Francois 8

- Par l'auteur HDS LeprinceEric -
Auteur homme.
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Récit libertin : Francois 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Francois 8
Le piège de Marvin
Résumé de la saison

" Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verra, tu en redemandera. Il faut seulement te laisser aller et tu découvrira qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir". Les lèvres de Marvin me sourirent avant de rejoindre son verre de vin et ses yeux verts furent la dernière chose que je me rappelai avoir vu ce jour là".
Les lèvres de Marvin me sourirent avant de rejoindre son verre de vin et ses yeux verts furent la dernière chose que je me rappelai avoir vu ce jour là. Où suis-je? Ce furent les premiers mots que je prononçai quand je revint à moi. J'ouvris les yeux et je me vis menotté dans un lit. Un homme, serviette à la taille, resté à l'embrasure de la porte me regardait en souriant. Il connaissait mon nom. Petit à petit je prenais conscience de l'état dans lequel j'étais. Me connaissant parfaitement hétéro je m'imaginais mal prendre du plaisir avec cet homme. Il monta sur le lit et laissa tomber sa serviette. Il me montra un étrange monstre que même hétéro je ne pouvais m'empêcher d'admirer. Un superbe pénis de 23 cm tout rose dont le gland violacé bavait. J'avalai ma salive. Il posa doucement sa bouche sur la tête de mon pieu pour la glisser jusqu'a mes couilles. De toutes mes relations sexuelles c'était la première fois qu'une fellation me paraissait si agréable. Vraiment, il avait su me soumettre à lui. J'étais devenu sien. Son pénis entra lentement en moi. J'ignorais comment mais je prenais mon pied. Comme une femme, je me mettais involontairement à bouger des reins. J'avais une folle envie de me faire tout ses 23 cm. Je ne parvenais plus à me contrôler ma bouche s'ouvrit et je me mis à lancer des cochonneries avec une voix plus efféminée que mon blondinet. Sans aucun scrupule j'avais embrasser Tom, je su alors que je m'acceptait comme gay.
Quelques minutes après qu'on ait baisé Tom me détacha puis on prit la douche ensemble. L'eau froide sur ma peau m'aida à me rappeler de certaines choses.
Ce n'est que lorsque je montai sa voiture et qu'il me demanda où me déposer que tout souvenir me revinrent. Tout ça était l'œuvre de Marvin. L'unique responsable de tout ce qui m'était arrivé. 3 mois après sa confession il m'invita pour la première fois chez lui juste pour boire un verre plus intimement. Il avait aussi invité un ancien ami à lui. Cet ami était bien sur Thomas qui était homo comme lui. Je ne sais pas si c'était l'alcool mais tout d'un coup je m'était détendu comme jamais. Tandis qu'il parlait Tom posait sa main sur ma cuisse et ne sachant toujours pas pour quelle raison je me laissais faire. Bien qu'on voulait se souler on resta raisonnable, au bout de sept verres on déclara qu'il fallait s'arrêter. Mais Marvin insista pour un verre de vin qu'il me disait spécial, je ne refusai pas son verre. Après ce verre je leur annonçai mon départ. Comme je n'avais pas de voiture, Marvin proposa à son ami de me raccompagner. "Je sais que nous avons déjà pris notre dernier verre mais j'aimerais bien boire un dernier coup, cela ne vous dérange pas si on passe à mon appartement?" Je lui ai répondu non sans trop savoir pourquoi. Une fois la porte fermée, il se jeta sur moi et m'embrassa. Je ne fis rien pour le repousser bien au contraire mes mains vinrent se coller à sa nuque et caressèrent sa blonde chevelure. C'était la première fois que j'étais si proche d'un homme. Tom s'est vite aperçu de mon embarras. " Si tu veux arrêter je peux … - NON" répondis-je sur le coup. Tom me jeta violemment sur le lit et rapidement me menotta aux fers. Avec ses doigts de fées il m'enleva le caleçon libérant enfin mon pieu qui ne demandait que ça. Je me tordais le cul tandis qu'il me le labourait." J'espère que tu as apprécié". Moi, silencieux, je sens comme la satisfaction en moi et je le regardais dans les yeux tout en voyant son visage souriant se déformer et disparaitre, ma vue diminuait sous l'effet de la drogue que Marvin m'a mis dans son dernier verre "spécial".
