gay intentions
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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gay intentions
J’étais assis dans le bus quand il est monté. Dés que je l’ai vu, je me suis senti mal. Il avait quelque chose que je ne saurai définir. Imaginez que vous vous retrouviez face à Jude Law ou Brad Pitt. Quand il croisa mon regard, je fus tellement gêné que j’ai fixé mes yeux au sol. Chaque fois que j’ai levé les yeux, c’était pour m’apercevoir qu’il me regardait. Au bout d’un moment, je me suis levé pour me soustraire à sa vue. Je lui tournai même le dos. Il se rapprocha petit à petit jusqu’à se coller à moi. Le contact de son corps me donna des frissons. Il se mit à caresser mes fesses, chose qui, de tout temps, m’a mis en émoi. Il sentit ce changement en moi. Il pencha sa tête vers mon oreille et chuchota :
Tu aimes qu’on te caresse le cul, hein, pédale !
Il plaqua ses hanches contre moi et je sentis son sexe tendu contre mes fesses. Je me dégageai et appuyai sur le bouton d’arrêt. Quand je descendis du bus, il me suivait. Je pris plusieurs rues transversales, croyant qu’il se lasserait et j’ai fini par le semer. Je suis rentré chez moi, essayant d’oublier l’incident. J’ai quand même été troublé par la sensation que j’ai éprouvée au contact de ses mains sur mon cul. Fus-ce du plaisir ?
Le lendemain, en sortant de chez moi, je le vis qui attendait sur le trottoir d’en face. Il prit le bus avec moi et se livra au même manège. J’ai essayé de me soustraire à son jeu, mais, quand ses mains reprirent possession de mes fesses, je n’ai pas pu résister. Cette fois, il est entré dans le couloir de l’immeuble où je travaille et m’a plaqué contre le mur. Il a défait la ceinture de mon pantalon. Ma respiration s’est arrêtée. Je n’ai pas pu appeler à l’aide. Il a glissé ses mains dans mon slip, les a plaquées sur mes fesses et m’a attiré contre lui. La chaleur de son corps a annihilé mes forces et je ne sais pas comment, je me suis laissé faire. Il a ouvert sa braguette, sorti son engin et ouvrant mes vêtements, il s’est frotté contre ma peau. Ça duré peut-être cinq minutes, puis il est parti. Cette nuit-là, je n’ai pas pu dormir. Je pensais à lui et me demandais pourquoi je me laissais faire de la sorte.
Le jour d’après, après m’avoir fait subir le même traitement que la veille, il m’attendait à la sortie de mon travail. Cette fois, il m’accompagna jusque dans mon appartement. Il me déshabilla entièrement et s’assit sur mon canapé, la braguette ouvert et le sexe sorti. Il me prit par les mains et me fit mettre à genoux. Il me prit par les oreilles et approcha mon visage de son bas-ventre. Il prit son sexe dans sa main et le posa sur mes lèvres. Une fois dans ma bouche, il posa ses mains sur ma tête et imprima le rythme de ma fellation. Après l’éjaculation, j’ai voulu me relever mais il m’a maintenu dans cette position. Il s’est levé et m’a fait monter sur le canapé dans la même position. Il a écarté mes fesses et a posé son gland sur mon anus. Les mains sur mes hanches, il a poussé son sexe dans mon cul, centimètre par centimètre, pour bien me montrer qu’il était mon maître.
Tous les jours suivants, le même cérémonial se répétait. Ça duré presque un an, puis il a disparu. Depuis, il me manque. Quelquefois, je crois le voir monter dans le bus et je bande. Mais…non. Je ne l’ai jamais revu. Pendant cette année fastueuse, il m’a initié à beaucoup de choses.
Le sauna, les pissotières, les cinémas porno. Maintenant qu’il a disparu, je hante ces lieux à la recherche de celui qui le remplacera. Il suffit qu’on me caresse le cul pour que je le donne. Mais comment le faire savoir. Dans les cinémas où je vais me faire sodomiser, je tombe sur des mecs qui me malaxent furieusement les fesses et qui s’étonnent que je leur refuse mes faveurs. Moi j’aime, quand le gars paraît timide, qu’il s’approche lentement, qu’il frôle doucement mon corps, la peur d’être refoulé retenant ses gestes. Il touche d’abord ma cuisse avec la sienne, voit que je ne me dérobe pas, y pose sa main, toujours pas de réaction. Maintenant, sa main frôle très doucement mon cul puis accentue sa pression.
Il sent que mon cul va au devant de sa main, alors il apprécie le galbe de mes fesses. Il passe derrière moi et colle son pubis contre mon cul. Ses mains défont la ceinture de mon pantalon et se glissent dans mon slip, saisissant mon sexe en érection. Comme je me laisse toujours faire, Il tire sur les jambes de mon pantalon et le fait glisser jusqu’aux genoux. Il prend l’élastique de mon slip et le baisse le plus doucement possible juste sous les fesses. Il sait y faire. Je sens l’air frais sur mon cul. Je pense que beaucoup d’autres nous regardent et cela m’excite. Il caresse à nouveau mes fesses. Ses mains sont brûlantes. Me prenant par les hanches, il me tire en arrière. Mon cul se relève. Il sort son sexe et le plaque sur ma raie. Dans sa main, mon sexe sursaute. Il entoure le gland et récupère mon sperme. De son autre main, il écarte mes fesses et tartine mon anus avec sa semence. Je sens plusieurs personnes s’approcher pour mieux voir. Il pose son sexe sur mon anus et au moment où il s’enfonce en moi, je sens des lèvres se refermer sur le mien. La bouche s’active en même temps que le mec dans mon cul.
