Une re naissance, exercice d'analyse. - histoire érotique

Nous sommes dans les années 80. J’habite un petit village de Belgique où tout le monde se connaît, ou plutôt tout le monde connaît ma famille. Mon papa, indépendant.
Ma maman aidante dans le commerce de mon papa. Tout deux m’ont inculqué l’obéissance, le respect (surtout le leur) et le travail. Trois valeurs que je garderai surtout le travail car dernier de la fratrie je ne peux pas renoncer là ou ma sœur et mon frère ne sont pas arrivés. J’entendais souvent mon père travailler très tard, la nuit et ensuite réveiller ma mère pour laquelle il n’avait aucun respect. Pas facile d’inculquer une valeur dont vous n’avez pas exemple. Je me suis toujours dit : « jamais je ne serai comme toi, jamais je ne serai un homme » et… je ne le suis jamais devenu.
Je jouais essentiellement avec les filles de mon quartier parfois avec les garçons mais à d’autres jeux… que je découvrais à travers des livres que je volais dans la librairie toute proche. Je savais autant cuisiner que sucer. Je savais tout autant nettoyer qu’avaler. Je savais tout autant rendre service que… rendre service. Je me souviens que je restais enfermée dans ma chambre avec les bas de ma maman, ses culottes, ses soutiens gorge, ses vêtements. Je n’ai jamais connu ma maman nue, je connaissais mieux le corps des garçon nu sous la douche du terrain de foot qui attenait ma maison.
Non je ne jouais pas au foot mais j’allais dans les vestiaires, nu. J’adorais cela. Avec mes voisins, j’ai connu mes premiers flirts sous ces douches, mes premières masturbations, mes premières pipes. J’ai toujours aimé sucer, masturber, faire jouir et ça ne m’est jamais passé. Plus tard, je découvrirai d’autres vestiaires : des piscines, des salles de sports… Je découvrirai comment on peut s’offrir la vue sur la copie d’interro du voisin car je dois absolument réussir !!!! Le sexe ça peut offrir beaucoup de choses !!! Le plaisir ouvre beaucoup de portes !!! En secondaire je continuerai sur ma lancée, mais c'est en supérieur que je passerai le niveau supérieur et ce déjà d'entrée !!! Je n'étais même pas encore passé la porte d'entrée de l'institut que je me faisais mater le cul par deux filles occupées de fumer leur clope, qui ouvertement me diront : « quel cul celui-là ». Je ne pensais même pas avoir un tel pouvoir.
Le soir je rentrais dans mon kot que je partageais avec deux filles venant d'une autre école attenante, deux infirmières. Nous avions une salle de bain commune et une cuisine commune, notre chambre restant privée. Pour aller de la chambre à la salle de bain je devais traverser la cuisine. Au début je restais très discrète mais avec le temps, elles ont pu découvrir ma personnalité. Il était très fréquent que je prépare le souper pour elles, que je fasse la vaisselle, que je nettoie… Les hommes auraient pu dire « une vrai petite femme » … J’ai toujours voulu être une femme… mais bon… je voulais en tirer parti c’et clair, peut-être uniquement celui de jouir déjà… Mais peut être aussi venger ma mère de ce qu’un « Homme » lui avait fait endurer.
Avant de sortir, mes Co locatrices venaient me demander conseil pour s'habiller : que penses tu de ma petite robe ça ne fait pas trop. ça dépend ce que tu cherches… moi personnellement si je sors avec cela c'est pour me faire ploter, à toi de voir ce que tu veux. Tu trouves?? Bein ma chérie, voyons, on voit la moitié de ton cul.
"Excuse moi je ne savais pas que c'était à se point là" Soit que tu veux passer à la casserole, soit que tu mets au moins des bas opaques !!! pas des auto fixant c'est encore pire !!! Moi je ne juge pas… c'est toi qui décide. Et au retour elle passait par ma chambre pour venir me raconter leur soirée.
Au début, par peur de choquer, j'étais bien souvent en pyjama, par la suite ce sera nuisette, tee-shirt et shorty… Elle se montrait, moi aussi… la salle de bain commune l'était vraiment. Pendant que l'une se douchait l'autre se maquillait et on pouvait partager tout !!! J’avais libre accès à leur maquillage et elles au mien. Je m’étais achetée une perruque pour parfaire ma féminité, des chaussures, des vêtements, des sous-vêtements. Je n’avais plus de secret sur ma personnalité. On le vivait super bien!
Un jour l'une d'entre elle, je l’appellerai Lisa a ramené un mec et mon lustre à tremblé toute la nuit. Le lendemain je lui ai demandé d'y aller tout doux. Lisa, brune, cheveux mis longs bouclés de 1,68 pour plus ou moins 51 kg, avait un très joli visage, un très joli sourire et de superbes yeux, elle avait un petit cul très rond avec une jolie chute de rein. Des seins pas très gros en forme de poires.
Le soir même elle me demandait. Christophe vient ce soir, ça te dirait de passer la soirée avec nous ? Un peu surprise par sa demande, je n’ai pas su quoi répondre à Laura, tu sais j’ai déjà parlé de toi à Christophe, il sait que tu te transformes en femme, ça ne le choque pas que du contraire je lui ai même montré une photo de toi, le selfie que nous avions fait toutes les deux. Un peu gênée et flattée de sa remarque je me suis laissé embarquée.Mets toi à l’aise on s’en fout. Tu veux un conseil : mets ton petit short avec ta blouse boutonnée et croisée dans le dos. Le soir, j’étais à la salle de bain lorsque j’ai entendu Christophe arriver et Laura m’a lancé dans les escaliers : « Chou, Christophe est là, nous montons tu nous rejoins, Christophe dit que tu n’es pas obligée de mettre ta blouse dans un rire qui donnait le ton de la soirée. Je m’étais légèrement maquillée les yeux et les lèvres. Ma perruque coiffée, mes lunettes, un petit string en dentelle fushia, mon short par dessus ma blouse sans rien dessous.
