Florence se dévoile - histoire érotique

Nicole avait eu une relation coquine avec Jacques ( en direct presque car elle avait filmé leur rendez vous), et je souhaitais lui rendre la pareille avec Florence, sa femme, mais je ne voyais pas comment y arriver, tellement elle était discrète sur ce sujet du sexe. un événement allait changer la donne.

Cela fait 7 ans qu’ils sont mariés, pour l’occasion, ils ont organisé une petite fête ( il parait que c’est une durée mythique). cadeaux, fleurs et champagne, tout pour les deux amis. Nous sommes chez Jacques et Florence et la fête commence à perdre ses invités ; il faut dire qu’il est minuit passé et l’alcool a fait son effet. Pour nous pas de problème car nous habitons juste à coté et quand Jacques nous demande de rester encore un peu, nous acceptons de bon cœur. Une petite présentation rapide.
Florence, 51 ans, grande, joli minois , que malheureusement, elle ne sait pas toujours mettre en valeur, petits seins dont les tétons pointent sous le corsage, car manifestement elle n’a pas de soutien-gorge, jupe portefeuille au genou ; d’après son mari, ses envies sexuelles sont peu nombreuses et orchestrées par ses pratiques religieuses. Jacques, un bon vivant, trop gourmand, d’où un ventre un peu proéminant, très porté sur le sexe, au passé très chargé, et il ne s’en cache pas , bien au contraire, et qui dès qu’il le peut , drague Nicole et avec qui il a eu une aventure, avec mon accord.
Nicole , ce soir, porte un chemisier en voile transparent , avec en dessous un soutien sein, laissant les tétons bien visibles et une jupe short, sans, je le sais ,rien en dessous. Pour moi, pantalon blanc et chemise dont les pans noués , laisse apparaitre mon ventre lisse de tout poil.
Il n’y a plus que trois couples en train de danser, dont Jacques et Nicole et je suis un peu inquiet car malgré la pénombre , il est facile de voir qu’il essaie de la peloter et je connais la jalousie de Florence ;celle -ci les regarde, mais ne semble pas s’en inquiéter, ce qui me surprend. Je l’invite à mon tour, et à ma grande surprise, en dansant, elle se colle contre moi et sa tête se pose sur mon épaule ; ce qui n’est pas son habitude, elle si prude en général. Puis subitement, elle se redresse et me fixant ,elle me dit « je crois que Jacques a une relation avec Nicole, et même s’il me dit le contraire, les voir ce soir, me le confirme » ; il est vrai que les deux sont très collés et que les mains sont plus souvent sur les fesses de sa cavalières que sur ses épaules ; elle continue « Jacques est attiré par les femmes, il me l’a dit ; il m’a dit que vous êtes très libres et qu’il aimerait bien que je sois comme Nicole ; cela ne semble pas le gêner que je couche avec un autre homme, mais pour moi, je n’arrive pas à lui accorder cette démarche, faute aussi sans aucun doute d’homme qui me plaise »Pour moi, la situation est délicate, partagé entre le doute sur ses affirmations et le contact avec son corps collé contre le mien ; « cela ne te gêne pas de les savoir ensemble ? moi au début , j’ai failli faire une crise de jalousie, mais finalement, je préfère que ce soit Nicole, qui je le sais t’adore, qu’une autre femme » tout en dansant, et me parlant, je vois son regard se porter vers le couple et je crains le pire car maintenant Nicole a la tête sur l’épaule de Jacques, et je constate aussi que dorénavant nous sommes seuls dans le salon.
Soudainement, elle se décolle de moi, et elle m’entraine vers le canapé où elle s’assoie ce qui dans son geste, ouvre sa jupe portefeuille , découvrant l’intérieur de ses cuisses. Alors que je contemple l’ouverture vers son trésor, elle se penche vers moi et sa bouche se pose sur la mienne ; la surprise est totale d’autant plus qu’elle me dit « j’ai envie de connaitre un autre homme et tu me plais ; s’il te plait, fais moi découvrir ce plaisir inconnu pour moi ; j’ai envie de m’offrir à toi, devant eux ; j’ai envie de lui montrer que moi aussi je peux plaire à un autre homme et faire l’amour avec lui surtout alors qu’il est avec ta femme » J’avoue que la démarche me surprend, mais alors qu’à nouveau, elle vient m’embraser, je dois reconnaitre que ma queue dans mon pantalon commence à me gêner ; ma main se pose sur sa cuisse découverte ; à ce contact, je la sens se crisper, et je veux retirer ma main ; elle me la prend et la replace entre ses cuisses.