L'immeuble de Marvin se dressait maintenant devant moi. C'était la première fois qu'un gars m'attirais mais je ne savais pas comment définir tout cela. Je retrouvai Marvin assis dans son fauteuil portant les mêmes habits d'hier son verre à la main comme si il avait passé toute la nuit à boire en m'attendant." Salut. Je savais que tu allais venir. Je t'attendais ". Je me rappelai de ce qu'il avait dit la veille. " Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verra, tu en redemandera. Il faut seulement te laisser aller et tu découvrira qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir". Il se le va et se dirigea vers moi. A ce moment je lui prit par le cou et je le frappé contre le mur proche. Je le tenais toujours par le collet, son corps plaqué au mur et le mien plaqué au sien. Sa peau sentait si bon, elle paraissait si tendre. Restés collés l'un contre l'autre, je sentais sa respiration et la mienne accélérée. Nos corps se rapprochèrent encore plus. Notre étreinte prenait beaucoup plus d'ampleur et décuplait notre passion. Je fermai les yeux. Nos lèvres se soudèrent, nos langues se lovèrent, nos corps se collèrent avec tant de dévouement comme si nous voulions faire un. Était-ce possible qu'un baiser produise tout ses effets? Je me suis donc décidé de faire ce que je voulais vraiment. Je me dressais nu devant lui. "Ah! Ah! Tu es si manipulable". A ces mots, mon sang ce glaça. Malgré le fait que je voulais le frapper quelque chose en lui m'en empêchait. La rage en moi triompha. Je voulais le faire payer maintenant et sans savoir pourquoi, j'empoigné mon sexe d'une main tandis que l'autre maintenant une pression sur ses poignets le faisant pivoter. Sans aucune préparation et sans aucune attention je lui enfonçai mon pieu tout entier dans son trou. Je me suis sentis si bien qu'oubliant ma vengeance je me mettais à osciller dans le cul de Marvin. J'envoyai mon sperme baigner tout son rectum. Je restai accrocher un temps pour être sur d'avoir bien vider mes couilles. Et une fois sur, je me retirai en lui et le jetai par terre. Je me rhabillai devant lui qui ,couché a même le sol, s'enfonçait des doigts dans l'anus pour en retirer mon jus de couille. Son sourire qui était maintenant diabolique m'effraya. Qu'est-ce que Marvin a derrière la tête?
Marvin. Il n'y a que lui dans ma tête. Marvin. Il n'y a que lui dans ma tête. Je me suis masturbé douze fois au cour de cette même journée. Ma queue et mes couilles n'en pouvaient plus, mais c'était plus fort que moi … Au boulot, j'essayais par tous les moyens de l'éviter. J'ai tout essayé pour parvenir à l'oublier. J'ai couché avec des femmes, mais je ne ressentais plus le même plaisir. Vendredi après-midi, j'étais sur le point de partir quand mon patron fit irruption dans mon bureau. " Désolé François, mais tu dois finir ces dossiers. Je l'attends demain à la première heure. Oh! J'allais oublier, il y a certaines informations que tu devras traiter avec Marvin. Tu as de la chance il n'es pas encore parti."Pourquoi le destin voulait-t-il que nous nous rejoignions?
" Quelle surprise! Je doutais bien qu'on allait se revoir un de ses quatre. - Je ne viens pas de mon plein gré, c'est pour le boulot. - Eh bien … dans ce cas. Mettons nous au travail. Je pris place. A mon grand étonnement, nous nous sommes réellement mis à travailler. En aucun cas Marvin n'avait fait mention de sexualité ou de quelque chose en rapport. Et pourtant le simple fait d'être dans la même pièce que lui m'excita . Je vis un sourire sur ses lèvres qui ne ressemblait pas à ceux qui me faisait peur. Ça le rendait plus beau. Je me levai de mon siège et allai le rejoindre. Nos visages se rapprochèrent et je posai mes lèvres sur les siens. Je commençai à lui enlever sa chemise alors que lui il s'attaquait au boucle de mon pantalon. Je le prit par les hanches et je le posai sur son bureau. Je descendis dirigeant mon visage vers son bas ventre. Mes yeux étaient fixés sur sa verge étirée au max. Je la sortie de sa cachette pour la contempler de plus près. L'odeur de pisse, de son entre jambes et du désir me parvinrent à la narine. J'ouvris la bouche, tendis ma langue et goutter à sa queue. Sur la table, Marvin était en transe. Et sans que je m'attende, Marvin poussa un cri strident et du même coup un jet de sperme envahi ma bouche. Je sens sa main qui me prend par la bite, il la dirige vers son trou. Une fois que le sentis prêt a me recevoir je retirai mes doigts de son cul. Je pouvais coulissé sans aucun problèmes pour le plaisir de nos deux corps. Je lui défonçais toujours le cul quand il me dit de chercher dans le premier tiroir. Je trouvai en godemichet vert annelé que je mis dans mon propre trou. Le foutre longtemps retenu dans mes couilles se déversa dans son rectum. Je retirai délicatement mon pénis de son trou tout en m'assurant que mon sperme n'y sortit pas.
