Giovanna femme de ma vie ? Ch II - histoire érotique

Chap II

Giovanna est debout, nue, elle a fini de faire tomber mes vêtements, je suis aussi nu qu’elle.

- Tu es superbe Giovanna, ma chérie. Dis-je

- Tu es vraiment beau toi aussi, et je ne pensais pas que tu aurais un si grand sexe et aussi dur fit elle en prenant mon sexe dans sa main. Ce qui me fit soupirer et frissonner.

- Sensible en plus. Dit-elle.

Ses cheveux frisés, tombant sur ses épaules, sa poitrine lourde aux tétons gonflés et aux aréole larges montait et descendait sous l’effet de sa respiration accélérée par l’excitation. Ses hanches larges et rondes et sa taille assez fine lui donnait une silhouette agréable, mais Giovanna est une petite femme, naturelle, ses aisselles ne sont pas rasées, sa toison luxuriante, masque son sexe. Triangle brun frisotté sous un tout petit ventre rond. Giovan n’est pas une gravure de mode, c’est une femme, une vraie femme. Mes mains courent sur ses flancs, ses hanches, remontent verses seins que je prends à pleines mains, titillant les tétons durs avec mes pouces. Je la dépasse d’une bonne tête pourtant je ne suis pas grand. Elle me regarde les yeux brillants de désir.

- J’ai vraiment très envie de faire cette bêtise Gilles, j’ai envie de toi comme jamais je n’ai eu envie d’un homme.

- C’est adorable, de me mettre la pression comme ça, je ne dois pas te décevoir alors.

- Je suis certaine que tu ne me décevras pas, chéri.

En effet cette remarque me colle une pression d’enfer, je la fais trahir son mari, si en plus je ne suis bon, quelle déception pour elle. Je ne me laisse pas influencer, j’ai trop envie d’elle depuis 6 mois. Et je n’ai pas vraiment fait appel a d’autres amies, car elle occupait presque toutes mes pensées. Sa ma in cajole mon sexe qui est gonflé, dur plaqué contre mon ventre. Un baiser sur ses lèvres douces, humides et tremblantes. Tous les deux nous voilà revenus a nos première fois, comme des gosses. Je suis presque aussi fébrile qu’avec Sylvie mon initiatrice. Ma bouche descend le long de son cou, vers ses seins que j’ai dans mes mains, mes lèvres enserrent le téton, le lèche le laissant luisant de salive, avec de donne le même traitement à l’autre. Giovanna rejette la tête en arrière et laisse échapper un petit râle de satisfaction en disant.

- Oh c’est bon tes lèvres, c’est doux.

- Ta peau est douce ma chérie, j’ai envie de te manger toute crue.

Doucement je la force a se poser sur le canapé, je descends le long de son corps ma langue taquine son nombril, elle est assise, le dos appuyé sur l’accoudoir. Elle ouvre largement ses cuisses d’elle-même. Invitation a faire connaissance avec son sexe. Elle me dévoilé la blessure rose de sa chatte, des lèvres charnues protègent l’accès a son sexe, une humidité certaine est présente. Elle tremble doucement. Elle ne me quitte pas des yeux.

- Comme tu es beau, chéri, montre-moi tes beaux yeux verts, tes mains son douces, j’aimes tes caresses Gilles, je suis tienne, fais-moi l’amour.

Je dépose des baisers sur ses cuisses alternativement, a gauche et a droite, remontant vers son sexe. Son tremblement s’intensifie. Avec mes pouces j’écarte les petites lèvres cachées dans sa toison. J’ouvre son coquillage qui se révèle bien plus humide que je ne le pensais. A la jonction de ses petites lèvres le capuchon de son clitoris peine a cacher la jolie perle luisante et gonflée. J’approche mes lèvres et la pointe de ma langue viens toucher ce petit bijou. Il est magnifique et de belle taille. J’aimes son sexe. Que dire de son odeur, de son gout. J’aimes tout en elle. N’oubliez pas je suis très amoureux. Et j’avoues être toujours amoureux d’elle. Malgré les années.

- Ohhhhhhhhh gémit elle quand ma langue touche son clito. Elle se cambre, comme tétanisée.

