Garçon ? fille ? Ma réponse : Lamia
Récit érotique écrit par Lamia69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Lamia69 ont reçu un total de 29 949 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 10 713 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Garçon ? fille ? Ma réponse : Lamia
Dans mon premier récit, je me suis livrée à vous. Un peu de pourquoi je suis comme cela, un peu de comment cela est arrivé et où cela me mène : dans les bras de femmes, d’hommes. Beaucoup de questions sont toujours là et resteront, je n’en n’aurai probablement jamais de réponse mais je continue ma quête, vous m’y accompagnez ?
C’est certain que ma personnalité féminine était appréciée de mes amies. Par la suite, certaines d’entre elles découvriront ma douceur, ma recherche de leur plaisir…Un jour je me balade sur les hauteurs de la ville estudiantine, il fait super beau. J’ai le temps de la journée car je n’ai pas cours.
J’en ai profité pour enfiler une petite robe à fine bretelle toute fleurie, toute vaporeuse et assez courte. Je ne porte aucun sous vêtements dessous. Je n’ai pas absolument l’idée de faire une quelconque rencontre, mais c’est pour moi l’idée de la liberté, liberté d’exhiber mon corps au soleil, liberté d’exhiber ma féminité et de la vivre pleinement sans entrave. C’est vrai que mes co-locatrices savent tout de ma personnalité mais en-dehors de cela, personne d’autre. Là, en ce moment, je ne m’en soucie guerre, je suis assez éloignée de mon institut et j’ai juste l’envie de profiter des rayons du soleil, quand de loin je reconnais une de mes professeurs, l’effet est instantané, la chaleur me monte au visage, il n’y a aucun doute je suis rouge comme une pivoine !!! Ca doit bien aller avec ma perruque auburn lol mais bon… Deux solutions s’offrent à moi, faire demi tour et éveiller sa surprise ou la croiser sans le moindre souci. Elle ne me reconnaitra certainement pas. Je fais ce pari. Je la croise, elle ne s’arrête pas mais me salue avec un joli sourire, je fais de même. L’après midi se poursuit, je suis vraiment fière de moi, d’avoir eu le courage de continuer mon chemin. Le lendemain, dans ma spécialisation j’ai un cours de danse justement avec la dame croisée le jour précédent. J’adore ce cours. Une belle manière de livrer ma personnalité. Que ce soit en livrant mes émotions, mon corps mais aussi ma féminité dans mes tenues. Pas question d’avoir ces moches shorts et tee-shirt. Là aussi go vers les rayons filles des magasins de sport. Petits shorts, collants, hauts cintrés et colorés… Ce jour là, la journée d’hier est loin derrière moi sauf que mon humeur est au beau fixe et la couleur de ma peau a pris le soleil. C’est avec un petit short collant et un tee-shirt assorti que je me présente au cours. La professeur, je l’appellerai Caroline est une quadra bien dynamique autant au niveau de son corps que dans sa personnalité. Rousse, ses taches de rousseurs ne font que ressortir son sourire et ses yeux bleus. Elle a un corps mince, filiforme, mais je n’y ai jamais vraiment prêté attention. Pour moi c’est un modèle de féminité. C’est vrai que je ressens aussi n’avoir pas le même regard qu’un « homme » sur les femmes. Je les envie mais sans les jalouser, je les trouve charmante, belle même parfois mais sans avoir envie « de me la faire tellement qu’elle est bonne ». « Alors on a pris le soleil je vois » « Roh oui j’ai bien profité de la belle journée d’hier » « Oui j’ai vu cela et ça laisse des traces » Moi ne sachant pas comment réagir à ses paroles je lui ai simplement regardé dans les yeux, ne laissant rien paraître, souriante. « J’espère que le soleil d’hier et ta balade t’on donnés l’inspiration, allez au travail, prend place je lance la musique » Et me voilà partie en improvisation sur cette musique que j’entends pour la première fois. Je me laissai aller, comme d’habitude corps et âme. A la fin de la musique, j’ai toujours l’habitude de m’asseoir pas loin d’elle pour entendre ses remarques et conseils.
Elle me regarde souriante dans un silence qui n’est pas habituel. Et me dis : « Je comprends mieux maintenant » je garde le silence en la fixant et en attendant ce qui va suivre mais rien ne suis. Son silence m’angoisse. « Quoi madame » Elle me répond du tac au tac « ta féminité… tu sais tu es le premier garçon enfin, si je peux encore te voir ainsi, qui m’inspire autant. Jamais, je n’ai eu un garçon qui se livre autant, qui livre autant ses émotions sans barrière. Je me suis dit à plusieurs reprises que je n’ai jamais vu cela, j’ai essayé de trouver des réponses mais bon… Elle continue à me fixer et attend peut-être une parole de moi, mais moi je ne sais lui répondre qu’avec mon sourire et des larmes qui me montent aux yeux et qui coulent à présent. « Pourquoi pleures tu, je suis désolée je n’aurais peut être pas du… » « Non madame, ne vous inquiétez pas, je ne suis pas triste, c’est juste que vous êtes la première personne qui me parlez comme cela ». Et on s’est regardé comme cela pendant un temps qui m’a semblé une éternité, j’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais mais d’autres personnes sont arrivées et je me suis retirée de la salle de cours sans revenir, je n’aurais pas pu.
Ce moment m’a totalement bouleversé et me bouleverse encore actuellement. C’est toujours avec des larmes dans les yeux que j’en parle. Une personne, enfin, qui voit ma féminité comme quelque chose de beau, de bien, de positif, loin des « t’es bonne, tu baises, tu me suces, tu es une véritable salope et j’en passe plein d’autre parfois très difficile à entendre comme « salle tapiole »… » Le soir, je suis restée dans ma chambre a travailler et a écouter de la musique. Le lendemain de retour à l’école je croise ma prof de danse et nos regards se croisent mais heureusement elle n’est pas seule. Elle m’appelle en interrompant sa conversation je me retourne et la regarde mais, éteinte, je n’avais pas de ressort. « Je voudrais te voir tout à l’heure vers 16h si tu n’as pas cours, c’est possible ? » « Oui madame » Pas de sourire, ce n’est pas mon habitude, pourtant je n’ai rien à lui reprocher que du contraire. A 16h je me rends dans son local et elle me demande de venir à coté d’elle. Nous avons l’habitude de nous asseoir au sol sur les tapis. « Ecoute, je suis vraiment désolée pour hier, je n’aurais peut être pas dû mais j’étais heureuse de te dire cela et je pensais que tu le serais aussi » « Je le suis madame » « mais alors pourquoi es tu partie, pourquoi tu as perdu ton sourire » « je ne sais pas madame, je m’excuse c’est de ma faute, ça m’a fait plaisir ce que vous m’avez dit hier mais » « mais quoi » « je suis bouleversée en faite, vous êtes la première personne qui voyez et me parlez de ma personnalité et je suis toute… » « toute gênée, ennuyée » « je ne sais plus où me mettre, beaucoup de chose sont dans ma tête et il faut peut-être que j’y remette de l’ordre » « ok, je suis désolée c’est de ma faute tout ça, je n’aurais certainement pas dû » « Non madame, merci c’est le plus beau cadeau que l’on ai pu me faire, mais bon » « Ne t’inquiète surtout pas, moi je te connais mais je ne partagerai jamais ce que je sais, c’est a toi que cela appartient et uniquement à toi » et dans un sourire et encore mes yeux pleins de larmes je lui dis « et à vous aussi maintenant » Elle sourit et pour la première fois elle me toucha le visage et en séchant mes larmes elle me répondit « oui à moi aussi » avec son plus beau sourire. « Bon, il faut fêter cela non ? tu es en kot ici ? » « oui madame » « tu as quelque chose de prévu ce soir » « heu non madame pourquoi ? » « 19h chez moi ça te va » « mais madame » « quoi tu refuses mon invitation ? « mais madame » « quoi mais madame, j’invite qui je veux non ? » « oui madame » « alors ce sera 19h chez moi, je te donne l’adresse prends de quoi noter tu peux venir à pied ce n’est pas loin » Elle me donne l’adresse et elle se lève pour me quitter précipitamment mais au dernier moment elle se retourne et se rapproche très fort de moi. « Bon, ça s’est pour me rassurer moi, cet invitation reste autant entre nous que ta féminité et… » « Quoi madame » « tu as un nom, enfin je veux dire tu as choisi un autre nom ? » et presque en sanglot je lui dit « oui madame, Lamia » et elle me dit « à tout à l’heure Lamia, nous ne serons que nous deux, tu viens comme tu en as envie mais sois belle hein » Elle me prend la main en me disant ça et elle me fait un bisous sur la joue comme une adolescente qui vient de voler un bisous avant de s’enfuir. Et moi je reste comme sur un nuage.
Comment me remettre de cela !! Je marche vers mon kot, complètement égarée. Je n’ai aucune question et pourtant, je suis perdue. Mais vite je suis revenue sur terre par ma coloc qui vient d’arriver. « Alors ma belle que se passe t’il, tu as les yeux globuleux on t’a annoncé une mauvaise nouvelle ? » « non » mais mon non ne lui satisfait pas elle se plante devant moi « bon ma belle, tu es toujours là pour nous alors fais moi plaisir tu me dis et tout de suite ce qui ne va pas, je ne partirai pas tant que tu m’as pas dit »Et n’ayant pas le choix je lui expliquai ce qu’il s’était passé ces trois derniers jours. Elle ne m’interromp pas et a vraiment l’air d’écouter ce que je lui dis, ça me fait vraiment du bien d’en parler.
