Florence décuvre le libertinage 3/9 tout le monde en profite - histoire érotique

où tout le monde trouve son plaisirDe retour à la maison, avant qu’elle ne retrouve Jacques, nous avons fait un point rapide, sur son ressenti lors du club et de ses envies futures. Mais aussi de nos conditions vis-à-vis de jacques car nous voulions respecter ce principe : que les deux soient au même niveau.
Lors du retour, Florence avait avoué avoir pris beaucoup de plaisir à se faire prendre par un inconnu et qu’elle avait envie de connaitre comme Nini une relation avec plusieurs, même si cela lui faisait un peu peur, en espérant que je serais présent pour l’aider. Je l’ai rassurée tout en lui disant que non seulement je serais présent, mais qu’en plus je choisirais les autres ; rassurée, elle nous a embrassé avant de rejoindre son homme.
Nini est revenue sur nos projets, me rappelant que nous avions prévus que Jacques puisse la posséder, avec ou sans ma présence, mais aussi d’organiser une soirée, à la demande de Florence, où un ami présent par surprise, pourrait la prendre devant Jacques. S’il l’avait déjà vu prise par moi, il ne savait pas encore qu’elle avait eu des partenaires sans lui, et elle voulait lui faire comprendre ses envies.
L’occasion s’est présentée lors de mon anniversaire ; nous avions organisé un buffet dinatoire bien arrosé par mes soins ; musique, champagne, bonne ambiance et rapidement lors de nos danses, les caresses sont apparues, aussi bien les miennes sur Florence que celles de Jacques, très excité, sur Nini. Lorsque Marc, un amant de Nini, que nous avions mis dans la confidence, est arrivé, il s’est vite intégré à nos jeux de mains, passant innocemment de Nini à Florence, sans que Jacques semble s’en offusquer. Pour moi, réduit volontairement pour l’instant au rôle de voyeur, j’attendais le moment d’entrer en jeux.
Alors que Marc dansait avec nini, j’ai invité florence pour un slow, vite langoureux ; les corsages se sont vite entrouverts, pour des caresses de plus en plus hardies ; j’ai encouragé Jacques à se joindre à Marc et il ne s’est pas fait prié ; enlacée par ses deux amants, elle s’est vite livrée à leurs mains avides ;très rapidement, c’est totalement nue qu’elle s’est offerte à leurs caresses ; Florence, dans mes bras s’est vite rendue compte du petit jeu en cours, et sans que je lui demande , elle a fait tomber sa robe, apparaissant en soutien-gorge et string, sous le regard , sans réaction de son homme ; poursuivant la manœuvre, la faisant pivoter devant eux, je l’ai délesté des sous-vêtements, la découvrant dans toute sa nudité à notre ami ; alors que les slows s’enchainaient, Jacques a investi la chatte de nini avec ses doigts, avant de l’allonger sur la moquette ; l’envie de la posseder était trop forte, plus rien ne compter. J’en ai profité pour faire signe à Marc de nous rejoindre ;Enserrée entre nous eux, après un peu d’hésitation, elle a commencé à caresser nos queues, moi devant, marc derrière ; m’embrassant amoureusement elle a murmuré à mon oreille « j’ai compris que tu a organisé cette soirée, pour moi ; j’ai très envie de me faire prendre par Marc, mais avant fait moi jouir ; ensuite tu m’offriras et je me donnerais totalement ; j’espère qu’ainsi, Jacques va pouvoir enfin comprendre mes envies de connaitre d’autres hommes »En effet, après que je lui ai dilaté la chatte, la faisant jouir, alors qu’à coté de nous j’entendais nini, elle aussi jouir sous les assauts de Jacques, je l’ai offerte à marc.