- Petit point sensible ma chérie? Demandais-je

- Oh ouiiii j’aimes .. encore ..Gilles

Un second coup de langue cette fois entre les lèvres me fait pénétrer son sexe. Elle pose ses mains sur ma tête et plaque mon visage contre sa chatte.

- Oh ouiiii chéri encore, lèches moi, j’aimes comme çà.

Ma langue parcoure cette conque de plus en plus humide, ruisselante même entre ma salive et tous les sucs qu’elle exsude. Giovanna écarte les cuisses au maximum, me laissant l’accès à son entre cuisse. Je me laisse aller a quelques coups de langues sur son anus palpitant. Je le lèche, le force légèrement.

- Oh oui.... là c’est bon aussi, j’aimes chéri. Tu me lèches bien Gilles.

Son clito est de plus en plus gonflé et saillant, dur, lisse extra sensible, chaque coup de langue lui fait faire un bond. Je le prends entre mes lèvres et aspire le petit bout de chair.

- Doucement, doucement, je vais faire pipi. Dit-elle la voix rauque.

- Laisse-toi allez, ne te retiens pas ma chérie.

- Ohhhh c’est fort... tu crois que je peux ?

- Ouii j’adore laisse toi emporter. Jouis pour moi.

Elle ondule des hanches, lançant sa chatte contre ma bouche, ma barbe et ma moustache sont déja trempés, ses poils frisés son trempés, des gouttelettes de mouille sont accrochées sur chaque poil. Son urètre palpite. Mes doigts plongés dans son antre bouillant se couvrent de mousse laiteuse, épaisse, épicée. Son vagin s'ouvre et se ferme spasmodiquement. Je lutte contre mon envie de la prendre, enfoncer mon sexe en elle est mon graal. Mais je désire la faire jouir avec ma bouche avant de la prendre.

- Ohhh oui c’est bon !!! C'est bon !! Tu va me faire jouir !! Cries t elle

C’est bien mon but, ma queue est vraiment tendue à l’extrême et je sens que je mouille également, un long fil épais suinte de mon méat. Tout me pousse a la posséder et j’en meurs d’envie mais je tiens a ce que Giovanna jouisse avant. Comme çà elle jouira à nouveau quand je vais la prendre. Enfin je pense que oui elle semble de nature a ne pas se satisfaire d’un seul orgasme .

Ses mains se crispent sur ma tête, elle tire mes cheveux en roulant du bassin et en me faisant pénétrer le nez et la bouche dans sa chatte qu’il s’épanouit, trempée, ouverte palpitante. Un coup de langue sur le clito la fait sauter comme un cabri. Je dois me contrôler elle est tellement excitante que je pourrais fort bien éjaculer rien que de lui bouffer la chatte.

Je mordille son clito et l’aspire, son jus coule sur ma barbe abondamment.

- Ohhhhhhhhhh Oui Gilles, oui fort !! Encore encore je Jouissssssssssssssssssssssssss

Oh oui elle jouit, j’ai un mal fout a la retenir de tomber par terre. Ses cuisses sont un étau qui écrase ma tête. Elle est agitée de spasmes violents, elle crie, et soudain elle s’arc boute dans un grand cri lâchant les vannes elle jouit et pisse sans retenue inondant mon visage, elle s’en rend a peine compte. Je venais de faire connaissance avec elle, qui est une vraie fontaine, si on la laisse s’exprimer, orgasme égal squirt dans presque tous les cas si elle se sent libre.

Encore engluée dans sa jouissance elle, ouvre ses cuisses au plus large et je ne peux me retenir de venir en elle. Son vagin palpitant m’accueille avec douceur, je glisse en elle facilement.

- Oh c’est gros je te sens fort Gilles oh ouiii vas y !!

- Ohhhhhhhhhhh je ne peux plus me retenir chérie!!!

J’éjacules violemment en elle, je remplis son sexe avec mon foutre brulant.

- Ohh Gilles je sens tu coules en moi c’est bon c’est chaud !!! Ce n’est pas grave.

- Non pas grave, ce n’est pas fini ma belle. Dis-je en commençant a la pistonner.

