Glissements progressifs du plaisir : 2- Le bouchon en plastique
Récit érotique écrit par Justinsolo17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Glissements progressifs du plaisir : 2- Le bouchon en plastique
Marc, rentre à peine du travail et immédiatement m’annonce :
- Christian a eu un accident
J’ai un choc. Christian est un collègue de mon mari et nous avons passé la soirée de
samedi chez lui. Je ne l’appréciais guère mais mon opinion a changé après une soirée
de débauche en compagnie de Martine, sa femme, alors que Marc, terrassé par l’alcool,
ronflait dans le divan…
- C’est grave ? Que lui est-il arrivé ?
- Non, pas trop grave. Enfin il est bien esquinté. Dimanche il a voulu faire un
barbecue. Le feu partait mal, il a jeté directement de l’alcool à bruler dans les
braises… Le truc à ne pas faire ! Il a les deux mains salement brulées. C’est Martine
qui a appelé la boite. Il a passé deux jours à l’hôpital et il a les mains bandées
mais il ne devrait pas garder de séquelles.
Nous sommes mardi et depuis dimanche je me creusais la tête pour trouver une excuse
valable pour leur rendre visite. Bingo…
- Ce doit être dur. Et handicapant. Je ne travaille pas demain après-midi. Tu ne crois
pas que je devrais leur rendre visite ?
- Je croyais que tu n’aimais guère Christian ?
Je prends un ton dégagé
- Oh, c’est surtout pour Martine. Elle bosse toute la journée. Je pourrais passer leur
faire un peu de ménage, ou préparer leur repas du soir…
- C’est sûr qu’elle apprécierait. Christian ne peux rien faire, rien toucher, rien
ranger. Un vrai boulet… Elle sera contente du coup de main…
Re bingo.
Le lendemain dés 13h je sonnais à leur porte. J’avais le cœur battant. Je me rejouais
les scènes de la nuit de samedi… J’en étais encore toute excitée. J’avais opté pour
une jupe assez sage et un pull qui moulait mes seins orgueilleux.
J’entends brailler
- Entrez..
Puis alors que je franchis la porte
- C’est qui ?
- C’est Christelle. Je suis venu voir si tu avais besoin de quelque chose
- Je suis dans la chambre
Je pose mon sac et je m’y rends. Je connais le chemin, et pour cause.
Il est au lit, la tête soutenue par deux oreillers, les bras posés sur la couette. Ses
deux mains sont bandées depuis le milieu du bras jusqu’au bout des doigts. Il tient
maladroitement un livre.
- Bonjour Christelle. Ça me fait plaisir que tu sois là, tu pourras tourner les pages
du bouquin, je n’y arrive pas avec ces foutus pansements.
Il pose le livre et me raconte son accident. C’est vraiment le truc idiot. J’ai
approché une chaise près du lit.
- Au fait, vous êtes partis tôt dimanche.
- Je crois qu’après ce qui s’est passé, j’avais honte de moi.
- Tu as tort, Martine et moi avons apprécié tes talents.
Sa main droite s’est posé maladroitement sur ma cuisse
- Ne dit pas que cela ne t’a pas plu. La preuve : tu es revenue !
Je sens le rouge me monter aux joues
- Non, enfin si, je veux dire…
- Tu veux dire que tu as apprécié et que tu rêves de recommencer.
Sa voix se faire dure, autoritaire
- Ne le nie pas, dis-le !
- Oui Christian, j’ai apprécié
- et…
- Et… J’en ai encore envie.
- Bien. Tu vois ce n‘est pas difficile. En tous cas, je suis passablement diminué,
mais tu vas me rendre un service.
- Oui
- Tu vas m’aider à aller pisser. Cette abrutie d’infirmière n’a pas voulu.
Il a repoussé les draps et se redresse. Il est en caleçon. Il se lève et se dirige
vers les toilettes. Je le suis. Arrivé devant la cuvette, il lève les bras
- A toi de jouer.
Je me faufile sur le côté et passe ma main dans l’ouverture du caleçon. Je me saisis
de sa queue que je sors. Je la dirige vers la cuvette et il se laisse aller. Il devait
se retenir depuis un certain temps car j’ai l’impression que sa mixtion dure
longtemps. Mais je suis heureuse d’avoir sa queue dans ma main. Je ne sais pas par
quel maléfice cette bite m’envoute autant.