Quand son membre, moins long que le mien, mais plus épais lui a ouvert les plis de son con, elle n’a pu retenir un oh de surprise, avant qu’il ne commence à la pilonner fougueusement ; marc est un amant puissant et performant, faisant jouir ses conquétes plusieurs fois ; Jacques a pu rapidement constater le plaisir de sa femme avec un inconnu et ce devant lui. Alternant nos possessions, aussi bien vaginales que culières nous avons fait jouir cette petite coquine un long moment, car cela nous permettait de récupérer ; quant à Jacques, très excité, il avait déjà engrossé sa partenaire, et les deux nous regardaient, lui le regard figé, elle un grand sourire aux lèvres.
Alors que j’étais sur le dos, elle s’est plantée sur mon mat dressé, se plaquant contre mon corps, me dévorant de baisers. Maintenant elle savait qu’elle offrait une vue entière sur son sillon et le résultat ne s’est pas fait attendre ; graissant sa queue de nos sécrétions, marc a présente son gland à l’entrée du sanctuaire, la pénétrant doucement ; d’un coup de rein, elle a reculé son fessier s’enfonçant totalement le vit en elle ; malgré son envie, le passage de l’anneau a déclenché un cri de douleur, vite étouffé par des gémissements de plaisirs ; elle aime cela et cela se voit ; dilatée par nos deux queues, elle n’a pas tardé à faire savoir sa jouissance et à réclamer « défoncez moi, je vous appartiens, videz-vous en moi, faites de moi votre femelle » elle n’a pas pu en dire plus car Marc a recommencé à la pourfendre profondément, remplissant sans aucun doute la totalité de ses entrailles ; pour moi s’en était trop et regardant fixement jacques « je vais jouir, elle va être pleine de notre semence putain que c’est bon » ; alors que je me retirais de sa chatte engluée, marc s’est à son tour vidé en elle « oh oui c’est bon je sens leurs jets me remplir, oh oui encore »Alors que Marc venait de nous quitter, après avoir possédé deux fois florence, nous récupérions, Nini enlacée dans les bras de Jacques et Florence dans les miens ; l’ambiance était un peu tendue car lui n’avait rien dit après ce qu’il venait de voir.
S’écartant de mes bras et se plaçant assise devant lui, les cuisses écartelées, dévoilant ainsi sa chatte d’où s’écoulait encore nos semences, elle s’est adressée à lui :« ce soir tu viens de me voir m’offrir sans réserve à un inconnu ; Jean et Nicole m’ont ouvert le chemin vers cette liberté, liberté que toi tu avais déjà prise en baisant tes conquètes , ce que ce ne te reproche pas, bien au contraire ; tu as compris que je me suis offerte à eux et que je suis devenue leurs maitresses et que je compte le rester ; si Nicole le veut, tu pourras lui appartenir. Par contre, j’ai envie de connaitre d’autres hommes, me faire prendre, pour mon plaisir et pour le tien si tu le veux ; tu as compris que c’est le jeu de nos amis. Fais comme eux, offres moi, donnes moi la possibilité de me faire jouir sans compter ; jusqu’à maintenant je suis passée pour prude et coincée ; dorénavant c’est fini et je compte sur toi pour en profiter ; coquine je suis devenue, coquine et même petite salope je reste » le regard brillant, elle s’est lovée contre eux, les embrassant à tour de rôle et me tendant la main « viens près de moi, j’en ai besoin »Puis sagement, nous avons regagné nos chambres.
Tard dans la matinée, alors que les événements de la nuit me donnaient la trique, Nini en se réveillant, a constaté le mat dressé et sans hésiter , elle s’est planté dessus ;mes mains ont attrapé ses seins, triturant les tétons ; elle aime ainsi se faire jouir ainsi et le résultat est souvent une jouissance bruyante ce fut le cas ; alors que je l’avais retournée, en travers du lit, les jambes sur mes épaules, pilonnant fougueusement sa petite chatte écartelée, soudainement Jacques , alerté sans aucun doute par les cris , est apparu dans notre chambre, la queue tendue. Sans hésiter, nini a entrepris de le sucer, ce qu’elle aime lui faire ; reposant ses jambes , je me suis allongé sur elle, le visage contre le sien ; sans plus réfléchir, j’ai sucé le membre offert à sa bouche ; Bandée, le gland décalotté, cette queue m’attirait ;il a voulu se retirer, mais Nini l’en a empêché, sachant mes envies envers les hommes ; finalement nous nous sommes partagés le vit, sans plus de résistance ; j’avais dans ma bouche les odeurs d’une pénétration récente ; il avait du prendre florence peu de temps avant et j’aimais cela.
