Géraldine, ma femme la mère de mes enfants.

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Géraldine, ma femme la mère de mes enfants. Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Géraldine, ma femme la mère de mes enfants.
Géraldine, ma femme la mère de mes enfants.

C’est quelques années après avoir racheté mon entreprise que j’ai rencontré Géraldine, elle était a la fac, et venais souvent boire un café dans le même bistrot que moi. Souvent je la voyais derrière ses piles de bouquins potasser des cours. J’ai demandé au patron s’il la connaissait. A sa réponse négative, comme je la trouvais assez mignonne, j’ai tenté ma chance.
Les débuts furent assez laborieux, en dehors de ses cours rien ne comptait pour elle. Puis, environ six mois plus tard, alors que je commençais à me dire que je n’arriverais a rien avec cette belle fille, je l’ai vue, elle n’avait plus ses livres, et elle buvait un verre de whisky a la place de son habituel café. Tout de suite je me suis approché d’elle.
- Bonjours, comment ça va ?
- Encore vous ! Laissez-moi tranquille.
- Mais je ne vous embête pas, je vous demande juste ce que vous avez, vous me semblez bien triste aujourd’hui.
- J’ai raté mon concours.
- Ce n’est pas grave, vous pourrez le repasser.
- Non, c’est fini, maintenant je suis trop vieille.
J’ai éclaté de rire, elle trop vieille, je lui donnais à peine dix huit ans. Comme son verre était vide j’en ai commandé un autre puis je me suis assis a coté d’elle. Elle me semblait déjà un peu pompette, quand le serveur est arrivé, je lui ai demandé combien elle en avait bu. A sa réponse je fus très étonné, c’étais le second qu’il servait. J’ai payé puis nous nous sommes remis à discuter. Après une bonne heure, comme elle avait du mal à se lever, je l’ai aidée et je l’ai raccompagné chez elle. C’était un petit studio au dernier étage d’un vieil immeuble, dans la rue à coté. Je l’ai couchée sur son lit et je suis parti.
Le lendemain, alors que je prenais mon café habituel, je l’ai revue, elle était toute joyeuse, elle s’est approchée de moi, m’a fait une petite bise sur la joue pour me dire :
- Je vous remercie pour hier, vous n’en avez pas profité.
- Profité de quoi ?
- De moi.
- Ce n’est pas mon genre. Je ne fais des choses avec les filles que si elles me le demandent.
- Merci, je ne vous plais pas, c’est pour ça ?
- Mais si, je vous trouve très belle.
- J’aurais aimé que vous profitiez de moi hier.
- Je ne l’ai pas fait par galanterie, mais si vous voulez, j’ai le temps, on peu retourner chez vous.
- Non, hier, j’étais pompette, j’avais envie, j’aurais voulu que vous profitiez de moi mais aujourd’hui, comme ça, à froid, on ne se connaît presque pas, ça ne va pas être possible.
J’ai commandé deux cafés et nous avons continué notre discussion.
Pendant environ une semaine, nous nous sommes retrouvés tous les soirs, à la fin de mon travail, dans ce bistrot, plus les jours passaient, plus nos rapports devenaient intimes et complices, nous sommes partis au cinéma, au restaurant, sans aller plus loin que des bises. Un soir, je me suis décidé, au lieu de commander des cafés, j’ai commandé des whiskies.
Un moment après, elle avait la tète qui tournait un peu et j’ai proposé de la raccompagner, elle a accepté. Sur le chemin de son studio, j’ai commencé à l’embrasser et à la caresser, elle semblait aimer ça. Chez elle, je l’ai doucement déshabillée en continuant mes caresses, elle a jouis. Puis elle m’a confié :
- Enfin, tu te décide.
Quand je l’ai couchée sur le lit elle m’a juste dit :
- Doucement tu es le premier.
Ça ne m’a pas arrêté, je l’ai faite jouir une nouvelle fois sous mes caresses puis je suis entré en elle. C’est vrai, elle était très étroite, elle gémissait de plaisir, j’ai poussé plus fort, j’ai franchi son hymen je l’ai senti se tétaniser, je me suis retiré pour lécher son petit minou meurtri. Quand elle a recommencé a gémir de plaisir, je suis a nouveau entré en elle, c’étais bien chaud humide serré, j’étais bien. Une foi au fond je me suis immobilisé et je l’ai embrassé. C’est elle qui s’est mise à bouger pour faire monter son plaisir. Stoïque, malgré l’envie que j’avais de prendre les commandes, je suis resté immobile, je l’ai laissé arriver à son orgasme toute seule. Quand j’ai senti son ventre se contracter et qu’elle s’est mise à crier son plaisir je me suis activé pour la propulser encore plus loin dans la jouissance. Quand elle s’est calmée, je me suis retiré et couché a coté d’elle.