Lorsqu’il a fini, je ne peux m’empêcher de la caresser doucement. Je le sens réagir,
mais il me rappelle à l’ordre.
- Du calme, retournons dans la chambre…
A peine arrivé, il s’allonge sur le lit.
- Satanés médicaments, j’ai l’impression d’être toujours fatigué.
Sa queue est toujours sortie puisque je ne l’ai pas rangée. Je suis de nouveau assise
sur la chaise. Il temps le bras, passe sa main emmaillotée de pansements derrière ma
nuque et m’attire vers lui. Ou plutôt la pression qu’il exerce pousse ma tête vers son
sexe inerte.
- Allez, m’ordonne-t-il, puisque tu es venue pour cela.
Je me penche et prends sa bite dans ma bouche. Je commence à le sucer. Je glisse ma
main entre mes cuisses et au travers de ma culotte je commence à me caresser tout en
m’activant sur son sexe qui ne me semble pas aussi vigoureux que ce que j’ai connu
samedi soir. Sans doute les médicaments… Après un certain temps, alors qu’il bande
plutôt mou, il m’arrête.
- Déshabille-toi.
- Mais..
- Fais ce que je te dis !
Sa voix claque comme un fouet. Je me mords les lèvres, me lève et sans tergiverser je
me dénude sous son regard inquisiteur…
Une fois nue je reste debout, à côté du lit et j’attends. Je suis à sa disposition. Il
lève ses mains bandées
- J’aurais aimé te caresser mais… Va ouvrir la penderie m’ordonne-t-il Tire le premier
tiroir, sur la gauche. Prend le bustier et met le.
Plus qu’un bustier, il s’agit d’un corset. De belle qualité d’ailleurs. Le mettre me
prend du temps. Le laçage est délicat. Mais il est à ma taille.
Je me regarde dans le miroir fixé à l’intérieur de la porte de la penderie. Je
découvre une nouvelle Christelle. Ma peau blanche contraste avec le noir de cet
accessoire comme avec le noir de ma toison pubienne fournie mais soigneusement
entretenue. Ma poitrine dont je suis si fière semble être présentée comme sur un
plateau aux regards concupiscents. Je me tourne. Le laçage serré affine ma taille et
mets en valeur mes hanches fines et mon fessier. Je me sens belle, désirable. Je me
sens indécente et ça me plait. Ca m’excite ! Je mouille comme jamais…
- Reviens t’occuper de moi, m’ordonne Christian. Et laisse la porte de la penderie
ouverte.
Je monte sur le lit et me consacre à nouveau à ma fellation interrompue. Lui, sur le
dos, le buste redressé par ses oreillers peut admirer mon cul dans le miroir. Je suce
avec ardeur car je le sens réagir. Mes hanches sont agitées par une houle de plaisir
que j’entretiens par des caresses précises que je m’octroie avec délectation. Je sens
que ma fellation porte ses fruits car je retrouve dans ma bouche le sexe conquérant,
raide, ferme, que je connais depuis peu.
Christian pousse un soupir, se cambre et je récupère sa semence dans ma bouche. Je
déglutie, j’avale son sperme comme si je l’avais toujours fait. Où est la Christelle
pudique que j’étais encore il y a quelques jours ? Je me sens devenir de plus en plus
extravertie. Je bascule vers une nouvelle sexualité et ça me plait. Je suce un homme
en cachette de mon mari dans une tenue indécente et j’y prends un plaisir malsain qui
me comble.
Du bout de ma langue je nettoie son sexe qui a perdu de sa superbe aspirant et léchant
avidement les dernières traces de son sperme.
Puis je descends du lit et me rassoie sur la chaise. Je n’ai pas eu d’orgasme mais le
plaisir de lui en avoir procuré un me semble compenser largement.
J’ai les joues en feu et je ne peux retirer ma main droite de mon sexe où mes doigts
continuent à entretenir mon excitation.
- C’est bien, dit Christian dans un soupir. Je crois que je vais faire un somme. Ces
médicaments m’abrutissent.
- Dors… Je vais en profiter pour faire un peu de rangement.
- Si tu veux. Mais je souhaite rouvrir les yeux sur un beau spectacle. Aussi tu
resteras dans cette tenue. Mieux, ouvre le tiroir de la table de chevet.
