La découverte de Florence 6/9
Récit érotique écrit par Ling79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 32 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Ling79 ont reçu un total de 309 566 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 400 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La découverte de Florence 6/9
FlorenceDepuis deux ans, nous vivons notre vie, souvent avec la participation de Jacques et Florence, qui sont tous les deux nos amants ; aussi bien en hétéro qu’en tant que couple entièrement bi ; nous faisons l’amour aussi bien avec elle qu’avec lui et ce depuis la soirée où florence a avoué à son homme, ses envies et ses fantasmes, après s’être fait prendre d’abord par un inconnu pour eux, puis ensuite en double devant son lui ,par Marc et par moi. Le lendemain matin, alors que je faisais l’amour ma femme, il est arrivé et nini lui a demandé de me sodomiser, ce qu’il a fait vigoureusement. Depuis ce jour, nous avons de très fréquents rapports étant voisins et il faut le reconnaitre amoureux les uns des autres. Avec cependant la précaution que rien ne soit perceptible par nos enfants, que nous recevions indistinctement les uns chez les autres. Nicole avait un fils, moi deux filles , Jacques un garçon et une fille, enfants d’un premier mariage et florence, deux garçons, eux aussi issu de son premier mari ; tout ce monde ayant sa propre famille depuis de nombreuses années. Pour notre intimité, le portail était toujours fermé, ce qui évitait les entrées imprévues, mais il y a toujours des imprévus.
Nous avions décidé de passer le week-end ensembles, ce qui signifie que très souvent nous vivions nus, prenant notre plaisir, sans tenir compte du temps ; Florence étant partie faire des courses, Nini a pris sa douche, vite rejointe par nous deux ; elle ne sait pas résister à deux bites bien bandées, et rapidement nous nous sommes retrouvés dans la chambre, la prenant à tour de rôle, pour son plus grand plaisir ; pour finir par une double vaginale, ce qu’elle aime par-dessus tout ; rapidement ses cris se sont répandus dans la chambre et sans aucun doute dans la maison, les portes n’étant pas fermées et ses jouissance très expréssives .
Alors que nous venions de la faire jouir plusieurs fois, nous avons découvert la belle-fille de jacques dans l’encadrement de la porte nous découvrant ainsi en bonne séance de baise ; j’avais bien entendu une voiture, mais pensant au retour de florence, je ne m’étais pas inquiété ; en réalité, florence avait oublié de fermer le portail en partant et Béatrice avait ainsi pu rentrer sans qu’on l’entende ; par contre elle en entendant le bruit à l’étage, était montée directement. Nous surprenant dans nos ébats, qui on s’en doute se sont vite arrêtées, nini se réfugiant dans la salle de bain et moi descendant pour prévenir florence à son retour.
Peu de temps après le père et la belle-fille sont descendus, sans à priori de tension entre eux ; pour nous, difficile, mais c’est elle qui a rapidement détendue l’atmosphère :« je connais Jacques, pour ses nombreuses fredaines, tout au long de sa vie et quand j’ai vu votre complicité au cours de ses dernières années, il m’a paru évident que vous étiez des libertins, d’autant plus que parfois vous vous laissiez aller à des gestes furtifs, le plus souvent dans la piscine ; alors que nous en avions discuté avec Bruno ( son mari), celui-ci m’avait avoué que Florence ne lui déplairait pas, pas plus d’ailleurs que son amie, et il m’avait fait dire, sans beaucoup de difficulté que l’attrait des deux hommes ne me laissait pas indifférente . Mais de là à vous surprendre, c’était un pur fantasme, qui se réalise aujourd’hui »Après ce discours, on ne peut plus franc, tout le monde reste silencieux, assis soit sur les fauteuils comme Jacques, Béatrice et moi, soit sur le canapé, recevant Nini et Florence. Finalement c’est moi qui provoque Béatrice, alors que florence, silencieuse et tendue, se réfugie dans les bras de Nicole.
« Si je comprends bien, vous aussi vous êtes libertins, ou du moins vos avez envie de le devenir « « Non nous ne le sommes pas, mais j’avoue en vous voyant que cela me donne envie et je suis sûr qu’il en serait de même pour Bruno ».