Le sperme qui s’écoule dans mon cul provoque mon explosion dans la bouche de l’autre. Quand ce fut fini, j’ai senti un bon nombre de mains qui caressaient ma peau. Je me suis même fait lécher par certains.
Tu aimes qu’on te caresse le cul, hein, pédale !
Il plaqua ses hanches contre moi et je sentis son sexe tendu contre mes fesses. Je me dégageai et appuyai sur le bouton d’arrêt. Quand je descendis du bus, il me suivait. Je pris plusieurs rues transversales, croyant qu’il se lasserait et j’ai fini par le semer. Je suis rentré chez moi, essayant d’oublier l’incident. J’ai quand même été troublé par la sensation que j’ai éprouvée au contact de ses mains sur mon cul. Fus-ce du plaisir ?
Le lendemain, en sortant de chez moi, je le vis qui attendait sur le trottoir d’en face. Il prit le bus avec moi et se livra au même manège. J’ai essayé de me soustraire à son jeu, mais, quand ses mains reprirent possession de mes fesses, je n’ai pas pu résister. Cette fois, il est entré dans le couloir de l’immeuble où je travaille et m’a plaqué contre le mur. Il a défait la ceinture de mon pantalon. Ma respiration s’est arrêtée. Je n’ai pas pu appeler à l’aide. Il a glissé ses mains dans mon slip, les a plaquées sur mes fesses et m’a attiré contre lui. La chaleur de son corps a annihilé mes forces et je ne sais pas comment, je me suis laissé faire. Il a ouvert sa braguette, sorti son engin et ouvrant mes vêtements, il s’est frotté contre ma peau. Ça duré peut-être cinq minutes, puis il est parti. Cette nuit-là, je n’ai pas pu dormir. Je pensais à lui et me demandais pourquoi je me laissais faire de la sorte.
Le jour d’après, après m’avoir fait subir le même traitement que la veille, il m’attendait à la sortie de mon travail. Cette fois, il m’accompagna jusque dans mon appartement. Il me déshabilla entièrement et s’assit sur mon canapé, la braguette ouvert et le sexe sorti. Il me prit par les mains et me fit mettre à genoux. Il me prit par les oreilles et approcha mon visage de son bas-ventre. Il prit son sexe dans sa main et le posa sur mes lèvres. Une fois dans ma bouche, il posa ses mains sur ma tête et imprima le rythme de ma fellation. Après l’éjaculation, j’ai voulu me relever mais il m’a maintenu dans cette position. Il s’est levé et m’a fait monter sur le canapé dans la même position. Il a écarté mes fesses et a posé son gland sur mon anus. Les mains sur mes hanches, il a poussé son sexe dans mon cul, centimètre par centimètre, pour bien me montrer qu’il était mon maître.
Tous les jours suivants, le même cérémonial se répétait. Ça duré presque un an, puis il a disparu. Depuis, il me manque. Quelquefois, je crois le voir monter dans le bus et je bande. Mais…non. Je ne l’ai jamais revu. Pendant cette année fastueuse, il m’a initié à beaucoup de choses.
Le sauna, les pissotières, les cinémas porno. Maintenant qu’il a disparu, je hante ces lieux à la recherche de celui qui le remplacera. Il suffit qu’on me caresse le cul pour que je le donne. Mais comment le faire savoir. Dans les cinémas où je vais me faire sodomiser, je tombe sur des mecs qui me malaxent furieusement les fesses et qui s’étonnent que je leur refuse mes faveurs. Moi j’aime, quand le gars paraît timide, qu’il s’approche lentement, qu’il frôle doucement mon corps, la peur d’être refoulé retenant ses gestes. Il touche d’abord ma cuisse avec la sienne, voit que je ne me dérobe pas, y pose sa main, toujours pas de réaction. Maintenant, sa main frôle très doucement mon cul puis accentue sa pression.
Il sent que mon cul va au devant de sa main, alors il apprécie le galbe de mes fesses. Il passe derrière moi et colle son pubis contre mon cul. Ses mains défont la ceinture de mon pantalon et se glissent dans mon slip, saisissant mon sexe en érection. Comme je me laisse toujours faire, Il tire sur les jambes de mon pantalon et le fait glisser jusqu’aux genoux. Il prend l’élastique de mon slip et le baisse le plus doucement possible juste sous les fesses. Il sait y faire. Je sens l’air frais sur mon cul. Je pense que beaucoup d’autres nous regardent et cela m’excite. Il caresse à nouveau mes fesses. Ses mains sont brûlantes. Me prenant par les hanches, il me tire en arrière. Mon cul se relève. Il sort son sexe et le plaque sur ma raie. Dans sa main, mon sexe sursaute. Il entoure le gland et récupère mon sperme. De son autre main, il écarte mes fesses et tartine mon anus avec sa semence. Je sens plusieurs personnes s’approcher pour mieux voir. Il pose son sexe sur mon anus et au moment où il s’enfonce en moi, je sens des lèvres se refermer sur le mien. La bouche s’active en même temps que le mec dans mon cul.
Le sperme qui s’écoule dans mon cul provoque mon explosion dans la bouche de l’autre. Quand ce fut fini, j’ai senti un bon nombre de mains qui caressaient ma peau. Je me suis même fait lécher par certains.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super excitants tes histoires. moi aussi j'adore ces contacts furtifs...