- C’était merveilleux, je n’aurais jamais pensé que ça puisse être si bon.
- Oui, tu as raison, c’étais tres bon.
- Mai tu n’as pas jouis ?
- Non, je ne sais pas si tu te protège, je ne fait pas n’importe quoi moi.
- Mais si tu n’as pas jouis, tu n’a pas eut de plaisir.
- Oui, j’ai eut du plaisir, celui de te voir te tordre de jouissance sur ma bite par exemple.
- Mais ce n’est pas du vrai plaisir ça
- Mais oui, c’est un plaisir que j’aime beaucoup.
- Viens recommence, j’aimerais sentir ton plaisir en moi.
J’ai recommencé a la caresser, puis je suis a nouveau entré en elle je l’ai chevauché un bon moment, elle ne cessait pas de crier sa jouissance, nous nous accordions très bien. Quand j’ai senti que j’allais exploser, je me suis retiré et j’ai arrosé son ventre.
- Pourquoi tu n’es pas resté ?
- Je ne veux pas te mettre en cloque
- Tu crois que ça risque tant que ça a la première fois ?
- Oui, ça risque beaucoup.
- Ah bon, alors merci pour ta gentillesse.
Après un moment de repos, nous avons recommencé puis je suis parti chez moi.

J’ai eut quinze jours de boulot intense, je n’avais même plus le temps de m’arrêter au bistrot pour boire un café, c’étais de la folie puis ça s’est un peu calmé et j’ai pu enfin y faire un tour. Elle n’était pas la. Je suis parti chez elle.
En me voyant elle m’a sauté au cou et m’a embrassé puis elle s’est éloignée pour me dire :
- Je croyais que tu ne voulais plus me voir, que je ne te plaisais plus maintenant que tu m’as baisé, que tu ne voulais plus revoir une petite gourde aussi inexpérimentée que moi.
- Mais si, tu me plais beaucoup, j’ai envie d’être avec toi, je ne suis pas venu te voir a cause de mon travail, c’est tout.
- Ah bon, j’ai profité de ton absence pour étudier, je te réserve une surprise, je ne suis plu la petite oie blanche que tu as connu.
- Oui, c’est une surprise ça?
- Comme tu ne revenais pas je me suis instruite, j’ai lu plein de livres sur la sexologie, je sais maintenant qu’une femme peut faire jouir un homme quand et comment elle le désire.
- Non, c’est des histoires tout ça, je sais par expérience, j’ai passé plusieurs années à gagner ma vie en faisant jouir les femmes, et je te garantie que j’éjacule uniquement quand je le souhaite.
- Tu parie quoi ?
- Je ne sais pas.
- Tu m’épouse si je gagne.
- Sur de moi, j’ai accepté.
Elle a répété les conditions
- Si tu éjacule quand je l’aurais décidé, tu auras perdu et tu m’épouseras, promis.
- Oui, promis ?
En disant cela, j’écartai le côté de sa culotte pour enfin la toucher à même la peau. Je la caresse un petit moment en l’embrassant puis ma bouche est descendue sur son minou. Merveille des merveilles ! Un coulis de miel tiède sous ma langue, une petite boule lisse sous mon pouce, un duvet frisottant sur ma joue…
- Oui, tu va perdre, et tu m’épouseras…
Continua-t-elle avec difficulté, alors que j’écartais les pans de ses lèvres intimes pour caresser son clitoris à loisir.
- Vraiment ?
- Oh ! oui, viens, maintenant, prends moi.
Soupira-t-elle brusquement en se cambrant, lorsque l’extrémité de ma langue titilla l’extrémité de son petit bourgeon.
- Et si tu jouis avant moi, Géraldine, qui aura gagné ?
Elle posa une main sur mes cheveux.
- Ça suffit, Jean Marc, viens maintenant, ne me fait plus attendre.