Je regarde Jacques et je vois qu’il comprend où je veux en venir ; d’un signe de tête, il me donne son accord ; me relevant, je m’approche d’elle, derrière son dos , mes mains se placent sur le dessus de ses épaules ; à ce contact, je la sens trembler, mais je continue et doucement je lui masse les épaules, descendant parfois à la limite de sa poitrine ; elle ne bronche pas « Vous aimez ? » pas de réponse et prenant ce silence pour un non, je retire mes mains ; elle réagit aussitôt : « non continuez s’il vous plait » je repose mes mains sur elle ; il est visible que cela excite Jacques car son survêtement qu’il a enfilé rapidement se tend au niveau de sa queue.
« Vous avez envie que je continue ? » Un petit oui fuse entre ses lèvres ; elle a incliné sa tête en arrière, les yeux fermés et j’en profite pour descendre mes mains jusqu’à sa poitrine, dégrafant les boutons de son corsage ; sa respiration s’est accélérée, la bouche entrouverte ; doucement je me penche et dépose un baiser sur ses lèvres ; elle ne se rebiffe pas. Ma langue force un peu le passage pour un baiser plus fougueux, baiser qu’elle me rend aussitôt. Repassant devant elle, je lui ôte son corsage, laissant découvrir un joli soutien-gorge, bien gonflé et tendu par des pointes qui jaillissent sous le fin voile ; écartant le rebord, je dégage son téton pour le sucer ; au contact de mes lèvres, elle agrippe ma tête et un ‘’oh oui ‘’sort de ses lèvres. Son acceptation pour la suite étant évidente, je la redresse et devant Jacques et les deux filles, je la déshabille ; la jupe tombe au sol, découvrant un tanga, déjà enserré entre ses petites lèvres, puis provoquant, je lui ordonne de quitter son soutien-gorge et son tanga ; derrière moi, les événements se précipitent car devant le tableau, les deux femmes s’embrassent alors que Jacques, tout en nous regardant, s’est rapproché des deux femmes et a investi plusieurs doigts dans la chatte de Nicole ;Après un regard perdu vers eux, mais devant ma détermination, elle s’exécute et découvre deux superbes seins, les pointes gonflées et un petit ventre tout nu, laissant apparaitre le début de son minou, d’où il est facile de voir perler quelques gouttes de cyprine. Lui écartant les jambes, ma main s’empare de son ventre et deux doigts s’infiltrent entre les lèvres. Lorsque je commence à la doigter, elle se cambre, enfonçant encore plus mes doigts qui la fouillent ; ses gémissements accompagnent ceux des deux filles, couchées en 69 sur la moquette, alors que Jacques la queue bandée, fiste doucement Nicole ; Je m’arrête soudainement, provoquant un vide dans la chatte baveuse et elle réagit aussitôt « oh non encore s‘il te plait » me penchant à son oreille : « tu aimerais que ce soit Jacques qui le fasse ? » « Je t’en prie fais-moi jouir, mon ventre me brule » « tu ne m’as pas répondu, tu veux que jacques vienne à ma place ? » mes dernières paroles sont assez fortes et tout le monde a pu les entendre ; lui s’est arrêté de fister Nicole ; la queue bandée, il me regarde un peu surpris , mais quand sa belle- fille me répond « oh oui, depuis longtemps j’ai envie de lui « il s’écarte des filles et vient auprès de nous ; pour lui l’envie est trop forte et l’allongeant sur le canapé, il la perfore , d’une traite ; sa queue la penetre facilement tellement la chatte baigne dans sa cyprine ; quand la queue la perfore, un cri s’échappe de sa gorge, comme une délivrance et s’accrochant à ses hanches , elle s’enfonce un peu plus .L’accouplement est furieux, tous les deux sans aucun doute excités par cet acte irréel. Nous ne comptons plus pour eux mais les gémissements et ses demandes nous excitent particulièrement.
Alors que je fourrage intensément la chatte de florence, encore sous l’émotion de voir son homme baiser sa belle- fille, Nicole s’approche du couple et ses lèvres viennent se poser sur celle de Béatrice ; surprise au départ, elle ne se retire pas, bien au contraire, sa langue répond en pénétrant la bouche offerte. Jacques a compris l’envie de Nicole , et se retirant du con de sa belle-fille, il l’étend sur la moquette , avant à nouveau de lui enfiler son chibre sans ménagement , lui relevant les cuisses sur ses épaules ; écartelée, elle subit les a coups, alors que Nicole vient placer sa chatte qu’elle branle, au-dessus du visage de Bea ; descendant son bassin, elle dépose son minou sur le visage ; très vite, elle gémit, Bea doit bien lui sucer la moule , car son visage est couvert de cyprine, signe de la jouissance de sa coquine au-dessus d’elle ; à coté deux, florence s’offre avec beaucoup plus d’ardeur, répondant à mes coups de butoir par de nombreux et puissants gémissements ; ses yeux ne quittent pas le trio à coté de nous et soudain , elle part, une jouissance fulgurante la traverse , son corps parcouru de soubresauts s’empale encore plus sur moi, puis un long cri ; de puissants jets de cyprine viennent jaillir autour de mon sexe. Pour moi, c’est le pied et mes jets lui remplissent la matrice, ce qu’elle accompagne par « oh oui, remplit moi, je suis à toi oouiiiiiii ». puis plus rien ; elle vient de perdre motion de son entourage.