« Alors qu’est ce que t’attends » « bein il est 17h30 tu as une heure et pas minute de plus, tu dois t’habiller et te maquiller, te faire belle quoi, t’as vu ta tête ». Sur le coup j’ai été surprise et on s’est mise à rire toute les deux et elle m’a prise dans ses bras et m’a serré très fort. « je suis contente pour toi ma belle, tu le mérites » « Arrête tu vas encore me faire pleurer » « oh non hein, haut les cœurs, va prendre ta douche je t’attends et on regarde ensemble ce que tu vas mettre, car je te laisse pas partir sans que j’ai mis mon grain de sel » Et me voilà partie, plus légère vers la salle de bain. A peine j’y suis, Laura, ma coloc, rentre dans la salle de bain. « Bon je t’ai mis un ensemble, je l’ai jamais mis car j’ai pris du poids depuis et je pense qu’il t’ira, je t’ai mis aussi une robe qui devrait t’aller tu passes ça et tu viens te montrer dans ma chambre j’ai les chaussures qui vont avec et tu râles pas tu m’écoutes pour une fois » voilà qui est dit. Vingt minutes après, je me suis douchée, j’ai mis une crème de corps. Et je vois ce que Laura est venue me donner comme vêtements. Un ensemble string, soutien en dételle de la marque « tu vois tout » et une robe de la marque « tu peux rien rater » Je monte dans sa chambre avec ses vêtements et je frappe à sa porte. « T’es habillée ? » « non tu crois quand même pas que je vais mettre ça ? » « quoi tu ne m’as pas entendu tu t’habilles, tu la fermes et tu viens après » Je redescends vers ma chambre en râlant mais n’ayant pas trop le choix, enfin si mais… je mets les sous vêtements que Laura m’a amené : un string corail et je suis agréablement surprise de son confort et en plus il me va bien. Je passe le soutien et là aussi je suis surprise, il est muni de coussinets à la base du bonnet qui ne font que mettre ma poitrine naturelle en valeur, il me fait clairement de beaux petits seins. Je suis tellement excitée et emballée de l’image que je vois dans la glace que j’enfile la robe. Je me rends compte que Laura me regarde depuis le début de mon essayage car j’ai mal refermé ma porte. Elle est là, souriante et fière d’elle, c’est vrai que..
elle peut. Je me retourne vers elle, qui me sourit et qui attend que … « t’attend quoi? t’es fière de toi ? » et sans un mot « elle me regarde souriante et me fais un oui de la tête et esquisse une danse d». Nous nous mettons à rire et nous nous tombons dans les bras l’une de l’autre. « Tu es superbe, wouaww tu es à croquer » « merci, mille fois merci d’être là » « bon viens avec moi tu vas essayer les chaussures » Je la suis. « Voilà tu es prête et oui je suis très fière de moi, bon comment dois-je t’appeler ? Mademoiselle ? Madame ?? » « Mademoiselle Lamia » « Bon mademoiselle Lamia tu seras prudente de ne pas te faire trop draguer sur la route hein ou sinon tu n’arriveras jamais chez ta prof » « oui ma chérie promis et encore merci » « tais toi et viens me faire un bisous » et elle me tend sa joue et je lui fais un bisous. Nous nous regardons et je lui refais un bisous sur ses lèvres auquel elle répond. C’est la première fois que nous nous embrassons depuis notre première soirée, mais c’est vraiment un bisous de tendresse et pas d’envie et je la reprends dans mes bras en la serrant très très fort. « Vas y tu vas être en retard » Je prends une grande respiration et elle me suit jusqu’à la porte d’entrée. En allant, je passe par un petit magasin pour prendre une bouteille de vin, je ne peux quand même pas aller les mains vides. Le monsieur au comptoir souriant me salue en me disant : « merci mademoiselle, bonne soirée à vous » « Merci monsieur » qu’est ce que je suis bien et fière de moi. Et Je marche jusque le domicile de ma professeur, envahie par pleins de sentiments de fierté de légèreté de surprise, que c’est bon d’être femme et de se balader comme cela, de croiser le regard et le sourire des autres. J’arrive devant une belle villa avec un jardin tout autour. Je sonne et la barrière du jardin s’ouvre. J’entre, je me retrouve dans le jardin, je me dirige vers la porte d’entrée de la maison. Très vite la porte s’ouvre et je vois ma prof qui vient m’accueillir. Elle est tout sourire, habillée d’une très belle et longue robe bleu ciel qui fait ressortir ses yeux et ses cheveux roux. Très vite j’attrape une boule au ventre et je me rends compte que j’arrive chez elle habillée en fille comme si cela était tout à fait normal, j’ai un trac fou, j’ai envie de m’enfouir, mais… « Oh que je suis heureuse de t’accueillir » Ca a l’air vraiment sincère. Elle vient à ma rencontre et me tend ses bras. Je lui souris, un peu gênée mais elle pas du tout et me prend dans ses bras très très fort. Moi la bouteille à la main je n’ose même pas poser mes mains sur elle. Elle se sépare de moi rapidement se reprenant et s’écarte en me tenant la main, elle me regarde de bas en haut souriante, « qu’est ce que t’es belle, comme ça wouaouww » « merci madame » et je lui souris bêtement. « Viens » Et elle m’entraine toujours en gardant ma main dans la sienne vers l’entrée de sa maison. Nous voilà rentrées, elle se retourne vers moi prends la bouteille de ma main « c’est pour m’enivrer que tu as pris cela » et elle rit en déposant la bouteille et directement me reprend dans ses bras en me serrant très fort. Moi toute déstabilisée je dépose mes mains dans le bas de son dos et profite de ce moment. Elle se détache de moi et me regarde « tu as peur de me faire mal que tu ne me sers pas dans tes bras ? ou alors c’est peut être que je suis trop vieille et trop moche que tu as peur d’attraper mon aspect ou alors… je ne sais pas moi… si j’ai couru dehors c’est parce que j’avais très envie de t’avoir dans mes bras alors s’il te plait laisse tomber le madame et dis moi quelque chose » « Merci pour l’invitation Caroline » « tout le plaisir est pour moi Lamia et c’est très sincère, viens je vais te faire visiter ma maison et elle m’entraine dans sa demeure » Le living, la cuisine, le salon « on continue ? » « heuuu oui si vous voulez » et nous montons à l’étage. « J’ai une grande maison dans laquelle je vis seule, mes enfants son partis et mon ex mari aussi » Elle me fais visiter les chambres qui doivent être les anciennes chambres de ses enfants « et là c’est la mienne » et elle m’entraine à l’intérieur. Celle-ci est grande avec un grand lit en plein milieu, une grande porte fenêtre garnie de rideaux blancs laissant le soleil rayonner à l’intérieur de la chambre. Viens elle m’entraine vers une autre pièce derrière une porte, « voici mon coffre fort ». C’est un grand dressing avec ses vêtements rangés ses chaussures et une très très belle coiffeuse ou l’on peut voir ses bijoux, maquillages. Je rentre et je suis sans voix tellement il y a des tenues différentes, de genres tout à fait différents « wouaouww c’est une vrai caverne d’Ali Baba » « oui, j’aime les vêtements, les chaussures… une vrai petite femme comme toi. Regarde ça c’est pour les sorties, ça pour la détente, ça pour le sport et j’ai bien souvent les chaussures assorties !!! Viens ce n’est pas fini » dans le fond du dressing il y a encore une porte qu’elle ouvre pour donner sur une immense salle de bain avec une grande baignoire ronde au milieu, une douche, une double vasque. « Vous êtes vraiment bien installée madame » « comment ??? » « pardon Caroline » « bon encore une fois madame et tu as un gage, bon on va se prendre un verre ? » « Oui Caroline » et nous descendons rejoindre sa cuisine. Elle a un snack ou se trouve deux verres et une bouteilles «Bon Lamia tu veux bien t’occuper de nous servir un verre ? Ca te va c’est du champagne » « Oui Caroline mais il ne fallait pas » « Bon écoute ma belle, tu vas arrêter avec ta gêne à deux balles, c’est plutôt moi qui devrait être gênée d’avoir invité chez moi une jeune élève que je meurs d’envie d’embrasser depuis que je l’ai croisé sur le chemin, alors soit qu’on en reste là et on oublie tout ou soit que tu arrêtes de te plaindre, moi aussi, et je t’embrasse comme ça c’est fait et basta »Je ne sais que répondre. Elle me regarde « c’est oui ou c’est non ? » je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle s’avance et m’embrasse d’un baiser sur les lèvres bien maintenu en me serrant par la taille « si ça t’ennuie que j’ai fait cela, je suis désolée si tu as aimé tant mieux, si tu veux tu peux partir je ne dirai rien du tout et à personne et j’espère que toi non plus, voilà comme ça j’ai autant de gêne que toi c’est bon on peut continuer ? Alors maintenant tu sers un verre ou tu m’embrasses c’est comme tu veux. Et là, je m’avance vers elle, je lui prends la main et je lui dépose un baiser sur ses lèvres. Elle elle me sert dans ses bras, elle maintient la pression de sa bouche sur la mienne et sa langue se fraie un chemin dans ma bouche pour rejoindre la mienne pour une danse endiablée. Notre baiser se fait passionné, elle quitte ma bouche pour m’embrasser dans mon cou. Ses mains se balade sur ma robe de mon dos vers mes fesses qu’elle presse de ses mains. Je ne sais m’empêcher de laisser passer un petit gémissement qui ne fait que l’encourager à continuer et reprendre possession de ma bouche. Mais mains à moi sont dans son dos et je n’ose pas beaucoup les bouger, elle ne se balade que dans le bas de son dos pour remonter au milieu de celui-ci. Mais elle, toutes les barrières sont tombées, elle me caresse les fesses, les serre très fort, je sens aussi son bassin qui se presse contre le mien comme si elle voulait sentir mon sexe contre elle, mais j’ai pris soin de le caller dans mon string entre mes cuisses pour qu’on ne le remarque pas. Elle quitte ma bouche et me regarde en maintenant la pression sur mes fesses. J’ai l’impression qu’elle vient de courir un marathon, elle respire fort, elle transpire et son visage se déforme par l’envie. « Je suis vraiment