Mes lèvres quittèrent son puits de douceur, et je me décidai enfin à lui retirer sa culotte. Je saisis ensuite gentiment Géraldine sous les cuisses pour la soulever un peu, et je la pénétrai lentement, en savourant la progression de mon pénis dans cet antre étroite, tiède et moelleux.
- Jean Marc… Pas de triche, hein ?
- Comment ça ?
Je ponctuai ma question d’un petit aller-retour voluptueux qui lui déroba un nouveau soupir.
- Ne te retire pas pour éviter de jouir.
Elle avait encore la présence d’esprit de plaisanter ; quant à moi, j’essayai de me concentrer sur la tâche à accomplir. Pas question de me laisser aller, il fallait absolument me contrôler, d’autant plus que Géraldine commençait à entrer en action, ondulant langoureusement du bassin, et répondant à mes mouvements par des plaintes aux accents extatiques. Nos sexes s’emboîtaient parfaitement, je disparaissais entièrement en elle, et les poils de nos pubis crissaient en se mélangeant. Elle mouillait abondamment, gémissait toujours plus fort, fermait parfois les yeux, ou alors redressait la tête pour regarder l’union de nos sexes. Son vagin se contractait et se relâchait autour de mon pénis. Elle leva un bras et je la vis poser elle-même un doigt sur son clitoris pour se caresser, ce qui, je ne sais pourquoi, m’excita encore davantage. Je commençais à me sentir partir et j’aurais voulu ralentir un peu, mais Géraldine ne l’entendait pas de cette oreille.
Ses mouvements du bassin s’intensifiaient, ainsi que ses cris. De son autre main, elle parvint à saisir mes bourses. Mon excitation monta encore d’un cran. « Je ne tiendrai pas » me dis-je. Mon salut n’était plus que de tenter de la faire craquer avant moi. J’écartai sa main pour prendre possession de son clitoris, et j’entrepris de la masser doucement.
- Oh oui, tu vas me faire jouir, continue…. Plus fort……
dit-elle, ce qui n’arrangea pas mes affaires.
Je sentais que j’arrivais au bout de mes forces, et surtout, la volonté commençait à me manquer. À quoi bon ce challenge ? Me disait une petite voix, laisse-toi aller ! Géraldine se collait à moi avec de plus en plus de force. Sa main qui caressait mes testicules commença à s’écarter et à venir rôder près de mon anus. « Si elle fait ça, je craque, c’est sûr » pensais-je. Je pris alors les devants et quittai son clitoris pour glisser ma main sous elle ; mon majeur vint se mettre franchement sur son anus que je commençai à masser sans vraiment encore forcer le passage.
- Oh, Jean Marc, je vais jouir ! ………….. Viens ! Je veux que tu éjacules maintenant !
Et en disant cela, je sentis les muscles de son vagin se contracter d’avantage, tandis qu’elle appuyait fort avec son doigt pour me pénétrer. C’en était trop. Tout bonnement, je fis ce qu’elle demandait, au moment où elle me le demandait : j’éjaculais indiscutablement. Qu’auriez-vous fait à ma place ?
Quand le tumulte fut passé, alors que nous nous étions laissés aller, alanguis, à quelques minutes de silence, vint l’heure de faire les comptes.
- Alors ? demanda-t-elle.
- Alors, alors, je ne pense pas avoir perdu.
- Comment ? Mais tu n’as pas pu te retenir, tu as jouis quand je te l’ai demandé, J’ai gagné !
- Je n’ai pas pu me retenir ! ah non, je n’ai pas voulu, nuance.
- Hypocrite, c’est pareil, ne me prends pas pour une innocente. Ne déforme pas le contrat : nous avons parié que tu éjaculerais au moment où je l’aurais choisi vrai ou faux ?
- Vrai, mais…
- Taratata. Si l’on s’en tient au pari initial, j’ai gagné, c’est tout.
- Oui, mais tu as bien choisi ton moment, pour me « demander » d’éjaculer ! Comme par hasard, c’était justement le moment où toi-même, tu sentais ton orgasme arriver ! Tu t’es bien gardée de me demander d’éjaculer tout au début ! Tu m’as demandé d’éjaculer au moment où j’étais justement sur le point de le faire sans que tu me le demandes !
- Ah ça, mon ami, tout le talent est là.
- Hein ?
- Mais oui, tout le talent de la femme est là, je l’ai appris dans les livres, une femme peut faire faire ce qu’elle désire a un homme sans qu’il ne s’en rende compte. Tu ne comprends pas ça ?