Lui passant un bras autour de son cou, je l’embrasse fougueusement, ma main s’infiltrant à l’aventure vers sa grotte ; un peu tendue, elle écarte finalement les jambes et mes doits atteignent l’orée de son minou, couvert par un mini slip, déjà bien humide. Un regard vers Jacques ; si celui semble un peu surpris de l’attitude de sa femme, cela ne semble pas le déranger, ce qui me décide à aller plus loin.
« fais moi confiance et laisse toi faire » un petit oui sort de sa bouche et elle s’accroche à mon cou ; la redressant, je recommence à danser, la musique est douce , propice au contact ; tout en dansant, je dégrafe le corsage, découvrant deux jolis seins, petits certes, mais dont les pointes jaillissent au milieu d’une auréole brunâtre, et glissant le long de ses épaule, le corsage tombe à terre ; me penchant, ma bouche se pose sur une téton , ce qui provoque un petit oh de surprise, avant que ses bras appuient ma tête sur le téton saillant.
Nini et jacques se sont assis et nous regardent, sans doute eux aussi surpris des événements ; ce qui ne perturbe pas beaucoup Jacques dont une main est entre ses seins. Florence, elle est totalement sous l’emprise de l’envie et elle ne bronche pas quand j’ouvre la fermeture de la jupe qui, enfin libre, s’étend autour de ses pieds. Elle l’enjambe et continue à se frotter contre moi, pleinement offerte maintenant ; c’est elle qui écarte les pans de ma chemise, et ses mains me caressent le torse ; me mettant à genoux devant elle, je glisse le mini slip jusqu’à ses pieds, ce qui me découvre un joli sexe totalement lisse, un petit bouton qui pointe entre les lèvres roses et gonflées ; quand ma bouche se pose sur son abricot, ses ongles s’enfoncent sur mes épaules ,un frisson lui parcours le corps et un gémissement jaillit de sa bouche.
Alors que je veux l’entrainer vers le canapé, elle me prend par la main, totalement nue, elle se plante devant son mari « je pense que tu as fait l’amour avec Nini , et cela ne me gêne pas ; tu aurais du cependant me le dire. Je sais que tu veux que je sois plus coquine et ce soir, je vais l’être ; je vais me donner à jean, mais cependant, pour vous deux, je veux que vous soyez seulement spectateurs, pour que jacques puisses me voir jouir dans les bras d’un autre homme que lui ; c’est ma condition » s’il est surpris, je découvre un sourire chez nini qui d’un signe de tête donne son accord. Se collant contre moi écartant ses jambes, elle me prend la main et la pose à l’entrée de son vagin en me disant « je suis toi, sans réserve »Alors que je viens de l’allonger sur le canapé et que ma bouche se pose sur sa fente d’où s’écoule de la cyprine, elle me tend la main et sans ambages me dit « j’ai envie que tu me possède maintenant, prend moi, fais-moi jouir devant lui ; j’ai envie de ta queue dans ma moule, baise moi fort ! » il ne m’en faut pas plus ; la queue bandée au maximum, je présente mon gland entre les petites lèvres qu’ elle écarte impudiquement; d’une poussée je franchis l’entrée de la grotte et j’envahie la caverne offerte ; elle est étroite même si elle est pleine de cyprine ; ma queue dilate totalement le conduit, sous les gémissements qui fusent ; accrochée à mes épaules, elle encaisse les coups de butoirs, pénétration sans douceur, puissante, s’enfonçant jusqu’au fond de sa matrice ; pour ne pas jouir trop vite, je ressors parfois pour lui butiner l’abricot avant de la pourfendre à nouveau ; sans ambigüité sa jouissance déferle, pour la première fois devant son mari. Alors que je ne peux plus me retenir, je veux me retirer, mais elle me retient « non , fécondes moi, fais de moi ta femelle jusqu’au bout, je veux avoir ta semence en moi. » quand ma jute se répand en elle, après une longue jouissance ,elle se redresse et s’adressant à lui « regardes, ce soir, je suis la femme d’un autre, je suis à lui, tu voulais me voir coquine, je suis sa maitresse et il vient de me faire jouir et il a juté en moi, me faisant doublement femme et j’aime »Nos deux conjoints nous ont regardé ( nini m’a dit plus tard qu’elle a du repousser plusieurs fois les ardeurs de jacques) ; je sais qu’ils ont autant envie que nous, et me penchant vers florence qui récupère, je lui dis « maintenant, il te faut les voir s’accoupler ; j’en ai envie, j’aime voir Nicole se faire prendre et il faut que tu le vois aussi, pour n’avoir aucun regret » déposant un baiser sur mes lèvres, elle se loge dans mes bras, prête à voir son mari avec une autre femme, ce qui doit lui être , je le pense un peu difficile.