désolée Lamia de ce qui se passe, j’ai essayé vraiment que ça n’arrive pas mais, depuis que je t’ai vu je n’ai pas arrêté de penser à toi, je me suis même caressée et me suis fais jouir en pensant à toi. Et là que tu es là à coté de moi je n’ai pu m’empêchée, ne m’interromps pas s’il te plait ce que je vais te dire est important. J’ai perdu l’amour il y a 8 ans, je n’ai plus jamais eu une seule aventure parce que je n’en avais pas envie ni besoin. Depuis que je t’ai vu il y a trois jours, je suis bouleversée comme une adolescente, alors voilà je me suis livrée à toi à ce que tu voudras ou ne voudras pas. Comme je te l’ai dit tu peux partir, je ne t’en voudrai pas du tout, ni ne t’en voudrai jamais. Je ne dirai rien à personne, je ne me vengerai pas, c’est plutôt moi maintenant qui ne sait plus où me mettre voilà je t’en prie dis moi quelque chose ». « Je ne sais pas quoi te dire Caroline, mais… je… » « Tu quoi, tu veux partir ? je le comprendrais ne t’inquiète pas » « non !! Je ne veux pas partir !! Je ne t’en veux pas du tout que du contraire, mais… » « mais quoi » « je ne veux pas être déçue, je ne veux pas tomber amoureuse, je ne veux pas t’ennuyer » « écoute, tu as plein de questions et moi aussi et elles sont certainement nombreuse à être identique, j’ai envie de profiter du moment présent avec toi et on verra pour la suite mais ce qui est sûr c’est que mon désir n’est pas de te faire souffrir car j’en souffrirais aussi » Nous nous sommes embrassée toute les deux passionnément en nous caressant, moi qui avait peur de la caresser là mais mains sont parties sur tout son corps en commençant par l’entièreté de son dos pour descendre sur ses fesses, ses jambes et j’ai même osé frôler le galbe de ses seins. Nous nous sommes de nouveau regardée pour nous ré embrasser avec douceur et nous détacher l’une de l’autre. « Serre nous un verre, je nous ai préparé des soushis je ne t’ai pas demandé si tu aimais car je suis presque sûr que oui » « je l’ai regardé en souriant et en lui répondant par un joli baiser » toute mes barrières étaient tombées mes peurs aussi. Je nous ai servi un verre elle a sorti le plats de sushis et deux paires de baguettes elle en a saisi une paire pour prendre un sushi et le porter à ma bouche. Je l’ai saisi pour le déguster. Pour ma part j’ai pris son verre et lui ai donné, j’ai saisi le mien et j’ai levé mon verre en la regardant et lui disant « à nous » elle m’a sourit et a répondu « à nous mon amour » et nous avons bu. Nous avons passé quelques temps à boire manger et elle m’a raconté son passé, son mariage, ses enfants son ex mari parti avec une autre femme. Ayant fini son plat ainsi que la bouteille, elle se rapproche de moi et me dit « merci d’être là Lamia » « merci à toi Caroline de m’avoir invitée » « Tu veux rentrer, tu as cours demain ? » et machinalement je lui ai répondu « oui j’ai cours madame oups pardon Caroline » « elle me regarda, me fusillant du regard, tu ne m’as pas ratée là, tu vas me le payer… ton gage c’est d’être obligée de passée toute ta soirée avec moi, contre moi » « rohhhh quel gage… je n’en n’ai pas du tout envie » Nous nous sommes mises à rire toutes les deux. « Alors viens tampis pour toi, suis moi et prends les verres » elle passa devant le frigo repris une bouteille de champagne et monta jusque sa salle de bain. Elle ouvrit la fenêtre, alluma quelques bougies et fit couler l’eau de sa grande baignoire. Elle se dirigea vers son dressing et revint avec une boite en osier qu’elle déposa près de la baignoire sur une petite table qu’elle installa. Débouche la bouteille ma belle et reserre nous un verre. Ce que je fis. Elle me dit aussi « ça ne te dérange pas » « quoi ? » « le bain ? » « heuu » « quoi tu as peur de me voir nue » « non mais » « mais quoi » elle s’approcha de moi, me tourna le dos et pris sa robe pour l’enlever par dessus sa tête, sa peau est laiteuse remplie de taches de rousseurs, elle porte juste une culotte bleue pâle. Elle se retourne vers moi et l’enleve. Je ne sais plus où me mettre, je suis toute rouge, je le sens et elle, elle est fière devant moi à me sourire et j’entends me dire « à toi maintenant » elle approche les mains de mes épaules pour saisir les bretelles de ma robe et les faire glisser le long de mon corps. Elle se retrouve accroupie pour me la retirer et défaire les boucles de mes chaussures. Elle leve la tête qui est juste en face de mon string un peu déformé malgré tous mes efforts. Elle dépose un bisous dessus et remonte debout devant moi, elle passe derrière moi pour me déposer maintenant un bisous dans la nuque et dégrafer mon soutien gorge et le laisser glisser au sol. Elle descend ses mains dans mon dos toujours en me déposant des bisous dans le cou et passe une main sous mon string pour le descendre. Elle revient devant moi sans regarder quoi que ce soit et prend ma main pour m’emmener dans sa baignoire. Face à face. Je prends les verres lui en tend un et elle se rapproche de moi pour m’embrasser avant de trinquer. « à nous ma chérie » « à nous ma chérie ». Et elle s’enfile tout son verre d’une traite comme pour lui donner du courage, elle le dépose et me regarde. Je fis de même.
Calée dans la baignoire, elle est près de moi. Elle se met à genoux et se glisse entre mes jambes. Ses genoux sont près de mon sexe. Elle me prend dans ses bras et m’embrasse, nos langues se sont rejointes pour un baiser passionné. Ses mains me caressent le dos. Sa bouche voyage de ma bouche à mon cou vers mes seins pour me prendre les tétons en bouche et les mordiller. J’adore cela, ça me donne de véritables secousses dans le bas de mon dos elle aime et y joue. Mon sexe se dresse et vient maintenant tout contre ses genoux et ses jambes. Mes mains la caressent, son visage, son cou, son dos, ses fesses ses jambes et elle se redresse. Son corps vient à ma rencontre se coller à moi, se frotter à moi. Je me redresse car je ne suis pas bien mise et elle en profite pour saisir mon sexe en main et descendre sur mes testicules et ensuite vers mon petit trou pour remonter sur mon sexe. Moi je suis déjà prête à jouir très vite tellement ce moment m’excite à mort. Elle le voit et me sourit « pas tout de suite mon amour je te veux encore et encore ». A ces mots, je la sers tout contre moi et je mets mes jambes autour de sa taille à telle point que j’ai mon sexe contre le sien ce qui l’électrise et elle le fait coulisser entre ses lèvres tout en gémissant. Nous tenons ce mouvement pendant un moment tout en nous regardant dans les yeux. Nous arrêtons car je suis trop au bord de la jouissance. J’en profite pour me redresser tout à fait et resservir un verre. Nous sommes toutes les deux très excitée par ce qu’il se passe mais en même temps nous avons envie de prendre tout notre temps et de profiter du moment qui nous est donné. Je lui passe son verre je me mets contre elle pour la prendre dans mes bras et nous buvons comme cela en récupérant un peu et faire redescendre toute l’excitation dans laquelle nous sommes. O. Après un moment je me redresse, prends son verre et les déposes et je prends Caroline dans mes bras face à moi et je l’assieds sur le bord de la baignoire. je l’embrasse et ma bouche descend vers ses seins pour les lécher l’un après l’autre saisir ses tétons qui sont tout tendus et les mordille. Elle gémit et son corps s’arque vers le mien et sa tête balance vers l’arrière. Ma bouche descend encore vers son nombril pour arriver à son sexe tout ouvert tel une fleure. Je commence à lui lécher légèrement ses lèvres pour descendre à l’intérieur de son sexe, remonter vers son clito.
Son bassin bouge comme pour venir à la rencontre de mes mouvements. Je saisi son clito entre mes lèvres et le fait tournoyer ma langue dessus. Elle est proche de l’orgasme et je la fait redescendre en reprenant ses lèvres et puis je redescend vers son puit d’amour que je pénétre avec ma langue pour aussi stimuler son poing G que je sents tout gonflé. Je remonte ensuite de nouveau à l’assaut de son clitoris et avec un doigt je pénétre dans sa grotte lentement pour venir glisser sur sa parroit rugueuse et turgescente. Je sents son orgasme monter d’une façon impressionnante tellement il semble profond. Elle me prend par la nuque pour coller ma bouche à son sexe et éviter que son orgasme lui échappe cette fois. Elle se met à véritablement crier pendant qu’un jet inonde ma bouche. Elle relâche petit à petit l’emprise pendant que moi je continue à lui embrasser son sexe plus doucement mais d’un coup je reprends mon emprise sur son clito et je réintroduis un doigt puis deux doigts en les agitant dans son sexe et de nouveau elle repart aussitôt dans un nouvel orgasme mais cette fois je dois la tenir car elle s’écroule littéralement. Elle vient s’écrouler dans mes bras essayant petit à petit à reprendre ses esprits. Il lui faudra au moins cinq minutes avant de me dire. « tu es vraiment pas gentille de me mettre dans des états pareils, j’ai failli perdre connaissance !!! Mooooh et en plus je me suis complètement laissé allée, je suis désolée. Je t’ai fais pipi dessus… » « Arrête, mais non, tu as joui c’est tout, c’est pas de l’urine » « c’est la première fois que ça m’arrive, je n’ai jamais joui de la sorte, je savais pas que ça pouvait exister un orgasme pareil et deux fois en plus et de suite rohhh Lamia je vais tomber amoureuse et je ne peux pas » « arrête tes bêtises Caroline » « Lamia j’ai encore envie de toi, je te veux en moi » Caroline me prends la main, nous sortons de la baignoire et elle m’emmène vers sa chambre. La chambre est encore baignée de la lumière extérieure. Arrivés devant le lit, elle se met devant moi et me pousse sur celui-ci sur lequel je me retrouve assis. Elle se penche et m’embrasse puis quitte ma bouche, elle descend sur mes seins qu’elle vient littéralement manger.