- Non, pas bien.
- Ce n’est pas grave, je t’expliquerais, mon petit mari chéri, dit-elle tendrement en se blottissant contre moi. Nous avons le temps.
A son contact, j’ai senti mon sexe relever la tète, doucement, ma main est descendue vers son puis d’amour et je me suis mis à la caresser.
Discrètement j’observais sa respiration qui s’accélérait, sa poitrine qui gonflait, elle restait stoïque mais je me doutais bien du plaisir qui montait en elle.
Je me suis retourné et en lui passant dessus
- Explique-moi, le talent de la femme
En guise de réponse j’ai eut son gémissement de plaisir quand je suis à nouveau entré en elle, je sentais son vagin se contracter spasmodiquement sur mon dar. Quand j’ai été tout au fond, je me suis immobilisé
- Je te parie que tu va jouir avant moi.
- Non, c’est toi qui ne pourras plus te contrôler quand je le désirerais.
Je n’ai rien répondu, et je suis resté en elle sans bouger, de mes mains je lui caressais la poitrine. Elle a commencé à gémir et à agiter son bassin sous moi. Je restais immobile, bien planté en elle, Ses mouvements du bassin s’intensifiaient, ainsi que ses cris, malgré le plaisir que je sentais monter en moi, je me concentrais et résistais. Elle a explosé, j’ai senti comme une marée de mouille m’inonder le bas ventre au moment ou elle s’est mise à crier son plaisir. Je sentais son vagin se contracter par saccades au rythme de sa jouissance puis elle s’est calmée, je me suis retiré et je l’ai nargué.
- c’est sur, la, j’ai gagné.
- Non, tu as triché.
- J’ai gagné, tu as jouis et pas moi.
- Tu t’y es pris en traitre, et je ne voulais pas que tu jouisses.
- Ah bon, et ton pari alors ?
- Mon pari, c’étais tout a l’heure, tu as éjaculé quand j’ai voulu.
- Maintenant, tu as jouis quand j’ai voulu et comme je voulais, j’ai donc gagné.
- Recommence pour voir qui partira le premier.
Tout en parlant elle m’a attiré en elle, s’est mise à onduler du bassin, de ses mains elle me caressait les boules. Je sentais que j’allais bientôt exploser, j’ai passé ma main entre nous, j’ai saisi son petit bouton et je l’ai serré entre mes doigts. Elle a crié, et j’ai a nouveau senti comme un raz de marée de mouille m’inonder.
- tu vois, tu jouis encore et pas moi.
Ses mains se sont mises à me griffer les fesses en même temps qu’elle se cambrait sous moi, elle a, a nouveau crié
- Vas-y maintenant, Viens ! Je veux que tu éjacules maintenant !
Je me suis concentré un maximum, malgré l’immense envie, j’ai essayé de résister, elle a serré les jambes dans mon dos remontant son bassin pour que je m’enfonce encore plus en elle et as murmuré dans un râle
- Maintenant
Je n’ai pas pu me retenir et je l’ai remplie une nouvelle fois de mon plaisir. Après avoir repris notre souffle elle m’a murmuré à l’oreille :
- J’ai encore gagné, tu as jouis à ma demande au moment que j’avais choisi. Quand est-ce que tu m’épouse papa.
- Papa ?
- Oui, je sens bouger tout le foutre que tu as mis en moi, alors que je suis en pleine période d’ovulation, tu seras bientôt papa.
Comme je suis un homme de parole, nous nous sommes mariés deux mois plus tard.
Pendants plusieurs mois, nous avons recommencé a jouer a qui jouirais le premier c’étais super et la, pas de risques, je pouvais éjaculer au plus profonds de son ventre. Mais je n’ai jamais réussi à retenir mon éjaculation quand elle me demandait de jouir. C’est après son accouchement que c’est devenu plus embêtant, il y a d’abord eut les tété, toutes les quartes heures, puis l’obligation de se câliner en silence pour ne pas la réveiller, puis les premières dents et bébé dans notre lit. En plus, j’étais obligé de me méfier, elle ne voulait pas entendre parler de contraceptifs, chaque fois que je réussissais à lui faire l’amour, c’étais pour moi comme jouer a la roulette russe. Heureusement, j’avais assez de contrôle pour me retenir, ne pas jouir ou pour me retirer mais quelque foies, c’étais très dur. Enfin au fil des années ça s’est arrangé.