nos deux coquins ne perdent pas de temps et ils se retrouvent très vite totalement nus ; la queue tendue de jacques est vite gobée par nini , jouant aussi avec ses couilles gonflées, titillant selon son habitude en même temps, l’anneau secret ;il se laisse faire, profitant des bienfaits de la bouche coquine . Florence est tendue, manifestement, elle a encore quelques réticences à le voir avec une autre femme, alors que pour moi, j’ai retrouvé ma vigueur ; afin de la détendre , je l’assoie sur mes genoux, face à eux, lui caressant doucement les seins, jouant avec ses tétons qui à nouveau pointent ; face à nous, nos deux conjoints ont franchis une étape, importante pour florence: Nini , à genoux, se fait défoncer la moule par un jacques déchainé, sans doute aussi frustré par l’attente qu’il a dû subir ; nini jouit très vite sous les assauts de cet amant , dont elle a déjà apprécié la prestationSous mes caresses , florence se détend alors aussi que ma queue se frotte sur son fessier ; elle se redresse et empoignant ma tige, elle la place à l’entrée de sa grotte et s’empale sur le mandrin , qui sans aucune difficulté pénètre dans la cavité encore pleine de semence ; sans aucun doute, c’est sa façon de lutter contre la jalousie : s’empaler sur moi, alors que son homme baise nini ; sa détermination est réelle et je dois l’accrocher par les hanches pour éviter , alors qu’elle s’accouple furieusement sur mon pal, pour qu’elle ne tombe pas ; une envie me traverse l’esprit : la prendre en levrette, comme eux, alors que les deux femmes se regardent face à face ; la mettant elle aussi à genoux, proche de nini, je l’embroche et lui ramone la chatte ; je connais bien nini et ce que j’espérais se produit ; elle approche sa bouche de celle de florence et dépose ses lèvres sur les siennes ; geste de recule , mais à nouveau la bouche se rapproche d’elle et cette fois , elle accepte non seulement le baiser, mais elle y répond ;un regard vers jacques qui me comprend car il arrête de pourfendre nini et je fais de même ; le résultat escompté arrive car finalement les deux femmes s’embrassent fougueusement, et il faut la reprise de nos pénétrations pour les séparer Quelques instants plus tard, je ne peux aller plus loin et enfoncé au plus profond de sa chatte, je déverse mon jus, la fécondant pour la deuxième fois ; et pour une énième fois, elle jouit bruyamment, avant de s’écrouler sur le tapis, la chatte dégoulinante ; il en est de même pour nos conjoints, car peu avant nini a encouragé son amant à la remplir de sa semence ce qui a déclenché comme souvent un paroxysme de jouissance chez elle .
alors que nous reprenons contact avec la réalité, les deux femmes restent enlacées sur le tapis et tout en la caressant, nini l’embrasse tendrement ; plus de refus, bien au contraire Florence répond et bientôt leurs langues se livrent bataillent. Quittant cette bouche avide, nini descend pour sucer les pointes des tétons, tout en caressant de plus en plus intimement le corps offert, sa main atteint le doux lorsque que ses doigts pénètrent les lèvres encore dilatées par ses jouissance, son corps se cambre et un ‘oh’ de surprise ou de plaisir s’échappe de ses lèvres, gémissement qui se prolonge car la bouche conquérante vient d’atteindre le bouton secret et sa langue s’infiltre dans le minou d’où s’écoule le trop plein de semence ; nini aime sucer la chatte d’une femme qui vient d jouir et de se faire engrosser, et là elle en profite, jouant avec deux doigts pour la titiller ; florence ce laisse faire, meme plus elle s’offre, découvrant, nous le saurons plus tard, pour la première fois le plaisir avec une femme. Nini prolonge la possession de ce corps par un accouplement de leurs chattes en un furieux combat que florenec prolonge par une jouissance quasiment en continuejacques semble stupéfié de l’évolution de la situation, c’est la première fois qu’il est cocu,mais aussi très intéréssé par l’évolution si rapide de son épouse car il semble bien improbable qu’elle en reste là ; la suite allait le confirmer.