- Hmmm oui tu es toujours dur !!fort au fond j’aimes te sentir.

Giovanna à un vagin modestement profond et je ne peux y loger toute ma queue qui approche les 20 cm . S’il est peu profond il est particulièrement musclé et elle me triture la queue de belle façon.

Plaqué sur elle ma bouche agace ses gros tétons ou couvre ses lèvres de ma bouche. Les jambes croisées sur mes reins accompagnent ma cadence. Je lui fai comprendre que j’aimes ses caresses sur ma poitrine mais je me délecte encore plus de ses doigts jouant avec mes tétons. Elle comprit facilement et tout au long de notre relation elle fut experte dans la science de joueur avec mes bouts de seins, me faisant parfois jouir uniquement par cette caresse. Elle adorait me faire patienter longtemps, m’interdisant tout autre mouvement. Jusqu’a ce que je vomisse tout mon sperme.

Pour le moment je laboure avec un désir intense cette femme ; qui occupe toutes mes pensées pour l’heure.

- Tu vas encore jouir murmure t elle a mon oreille. Moi je vais encore jouir si tu continues comme çà.

C’est bien tout ce que je cherche, je suis vraiment dur, et je donne de grands coups de reins butant au fond de son sexe. Les coups la font trembler, je sens bien qu’elle aime que je sois un peu brutal, sans excès mais elle a envie de se sentir possédée. Plutôt soumise de nature, comme beaucoup de femmes, aucune connotation péjorative, ce sont des femmes “normales” qui restent persuadée que c’est le mâle qui doit la protéger et elle doit être plus ou moins a son service. Des milliers d’années de conditionnement, et maintenant une société qui remet tout en question. Je pense que c’est aller contre l’ordre naturel, par pure idéologie ce qui ne m’empêchera pas d’adorer me soumettre a une femme, pour mon plaisir et son plaisir également et quand je dis une femme cela peut aussi bien être un homme. Mais à cette époque j’étais un peu moins branché par les mecs

Je goute avec délice mes étreintes avec Giovanna, cette longue période durant laquelle je l’ai désiré a laissé une empreinte forte sur mon esprit. Je ne cacherais pas qu’elle a laissé sur moi une empreinte indélébile et que maintenant encore j’avoues être toujours amoureux d’elle et je sais que c’est réciproque.

Elle est comme je le désirais, sensuelle, offerte totalement, c’est notre première fois mais elle et moi sommes aussi à l’aise que si nous étions ensemble depuis des années. Cela arrive parfois avec certaines femmes, j’ai ressenti çà avec plusieurs, certaines ont été mes compagnes, d’autres des amantes et même certaines étreintes de passage eurent cette saveur. Sans doute des femmes compatibles avec moi. Certaines complices de débauche étaient comme çà. Cette impression qu’on était de vieux amants.

Giovanna j’étais amoureux fou d’elle, mon but ultime était de la séduire et de la garder, en faire ma femme, avoir des enfants je ne le cache pas c’était vraiment l’avenir que je désirais avec elle.


Elle se laissais aller totalement, son visage exprimait le plaisir a l’état pur, la rougeur de la base de son cou et de ses joues étaient éloquentes, Giovanna était excitée et vraiment réceptive. Chaque coup de rein la faisait gémir, ses ongles labouraient mon dos. Ses jambes croisées sur mes reins me plaquaient contre elle. J’enfilais mon sexe en elle le plus loin possible mais un tiers environ refusais de s’y loger. Pourtant j’étais sur le point d’exploser. Elle triturait mes tétons avec tellement d’entrain. Que je ne pouvais plus réister.

- Oh chérie je vais jouir, je vais jouir je vais me retirer. Dis-je.

- Non jouis encore en moi, je veux encore te sentir jouir. Dit elle

Déja que j’avais jouis en elle a peine introduit quelques temps avant, je pensais qu’elle aurait préféré ne pas tenter le diable une seconde fois, certes je ne savais pas si elle prenait un contraceptif et j’avoue que je n’y avais pas pensé au début mais là çà me paraissait logique de ne pas prendre de risque. Dés la première fois elle n’avait pas semblé s’en soucier.

- Ohhhhh oui tiens prends tout chérie.