Un soir, en rentrant plus tôt que d’habitude j’ai surpris une conversation qu’elle avait avec une de ses copines qui était mariée depuis plus longtemps que nous et qui n’avais toujours pas d’enfants.
- Tu es normalement constituée, ton mari aussi ?
- Oui, bien sur.
- Alors, c’est simple, tu peu te faire faire un enfant quand tu le désire.
- Non, il se méfie, il n’en veut pas et comme il sait que je ne prends rien, il se méfie et se retire a chaque fois pour jouir.
- Mais c’est a toi de t’arranger pour qu’il ne se retire pas, il y a des tas de trucs imparables, mets les en pratique et tu pourras bientôt avoir le ventre bien rempli.
Je n’ai pas pu résister, je suis sorti de la cuisine ou je m’étais discrètement réfugié pour intervenir.
- Stop, fini de raconter des bêtises, si tu veux un enfant, décide simplement ton mari à t’en faire un, c’est tout. Pas besoin de lui faire des coups tordus.
Elles m’ont regardé comme si j’étais un extraterrestre puis la conversation est partie sur un autre sujet. Après le départ de sa copine, Géraldine est venue me trouver très câline et m’a dit :
- Je voudrais avoir un autre enfant, pas toi ?
- Moi, non, c’est bien comme ça.
- Je t’assure, j’en voudrais un autre.
Me rappelant les déboires et embêtements des premières années avec notre fille, je restais ferme et n’e voulant pas recommencer je lui répondais évasivement :
- On Véra, plus tard peut être, ce n’est pas le moment.
Pendant toute la soirée elle s’est comportée comme une chatte en chaleur, m’attendant a un gros câlin, nous sommes vite partis au lit, la, dodo, rien. Elle avait soit disant ses règles. Pendant une semaine, tous les soirs, elle me demandait de lui faire un nouvel enfant et je refusais, pendant l’acte, je prenais bien soin de ne pas éjaculer en elle au moment crucial c’étais dur mais j’y arrivais.
A la fin de la semaine, elle s’est faite très câline, et a arrêté de me demander de lui faire un enfant, je pensais que sa lubie était passé, j’étais ravi, comme j’avais très envie, je l’ai emmenée au lit en l’embrassant et la câlinant. Une fois au lit, rien, mal a la tète. Le lendemain, ça a été très mal au ventre puis autre chose, J’étais sur le point de craquer, j’en avais mal aux bourses, depuis maintenant deux semaines elle se refusait, toujours avec une bonne excuse.
Enfin un soir, en rentrant du travail, elle m’a embrassé goulument en me caressant, je lui ai tout de suite rendu ses caresses et nous nous sommes mis à faire l’amour comme des fous. J’en avais tellement envie qu’elle m’a fait jouir presque tout de suite en elle et nous avons continué sans que je débande. Après un très long moment, nous avons eut tous les deux un orgasme merveilleux qui nous a assommé. Quand j’ai refais surface, elle me regardait avec un petit sourire narquois.
- Qu’est ce qu’il y a ?
- Rien, je pensais à ta théorie de l’autre jour et à la mienne.
- Quelle théorie ?
- Celle que tu as exposée à ma copine qui voulait avoir un enfant.
- Ah oui et alors ?
- Et bien ta théorie ne marche pas, la mienne oui.
- Pourquoi ?
- Je t’ai demandé plusieurs fois de me faire un autre enfant, tu t’y es toujours opposé pourtant je pense que la, tu viens juste de m’en faire un avec tout ce que tu m’as mis alors que je suis en pleine période d’ovulation je suis sure que je vais être enceinte.
C’est comme ça qu’est venu mon fils. Maintenant, comme elle ne veut toujours pas prendre la pilule, je me méfie, j’ai noté sur un carnet quand elle avait ses règles et je ne jouis en elle que quand je sais qu’il n’y a pas trop de risques, le reste du temps, je me concentre pour me retirer à chaque fois. J’espère surtout qu’elle n’en voudra pas un troisième, je sais maintenant par expérience que je serais incapable de lui résister. Je comprends mieux le dicton « ce que femme veux, dieu le veux ».

Fin de mes souvenirs

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Texte coquin : Géraldine, ma femme la mère de mes enfants.
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