Notre trio, lui aussi vient de jouir et Jacques sauvagement pilonne Beatrice après l’avoir engrossé, alors que le visage de Nicole traduit son plaisir, visible sur le visage de Béa qui vient de laper son émission importante de cyprine ; après un moment de calme, Jacques prend sa belle-fille par la main et monte dans la chambre d’amis ; le sperme qui s’écoule le long de ses cuisses prouvent s’il était nécessaire que les jets de son beau- père l’ont bien fécondée.
Nous nous retrouvons tous les trois, plein de satisfaction ; finalement, c’est Florence qui prend la parole et nous traduit son étonnement de voir ce rapport hors normes dit-elle, bien que finalement elle y ait pris du plaisir à les voir ; et assure -t -elle, aucun sentiment de jalousie, sans doute en raison de nos relations. Puis après un petit silence sans doute pour analyser la situation, enlacée dans les bras de Nicole, elle lui demande : et toi, cela ne t’a pas choquée ? l’aurais-tu fait avec ton fils, si l’occasion s’était présentée comme aujourd’hui ? » Nous nous regardant, puis l’embrasant sensuellement elle lui répond :« Je t’ai déjà avoué que j’ai été la maitresse du fils de Jean, pendant plusieurs mois et de plus, cela fait presqu’un an que Florian me possède à chaque fois que nous nous rencontrons ; j’ai aussi fait l’amour avec Lindsay et Jean les a possédés tous les deux.
pour être totalement honnête, nous avons fait une journée chez nos amis où nous avons partouzé à trois couples, sans aucune limite. Et comme ici, je me suis fait féconder plusieurs fois par Florian, pour mon plus grand bonheur et celui de Jean »Florence reste un moment silencieuse, blottie dans ses bras, surprise sans aucun doute, puis avoue qu’elle aurait beaucoup de mal à le faire avec son fils, bien que souvent dans leur piscine, elle avait pu , étant naturiste, apprécier le sexe de son fils, lors de ses bains ; elle semble réveuse. Puis à nouveau elle nous confie que par contre, elle ne voit pas d’inconvénient à s’offrir à son gendre, et même à sa belle-fille ; là-haut , nos deux amants ont repris le combat, et manifestement pour leur plus grand bonheur ; déposant un baiser sur les lèvres de Florence, » je pense qu’il est temps pour toi de les rejoindre ,profite s’en ; à plus tard »
Nous avions décidé de passer le week-end ensembles, ce qui signifie que très souvent nous vivions nus, prenant notre plaisir, sans tenir compte du temps ; Florence étant partie faire des courses, Nini a pris sa douche, vite rejointe par nous deux ; elle ne sait pas résister à deux bites bien bandées, et rapidement nous nous sommes retrouvés dans la chambre, la prenant à tour de rôle, pour son plus grand plaisir ; pour finir par une double vaginale, ce qu’elle aime par-dessus tout ; rapidement ses cris se sont répandus dans la chambre et sans aucun doute dans la maison, les portes n’étant pas fermées et ses jouissance très expréssives .
Alors que nous venions de la faire jouir plusieurs fois, nous avons découvert la belle-fille de jacques dans l’encadrement de la porte nous découvrant ainsi en bonne séance de baise ; j’avais bien entendu une voiture, mais pensant au retour de florence, je ne m’étais pas inquiété ; en réalité, florence avait oublié de fermer le portail en partant et Béatrice avait ainsi pu rentrer sans qu’on l’entende ; par contre elle en entendant le bruit à l’étage, était montée directement. Nous surprenant dans nos ébats, qui on s’en doute se sont vite arrêtées, nini se réfugiant dans la salle de bain et moi descendant pour prévenir florence à son retour.
