François 2 - histoire érotique

François 2

Le piège de Marvin
Partie 2
Résumé du dernier écrit.
Les lèvres de Marvin me sourirent avant de rejoindre son verre de vin et ses yeux verts furent la dernière chose que je me rappelai avoir vu ce jour là. Où suis-je? Ce furent les premiers mots que je prononçai quand je revint à moi. J'ouvris les yeux et je me vis menotté dans un lit. Un homme, serviette à la taille, resté à l'embrasure de la porte me regardait en souriant. Il connaissait mon nom. Petit à petit je prenais conscience de l'état dans lequel j'étais. Me connaissant parfaitement hétéro je m'imaginais mal prendre du plaisir avec cet homme. Il monta sur le lit et laissa tomber sa serviette. Il me montra un étrange monstre que même hétéro je ne pouvais m'empêcher d'admirer. Un superbe pénis de 23 cm tout rose dont le gland violacé bavait. J'avalai ma salive. Il posa doucement sa bouche sur la tête de mon pieu pour la glisser jusqu'a mes couilles. De toutes mes relations sexuelles c'était la première fois qu'une fellation me paraissait si agréable. Vraiment, il avait su me soumettre à lui. J'étais devenu sien. Son pénis entra lentement en moi. J'ignorais comment mais je prenais mon pied. Comme une femme, je me mettais involontairement à bouger des reins. J'avais une folle envie de me faire tout ses 23 cm. Je ne parvenais plus à me contrôler ma bouche s'ouvrit et je me mis à lancer des cochonneries avec une voix plus efféminée que mon blondinet. Sans aucun scrupule j'avais embrasser Tom, je su alors que je m'acceptait comme gay.

Quelques minutes après qu'on ait baisé Tom me détacha puis on prit la douche ensemble. L'eau froide sur ma peau m'aida à me rappeler de certaines choses.
Ce n'est que lorsque je montai sa voiture et qu'il me demanda où me déposer que tout souvenir me revinrent. Tout ça était l'œuvre de Marvin. L'unique responsable de tout ce qui m'était arrivé.
– Dépose moi chez Marvin.
Marvin, cet homme qui me fascinait tant. Je me souviens encore de la première fois que nous nous sommes rencontrés. C'était au bureau. Je venais juste de postuler pour un job pour lequel je fus accepté. Dès mon arrivé je l'avais remarqué. Il était si différent des autres collègue de bureau. On le voyait rarement à la cafétéria. Il venait de très tôt au bureau et s'en allait très tard. Il parlait à peu de gens mais se faisait respecter et apprécier de plus d'un, surtout par nos supérieurs. On se voyait lors des assemblés certes mais jamais on ne s'adressait directement la parole. Roux, taille élancée, yeux verts, mince, toujours tiré à quatre épingle je ne savais pas pourquoi mais il me plaisait de le voir, c'est peut-être à cause de ses traits fins presque féminins et son derrière arrondi et ferme.

