viorel bien cramponné à ses hanches, la pistonne maintenant bestialement, il veut l’amener à la jouissance, tandis que Pascal en profite pour lui téter les miches.
Elle jouit en poussant un cri que tout le quartier a du l’entendre.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii………………..
Je baisse le son de l’ordi, j’ai été surpris de la puissance de son orgasme, personne ne vient voir, je dois encore être seul dans les bureaux.
Les deux comparses qui la besognent, se libèrent au fond de ses orifices.
Ah putain que c’est bon, et avec toi, Viorel, j’étais serré comme dans un con de vierge.
Ah oui chef, merci, bon cul la patronne, merci.
Tu vois, il faut savoir les prendre et après elles font ce que tu veux, pas vrai belle-sœur !
Pfff…
Valérie ne répond pas, toujours allongée sur Pascal, elle récupère, l’orgasme a du être violent car elle semble épuisée. Pascal la prend dans ses bras et la bascule sur le canapé, il se dégage, lui met une claque sur la cuisse.
Allez, repose toi bien, ma jolie, on aura encore besoin de toi.
Tous les deux se rajustent, puis s’éloignent se dirigeant vers la caméra.
On va récompenser les hommes, ils travaillent durs sous ces chaleurs et en plus elle n’attend que ça, pas vrai Viorel ?
Hhumm………
Tu vois Viorel, tu voulais pour eux la maîtresse de maison, eh bien, il suffit de demander. Tu n’y croyais pas et pourtant rien de plus facile?
Oh, oui chef…
Souviens bien toi de ça pour les prochaines fois, la patronne, elle aime être dominée par de vrais hommes comme toi. N’hésitez pas à la considérer comme votre salope et elle sera toute à vous. Elle aime ça, la coquine.
En plus elle est gentille Mme Valérie.
N’oublie pas qu’elle a beaucoup apprécié jouer à la pute et qu’on l’a prenne à deux avec les autres ouvriers jusque à coté.
Ça coupe, j’en suis tout retourné mais j’ai aussi failli tout envoyer dans le caleçon tellement j’étais excité. Je savais que Valérie aimait le cul mais là elle m’a soufflé, Pascal lui a donc fait tourner la tête.
J’avais jusqu’à maintenant le doute, mais aujourd’hui j’en ai la preuve. Il connait mes faiblesses, celle de Valérie et s’en est servi pour la faire tomber dans les mailles de son filet et espère bien la faire replonger en se présentant dès cette semaine à la maison.
Afin d’en avoir le cœur nette, j’ai posé 2 jours de récupération, j’aurai ainsi la possibilité de pouvoir la suivre sans être obligé d’abandonner mon pistage pour me rendre au travail. Comme elle intervient dans des villas suffisamment isolés j’aurais tout à loisir de pouvoir me dissimuler pour avoir une idée plus précise de son emploi du temps et de ces activités.
16 :25, il est l’heure de reprendre la route, comme d’habitude les bouchons, je ne peux que repenser à Valérie et à son dévouement au service de ses employeurs, je comprends maintenant quand je l’accompagne au village que tout le monde la connait, l’embrasse des fois d’un peu trop près, je sais pourquoi elle est si populaire auprès des anciens. A chaque fois, je n’ai que des compliments sur elle :
« Vous avez de la chance, Monsieur, d’avoir une femme comme ça, toujours joyeuse, gentille et prête à rendre service. »
Je comprends maintenant plus précisément tous le sens qu’on peut donner à ces compliments pleins de sous-entendus.
Mesdames, en particulier, si vous avez apprécié, ou pas, n’hésitez pas à me laissez-moi vos commentaires, impressions, réactions… Merci.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
une histoire vite oubliée tant le cocu se complet dans sa cocutide ! en plus le style est plutôt moyen
Et alors le mec a viré sa femme et son frère !!!
Sans intérêt et tellement habituel du cocu qui se decouvre heureux de l’être