Je ne peux m’empêcher de gémir des sensations qu’elle me donne. Sa bouche sur un de mes seins, une main sur l’autre à me pincer et tirer sur le téton et son autre main sur mon sexe qu’elle caresse et masturbe. Elle descend sa bouche, se retrouve à genoux entre mes jambes et regarde mon sexe qu’elle caresse maintenant avec ses deux mains.
Sa langue effleure mon gland, l’embrasse pour ensuite le prendre en bouche. Je sens sa langue qui glisse sur mon gland, qui l’enveloppe. Ses mains prennent mes fesses pour maintenir la pression et que je ne recule pas. Sa bouche prend maintenant l’entièreté de mon sexe, elle le gobe et commence à faire des allers et venues très rapides comme si elle désirait me faire venir très vite. Mais non, ses mains quittes mes fesses pour me pousser à me coucher sur le lit ce que je fais, sa bouche glisse maintenant tout le long de mon sexe vers mes testicules qu’elle gobe. Ses mains passent sous mes cuisses et relève mes jambes sur ses épaules et d’un coup elle fait glisser mon corps vers elle. D’une main elle attrape mon sexe pour le masturber pendant que sa bouche et sa langue tournent sur mes testicules. Sa langue descend vers mon petit trou pour le lécher et pour le pénétrer. Moi, je n’en peu plus, elle va me faire jouir sous son traitement, elle est déchainée, mais elle arrête d’un coup et me regarde avec des yeux et un sourire espiègle. Elle se dégage de mes jambes, se redresse tel un animal sur sa proie et viens m’embrasser en me disant « ne bouge pas je reviens ». Merci de me laisser souffler un instant et redescendre sur terre mais je n’ai très peu de temps que je l’entends revenir. Elle monte sur le lit à genoux et me dis « Viens ». Je me redresse et sur les genoux je viens en face d’elle. Nous nous embrassons et me tenant la nuque elle me fait basculer en avant. Je me retiens comme je peux, sa main glisse dans mon dos, elle quitte ma bouche et appuie sur mon dos, je me retrouve sur le ventre sur le matelas. Elle monte sur mon dos et commence à me masser celui-ci et au fur et à mesure je sens ses mains descendre en même temps que son corps. Elle masse à présent mes fesses et se place entre mes jambes à genoux et m’oblige ainsi à les écarter. J’adore ce qu’elle me fait. Mes fesses c’est là où toutes mes terminaisons sensorielles arrivent lol. Elle me malmène mes fesses, les écartes, les écrasent et un doigt appuie sur mon petit trou, il rentre. Je ne peux m’empêcher de relever mon bassin et de son autre main elle vient reprendre mon sexe qu’elle masturbe de nouveau. Je suis à présent à 4 pattes. Elle me mord les fesses, un deuxième doigt vient rejoindre le premier dans mon cul. Sa bouche se déplace et maintenant elle retire ses doigts et sa bouche vient prendre le relais. Elle me pénètre de nouveau de sa langue. Je la sens se redresser et je sens maintenant quelque chose de froid qui frotte sur mes fesses et qui vient se placer sur mon petit trou.
Je le sens pousser, forcer l’entrée. Elle me maintient pour que je ne bouge pas. Je sens un objet me pénétrer et s’enfoncer en moi lentement. Je sens maintenant son corps contre mon cul, ça veut dire qu’elle a enfilé quelque chose sans que je le vois et qu’elle est toute entière en moi. « Je vais te baiser » Elle commence à faire des vas et viens, elle se déchaine et elle a l’air d’y prendre énormément de plaisir, à tel point qu’elle commence à me dire « tu aimes hein » « tu me sens bien en toi » « je vais te faire jouir de ton cul » et pleins d’autre choses ce qui ne fait que me stimuler et m’entrainer à l’encourrager en lui disant « oh oui prends moi » « baise moi » « vas y fais moi jouir » « je suis ta chose »… Je la sens maintenant se retirer mais très vite je sens qu’elle me pénètre avec autre chose de plus gros encore mais qui rentre sans soucis, elle l’introduit jusqu’à la base et mon cul vient se refermer autour de celle-ci. « Assieds toi au bord du lit » Avec ce qu’elle m’a introduit ce n’est pas facile et je suis vraiment perdue mais j’obéis à sa voix. Assise au bord du lit, elle se plante devant moi avec comme je l’ai deviné une espèce de culotte avec un sexe assez épais et long. « Suce moi » et moi d’approcher ma bouche de son sexe et de le prendre en bouche. Elle me maintenant ma nuque et me pénètre littéralement la bouche comme elle l’a fait avec mon cul. « J’aimerais jouir dans ta bouche, j’aimerais me vider dedans » Elle me rendait folle. Elle me repousse sur le lit, enlève sa culotte et me monte dessus face à moi. Prends mon sexe en main et l’approche de l’entrée de sa grotte et d’un coup se laissa tomber pour m’enfoncer en elle. Elle commence à me chevaucher en se caressant les seins en se tirant les tétons, elle crie puis elle s’arque et se met à convulser, elle est occupée de jouir. Elle retombe sur moi toujours mon sexe en elle. Elle m’embrasse et me dis « je t’aime ». Petit à petit je sens de nouveau son bassin bouger, elle joue à serrer et désserer ses muscles vaginaux. J’ai à présent ses fesses en mains que j’écarte et plus je les écarte plus elle serre et plus ça lui fait de l’effet. Mon doigt se retrouve contre son anus et je la regarde droit dans les yeux en poussant dessus pour la pénétrer, elle arrête tout mouvement. Mon doigt vient de la pénétrer et elle, elle ne dit rien, se mord les lèvres et me laisse faire. J’ai à présent tout mon doigt en elle. Et elle se remet à bouger de son bassin, de plus en plus fort et de nouveau se met à convulser vers un deuxième orgasme. Je me dégage, et vient la coucher près de moi sur le ventre. J’ai toujours un sextoys qui me pénètre mais celui-ci ne me gêne plus que du contraire à chaque mouvement il vient me donner des secousses. Je viens derrière elle me frayer un chemin entre ses jambes qu’elle écarte. Elle comprend très vite ce que je veux et se redresse pour me livrer son cul. Je viens le caresser, l’embrasser, ma bouche lui mange. Je viens lui lécher aussi son sexe, la pénétrer avec ma langue, ensuite avec mes doigts pendant que ma langue lui lape son petit trou pour ensuite m’écarter. « je.. Je n’ai jamais … » « chutttt profite » Je prend mon sexe pour le glisser entre ses lèvres. Elle apprécie cela, elle gémit de nouveau et vient à ma rencontre. Mes mains caressent ses fesses puis lui donne quelques claques douces à lui malmène les fesses comme elle me l’a fait précédemment. Son gémissement devient de plus en plus sonore. Sans prévenir, mon sexe la pénètre d’une traite jusqu’à sa base et je me mets à la pénétrer plus violement. Mais mains lui maltraite aussi son cul, lui écarte les fesses, lui force de nouveau l’entrée d’abord avec un doigt, puis un deuxième doigt pour finir avec un troisième. Elle crie et tourne la tête dans tous les sens. Je me retire de son sexe et vient poser mon gland à l’entrée de son petit trou encore dilaté et lentement je me suis enfoncé en elle. C’est maintenant silencieux, elle ne bouge pas, je n’entends même plus sa respiration. Lorsque je me suis retrouvé tout entier en elle, je n’ai plus bougé et c’est elle qui a commencé à bouger, de plus en plus. A un moment dans le mouvement je me suis retiré et son anus était tout ouvert, j’ai saisi le gode dont elle s’était servie sur moi pour la pénétrer, elle a eu un sursaut mais n’a rien dit surtout qu’en même temps j’avais mon sexe à l’entrée du sien et je l’ai rempli par ses deux trous et me suis arrêté quand elle a été bien remplie. D’une main j’ai maintenu le gode entièrement enfoncé et j’ai commencé à la prendre assez violement. Elle s’est remise à crier et à se vider de longs flots de jouissance jusqu’à me bloquer d’une main et me demander d’arrêter, ce que j’ai fait. Elle s’est laissé tomber de tout son corps sur le lit. Je me suis mis dans son dos et l’ai pris dans mes bras. Nous sommes resté comme cela un très long moment. A un moment, elle s’est levée tant bien que mal et s’est sauvée dans l’autre pièce. Après un moment elle est revenue toujours nue. « Toi tu vas le regretter ce que tu viens de faire je te jure que je vais te le faire regretter, viens avec moi » elle m’attrape par le sexe et me reconduit dans la salle de bain, ouvre la douche et m’y entraine. Ouvre l’eau et la met à température et nous nous y retrouvons tout les deux la bouche soudée à nous embrasser. Il ne m’en faut pas plus pour que mon clito durcisse et se redresse. Elle s’écarte, prends du savon et commence à me savonner tout le corps. Très vite elle descend vers mon sexe en prenant le pommeau de la douche pour me le rincer et ensuite sa bouche prend le relais. Elle retrouve aussi par la même occasion le plug qu’elle m’a mis entre les fesses et commence à jouer avec tout en continuant de me sucer. J’ai senti une chaleur me saisir à la pointe de mes orteils et remonter à travers tout mon corps. « oh oui vas y Caroline, tu vas me faire jouir, t’arrête pas » je n’avais jamais crié aussi fort et j’avais vraiment l’impression que j’allais m’évanouir je sentais mes jambes défaillir. « t’arrête pas je t’en prie, tiens moi, je vais jouir » et là elle a gardé mon sexe dans sa bouche en me tenant par le plug et me collant à elle pour que je ne tombe pas et j’ai joui, je me suis vidée dans sa bouche et elle a tout avalé avant de venir m’embrasser avec le reste de ma jouissance et me dire « Lamia je veux tout partager avec toi ». Nous finirons la nuit dans son lit dans les bras l’une de l’autre. Le lendemain je n’irai pas au cours et nous passerons la journée à faire l’amour et à nous aimer.