Soudain Nini lui dit « Jean aime se faire prendre et je te l’offre comme il a offert ta petite femme à Marc, profite s’en ; défonces lui, il va aimer ; Manifestement il hésitait, alors que mon vit dans la chatte tressautait de plaisir. Je savais que s’il en prenait la décision, nini en ressentirait les à-coups, car le matin, je suis lent à juter et que je peux bander très longtemps. Finalement, il s’est glissé derrière moi, hésitant, son vit glissant sur mon sillon ; pour l’encourager nini lui a rappelé mes saillies de la nuit, et même mes sodomies de sa petite femme « vas-y défonces le comme il a défoncé florence » fais-le crier quand tu vas le perforer, fait le jouir quand tu te rependras dans son ventre ; il aime être une petite salope, il aime être femme alors profite s’en »Enfin son gland s’est infiltré entre mes fesses avant de pousser sur l’anneau encre peu dilaté ; j’aime encaisser un chibre en moi et généralement, il s’ouvre assez rapidement ; mais là il n’en a pas eu le temps. La douleur violente a traversé mes entrailles, heureusement en s’estompant assez vite, car, heureux sans aucun doute de pouvoir ainsi se venger, ses percussions ont été puissantes, sa queue trouant mes entrailles, percutant à chaque coup de butoir ma prostate. A chaque coup dans mon fondement, nini encaissait l’à-coup dans sa chatte, lui percutant ainsi le fond de sa matrice. Et c’est finalement tous les deux que nous avons jouis, bruyamment, profondément, avant qu’à son tour, il se vide dans mon ventre, déclenchant à nouveau un plaisir évident. Alors que nous nos séparions, nous avons constaté que Florence nous regardait, accoudée au chambranle de la porte, se masturbant allègrement.
Alors que nous allions à la salle de bain, pour une douche réparatrice, nous les avons laissées ensembles, sans aucun doute pour leur plus grand plaisir, car rapidement leurs cris réciproques de jouissance se sont répandus dans la maison. Un café réparateur de notre début de journée et c’est tranquillement que j’ai demandé à Jacques son ressenti sur les événements ; un temps de réflexion, puis sans hésitation, il s’est exprimé : « Tout d’abord, je dois reconnaitre que j’ai pris beaucoup de plaisir à te sodomiser, d’abord pour me venger, je le reconnais, ensuite pour le plaisir ; j’ai eu étant jeune des rapports avec un copain ; cela m’a rappelé que moi aussi j’aimais bien cela ; si l’envie te convient, j’aimerais bien la renouveler. J’ai aimé que tu me suces et je pense que je te rendrais la pareille et pourquoi pas plus. Quand à hier soir, je dois reconnaitre qu’au début, j’ai mal pris la présence de Marc auprès de Florence, mais Nini a su me détendre, jusqu’au moment où vous l’avez pris en double ; avec moi, elle n’aime pas la sodomie , alors qu’avec vous , elle les a encaissée avec manifestement beaucoup de plaisir ; par contre j’ai été très surpris de ses propos ensuite ; manifestement, vous lui avez fait révéler ses fantasmes, ce que moi, je n’avais pu le faire ; j’ai compris depuis longtemps que vous êtiez libertins ; vous lui avait transmis cette situation ; pour moi, je suis d’accord ; je sais qu’elle est votre maitresse, mais cela ne me gène pas.Comme toi, j’ai envie de la voir jouir devant moi avec un ou plusieurs hommes ; c‘est ce que tu appelles candaulisme, et j’avoue que cela me plait beaucoup ; je compte sur vous pour m’aider dans cette démarche. »nous venions de nous faire un couple à notre image, avec qui nous avons par la suite, beaucoup profité, avec plusieurs rebondissements.
A suivre