- C’est bon !! Oh oui je te sens si bien.

Elle m’enlaçait et sa bouche dévorait la mienne ,frissonnante et jouissant alors que je me répandais en elle.

- C’est trop bon avec toi dit-elle, trop bon.. Jamais j’ai jouis comme çà avant.

Elle se laissait retomber sur le lit, je restais sur elle, en elle la queue toujours dressée. Je caressais son visage, ses cheveux, les baisers se prolongeaient. Je finis par rouler sur le côté pour qu’elle soit sur moi, toujours empalée que ma queue.

- Mais Gilles tu bandes toujours pareil, t’est toujours comme çà et c’est moi qui t’excite a ce point. Fit-elle souriante.

- Tu m’excite énormément Giovanna, tu es magnifique, je prends un plaisir dingue avec toi. Mais je suis toujours comme çà avec une jolie femme, désirable.

- Ouahhhh J’avais jamais connu ça. On pourrait continuer ? Fit elle donnant un coup de rein bien agréable.

- Oui chérie, si tu a envie, je continue.

- Laisse-moi faire c’est moi cette fois qui vais te faire plaisir.

Giovanna commença lentement a remuer son bassin, mon gland calé au fond de son vagin.

- C’est fou comme je te sens au fond de moi, j’adore j’en suis toute bizarre.

- Tu as des joues rouges ma chérie, tu es toute moite et j’adore çà Dis-je

- Cela ne te dérange pas si je suis en sueur ?

- Bien sûr que non tu es encore plus belle. Dis-je léchant la sueur qui coulait entre ses seins.

- Oh Gilles, je t’aime. Tes caresses me rendent folle. Je vais te faire jouir mon amour.

Je constatais qu’elle était aussi accroc que moi, la situation était compliquée, mais on n’était tous les deux sur la même longueur d’onde. Mains sur ses hanches j’accompagnais son va et viens mangeant les pointes de ses seins et ses lèvres, elle me scrutait de ses yeux brillants, plein de feu et de désir. Je me sentais vraiment désiré, cette fois plus que dans beaucoup de cas.

Giovanna me baisait avec ardeur son vagin musclé triturait ma queue dans une fournaise mouillée. Elle cassait le rythme le ralentissais, accélérait. Ma queue était gonflée, dure et je ne tardais pas a gémir sentant monter mon plaisir. Nous étions en sueur tous les deux, j’adore les peaux luisantes trempées qui se frottent c’est vraiment aphrodisiaque.

- Oh chérie je vais jouir , je vais jouir. Dis je

A ces mots Giovan sauta de sur mon chibre et se mit entre mes cuisses, prenant ma queue dans sa bouche. Ses yeux dans les miens elle me pompait pour prendre ma semence dans sa bouche. Ce qui arriva rapidement. Je sentis monter la sève avec force. Pour ne pas la surprendre je repoussais son front.

- Je jouis chérie, attention !!

Giovanna ne sembla pas vouloir m’écouter, elle continuait de me sucer avec avidité.

- Ohhhh putain ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!! Criais-je en éjaculant.

Giovanna avait englouti toute ma queue loin dans sa gorge et elle me laissait me vider sur sa langue. Malgré mes précédentes éjaculations c’était encore abondant et ses joues étaient gonflées. Elle laissa ma queue s’échapper de ses lèvres et toujours les yeux dans les yeux entrouvrit les lèvres, sa bouche était pleine de foutre qu’elle se mit a avaler par petites gorgées, ouvrant largement les lèvres pour me montrer qu’elle avait tout avalé.

Giovanna s’allongea sur moi ses seins écrasés contre ma poitrine, ma queue toujours dure coincée contre sa toison luxuriante. Elle caressait mon front doucement bécotait ma bouche. Puis elle dit d’une petite voix

- C’est la première fois que l’on jouit dans ma bouche tu sais.. J’avais peur avant mais j’ai beaucoup aimé et toi aussi je crois.

- Ohh Oui j’ai adoré ma chérie,

- Alors quand tu veux je le fais avec toi.

On est restés ainsi a se câliner longtemps avant de reprendre nos ébats jusque tôt le matin.

A suivre