Le lendemain, je me rendis au boulot. A peine que je m'assied dans le fauteuil qu'on frappa à ma porte. C'est Patrick, le secrétaire de mon patron. " François. M. Robert veux-te voir." Je pris avec moi les documents sur lesquels Marvin et moi avions travaillé la nuit dernière et me dirigeai vers le bureau de mon boss. Il y avait avec lui Julien, le responsable des ressources humaines. Je les saluai tous deux et prit place après qu'on m'y ait convié. Il y avait sur le visage des deux hommes un sourire dont j'ignorait la raison.
La salle fut soudain plongée dans une ambiance de travail. Je répondais à toutes les questions qu'ils me posaient et j'étais fier de montrer un travail bien fait. Sans se soucier de la présence de Julien, je sentis Robert poser sa main sur ma cuisse et la caresser. Julien se retourne et loin d'être étonné par la situation. "Tout doux François. On sait bien que tu aime ça. - Mais … - Ne le nie pas. Il y a une vidéo de toi qui le prouve.
Robert tourne l'écran de son ordinateur et en plein écran il y a moi entrain de sucer Marvin. "Tu n'as pas le choix François. Si tu ne fais pas ce qu'on te dis on te renvoie de la boite. Ce ne sera même pas la peine de confier cela aux médias avec cette vidéo on te tient par les couilles." La main de Robert progressait. Julien approcha son visage du mien et à contre cœur je lui permis de m'embrasser. C'était la première fois que je me laissais faire par deux hommes et il faut avouer que j'avais un peu peur. Sous la caresse de Robert et de Julien, sans m'en rendre compte j'étais nu devant ces hommes. Robert m'ordonna de me mettre a genou devant eux. Je le fis. Ils défirent tous deux leur braguette et sortirent leur zob. Deux belles bites se dressèrent devant moi. Tandis que je les suçai, eux s'embrassaient et se caressaient mutuellement. Couché sur le ventre, les fesses bien écartées et cambrées, j'offrais à ces deux messieurs une excellente vue sur ma croupe. Je sentis quelque chose d'humide se poser sur ma raie. C'était la langue de Robert. Il me caressait la rosette avec sa langue comme on le fait pour une chatte. C'était une sensation nouvelle pour moi qui me plaisait bien. On me tourna sur le dos. Julien s'enfila une capote puis se plaça devant moi. Julien entrait et sortait doucement en moi, tout en délicatesse. Quand il aperçu que j'étais assez préparé il alla de plus en plus vite. Julien me laboura le cul a la vitesse maximale et dans dix bonnes minutes il explosa dans sa capote. Robert vint se placer derrière moi et regarda mon trou bien dilaté par la queue de Julien. La bite de Robert était plus grosse. Il força un peu et je sentis mon trou se déchirer mais j'avais envi qu'il me baise. Une nouvelle sensation se manifesta en moi, j'avais l'impression de jouir du cul. Et ce qu'il y avait de merveilleux a jouir du cul c'est que cela pouvait durer des minutes voir des heures. Trente minutes se sont écoulées depuis qu'il me limait sans prendre pause. Et dans une éjaculation phénoménal, il se relâcha dans sa capote. Robert et Julien se rhabillèrent et s'en allèrent en me jetant un dernier sourire. Moi je restai là, nu, couché sur le bureau, me remettant de ma première baise à trois et étonné du piège que Marvin m'avait dressé.