Je m’exécute. J’y trouve une sorte de bouchon en plastique noir.
- Qu’est-ce que c’est ?
- C’est le plug anal de Martine. Tu vas le mouiller avec ta salive et te l’introduire
dans le cul… Allez, vas-y..
Je sens qu’il ne supporterait pas que je tergiverse. J’humecte de ma salive cette
sorte de champignon, puis, debout, penchée en avant je le pose à l’entrée de mes
reins. Il n’est pas très gros, moins que le sexe de Christian, et je n’ai aucune
difficulté à le mettre en place. La sensation est plutôt étrange mais pas désagréable…
Je reste ainsi, penchée en avant une main sur le plus.
- Redresse toi, gourde, et lâche-le, gronde-t-il, il est conçu pour tenir tout seul.
Je me redresse doucement. Effectivement le plug reste fiché dans mon anus. Je le sens,
mais il ne me gêne pas. Simplement il est omniprésent. Je sens cet objet, planté dans
mon cul, qui me procure une sensation excitante, surtout lorsque je bouge…
- Martine le met quelques fois pour aller au travail et elle le garde toute la
journée. Toi tu le garderas tout l’après-midi durant tes tâches ménagères. Tu ne le
retireras que pour le remplacer par ma queue. C’est compris.
J’acquiesce en silence. Il se cale dans ses oreillers et ferme les yeux. Je me suis
assise sur la chaise et d’une lente ondulation de hanches sur la chaise, j’amplifie le
plaisir que me procure la présence de cet objet étranger entre mes fesses.
A son souffle plus régulier, je comprends que Christian s’est assoupi. Je n’imagine
même pas lui désobéir en ôtant le plug ou en me rhabillant. Je me lève et décide
d’aller ranger la cuisine et me faire un café pour évacuer le gout acre de son sperme
dans ma bouche. Marcher avec le plug dans l’anus est une sensation nouvelle, agréable,
unique, comme se promener quasi nue dans une maison qui n’est pas la mienne.
D’ailleurs il ne me viendrait pas à l’idée de me promener nue chez moi. Je suis bien
trop pudique…
Très vite je comprends que l’objet a été bien étudié. A aucun moment il ne semble en
capacité de s’extraire malencontreusement…
Je me suis attaquée à la vaisselle et au rangement de la cuisine. Mais la tâche
n’avance pas très vite car régulièrement je m’arrête pour me caresser. Le plug dans
mon cul fait de l’effet et je me suis donné deux fois du plaisir dans le salon sur le
canapé. Je sais que je vais en acheter un. Je cherche déjà les endroits dans ma maison
ou je pourrais le dissimuler et je réfléchis aux occasions que j’aurai de le porter.
Il est 16 heures lorsque j’entends Christian se manifester en poussant un cri de
douleur. Je me précipite. Dans son sommeil il a tenté de se retourner et s’est appuyé
sur une de ses mains. La douleur l’a réveillé en sursaut.
- Ca va ?
- Ca pourrait aller mieux réplique-t-il avec un pauvre sourire.
- Ecoute, Martine ne va pas tarder, je vais rentrer sinon Marc va s’inquiéter.
- Tu gardes le plug en place ?
- Tu es fou…
- Alors, si tu le retires, tu sais par quoi tu dois le remplacer…
Cet homme est fou : il a mal, il est shooté par les médicaments mais il pense encore à
baiser. A me baiser. C’est flatteur mais c’est un grand malade.
Je glisse ma main sous les draps et palpe son sexe. Il est déjà à moitié dur. Je tire
la couette vers le pied du lit et je commence à le masturber. Il est rapidement
opérationnel. Je me hisse sur le lit.
- Je veux voir ton cul exige-t-il
Je lui tourne le dos et m’accroupis au-dessus de son ventre. Je passe une main entre
mes cuisses et je retire le plug. J’ai une sensation soudaine de vide. J’attrape son
sexe que je frotte sur mes lèvres et l’entrée de mon ventre inondé, puis je me
positionne, place sa queue à l’entrée de mes reins et doucement je m’empale. La
pénétration de son gland me semble plus facile que samedi dernier. Mon anus a dû être
assoupli par l’objet qui l’a occupé une bonne partie de l’après-midi… Lentement je
m’empale jusqu’à me retrouver assise sur son bassin. Je n’irai pas plus loin… J’entame
une série de montées et de descentes de plus en plus rapides. Je coulisse sans
problèmes sur son sexe. Je sens des picotements de plaisir entre mes fesses.