Mes seins, je n’ai jamais pu les cacher. Ils sont haut perchés par le sport mais le travail de mes pectoraux n’a permis que de les percher bien haut avec un joli petit galbe et des tétons très érectiles et sensibles. J’apprendrai plus tard que mon taux d’œstrogènes est plus haut que la normal, ceci explique cela. Et nous avons passé la soirée à trois autour d'un jeux « gages ou vérités » à boire et fumer. Quand on veut baiser c'était le meilleur moyen d'y arriver !!
Les questions allaient bon train, jusqu’au moment ou Laura m’a demandé « gage ou vérité » Vérité… Comment tu trouves Christophe ?
J’ai failli m’étrangler avec ma bière. Laura tu as de ces questions… Vas y réponds me dit-elle où c’est un gage… Bien embêtée de sa question Bein à toi il te plaît en tout cas… je l’ai bien vu à mon lustre.. et du tac au tac elle me répond « t’es jalouse, t’aurais peut-être bien voulu être à ma place hein » et nous avons ris tous les trois en sachant peut-être bien qu’elle avait raison. A toi Christophe… Est ce que tu trouves mon amie charmante. Christophe rouge comme une pivoine … bein oui qu’elle est charmante et Laura ajoute et toi tu aurais aimé qu’elle soit à ma place lundi ?? Vas y avoue, dis lui… Je suis certaine que ça lui fera plaisir… Laura t’es vraiment ennuyante avec ce genre de questions… Allez avoue… Oui… t’es contente.. Et moi de le regarder les larmes aux yeux… Tu vois que tu l’embarrasses avec tes questions.. Non elle est simplement ravie de ta réponse mon choux. Elle n’attend qu’une chose c’est que tu l’embrasses pour lui prouver… Non on a pas dit gage. C’est sûr que j’étais attendue au prochain gage. Comme prévu gage suivant : embrasse Christophe fait lui un gros bisous bien langoureux. J’en avais envie, terriblement et je m’approchai de lui pour lui donner mes lèvres, tout d’abord timidement pour ensuite lui abandonner. Nos langues se sont enroulées, nos salives mêlées et le baiser n’en finissait pas. Je ne savais pas si c’était les mains de Laura que je sentais sur mes seins ou celles de Christophe. Il m’abandonna un moment et Laura pris le relais de ma bouche. A ce moment je savais que c’était Christophe qui me caressait, il était doux. Mes jambes, mes seins, mes épaules, mon cou pour redescendre dans mon dos et sur mon cul. Je gémissais j’aimais ce qu’il se passait. Ma blouse s’est envolée, mon short et mon string.
Christophe était maintenant sur mon cul, Laura titillait mes tétons… Christophe s’attardait sur mon petit trou m’embrassait les fesses, sa langue s’approchait dangereusement de celui-ci et l’atteint et à ce moment là un soupir s’échappa de ma bouche. Je serrai Laura dans mes bras et la coucha au sol. Je relevai mon cul pour que Christophe puisse en prendre possession j’avais envie de lui qu’il me baise, il le savait.
Je retirai la culotte de Laura et je commençai à la lécher, c’était la première fois. Elle jouit rapidement, je me retournai et découvrir que Christophe était nu et son sexe était long et très gros. Sans réfléchir, j’en mourrais d’envie, je le pris en bouche pour le sucer. Lui aussi se mit à gémir. Maintenant c’est Laura qui avait pris son relais sur mon cul, elle me le léchait, ainsi que mon sexe qu’elle avait saisit entre mes cuisses.
Elle n’arrêtait pas de me dire que j’étais bonne. Dis moi que tu as envie que Christophe te prenne. Et moi de répondre oui j’ai envie qu’il me prenne, j’ai envie qu’il me baise, j’ai envie qu’il me prenne comme une chienne qu’il me fasse crier. Je devenais complètement incontrôlable et rapidement j’ai senti ce que je voulais à l’entrer de mon cul qui avait été dilaté par les doigts de Laura.
Je senti que Christophe forçait l’entrée de mes entrailles et petit à petit il rentrait, il me remplissait jusqu’à rentrer entièrement et s’arrêter. Moi j'haletais et j’ai commencé à bouger à en vouloir, et à lui dire. Vas y Christophe, prends moi, vas y prends moi je suis à toi… et à crier lorsqu’il commença à y aller, à vraiment me prendre. Très rapidement j’ai eu un orgasme qui m’a pris de la pointe de me orteils pour monter dans mon ventre et finir par me faire cracher sans avoir touché mon sexe. Je m’écroulai au sol et là Laura retira le préservatif de Christophe et elle commença à le sucer devant moi et à un moment, elle me regarda et me dit viens tu en as envie autant que moi et on s’est mise à le sucer toutes les deux jusqu’à le faire jouir dans nos bouches et s’embrasser avec son sperme.
Voici mes premières lignes, voici mes premières années… Vous voulez mieux me connaître ?? Il suffira de… demander… je me livrerai. En attendant… je ne suis pas loin…