Je m'étais endormi sur le bureau où l'on m'avait baisé. Je me rhabillai et sorti du bureau. Je passai devant le bureau de Patrick le secrétaire de mon patron et vit qu'il était toujours là. " Je m'en vais maintenant, me dit-il. Tu veux que je te conduise quelque part? - Oui, merci. J'aimerais me rendre chez Marvin." D'ici dix minutes nous étions déjà dans la voiture de Patrick. Il était 18H15mn. Patrick changea de route et s'enfonça dans une sombre ruelle. Il stationna et verrouilla toutes les portes. " Tu sais, commença-t-il, j'ai toujours su qu'un jour tu prendra ma place." Patrick était plus jeune que moi. Maintenant que j'y pense, il vient juste de fêter ses 23 ans. Et c'est vraiment rare de trouver des employé qui ne dépasse pas 25 ans toucher un salaire comme le sien. J'ai compris à ce moment la phrase qu'il m'a lancé. J'ai compris qu'avant moi, Robert et Julien couchait avec lui. C'était donc en couchant avec eux qu'il se faisait de l'argent pour s'acheter cette belle caisse. Atterré par ce que je venais d'apprendre je ne répondis aucun mot. Patrick mis sa main entre mes jambes. Je frémissais déjà à l'idée de ce qui allait se passer dans cette voiture. Patrick se pencha sur moi et prit ma verge dans sa bouche. Cela se sentais qu'il était un expert en suçage de bites. Il dégrafa son pantalon et j'ai compris qu'il voulait que je lui rende la pareille. C'est ce que je fis. Loin d'être longue ou de longueur normale, elle était petite. Si la queue de Patrick n'était pas efficace pour la sodomie, elle l'était pour la fellation. Son sperme avait bon gout. Nous étions en sueurs et trempions les chemises que nous portions. Patrick me conseilla de passer sur la banquette arrière où nous serions plus à l'aise. Je passai le premier puis il vint me rejoindre en se mettant en califourchon sur moi, les jambes très écartées, me donnant face. Les mains posés sur ses hanches, je guidai le mouvement de haut en bas qu'il faisait sur ma pine. Il ne tarda pas à crier comme une gonzesse. Je le faisais monter au plafond dans les deux sens du termes. Dans quelques instants seulement, je jutai en lui et lui sur ma chemise bleue qu'il tacha.
La voiture s'arrêta devant l'immeuble où vit Marvin. Je saluai Patrick une dernière fois avant d'y entrer. Dans l'ascenseur j'ai croisé une vieille dame qui regardait la tache de sperme que Patrick avait éjaculée sur ma chemise bleue. Sans trop savoir pourquoi je lui ai lancé que je branlais un pote. Elle a détourné les yeux avec dédain et stoppa l'ascenseur. Voilà que je suis maintenant victime de l'homophobie.
Je suis arrivé à l'étage de Marvin et quand je frappai à la porte, je fus étonné de la trouver ouverte. Je trouvai Marvin assis, nu, sur dans son fauteuil et son inséparable verre à la main. De cette scène allait naitre la conversation qui révèlera la vérité.
Je me rapprochai de Marvin pour lui poser un baiser sur la joue. Alors que je reculais, sa main s'agrippa à la mienne et il me tira pour que je l'embrasse sur les lèvres. Ce fut de toute ma vie le baiser que je partageai avec le plus d'émotion. Il me déshabilla et pour la première je me rendis dans sas chambre pour y faire l'amour. Couché sur le dos, Marvin m'offrait jambes ouvertes son cul que tant d'hommes ont pénétré avant moi. J'y enfonçai mon pénis avec douceur. Et quand nous nous sentîmes a l'aise je me mis à aller et venir en lui. Je voyais ses yeux se plonger dans mes yeux tandis que je le limais. Je lui faisais du bien. Quand j'éjaculai en lui, je restai un bon moment collé contre lui comme pour savourer ces derniers instants. Ensuite … je me rhabillai et je partis pour chez moi.
Ce fut la dernière fois que je vit Marvin et pourtant je le gardais toujours au fond de mon cœur. J'ai connu d'autres hommes après, mais jamais un comme lui. Marvin, celui à qui je dois mon homosexualité. Marvin, le premier homme que j'ai aimé.

Chers lecteurs, je vous remercie pour avoir fidèlement lu les 8 récits de la première saison de François: Le piège de Marvin. Merci pour les commentaires que vous m'avez laissés et les félicitation que vous m'avez témoigné. La saison est terminée mais une autre va débuter. Nous avons beaucoup de choses à apprendre de François. Voyons ce que l'avenir lui réserve.
Le Prince Eric.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
ton histoire est géniale.j,ai hate d;en lire d;autres alain

Histoire Erotique
slt j ai bcp aimé tes histoires j aimerai aussi connaitre ca pcq jusque la je suis
toujour vierge du cul bzu



Texte coquin : Francois 8
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