C’est certain que ma personnalité féminine était appréciée de mes amies. Par la suite, certaines d’entre elles découvriront ma douceur, ma recherche de leur plaisir…Un jour je me balade sur les hauteurs de la ville estudiantine, il fait super beau. J’ai le temps de la journée car je n’ai pas cours.
J’en ai profité pour enfiler une petite robe à fine bretelle toute fleurie, toute vaporeuse et assez courte. Je ne porte aucun sous vêtements dessous. Je n’ai pas absolument l’idée de faire une quelconque rencontre, mais c’est pour moi l’idée de la liberté, liberté d’exhiber mon corps au soleil, liberté d’exhiber ma féminité et de la vivre pleinement sans entrave. C’est vrai que mes co-locatrices savent tout de ma personnalité mais en-dehors de cela, personne d’autre. Là, en ce moment, je ne m’en soucie guerre, je suis assez éloignée de mon institut et j’ai juste l’envie de profiter des rayons du soleil, quand de loin je reconnais une de mes professeurs, l’effet est instantané, la chaleur me monte au visage, il n’y a aucun doute je suis rouge comme une pivoine !!! Ca doit bien aller avec ma perruque auburn lol mais bon… Deux solutions s’offrent à moi, faire demi tour et éveiller sa surprise ou la croiser sans le moindre souci. Elle ne me reconnaitra certainement pas. Je fais ce pari. Je la croise, elle ne s’arrête pas mais me salue avec un joli sourire, je fais de même. L’après midi se poursuit, je suis vraiment fière de moi, d’avoir eu le courage de continuer mon chemin. Le lendemain, dans ma spécialisation j’ai un cours de danse justement avec la dame croisée le jour précédent. J’adore ce cours. Une belle manière de livrer ma personnalité. Que ce soit en livrant mes émotions, mon corps mais aussi ma féminité dans mes tenues. Pas question d’avoir ces moches shorts et tee-shirt. Là aussi go vers les rayons filles des magasins de sport. Petits shorts, collants, hauts cintrés et colorés… Ce jour là, la journée d’hier est loin derrière moi sauf que mon humeur est au beau fixe et la couleur de ma peau a pris le soleil. C’est avec un petit short collant et un tee-shirt assorti que je me présente au cours. La professeur, je l’appellerai Caroline est une quadra bien dynamique autant au niveau de son corps que dans sa personnalité. Rousse, ses taches de rousseurs ne font que ressortir son sourire et ses yeux bleus. Elle a un corps mince, filiforme, mais je n’y ai jamais vraiment prêté attention. Pour moi c’est un modèle de féminité. C’est vrai que je ressens aussi n’avoir pas le même regard qu’un « homme » sur les femmes. Je les envie mais sans les jalouser, je les trouve charmante, belle même parfois mais sans avoir envie « de me la faire tellement qu’elle est bonne ». « Alors on a pris le soleil je vois » « Roh oui j’ai bien profité de la belle journée d’hier » « Oui j’ai vu cela et ça laisse des traces » Moi ne sachant pas comment réagir à ses paroles je lui ai simplement regardé dans les yeux, ne laissant rien paraître, souriante. « J’espère que le soleil d’hier et ta balade t’on donnés l’inspiration, allez au travail, prend place je lance la musique » Et me voilà partie en improvisation sur cette musique que j’entends pour la première fois. Je me laissai aller, comme d’habitude corps et âme. A la fin de la musique, j’ai toujours l’habitude de m’asseoir pas loin d’elle pour entendre ses remarques et conseils.
Elle me regarde souriante dans un silence qui n’est pas habituel. Et me dis : « Je comprends mieux maintenant » je garde le silence en la fixant et en attendant ce qui va suivre mais rien ne suis. Son silence m’angoisse. « Quoi madame » Elle me répond du tac au tac « ta féminité… tu sais tu es le premier garçon enfin, si je peux encore te voir ainsi, qui m’inspire autant. Jamais, je n’ai eu un garçon qui se livre autant, qui livre autant ses émotions sans barrière. Je me suis dit à plusieurs reprises que je n’ai jamais vu cela, j’ai essayé de trouver des réponses mais bon… Elle continue à me fixer et attend peut-être une parole de moi, mais moi je ne sais lui répondre qu’avec mon sourire et des larmes qui me montent aux yeux et qui coulent à présent. « Pourquoi pleures tu, je suis désolée je n’aurais peut être pas du… » « Non madame, ne vous inquiétez pas, je ne suis pas triste, c’est juste que vous êtes la première personne qui me parlez comme cela ». Et on s’est regardé comme cela pendant un temps qui m’a semblé une éternité, j’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais mais d’autres personnes sont arrivées et je me suis retirée de la salle de cours sans revenir, je n’aurais pas pu.
Ce moment m’a totalement bouleversé et me bouleverse encore actuellement. C’est toujours avec des larmes dans les yeux que j’en parle. Une personne, enfin, qui voit ma féminité comme quelque chose de beau, de bien, de positif, loin des « t’es bonne, tu baises, tu me suces, tu es une véritable salope et j’en passe plein d’autre parfois très difficile à entendre comme « salle tapiole »… » Le soir, je suis restée dans ma chambre a travailler et a écouter de la musique. Le lendemain de retour à l’école je croise ma prof de danse et nos regards se croisent mais heureusement elle n’est pas seule. Elle m’appelle en interrompant sa conversation je me retourne et la regarde mais, éteinte, je n’avais pas de ressort. « Je voudrais te voir tout à l’heure vers 16h si tu n’as pas cours, c’est possible ? » « Oui madame » Pas de sourire, ce n’est pas mon habitude, pourtant je n’ai rien à lui reprocher que du contraire. A 16h je me rends dans son local et elle me demande de venir à coté d’elle. Nous avons l’habitude de nous asseoir au sol sur les tapis. « Ecoute, je suis vraiment désolée pour hier, je n’aurais peut être pas dû mais j’étais heureuse de te dire cela et je pensais que tu le serais aussi » « Je le suis madame » « mais alors pourquoi es tu partie, pourquoi tu as perdu ton sourire » « je ne sais pas madame, je m’excuse c’est de ma faute, ça m’a fait plaisir ce que vous m’avez dit hier mais » « mais quoi » « je suis bouleversée en faite, vous êtes la première personne qui voyez et me parlez de ma personnalité et je suis toute… » « toute gênée, ennuyée » « je ne sais plus où me mettre, beaucoup de chose sont dans ma tête et il faut peut-être que j’y remette de l’ordre » « ok, je suis désolée c’est de ma faute tout ça, je n’aurais certainement pas dû » « Non madame, merci c’est le plus beau cadeau que l’on ai pu me faire, mais bon » « Ne t’inquiète surtout pas, moi je te connais mais je ne partagerai jamais ce que je sais, c’est a toi que cela appartient et uniquement à toi » et dans un sourire et encore mes yeux pleins de larmes je lui dis « et à vous aussi maintenant » Elle sourit et pour la première fois elle me toucha le visage et en séchant mes larmes elle me répondit « oui à moi aussi » avec son plus beau sourire. « Bon, il faut fêter cela non ? tu es en kot ici ? » « oui madame » « tu as quelque chose de prévu ce soir » « heu non madame pourquoi ? » « 19h chez moi ça te va » « mais madame » « quoi tu refuses mon invitation ? « mais madame » « quoi mais madame, j’invite qui je veux non ? » « oui madame » « alors ce sera 19h chez moi, je te donne l’adresse prends de quoi noter tu peux venir à pied ce n’est pas loin » Elle me donne l’adresse et elle se lève pour me quitter précipitamment mais au dernier moment elle se retourne et se rapproche très fort de moi. « Bon, ça s’est pour me rassurer moi, cet invitation reste autant entre nous que ta féminité et… » « Quoi madame » « tu as un nom, enfin je veux dire tu as choisi un autre nom ? » et presque en sanglot je lui dit « oui madame, Lamia » et elle me dit « à tout à l’heure Lamia, nous ne serons que nous deux, tu viens comme tu en as envie mais sois belle hein » Elle me prend la main en me disant ça et elle me fait un bisous sur la joue comme une adolescente qui vient de voler un bisous avant de s’enfuir. Et moi je reste comme sur un nuage.
Comment me remettre de cela !! Je marche vers mon kot, complètement égarée. Je n’ai aucune question et pourtant, je suis perdue. Mais vite je suis revenue sur terre par ma coloc qui vient d’arriver. « Alors ma belle que se passe t’il, tu as les yeux globuleux on t’a annoncé une mauvaise nouvelle ? » « non » mais mon non ne lui satisfait pas elle se plante devant moi « bon ma belle, tu es toujours là pour nous alors fais moi plaisir tu me dis et tout de suite ce qui ne va pas, je ne partirai pas tant que tu m’as pas dit »Et n’ayant pas le choix je lui expliquai ce qu’il s’était passé ces trois derniers jours. Elle ne m’interromp pas et a vraiment l’air d’écouter ce que je lui dis, ça me fait vraiment du bien d’en parler.