3 mois après sa confession il m'invita pour la première fois chez lui, juste pour boire un verre plus intimement un soir de vendredi.
Je me présentai comme prévu ce jour là à son appartement. Il avait aussi invité un ancien ami à lui. Cet ami était bien sur Thomas qui était homo comme lui.
"Thomas je te présente François le collègue de travail dont je t'ai parlé. François, Thomas.
– Enchanté
– De même.
– Thomas est policier, à l'époque où je l'ai connu je craquais pour les hommes en uniformes et je peux te dire qu'il a une belle arme.
Comme on s'était réuni pour se souler en toute intimité, les verres de vodka prirent place sur la petite place du salon. Je ne sais pas si c'était l'alcool mais tout d'un coup je m'étais détendu comme jamais. J'avais perdu une certaine maitrise de moi. Les heures passèrent rapidement et on ne s'en rendit même pas compte. Nous nous sommes mis à parler de plusieurs sujets on effleura bien sur le sexe. Thomas confirma son orientation sexuelle tandis que moi je me disais hétéro sans préjugé. Ils ont rit ensemble. La conversation avait continué sur d'autres sujets. Tandis qu'il parlait Tom posait sa main sur ma cuisse et ne sachant toujours pas pour quelle raison je me laissais faire. Bien qu'on voulait se souler on resta raisonnable, au bout de sept verres on déclara qu'il fallait s'arrêter. Mais Marvin insista pour un verre de vin qu'il me disait spécial, je ne refusai pas son verre. Après ce verre je leur annonçai mon départ. " Déjà" s'étonnèrent-ils. Comme je n'avais pas de voiture, Marvin proposa à son ami de me raccompagner. Ce dernier accepta sans sourciller.
C'est une fois en voiture que je ne me sentis plus moi-même, j'avais comme changé. Je sentais de la chaleur grimper en moi. Durant tout le trajet Thomas et moi nous parlions du boulot, le mien et le sien. Cela n'avait rien d'excitant pourtant je sentais mon membre bouger entre mes jambes. "Je sais que nous avons déjà pris notre dernier verre mais j'aimerais bien boire un dernier coup, cela ne vous dérange pas si on passe à mon appartement?" Je lui ai répondu non sans trop savoir pourquoi. On est vite arrivé dans son immeuble, l'ascenseur ayant un problèmes on a prit les escaliers. Il marchait devant pour me montrer la route et moi derrière je regardais ses fesses bien rondes. Je matais son cul qui rebondissait à chaque marche qu'il grimpait. A ce moment mon érection se fit de plus en plus sentir. Me sentant manipulé comme par une force invisible, je tendis la main pour les toucher et je les ai touché, malaxé avec envie comme si ma vie en dépendait. Il ne se retourna pas et me laissa faire jusqu'a ce qu'on arrive devant sa porte.
Une fois la porte fermée, il se jeta sur moi et m'embrassa. Je ne fis rien pour le repousser bien au contraire mes mains vinrent se coller à sa nuque et caressèrent sa blonde chevelure. Puis elles passèrent sur son dos et s'arrêtèrent sur ses fesses que sans retenue je me mettait à malaxer, à presser comme pour en faire sortir un jus. Mes mains se montrèrent hyperactive sur ses lobes de chaires. Tom passa ses mains sur ma ceinture et en profita pour monter mon maillot et me l'enlever le suivant je défit les boutons de sa chemise tout en baladant mes mains sur son torse peu musclé. C'était la première fois que j'étais si proche d'un homme. Cette idée qui passa dans ma tête ne m'empêcha pas de lui enlever son pantalon où je voyais déjà son membre prêt à percer son caleçon.
A la vue de son sexe dilaté mon corps se paralysa ne savant pas quoi faire. Une partie de moi voulait fuir à toutes jambes et une autre partie de moi voulait rester là et profiter de l'instant présent. Tom s'est vite aperçu de mon embarras. Il a surement deviné que c'était ma première fois car tendrement il m'a prit le visage en coupe et m'embrassa. " Si tu veux arrêter je peux … - NON" répondis-je sur le coup. Je ne comprenais franchement pas ce qui m'arrivait. L'alcool n'en était pas le seul responsable, j'y avais mit un peu de volonté et je voulais ferme comme le roc lui descendre son boxer. Tom me prit encore par la hanche et glissa mon pantalon a ma hanche.
– Dans cinq minutes rejoins moi.
Il s'en alla entrer dans une autre pièce prenant le soin de dandiner ses fesses me faisant encore plus bander. Ces cinq minutes se déclarèrent les plus longues de ma vie, mais enfin je l'entend me dire d'entrer. Je ramassai mes habits et entrai dans sa chambre. Ce que je vis m'excita au plus haut point. Tom s'était changé. Il portait maintenant une paire de bote en cuir et un caleçon en cuir aussi. Sur sa tête une casquette de policier et dans sa main une matraque qu'il manœuvrait comme une pine. Tom était véritablement une bombe sexuelle. Excité, mon cœur bat à tout rompre à un point tel que j'ai eu peur de m'évanouir. Je n'arrivais pas à me tenir pour toute réaction mes bras me lâchèrent et je jetai mes habits.