Peu de temps après le père et la belle-fille sont descendus, sans à priori de tension entre eux ; pour nous, difficile, mais c’est elle qui a rapidement détendue l’atmosphère :« je connais Jacques, pour ses nombreuses fredaines, tout au long de sa vie et quand j’ai vu votre complicité au cours de ses dernières années, il m’a paru évident que vous étiez des libertins, d’autant plus que parfois vous vous laissiez aller à des gestes furtifs, le plus souvent dans la piscine ; alors que nous en avions discuté avec Bruno ( son mari), celui-ci m’avait avoué que Florence ne lui déplairait pas, pas plus d’ailleurs que son amie, et il m’avait fait dire, sans beaucoup de difficulté que l’attrait des deux hommes ne me laissait pas indifférente . Mais de là à vous surprendre, c’était un pur fantasme, qui se réalise aujourd’hui »Après ce discours, on ne peut plus franc, tout le monde reste silencieux, assis soit sur les fauteuils comme Jacques, Béatrice et moi, soit sur le canapé, recevant Nini et Florence. Finalement c’est moi qui provoque Béatrice, alors que florence, silencieuse et tendue, se réfugie dans les bras de Nicole.
« Si je comprends bien, vous aussi vous êtes libertins, ou du moins vos avez envie de le devenir « « Non nous ne le sommes pas, mais j’avoue en vous voyant que cela me donne envie et je suis sûr qu’il en serait de même pour Bruno ».
Je regarde Jacques et je vois qu’il comprend où je veux en venir ; d’un signe de tête, il me donne son accord ; me relevant, je m’approche d’elle, derrière son dos , mes mains se placent sur le dessus de ses épaules ; à ce contact, je la sens trembler, mais je continue et doucement je lui masse les épaules, descendant parfois à la limite de sa poitrine ; elle ne bronche pas « Vous aimez ? » pas de réponse et prenant ce silence pour un non, je retire mes mains ; elle réagit aussitôt : « non continuez s’il vous plait » je repose mes mains sur elle ; il est visible que cela excite Jacques car son survêtement qu’il a enfilé rapidement se tend au niveau de sa queue.
« Vous avez envie que je continue ? » Un petit oui fuse entre ses lèvres ; elle a incliné sa tête en arrière, les yeux fermés et j’en profite pour descendre mes mains jusqu’à sa poitrine, dégrafant les boutons de son corsage ; sa respiration s’est accélérée, la bouche entrouverte ; doucement je me penche et dépose un baiser sur ses lèvres ; elle ne se rebiffe pas. Ma langue force un peu le passage pour un baiser plus fougueux, baiser qu’elle me rend aussitôt. Repassant devant elle, je lui ôte son corsage, laissant découvrir un joli soutien-gorge, bien gonflé et tendu par des pointes qui jaillissent sous le fin voile ; écartant le rebord, je dégage son téton pour le sucer ; au contact de mes lèvres, elle agrippe ma tête et un ‘’oh oui ‘’sort de ses lèvres. Son acceptation pour la suite étant évidente, je la redresse et devant Jacques et les deux filles, je la déshabille ; la jupe tombe au sol, découvrant un tanga, déjà enserré entre ses petites lèvres, puis provoquant, je lui ordonne de quitter son soutien-gorge et son tanga ; derrière moi, les événements se précipitent car devant le tableau, les deux femmes s’embrassent alors que Jacques, tout en nous regardant, s’est rapproché des deux femmes et a investi plusieurs doigts dans la chatte de Nicole ;Après un regard perdu vers eux, mais devant ma détermination, elle s’exécute et découvre deux superbes seins, les pointes gonflées et un petit ventre tout nu, laissant apparaitre le début de son minou, d’où il est facile de voir perler quelques gouttes de cyprine. Lui écartant les jambes, ma main s’empare de son ventre et deux doigts s’infiltrent entre les lèvres. Lorsque je commence à la doigter, elle se cambre, enfonçant encore plus mes doigts qui la fouillent ; ses gémissements accompagnent ceux des deux filles, couchées en 69 sur la moquette, alors que Jacques la queue bandée, fiste doucement Nicole ; Je m’arrête soudainement, provoquant un vide dans la chatte baveuse et elle réagit aussitôt « oh non encore s‘il te plait » me penchant à son oreille : « tu aimerais que ce soit Jacques qui le fasse ? » « Je t’en prie fais-moi jouir, mon ventre me brule » « tu ne m’as pas répondu, tu veux que jacques vienne à ma place ? » mes dernières paroles sont assez fortes et tout le monde a pu les entendre ; lui s’est arrêté de fister Nicole ; la queue bandée, il me regarde un peu surpris , mais quand sa belle- fille me répond « oh oui, depuis longtemps j’ai envie de lui « il s’écarte des filles et vient auprès de nous ; pour lui l’envie est trop forte et l’allongeant sur le canapé, il la perfore , d’une traite ; sa queue la penetre facilement tellement la chatte baigne dans sa cyprine ; quand la queue la perfore, un cri s’échappe de sa gorge, comme une délivrance et s’accrochant à ses hanches , elle s’enfonce un peu plus .L’accouplement est furieux, tous les deux sans aucun doute excités par cet acte irréel. Nous ne comptons plus pour eux mais les gémissements et ses demandes nous excitent particulièrement.