« Alors qu’est ce que t’attends » « bein il est 17h30 tu as une heure et pas minute de plus, tu dois t’habiller et te maquiller, te faire belle quoi, t’as vu ta tête ». Sur le coup j’ai été surprise et on s’est mise à rire toute les deux et elle m’a prise dans ses bras et m’a serré très fort. « je suis contente pour toi ma belle, tu le mérites » « Arrête tu vas encore me faire pleurer » « oh non hein, haut les cœurs, va prendre ta douche je t’attends et on regarde ensemble ce que tu vas mettre, car je te laisse pas partir sans que j’ai mis mon grain de sel » Et me voilà partie, plus légère vers la salle de bain. A peine j’y suis, Laura, ma coloc, rentre dans la salle de bain. « Bon je t’ai mis un ensemble, je l’ai jamais mis car j’ai pris du poids depuis et je pense qu’il t’ira, je t’ai mis aussi une robe qui devrait t’aller tu passes ça et tu viens te montrer dans ma chambre j’ai les chaussures qui vont avec et tu râles pas tu m’écoutes pour une fois » voilà qui est dit. Vingt minutes après, je me suis douchée, j’ai mis une crème de corps. Et je vois ce que Laura est venue me donner comme vêtements. Un ensemble string, soutien en dételle de la marque « tu vois tout » et une robe de la marque « tu peux rien rater » Je monte dans sa chambre avec ses vêtements et je frappe à sa porte. « T’es habillée ? » « non tu crois quand même pas que je vais mettre ça ? » « quoi tu ne m’as pas entendu tu t’habilles, tu la fermes et tu viens après » Je redescends vers ma chambre en râlant mais n’ayant pas trop le choix, enfin si mais… je mets les sous vêtements que Laura m’a amené : un string corail et je suis agréablement surprise de son confort et en plus il me va bien. Je passe le soutien et là aussi je suis surprise, il est muni de coussinets à la base du bonnet qui ne font que mettre ma poitrine naturelle en valeur, il me fait clairement de beaux petits seins. Je suis tellement excitée et emballée de l’image que je vois dans la glace que j’enfile la robe. Je me rends compte que Laura me regarde depuis le début de mon essayage car j’ai mal refermé ma porte. Elle est là, souriante et fière d’elle, c’est vrai que..
elle peut. Je me retourne vers elle, qui me sourit et qui attend que … « t’attend quoi? t’es fière de toi ? » et sans un mot « elle me regarde souriante et me fais un oui de la tête et esquisse une danse d». Nous nous mettons à rire et nous nous tombons dans les bras l’une de l’autre. « Tu es superbe, wouaww tu es à croquer » « merci, mille fois merci d’être là » « bon viens avec moi tu vas essayer les chaussures » Je la suis. « Voilà tu es prête et oui je suis très fière de moi, bon comment dois-je t’appeler ? Mademoiselle ? Madame ?? » « Mademoiselle Lamia » « Bon mademoiselle Lamia tu seras prudente de ne pas te faire trop draguer sur la route hein ou sinon tu n’arriveras jamais chez ta prof » « oui ma chérie promis et encore merci » « tais toi et viens me faire un bisous » et elle me tend sa joue et je lui fais un bisous. Nous nous regardons et je lui refais un bisous sur ses lèvres auquel elle répond. C’est la première fois que nous nous embrassons depuis notre première soirée, mais c’est vraiment un bisous de tendresse et pas d’envie et je la reprends dans mes bras en la serrant très très fort. « Vas y tu vas être en retard » Je prends une grande respiration et elle me suit jusqu’à la porte d’entrée. En allant, je passe par un petit magasin pour prendre une bouteille de vin, je ne peux quand même pas aller les mains vides. Le monsieur au comptoir souriant me salue en me disant : « merci mademoiselle, bonne soirée à vous » « Merci monsieur » qu’est ce que je suis bien et fière de moi. Et Je marche jusque le domicile de ma professeur, envahie par pleins de sentiments de fierté de légèreté de surprise, que c’est bon d’être femme et de se balader comme cela, de croiser le regard et le sourire des autres. J’arrive devant une belle villa avec un jardin tout autour. Je sonne et la barrière du jardin s’ouvre. J’entre, je me retrouve dans le jardin, je me dirige vers la porte d’entrée de la maison. Très vite la porte s’ouvre et je vois ma prof qui vient m’accueillir. Elle est tout sourire, habillée d’une très belle et longue robe bleu ciel qui fait ressortir ses yeux et ses cheveux roux. Très vite j’attrape une boule au ventre et je me rends compte que j’arrive chez elle habillée en fille comme si cela était tout à fait normal, j’ai un trac fou, j’ai envie de m’enfouir, mais… « Oh que je suis heureuse de t’accueillir » Ca a l’air vraiment sincère. Elle vient à ma rencontre et me tend ses bras. Je lui souris, un peu gênée mais elle pas du tout et me prend dans ses bras très très fort. Moi la bouteille à la main je n’ose même pas poser mes mains sur elle. Elle se sépare de moi rapidement se reprenant et s’écarte en me tenant la main, elle me regarde de bas en haut souriante, « qu’est ce que t’es belle, comme ça wouaouww » « merci madame » et je lui souris bêtement. « Viens » Et elle m’entraine toujours en gardant ma main dans la sienne vers l’entrée de sa maison. Nous voilà rentrées, elle se retourne vers moi prends la bouteille de ma main « c’est pour m’enivrer que tu as pris cela » et elle rit en déposant la bouteille et directement me reprend dans ses bras en me serrant très fort. Moi toute déstabilisée je dépose mes mains dans le bas de son dos et profite de ce moment. Elle se détache de moi et me regarde « tu as peur de me faire mal que tu ne me sers pas dans tes bras ? ou alors c’est peut être que je suis trop vieille et trop moche que tu as peur d’attraper mon aspect ou alors… je ne sais pas moi… si j’ai couru dehors c’est parce que j’avais très envie de t’avoir dans mes bras alors s’il te plait laisse tomber le madame et dis moi quelque chose » « Merci pour l’invitation Caroline » « tout le plaisir est pour moi Lamia et c’est très sincère, viens je vais te faire visiter ma maison et elle m’entraine dans sa demeure » Le living, la cuisine, le salon « on continue ? » « heuuu oui si vous voulez » et nous montons à l’étage. « J’ai une grande maison dans laquelle je vis seule, mes enfants son partis et mon ex mari aussi » Elle me fais visiter les chambres qui doivent être les anciennes chambres de ses enfants « et là c’est la mienne » et elle m’entraine à l’intérieur. Celle-ci est grande avec un grand lit en plein milieu, une grande porte fenêtre garnie de rideaux blancs laissant le soleil rayonner à l’intérieur de la chambre. Viens elle m’entraine vers une autre pièce derrière une porte, « voici mon coffre fort ». C’est un grand dressing avec ses vêtements rangés ses chaussures et une très très belle coiffeuse ou l’on peut voir ses bijoux, maquillages. Je rentre et je suis sans voix tellement il y a des tenues différentes, de genres tout à fait différents « wouaouww c’est une vrai caverne d’Ali Baba » « oui, j’aime les vêtements, les chaussures… une vrai petite femme comme toi. Regarde ça c’est pour les sorties, ça pour la détente, ça pour le sport et j’ai bien souvent les chaussures assorties !!! Viens ce n’est pas fini » dans le fond du dressing il y a encore une porte qu’elle ouvre pour donner sur une immense salle de bain avec une grande baignoire ronde au milieu, une douche, une double vasque. « Vous êtes vraiment bien installée madame » « comment ??? » « pardon Caroline » « bon encore une fois madame et tu as un gage, bon on va se prendre un verre ? » « Oui Caroline » et nous descendons rejoindre sa cuisine. Elle a un snack ou se trouve deux verres et une bouteilles «Bon Lamia tu veux bien t’occuper de nous servir un verre ? Ca te va c’est du champagne » « Oui Caroline mais il ne fallait pas » « Bon écoute ma belle, tu vas arrêter avec ta gêne à deux balles, c’est plutôt moi qui devrait être gênée d’avoir invité chez moi une jeune élève que je meurs d’envie d’embrasser depuis que je l’ai croisé sur le chemin, alors soit qu’on en reste là et on oublie tout ou soit que tu arrêtes de te plaindre, moi aussi, et je t’embrasse comme ça c’est fait et basta »Je ne sais que répondre. Elle me regarde « c’est oui ou c’est non ? » je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle s’avance et m’embrasse d’un baiser sur les lèvres bien maintenu en me serrant par la taille « si ça t’ennuie que j’ai fait cela, je suis désolée si tu as aimé tant mieux, si tu veux tu peux partir je ne dirai rien du tout et à personne et j’espère que toi non plus, voilà comme ça j’ai autant de gêne que toi c’est bon on peut continuer ? Alors maintenant tu sers un verre ou tu m’embrasses c’est comme tu veux. Et là, je m’avance vers elle, je lui prends la main et je lui dépose un baiser sur ses lèvres. Elle elle me sert dans ses bras, elle maintient la pression de sa bouche sur la mienne et sa langue se fraie un chemin dans ma bouche pour rejoindre la mienne pour une danse endiablée. Notre baiser se fait passionné, elle quitte ma bouche pour m’embrasser dans mon cou. Ses mains se balade sur ma robe de mon dos vers mes fesses qu’elle presse de ses mains. Je ne sais m’empêcher de laisser passer un petit gémissement qui ne fait que l’encourager à continuer et reprendre possession de ma bouche. Mais mains à moi sont dans son dos et je n’ose pas beaucoup les bouger, elle ne se balade que dans le bas de son dos pour remonter au milieu de celui-ci. Mais elle, toutes les barrières sont tombées, elle me caresse les fesses, les serre très fort, je sens aussi son bassin qui se presse contre le mien comme si elle voulait sentir mon sexe contre elle, mais j’ai pris soin de le caller dans mon string entre mes cuisses pour qu’on ne le remarque pas. Elle quitte ma bouche et me regarde en maintenant la pression sur mes fesses. J’ai l’impression qu’elle vient de courir un marathon, elle respire fort, elle transpire et son visage se déforme par l’envie. « Je suis vraiment