J’accélère mes mouvements de yoyo et les picotements s’amplifient. J’ai à peine le
temps de penser « incroyable je vais jouir par le cul » que mon orgasme explose. Je
m’immobilise, empalée, le souffle court, des frissons parcourant mon corps. Puis la
vague reflue et je pense à Christian, toujours fiché en moi, le sexe tendu à rompre.
J’ondule du bassin puis recommence à monter et descendre sur sa hampe. Je sens son
sexe gonfler et gonfler encore dans mon cul jusqu’à ce qu’il explose dans un
grognement bestial…Quelques allers et retours supplémentaires afin d’extirper les
dernière gouttes de plaisir et je m’arrache de son emprise.
Sans un mot, je descends du lit et délace le bustier. Je m’habille en hâte sous son
regard.
- Ca t’a plu ?
- C’était… Comment dire ? Intense. Je me fais peur Christian. Où cela va-t-il finir ?
- Carpe diem, ma belle. A bientôt…
Je suis rentré chez moi et me suis précipité sous la douche avant le retour de mon
mari. Je me suis récuré avec énergie comme pour ôter le souvenir de mes turpitudes.
Sans grande réussite car submergée par des images crues où je me voyais, dans le
miroir de la porte de penderie ouverte, en train de me faire sodomiser, je me suis
offert un dernier plaisir solitaire sous le jet tiède de la douche…
Lorsque Marc est rentré, je lui ai donné des nouvelles de son ami et collègue.
- C’est sympa d’avoir été le voir. Il doit s’ennuyer le pauvre. Il n’est pas trop
déprimé ?
- Non, c’est dur mais il tient le coup…
Si tu veux, tu termines tôt vendredi, et j’ai une réunion tardive. Tu pourrais
retourner le voir et filer un coup de main à Martine..
Je fais semblant d’hésiter
- Tu crois, je ne voudrais pas les déranger…
- Fait un effort, c’est un collègue, on peut faire cela
- Bon, mais c’est vraiment pour te faire plaisir
- Parfait, tu es super…
Vendredi… Deux jours à attendre…
- Christian a eu un accident
J’ai un choc. Christian est un collègue de mon mari et nous avons passé la soirée de
samedi chez lui. Je ne l’appréciais guère mais mon opinion a changé après une soirée
de débauche en compagnie de Martine, sa femme, alors que Marc, terrassé par l’alcool,
ronflait dans le divan…
- C’est grave ? Que lui est-il arrivé ?
- Non, pas trop grave. Enfin il est bien esquinté. Dimanche il a voulu faire un
barbecue. Le feu partait mal, il a jeté directement de l’alcool à bruler dans les
braises… Le truc à ne pas faire ! Il a les deux mains salement brulées. C’est Martine
qui a appelé la boite. Il a passé deux jours à l’hôpital et il a les mains bandées
mais il ne devrait pas garder de séquelles.
Nous sommes mardi et depuis dimanche je me creusais la tête pour trouver une excuse
valable pour leur rendre visite. Bingo…
- Ce doit être dur. Et handicapant. Je ne travaille pas demain après-midi. Tu ne crois
pas que je devrais leur rendre visite ?
- Je croyais que tu n’aimais guère Christian ?
Je prends un ton dégagé
- Oh, c’est surtout pour Martine. Elle bosse toute la journée. Je pourrais passer leur
faire un peu de ménage, ou préparer leur repas du soir…
- C’est sûr qu’elle apprécierait. Christian ne peux rien faire, rien toucher, rien
ranger. Un vrai boulet… Elle sera contente du coup de main…
Re bingo.
Le lendemain dés 13h je sonnais à leur porte. J’avais le cœur battant. Je me rejouais
les scènes de la nuit de samedi… J’en étais encore toute excitée. J’avais opté pour
une jupe assez sage et un pull qui moulait mes seins orgueilleux.
J’entends brailler
- Entrez..
Puis alors que je franchis la porte
- C’est qui ?
- C’est Christelle. Je suis venu voir si tu avais besoin de quelque chose
- Je suis dans la chambre
Je pose mon sac et je m’y rends. Je connais le chemin, et pour cause.