Alors que je fourrage intensément la chatte de florence, encore sous l’émotion de voir son homme baiser sa belle- fille, Nicole s’approche du couple et ses lèvres viennent se poser sur celle de Béatrice ; surprise au départ, elle ne se retire pas, bien au contraire, sa langue répond en pénétrant la bouche offerte. Jacques a compris l’envie de Nicole , et se retirant du con de sa belle-fille, il l’étend sur la moquette , avant à nouveau de lui enfiler son chibre sans ménagement , lui relevant les cuisses sur ses épaules ; écartelée, elle subit les a coups, alors que Nicole vient placer sa chatte qu’elle branle, au-dessus du visage de Bea ; descendant son bassin, elle dépose son minou sur le visage ; très vite, elle gémit, Bea doit bien lui sucer la moule , car son visage est couvert de cyprine, signe de la jouissance de sa coquine au-dessus d’elle ; à coté deux, florence s’offre avec beaucoup plus d’ardeur, répondant à mes coups de butoir par de nombreux et puissants gémissements ; ses yeux ne quittent pas le trio à coté de nous et soudain , elle part, une jouissance fulgurante la traverse , son corps parcouru de soubresauts s’empale encore plus sur moi, puis un long cri ; de puissants jets de cyprine viennent jaillir autour de mon sexe. Pour moi, c’est le pied et mes jets lui remplissent la matrice, ce qu’elle accompagne par « oh oui, remplit moi, je suis à toi oouiiiiiii ». puis plus rien ; elle vient de perdre motion de son entourage.
Notre trio, lui aussi vient de jouir et Jacques sauvagement pilonne Beatrice après l’avoir engrossé, alors que le visage de Nicole traduit son plaisir, visible sur le visage de Béa qui vient de laper son émission importante de cyprine ; après un moment de calme, Jacques prend sa belle-fille par la main et monte dans la chambre d’amis ; le sperme qui s’écoule le long de ses cuisses prouvent s’il était nécessaire que les jets de son beau- père l’ont bien fécondée.
Nous nous retrouvons tous les trois, plein de satisfaction ; finalement, c’est Florence qui prend la parole et nous traduit son étonnement de voir ce rapport hors normes dit-elle, bien que finalement elle y ait pris du plaisir à les voir ; et assure -t -elle, aucun sentiment de jalousie, sans doute en raison de nos relations. Puis après un petit silence sans doute pour analyser la situation, enlacée dans les bras de Nicole, elle lui demande : et toi, cela ne t’a pas choquée ? l’aurais-tu fait avec ton fils, si l’occasion s’était présentée comme aujourd’hui ? » Nous nous regardant, puis l’embrasant sensuellement elle lui répond :« Je t’ai déjà avoué que j’ai été la maitresse du fils de Jean, pendant plusieurs mois et de plus, cela fait presqu’un an que Florian me possède à chaque fois que nous nous rencontrons ; j’ai aussi fait l’amour avec Lindsay et Jean les a possédés tous les deux.
pour être totalement honnête, nous avons fait une journée chez nos amis où nous avons partouzé à trois couples, sans aucune limite. Et comme ici, je me suis fait féconder plusieurs fois par Florian, pour mon plus grand bonheur et celui de Jean »Florence reste un moment silencieuse, blottie dans ses bras, surprise sans aucun doute, puis avoue qu’elle aurait beaucoup de mal à le faire avec son fils, bien que souvent dans leur piscine, elle avait pu , étant naturiste, apprécier le sexe de son fils, lors de ses bains ; elle semble réveuse. Puis à nouveau elle nous confie que par contre, elle ne voit pas d’inconvénient à s’offrir à son gendre, et même à sa belle-fille ; là-haut , nos deux amants ont repris le combat, et manifestement pour leur plus grand bonheur ; déposant un baiser sur les lèvres de Florence, » je pense qu’il est temps pour toi de les rejoindre ,profite s’en ; à plus tard »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ling79
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...