désolée Lamia de ce qui se passe, j’ai essayé vraiment que ça n’arrive pas mais, depuis que je t’ai vu je n’ai pas arrêté de penser à toi, je me suis même caressée et me suis fais jouir en pensant à toi. Et là que tu es là à coté de moi je n’ai pu m’empêchée, ne m’interromps pas s’il te plait ce que je vais te dire est important. J’ai perdu l’amour il y a 8 ans, je n’ai plus jamais eu une seule aventure parce que je n’en avais pas envie ni besoin. Depuis que je t’ai vu il y a trois jours, je suis bouleversée comme une adolescente, alors voilà je me suis livrée à toi à ce que tu voudras ou ne voudras pas. Comme je te l’ai dit tu peux partir, je ne t’en voudrai pas du tout, ni ne t’en voudrai jamais. Je ne dirai rien à personne, je ne me vengerai pas, c’est plutôt moi maintenant qui ne sait plus où me mettre voilà je t’en prie dis moi quelque chose ». « Je ne sais pas quoi te dire Caroline, mais… je… » « Tu quoi, tu veux partir ? je le comprendrais ne t’inquiète pas » « non !! Je ne veux pas partir !! Je ne t’en veux pas du tout que du contraire, mais… » « mais quoi » « je ne veux pas être déçue, je ne veux pas tomber amoureuse, je ne veux pas t’ennuyer » « écoute, tu as plein de questions et moi aussi et elles sont certainement nombreuse à être identique, j’ai envie de profiter du moment présent avec toi et on verra pour la suite mais ce qui est sûr c’est que mon désir n’est pas de te faire souffrir car j’en souffrirais aussi » Nous nous sommes embrassée toute les deux passionnément en nous caressant, moi qui avait peur de la caresser là mais mains sont parties sur tout son corps en commençant par l’entièreté de son dos pour descendre sur ses fesses, ses jambes et j’ai même osé frôler le galbe de ses seins. Nous nous sommes de nouveau regardée pour nous ré embrasser avec douceur et nous détacher l’une de l’autre. « Serre nous un verre, je nous ai préparé des soushis je ne t’ai pas demandé si tu aimais car je suis presque sûr que oui » « je l’ai regardé en souriant et en lui répondant par un joli baiser » toute mes barrières étaient tombées mes peurs aussi. Je nous ai servi un verre elle a sorti le plats de sushis et deux paires de baguettes elle en a saisi une paire pour prendre un sushi et le porter à ma bouche. Je l’ai saisi pour le déguster. Pour ma part j’ai pris son verre et lui ai donné, j’ai saisi le mien et j’ai levé mon verre en la regardant et lui disant « à nous » elle m’a sourit et a répondu « à nous mon amour » et nous avons bu. Nous avons passé quelques temps à boire manger et elle m’a raconté son passé, son mariage, ses enfants son ex mari parti avec une autre femme. Ayant fini son plat ainsi que la bouteille, elle se rapproche de moi et me dit « merci d’être là Lamia » « merci à toi Caroline de m’avoir invitée » « Tu veux rentrer, tu as cours demain ? » et machinalement je lui ai répondu « oui j’ai cours madame oups pardon Caroline » « elle me regarda, me fusillant du regard, tu ne m’as pas ratée là, tu vas me le payer… ton gage c’est d’être obligée de passée toute ta soirée avec moi, contre moi » « rohhhh quel gage… je n’en n’ai pas du tout envie » Nous nous sommes mises à rire toutes les deux. « Alors viens tampis pour toi, suis moi et prends les verres » elle passa devant le frigo repris une bouteille de champagne et monta jusque sa salle de bain. Elle ouvrit la fenêtre, alluma quelques bougies et fit couler l’eau de sa grande baignoire. Elle se dirigea vers son dressing et revint avec une boite en osier qu’elle déposa près de la baignoire sur une petite table qu’elle installa. Débouche la bouteille ma belle et reserre nous un verre. Ce que je fis. Elle me dit aussi « ça ne te dérange pas » « quoi ? » « le bain ? » « heuu » « quoi tu as peur de me voir nue » « non mais » « mais quoi » elle s’approcha de moi, me tourna le dos et pris sa robe pour l’enlever par dessus sa tête, sa peau est laiteuse remplie de taches de rousseurs, elle porte juste une culotte bleue pâle. Elle se retourne vers moi et l’enleve. Je ne sais plus où me mettre, je suis toute rouge, je le sens et elle, elle est fière devant moi à me sourire et j’entends me dire « à toi maintenant » elle approche les mains de mes épaules pour saisir les bretelles de ma robe et les faire glisser le long de mon corps. Elle se retrouve accroupie pour me la retirer et défaire les boucles de mes chaussures. Elle leve la tête qui est juste en face de mon string un peu déformé malgré tous mes efforts. Elle dépose un bisous dessus et remonte debout devant moi, elle passe derrière moi pour me déposer maintenant un bisous dans la nuque et dégrafer mon soutien gorge et le laisser glisser au sol. Elle descend ses mains dans mon dos toujours en me déposant des bisous dans le cou et passe une main sous mon string pour le descendre. Elle revient devant moi sans regarder quoi que ce soit et prend ma main pour m’emmener dans sa baignoire. Face à face. Je prends les verres lui en tend un et elle se rapproche de moi pour m’embrasser avant de trinquer. « à nous ma chérie » « à nous ma chérie ». Et elle s’enfile tout son verre d’une traite comme pour lui donner du courage, elle le dépose et me regarde. Je fis de même.
Calée dans la baignoire, elle est près de moi. Elle se met à genoux et se glisse entre mes jambes. Ses genoux sont près de mon sexe. Elle me prend dans ses bras et m’embrasse, nos langues se sont rejointes pour un baiser passionné. Ses mains me caressent le dos. Sa bouche voyage de ma bouche à mon cou vers mes seins pour me prendre les tétons en bouche et les mordiller. J’adore cela, ça me donne de véritables secousses dans le bas de mon dos elle aime et y joue. Mon sexe se dresse et vient maintenant tout contre ses genoux et ses jambes. Mes mains la caressent, son visage, son cou, son dos, ses fesses ses jambes et elle se redresse. Son corps vient à ma rencontre se coller à moi, se frotter à moi. Je me redresse car je ne suis pas bien mise et elle en profite pour saisir mon sexe en main et descendre sur mes testicules et ensuite vers mon petit trou pour remonter sur mon sexe. Moi je suis déjà prête à jouir très vite tellement ce moment m’excite à mort. Elle le voit et me sourit « pas tout de suite mon amour je te veux encore et encore ». A ces mots, je la sers tout contre moi et je mets mes jambes autour de sa taille à telle point que j’ai mon sexe contre le sien ce qui l’électrise et elle le fait coulisser entre ses lèvres tout en gémissant. Nous tenons ce mouvement pendant un moment tout en nous regardant dans les yeux. Nous arrêtons car je suis trop au bord de la jouissance. J’en profite pour me redresser tout à fait et resservir un verre. Nous sommes toutes les deux très excitée par ce qu’il se passe mais en même temps nous avons envie de prendre tout notre temps et de profiter du moment qui nous est donné. Je lui passe son verre je me mets contre elle pour la prendre dans mes bras et nous buvons comme cela en récupérant un peu et faire redescendre toute l’excitation dans laquelle nous sommes. O. Après un moment je me redresse, prends son verre et les déposes et je prends Caroline dans mes bras face à moi et je l’assieds sur le bord de la baignoire. je l’embrasse et ma bouche descend vers ses seins pour les lécher l’un après l’autre saisir ses tétons qui sont tout tendus et les mordille. Elle gémit et son corps s’arque vers le mien et sa tête balance vers l’arrière. Ma bouche descend encore vers son nombril pour arriver à son sexe tout ouvert tel une fleure. Je commence à lui lécher légèrement ses lèvres pour descendre à l’intérieur de son sexe, remonter vers son clito.
Son bassin bouge comme pour venir à la rencontre de mes mouvements. Je saisi son clito entre mes lèvres et le fait tournoyer ma langue dessus. Elle est proche de l’orgasme et je la fait redescendre en reprenant ses lèvres et puis je redescend vers son puit d’amour que je pénétre avec ma langue pour aussi stimuler son poing G que je sents tout gonflé. Je remonte ensuite de nouveau à l’assaut de son clitoris et avec un doigt je pénétre dans sa grotte lentement pour venir glisser sur sa parroit rugueuse et turgescente. Je sents son orgasme monter d’une façon impressionnante tellement il semble profond. Elle me prend par la nuque pour coller ma bouche à son sexe et éviter que son orgasme lui échappe cette fois. Elle se met à véritablement crier pendant qu’un jet inonde ma bouche. Elle relâche petit à petit l’emprise pendant que moi je continue à lui embrasser son sexe plus doucement mais d’un coup je reprends mon emprise sur son clito et je réintroduis un doigt puis deux doigts en les agitant dans son sexe et de nouveau elle repart aussitôt dans un nouvel orgasme mais cette fois je dois la tenir car elle s’écroule littéralement. Elle vient s’écrouler dans mes bras essayant petit à petit à reprendre ses esprits. Il lui faudra au moins cinq minutes avant de me dire. « tu es vraiment pas gentille de me mettre dans des états pareils, j’ai failli perdre connaissance !!! Mooooh et en plus je me suis complètement laissé allée, je suis désolée. Je t’ai fais pipi dessus… » « Arrête, mais non, tu as joui c’est tout, c’est pas de l’urine » « c’est la première fois que ça m’arrive, je n’ai jamais joui de la sorte, je savais pas que ça pouvait exister un orgasme pareil et deux fois en plus et de suite rohhh Lamia je vais tomber amoureuse et je ne peux pas » « arrête tes bêtises Caroline » « Lamia j’ai encore envie de toi, je te veux en moi » Caroline me prends la main, nous sortons de la baignoire et elle m’emmène vers sa chambre. La chambre est encore baignée de la lumière extérieure. Arrivés devant le lit, elle se met devant moi et me pousse sur celui-ci sur lequel je me retrouve assis. Elle se penche et m’embrasse puis quitte ma bouche, elle descend sur mes seins qu’elle vient littéralement manger.