Il est au lit, la tête soutenue par deux oreillers, les bras posés sur la couette. Ses
deux mains sont bandées depuis le milieu du bras jusqu’au bout des doigts. Il tient
maladroitement un livre.
- Bonjour Christelle. Ça me fait plaisir que tu sois là, tu pourras tourner les pages
du bouquin, je n’y arrive pas avec ces foutus pansements.
Il pose le livre et me raconte son accident. C’est vraiment le truc idiot. J’ai
approché une chaise près du lit.
- Au fait, vous êtes partis tôt dimanche.
- Je crois qu’après ce qui s’est passé, j’avais honte de moi.
- Tu as tort, Martine et moi avons apprécié tes talents.
Sa main droite s’est posé maladroitement sur ma cuisse
- Ne dit pas que cela ne t’a pas plu. La preuve : tu es revenue !
Je sens le rouge me monter aux joues
- Non, enfin si, je veux dire…
- Tu veux dire que tu as apprécié et que tu rêves de recommencer.
Sa voix se faire dure, autoritaire
- Ne le nie pas, dis-le !
- Oui Christian, j’ai apprécié
- et…
- Et… J’en ai encore envie.
- Bien. Tu vois ce n‘est pas difficile. En tous cas, je suis passablement diminué,
mais tu vas me rendre un service.
- Oui
- Tu vas m’aider à aller pisser. Cette abrutie d’infirmière n’a pas voulu.
Il a repoussé les draps et se redresse. Il est en caleçon. Il se lève et se dirige
vers les toilettes. Je le suis. Arrivé devant la cuvette, il lève les bras
- A toi de jouer.
Je me faufile sur le côté et passe ma main dans l’ouverture du caleçon. Je me saisis
de sa queue que je sors. Je la dirige vers la cuvette et il se laisse aller. Il devait
se retenir depuis un certain temps car j’ai l’impression que sa mixtion dure
longtemps. Mais je suis heureuse d’avoir sa queue dans ma main. Je ne sais pas par
quel maléfice cette bite m’envoute autant.
Lorsqu’il a fini, je ne peux m’empêcher de la caresser doucement. Je le sens réagir,
mais il me rappelle à l’ordre.
- Du calme, retournons dans la chambre…
A peine arrivé, il s’allonge sur le lit.
- Satanés médicaments, j’ai l’impression d’être toujours fatigué.
Sa queue est toujours sortie puisque je ne l’ai pas rangée. Je suis de nouveau assise
sur la chaise. Il temps le bras, passe sa main emmaillotée de pansements derrière ma
nuque et m’attire vers lui. Ou plutôt la pression qu’il exerce pousse ma tête vers son
sexe inerte.
- Allez, m’ordonne-t-il, puisque tu es venue pour cela.
Je me penche et prends sa bite dans ma bouche. Je commence à le sucer. Je glisse ma
main entre mes cuisses et au travers de ma culotte je commence à me caresser tout en
m’activant sur son sexe qui ne me semble pas aussi vigoureux que ce que j’ai connu
samedi soir. Sans doute les médicaments… Après un certain temps, alors qu’il bande
plutôt mou, il m’arrête.
- Déshabille-toi.
- Mais..
- Fais ce que je te dis !
Sa voix claque comme un fouet. Je me mords les lèvres, me lève et sans tergiverser je
me dénude sous son regard inquisiteur…
Une fois nue je reste debout, à côté du lit et j’attends. Je suis à sa disposition. Il
lève ses mains bandées
- J’aurais aimé te caresser mais… Va ouvrir la penderie m’ordonne-t-il Tire le premier
tiroir, sur la gauche. Prend le bustier et met le.
Plus qu’un bustier, il s’agit d’un corset. De belle qualité d’ailleurs. Le mettre me
prend du temps. Le laçage est délicat. Mais il est à ma taille.
Je me regarde dans le miroir fixé à l’intérieur de la porte de la penderie. Je
découvre une nouvelle Christelle. Ma peau blanche contraste avec le noir de cet
accessoire comme avec le noir de ma toison pubienne fournie mais soigneusement
entretenue. Ma poitrine dont je suis si fière semble être présentée comme sur un
plateau aux regards concupiscents. Je me tourne. Le laçage serré affine ma taille et
mets en valeur mes hanches fines et mon fessier. Je me sens belle, désirable. Je me
sens indécente et ça me plait. Ca m’excite ! Je mouille comme jamais…
- Reviens t’occuper de moi, m’ordonne Christian. Et laisse la porte de la penderie
ouverte.