– François, tu as été un très vilain garçon.
– Et qu'ai-je fais de mal monsieur l'agent? Je jouais le jeu. Je nous sentais coquin.
– Et bien… votre taux d'excitation est exagéré, dit-il en me touchant la queue.
– Est-ce qu'il faudra m'arrêter?
– Je crois bien que oui.
– Attache moi au lit.
– Hum! J'adore.
Tom me jeta violemment sur le lit et rapidement me menotta aux fers. Avec ses doigts de fées il m'enleva le caleçon libérant enfin mon pieu qui ne demandait que ça.
– Elle est belle ta queue.
– Mais pas plus que la votre monsieur l'agent.
– Tu aimes ma queue.
– Oui, et je veux la voir de près.
Tandis que j'étais enchainé sur le lit, Tom me faisait un striptease. Ne pouvant agir de mes mains mon sexe était violacé tellement il était plein de sang. Je n'en pouvais plus, il fallait qu'il m'achève. Et les mots que je lançai résumèrent tout ce que je voulais.
– Encule moi.
Un peu étonné de ce que je venais de dire, Tom me sourit et m'embrassa la bouche tandis que de ses mains il m'ouvrait les jambes. Maintenant je le voyais descendre sa tête entre mes cuisses et je sentis sa langue me chatouiller l'anus. Jambes repliés, bassin replié, j'étais soumis à cette caresse anale. Je sentais mon estomac se nouer a chaque fois que sa langue voulait percer mon intimité. J'ignorais tout de ce plaisir anale et j'avais cet impression que je mouillait du cul. Excité on ne peut plus je voyais déjà un liquide visqueux se former sur le méat de mon sexe.
Tom abandonna mon cul pour venir sucer ma pine. Une sensation de bien-être me traversa le corps tout entier quand il avala mon gland. Sa bouche venait de rafraichir ma bite longtemps chaude. Ses va et vient sur mon sexe me firent grimper au septième ciel, si bien que lorsqu'il pénétra un doigt dans mon trou je me suis mis à crier de bonheur. C 'était vraiment le bonheur, je me faisais sucer et doigter en même temps. Je ne pouvais m'empêcher de chialer tellement c'était bon. J'étais sur le point de gicler quand il cessa de s'activer et me dit que j'étais prêt. Je levai la tete et le regardai enlever trois doigts de mon cul.
Je le vit écarter mes jambes et présenter sa pine recouvert d'un préservatif à l'entré de ma rosette. J'en frémis un peu, c'était la première fois que j'allais me faire enculer. Pour me rassurer, Tom vint m'embrasser encore une fois et tandis qu'il faisait je l'ai sentit faire pression avec sa queue. Le cri que je poussai quand il entra en moi s'étouffa dans sa bouche.
Une fois sur du coup, Tom commença à s'activer. Je me sentis un peu mal du coup mais peu à peu la douleur se faisait remplacer par le plaisir, la jouissance. Les va et vient de mon compagnon avait créé en moi une sensation indescriptible. Tandis que je me faisais enculer je priais pour qu'il ne s'arrête pas, comme si ma vie en dépendait. Je me tordais le cul tandis qu'il me le labourait. Je n'en pouvais plus, j'avais même l'impression de jouir du cul. Pour me pénétrer plus profondément Tom s'était accrocher à mes épaules et je sentis le résultat de ses efforts, son sexe heurtait le fond. J'ouvris les yeux pour voir son visage en sueur se pencher sur le mien. Il m'embrassa avec encore plus de passion tandis qu'il s'activait de plus en plus vite. En moi aussi la jouissance croissait au rythme de sa vitesse. Dans l'espace de deux minutes je sentis tout son corps se contracter et la grimace que je pouvais lire sur son visage me confirma qu'il allait jouir d'une seconde à l'autre. Mais une chose encore plus étonnante se passa. Mon anus se contracta à son tour et sans que je l'aies touché mon pénis éjacula quatre long filet de sperme sur la maigre poitrine de Tom. N'en pouvant plus lui aussi il éjecta son foutre au fond de sa capote.
Nos deux corps en sueurs se rejoignirent. Il m'embrassa une dernière fois avant de me glisser à l'oreille. " J'espère que tu as apprécié". Moi, silencieux, je sens comme la satisfaction en moi et je le regardais dans les yeux tout en voyant son visage souriant se déformer et disparaitre, ma vue diminuait sous l'effet de la drogue que Marvin m'a mis dans son dernier verre "spécial".
Tout ça était l'œuvre de Marvin. L'unique responsable de tout ce qui m'était arrivé.
– Dépose moi chez Marvin.

A suivre …