Je ne peux m’empêcher de gémir des sensations qu’elle me donne. Sa bouche sur un de mes seins, une main sur l’autre à me pincer et tirer sur le téton et son autre main sur mon sexe qu’elle caresse et masturbe. Elle descend sa bouche, se retrouve à genoux entre mes jambes et regarde mon sexe qu’elle caresse maintenant avec ses deux mains.
Sa langue effleure mon gland, l’embrasse pour ensuite le prendre en bouche. Je sens sa langue qui glisse sur mon gland, qui l’enveloppe. Ses mains prennent mes fesses pour maintenir la pression et que je ne recule pas. Sa bouche prend maintenant l’entièreté de mon sexe, elle le gobe et commence à faire des allers et venues très rapides comme si elle désirait me faire venir très vite. Mais non, ses mains quittes mes fesses pour me pousser à me coucher sur le lit ce que je fais, sa bouche glisse maintenant tout le long de mon sexe vers mes testicules qu’elle gobe. Ses mains passent sous mes cuisses et relève mes jambes sur ses épaules et d’un coup elle fait glisser mon corps vers elle. D’une main elle attrape mon sexe pour le masturber pendant que sa bouche et sa langue tournent sur mes testicules. Sa langue descend vers mon petit trou pour le lécher et pour le pénétrer. Moi, je n’en peu plus, elle va me faire jouir sous son traitement, elle est déchainée, mais elle arrête d’un coup et me regarde avec des yeux et un sourire espiègle. Elle se dégage de mes jambes, se redresse tel un animal sur sa proie et viens m’embrasser en me disant « ne bouge pas je reviens ». Merci de me laisser souffler un instant et redescendre sur terre mais je n’ai très peu de temps que je l’entends revenir. Elle monte sur le lit à genoux et me dis « Viens ». Je me redresse et sur les genoux je viens en face d’elle. Nous nous embrassons et me tenant la nuque elle me fait basculer en avant. Je me retiens comme je peux, sa main glisse dans mon dos, elle quitte ma bouche et appuie sur mon dos, je me retrouve sur le ventre sur le matelas. Elle monte sur mon dos et commence à me masser celui-ci et au fur et à mesure je sens ses mains descendre en même temps que son corps. Elle masse à présent mes fesses et se place entre mes jambes à genoux et m’oblige ainsi à les écarter. J’adore ce qu’elle me fait. Mes fesses c’est là où toutes mes terminaisons sensorielles arrivent lol. Elle me malmène mes fesses, les écartes, les écrasent et un doigt appuie sur mon petit trou, il rentre. Je ne peux m’empêcher de relever mon bassin et de son autre main elle vient reprendre mon sexe qu’elle masturbe de nouveau. Je suis à présent à 4 pattes. Elle me mord les fesses, un deuxième doigt vient rejoindre le premier dans mon cul. Sa bouche se déplace et maintenant elle retire ses doigts et sa bouche vient prendre le relais. Elle me pénètre de nouveau de sa langue. Je la sens se redresser et je sens maintenant quelque chose de froid qui frotte sur mes fesses et qui vient se placer sur mon petit trou.
Je le sens pousser, forcer l’entrée. Elle me maintient pour que je ne bouge pas. Je sens un objet me pénétrer et s’enfoncer en moi lentement. Je sens maintenant son corps contre mon cul, ça veut dire qu’elle a enfilé quelque chose sans que je le vois et qu’elle est toute entière en moi. « Je vais te baiser » Elle commence à faire des vas et viens, elle se déchaine et elle a l’air d’y prendre énormément de plaisir, à tel point qu’elle commence à me dire « tu aimes hein » « tu me sens bien en toi » « je vais te faire jouir de ton cul » et pleins d’autre choses ce qui ne fait que me stimuler et m’entrainer à l’encourrager en lui disant « oh oui prends moi » « baise moi » « vas y fais moi jouir » « je suis ta chose »… Je la sens maintenant se retirer mais très vite je sens qu’elle me pénètre avec autre chose de plus gros encore mais qui rentre sans soucis, elle l’introduit jusqu’à la base et mon cul vient se refermer autour de celle-ci. « Assieds toi au bord du lit » Avec ce qu’elle m’a introduit ce n’est pas facile et je suis vraiment perdue mais j’obéis à sa voix. Assise au bord du lit, elle se plante devant moi avec comme je l’ai deviné une espèce de culotte avec un sexe assez épais et long. « Suce moi » et moi d’approcher ma bouche de son sexe et de le prendre en bouche. Elle me maintenant ma nuque et me pénètre littéralement la bouche comme elle l’a fait avec mon cul. « J’aimerais jouir dans ta bouche, j’aimerais me vider dedans » Elle me rendait folle. Elle me repousse sur le lit, enlève sa culotte et me monte dessus face à moi. Prends mon sexe en main et l’approche de l’entrée de sa grotte et d’un coup se laissa tomber pour m’enfoncer en elle. Elle commence à me chevaucher en se caressant les seins en se tirant les tétons, elle crie puis elle s’arque et se met à convulser, elle est occupée de jouir. Elle retombe sur moi toujours mon sexe en elle. Elle m’embrasse et me dis « je t’aime ». Petit à petit je sens de nouveau son bassin bouger, elle joue à serrer et désserer ses muscles vaginaux. J’ai à présent ses fesses en mains que j’écarte et plus je les écarte plus elle serre et plus ça lui fait de l’effet. Mon doigt se retrouve contre son anus et je la regarde droit dans les yeux en poussant dessus pour la pénétrer, elle arrête tout mouvement. Mon doigt vient de la pénétrer et elle, elle ne dit rien, se mord les lèvres et me laisse faire. J’ai à présent tout mon doigt en elle. Et elle se remet à bouger de son bassin, de plus en plus fort et de nouveau se met à convulser vers un deuxième orgasme. Je me dégage, et vient la coucher près de moi sur le ventre. J’ai toujours un sextoys qui me pénètre mais celui-ci ne me gêne plus que du contraire à chaque mouvement il vient me donner des secousses. Je viens derrière elle me frayer un chemin entre ses jambes qu’elle écarte. Elle comprend très vite ce que je veux et se redresse pour me livrer son cul. Je viens le caresser, l’embrasser, ma bouche lui mange. Je viens lui lécher aussi son sexe, la pénétrer avec ma langue, ensuite avec mes doigts pendant que ma langue lui lape son petit trou pour ensuite m’écarter. « je.. Je n’ai jamais … » « chutttt profite » Je prend mon sexe pour le glisser entre ses lèvres. Elle apprécie cela, elle gémit de nouveau et vient à ma rencontre. Mes mains caressent ses fesses puis lui donne quelques claques douces à lui malmène les fesses comme elle me l’a fait précédemment. Son gémissement devient de plus en plus sonore. Sans prévenir, mon sexe la pénètre d’une traite jusqu’à sa base et je me mets à la pénétrer plus violement. Mais mains lui maltraite aussi son cul, lui écarte les fesses, lui force de nouveau l’entrée d’abord avec un doigt, puis un deuxième doigt pour finir avec un troisième. Elle crie et tourne la tête dans tous les sens. Je me retire de son sexe et vient poser mon gland à l’entrée de son petit trou encore dilaté et lentement je me suis enfoncé en elle. C’est maintenant silencieux, elle ne bouge pas, je n’entends même plus sa respiration. Lorsque je me suis retrouvé tout entier en elle, je n’ai plus bougé et c’est elle qui a commencé à bouger, de plus en plus. A un moment dans le mouvement je me suis retiré et son anus était tout ouvert, j’ai saisi le gode dont elle s’était servie sur moi pour la pénétrer, elle a eu un sursaut mais n’a rien dit surtout qu’en même temps j’avais mon sexe à l’entrée du sien et je l’ai rempli par ses deux trous et me suis arrêté quand elle a été bien remplie. D’une main j’ai maintenu le gode entièrement enfoncé et j’ai commencé à la prendre assez violement. Elle s’est remise à crier et à se vider de longs flots de jouissance jusqu’à me bloquer d’une main et me demander d’arrêter, ce que j’ai fait. Elle s’est laissé tomber de tout son corps sur le lit. Je me suis mis dans son dos et l’ai pris dans mes bras. Nous sommes resté comme cela un très long moment. A un moment, elle s’est levée tant bien que mal et s’est sauvée dans l’autre pièce. Après un moment elle est revenue toujours nue. « Toi tu vas le regretter ce que tu viens de faire je te jure que je vais te le faire regretter, viens avec moi » elle m’attrape par le sexe et me reconduit dans la salle de bain, ouvre la douche et m’y entraine. Ouvre l’eau et la met à température et nous nous y retrouvons tout les deux la bouche soudée à nous embrasser. Il ne m’en faut pas plus pour que mon clito durcisse et se redresse. Elle s’écarte, prends du savon et commence à me savonner tout le corps. Très vite elle descend vers mon sexe en prenant le pommeau de la douche pour me le rincer et ensuite sa bouche prend le relais. Elle retrouve aussi par la même occasion le plug qu’elle m’a mis entre les fesses et commence à jouer avec tout en continuant de me sucer. J’ai senti une chaleur me saisir à la pointe de mes orteils et remonter à travers tout mon corps. « oh oui vas y Caroline, tu vas me faire jouir, t’arrête pas » je n’avais jamais crié aussi fort et j’avais vraiment l’impression que j’allais m’évanouir je sentais mes jambes défaillir. « t’arrête pas je t’en prie, tiens moi, je vais jouir » et là elle a gardé mon sexe dans sa bouche en me tenant par le plug et me collant à elle pour que je ne tombe pas et j’ai joui, je me suis vidée dans sa bouche et elle a tout avalé avant de venir m’embrasser avec le reste de ma jouissance et me dire « Lamia je veux tout partager avec toi ». Nous finirons la nuit dans son lit dans les bras l’une de l’autre. Le lendemain je n’irai pas au cours et nous passerons la journée à faire l’amour et à nous aimer.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Lamia69
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...