Je monte sur le lit et me consacre à nouveau à ma fellation interrompue. Lui, sur le
dos, le buste redressé par ses oreillers peut admirer mon cul dans le miroir. Je suce
avec ardeur car je le sens réagir. Mes hanches sont agitées par une houle de plaisir
que j’entretiens par des caresses précises que je m’octroie avec délectation. Je sens
que ma fellation porte ses fruits car je retrouve dans ma bouche le sexe conquérant,
raide, ferme, que je connais depuis peu.
Christian pousse un soupir, se cambre et je récupère sa semence dans ma bouche. Je
déglutie, j’avale son sperme comme si je l’avais toujours fait. Où est la Christelle
pudique que j’étais encore il y a quelques jours ? Je me sens devenir de plus en plus
extravertie. Je bascule vers une nouvelle sexualité et ça me plait. Je suce un homme
en cachette de mon mari dans une tenue indécente et j’y prends un plaisir malsain qui
me comble.
Du bout de ma langue je nettoie son sexe qui a perdu de sa superbe aspirant et léchant
avidement les dernières traces de son sperme.
Puis je descends du lit et me rassoie sur la chaise. Je n’ai pas eu d’orgasme mais le
plaisir de lui en avoir procuré un me semble compenser largement.
J’ai les joues en feu et je ne peux retirer ma main droite de mon sexe où mes doigts
continuent à entretenir mon excitation.
- C’est bien, dit Christian dans un soupir. Je crois que je vais faire un somme. Ces
médicaments m’abrutissent.
- Dors… Je vais en profiter pour faire un peu de rangement.
- Si tu veux. Mais je souhaite rouvrir les yeux sur un beau spectacle. Aussi tu
resteras dans cette tenue. Mieux, ouvre le tiroir de la table de chevet.
Je m’exécute. J’y trouve une sorte de bouchon en plastique noir.
- Qu’est-ce que c’est ?
- C’est le plug anal de Martine. Tu vas le mouiller avec ta salive et te l’introduire
dans le cul… Allez, vas-y..
Je sens qu’il ne supporterait pas que je tergiverse. J’humecte de ma salive cette
sorte de champignon, puis, debout, penchée en avant je le pose à l’entrée de mes
reins. Il n’est pas très gros, moins que le sexe de Christian, et je n’ai aucune
difficulté à le mettre en place. La sensation est plutôt étrange mais pas désagréable…
Je reste ainsi, penchée en avant une main sur le plus.
- Redresse toi, gourde, et lâche-le, gronde-t-il, il est conçu pour tenir tout seul.
Je me redresse doucement. Effectivement le plug reste fiché dans mon anus. Je le sens,
mais il ne me gêne pas. Simplement il est omniprésent. Je sens cet objet, planté dans
mon cul, qui me procure une sensation excitante, surtout lorsque je bouge…
- Martine le met quelques fois pour aller au travail et elle le garde toute la
journée. Toi tu le garderas tout l’après-midi durant tes tâches ménagères. Tu ne le
retireras que pour le remplacer par ma queue. C’est compris.
J’acquiesce en silence. Il se cale dans ses oreillers et ferme les yeux. Je me suis
assise sur la chaise et d’une lente ondulation de hanches sur la chaise, j’amplifie le
plaisir que me procure la présence de cet objet étranger entre mes fesses.
A son souffle plus régulier, je comprends que Christian s’est assoupi. Je n’imagine
même pas lui désobéir en ôtant le plug ou en me rhabillant. Je me lève et décide
d’aller ranger la cuisine et me faire un café pour évacuer le gout acre de son sperme
dans ma bouche. Marcher avec le plug dans l’anus est une sensation nouvelle, agréable,
unique, comme se promener quasi nue dans une maison qui n’est pas la mienne.
D’ailleurs il ne me viendrait pas à l’idée de me promener nue chez moi. Je suis bien
trop pudique…
Très vite je comprends que l’objet a été bien étudié. A aucun moment il ne semble en
capacité de s’extraire malencontreusement…
Je me suis attaquée à la vaisselle et au rangement de la cuisine. Mais la tâche
n’avance pas très vite car régulièrement je m’arrête pour me caresser. Le plug dans
mon cul fait de l’effet et je me suis donné deux fois du plaisir dans le salon sur le
canapé. Je sais que je vais en acheter un. Je cherche déjà les endroits dans ma maison
ou je pourrais le dissimuler et je réfléchis aux occasions que j’aurai de le porter.
Il est 16 heures lorsque j’entends Christian se manifester en poussant un cri de
douleur. Je me précipite. Dans son sommeil il a tenté de se retourner et s’est appuyé
sur une de ses mains. La douleur l’a réveillé en sursaut.
- Ca va ?
- Ca pourrait aller mieux réplique-t-il avec un pauvre sourire.
- Ecoute, Martine ne va pas tarder, je vais rentrer sinon Marc va s’inquiéter.
- Tu gardes le plug en place ?
- Tu es fou…
- Alors, si tu le retires, tu sais par quoi tu dois le remplacer…
Cet homme est fou : il a mal, il est shooté par les médicaments mais il pense encore à
baiser. A me baiser. C’est flatteur mais c’est un grand malade.
Je glisse ma main sous les draps et palpe son sexe. Il est déjà à moitié dur. Je tire
la couette vers le pied du lit et je commence à le masturber. Il est rapidement
opérationnel. Je me hisse sur le lit.
- Je veux voir ton cul exige-t-il
Je lui tourne le dos et m’accroupis au-dessus de son ventre. Je passe une main entre
mes cuisses et je retire le plug. J’ai une sensation soudaine de vide. J’attrape son
sexe que je frotte sur mes lèvres et l’entrée de mon ventre inondé, puis je me
positionne, place sa queue à l’entrée de mes reins et doucement je m’empale. La
pénétration de son gland me semble plus facile que samedi dernier. Mon anus a dû être
assoupli par l’objet qui l’a occupé une bonne partie de l’après-midi… Lentement je
m’empale jusqu’à me retrouver assise sur son bassin. Je n’irai pas plus loin… J’entame
une série de montées et de descentes de plus en plus rapides. Je coulisse sans
problèmes sur son sexe. Je sens des picotements de plaisir entre mes fesses.
J’accélère mes mouvements de yoyo et les picotements s’amplifient. J’ai à peine le
temps de penser « incroyable je vais jouir par le cul » que mon orgasme explose. Je
m’immobilise, empalée, le souffle court, des frissons parcourant mon corps. Puis la
vague reflue et je pense à Christian, toujours fiché en moi, le sexe tendu à rompre.
J’ondule du bassin puis recommence à monter et descendre sur sa hampe. Je sens son
sexe gonfler et gonfler encore dans mon cul jusqu’à ce qu’il explose dans un
grognement bestial…Quelques allers et retours supplémentaires afin d’extirper les
dernière gouttes de plaisir et je m’arrache de son emprise.
Sans un mot, je descends du lit et délace le bustier. Je m’habille en hâte sous son
regard.
- Ca t’a plu ?
- C’était… Comment dire ? Intense. Je me fais peur Christian. Où cela va-t-il finir ?
- Carpe diem, ma belle. A bientôt…
Je suis rentré chez moi et me suis précipité sous la douche avant le retour de mon
mari. Je me suis récuré avec énergie comme pour ôter le souvenir de mes turpitudes.
Sans grande réussite car submergée par des images crues où je me voyais, dans le
miroir de la porte de penderie ouverte, en train de me faire sodomiser, je me suis
offert un dernier plaisir solitaire sous le jet tiède de la douche…
Lorsque Marc est rentré, je lui ai donné des nouvelles de son ami et collègue.
- C’est sympa d’avoir été le voir. Il doit s’ennuyer le pauvre. Il n’est pas trop
déprimé ?
- Non, c’est dur mais il tient le coup…
Si tu veux, tu termines tôt vendredi, et j’ai une réunion tardive. Tu pourrais
retourner le voir et filer un coup de main à Martine..
Je fais semblant d’hésiter
- Tu crois, je ne voudrais pas les déranger…
- Fait un effort, c’est un collègue, on peut faire cela
- Bon, mais c’est vraiment pour te faire plaisir
- Parfait, tu es super…
Vendredi… Deux jours à attendre…
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vivement vendredi ! cette glissade vers la jouissance interdite est torride à souhait !
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