Sabine
Récit érotique écrit par Justinsolo17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sabine
Mr Martin est petit, à moitié chauve et bedonnant. Sa panse de bon vivant buveur de bière passe au-dessus de sa ceinture qui menace de craquer à tout instant. Une ceinture serrée au-delà du raisonnable pour empêcher son pantalon de glisser sur ses hanches grasses. Bref, Mr Martin n’est pas un top model ce qui ne l’empêche pas d’’être esclave d’une libido exubérante qu’il assouvissait jusqu’alors sur sa femme. Celle-ci, bigote soumise, remplissait ses devoirs conjugaux avec abnégation mais sans plaisir et avec un fort sentiment de honte et de répulsion. Sa mère l’avait prévenue ; « les hommes ne pensent qu’à ça, ma pauvre fille, tous des cochons ! » Mais sa maman et son papa n’étant plus de ce monde depuis quelques mois, les enfants volant de leurs propres ailes loin du nid familial, Mme Martin, à la tête d’un petit héritage, a introduit une demande de divorce et s’apprête à recouvrir une liberté qu’elle se promet d’utiliser à des fins plus charitables que satisfaire les besoins sexuels de son porc de mari. Ou de toute autre engeance masculine. Elle a le soutien de Mr le curé, depuis qu’en confession elle lui a confié les exigences sexuelles de son goret de futur ex-mari. Qui, de plus, ne va jamais à la messe…
Mr Martin n’a donc plus d’exutoire à ses pulsions sexuelles. Le recours à des professionnelles est exclu car il n’y en a pas dans leur petite ville de province et la grande ville la plus proche est à une distance considérable. Au prix de l’essence et en ajoutant la prestation de la dame, cela couterait une somme rondelette. Car Mr Martin, en plus, est radin…
Heureusement Mr Martin a son royaume ! Son entreprise, une petite affaire d’une quinzaine de salariés, qui tourne rond, rapporte assez pour vivre correctement et dans laquelle il peut se comporter en petit tyran. C’est bien le seul endroit où il se sent bien ! Un endroit où on ne conteste pas son autorité ni ses ordres. Un endroit où on l’écoute quand il parle et où on ne divorce pas. La situation catastrophique de l’emploi dans la Région interdit à ceux et celles qui ont du travail de l’abandonner.
C’est à cela qu’il pense ce vendredi soir, en glissant une main entre les cuisses maigres de Sabine, debout, aux ordres, à côté du fauteuil directorial dans lequel il est vautré.
Il est 17h30, le personnel est parti, ils ne sont que tous les deux. Il a attendu ce moment depuis le début de l’après-midi. Sabine était penchée et tournait les pages du parapheur quand la main de Mr Martin est arrivée, rapide, jusqu’à ses fesses, sous la jupe, sans qu’elle ne bronche… Elle s’y attendait et elle a l’habitude.
Sabine Dumont est la secrétaire de Mr Martin depuis 5 ans. Assez grande, anguleuse, sèche, elle n’a ni fesses ni poitrine, aucun charme ni sex-appeal…
Elle subit les assauts de Mr Martin depuis la demande de divorce de Mme Martin il y a six mois. La première fois que Mr Martin s’était permis de lui mettre la main aux fesses, elle a été très surprise. A 45 ans, aussi fine d’esprit que de corps, elle n’a aucune illusion sur ses charmes. L’indifférence de son mari à son égard, au plan sexuel, lui démontrait tous les jours qu’elle n’engendrait pas le désir charnel. Aussi était-elle restée clouée sur place par la surprise quand, sans un mot, Mr Martin s’était mis à lui caresser le sexe au travers de ses collants et de sa culotte. A aucun moment elle n’avait songé à protester et quand Mr Martin exhiba son sexe en lui enjoignant de le sucer, elle protesta mollement puis, sous la pression de la main du patron qui appuyait sur son épaule, elle glissa sur les genoux et prit le sexe en bouche. Ca fut une fellation maladroite qui s’interrompît rapidement. Mr Martin lui enjoignit de se relever et elle se retrouva assez brutalement à plat ventre sur le bureau, la jupe troussée, les bas et la culotte sur les chevilles. Elle grimaça de douleur et protesta lorsque Mr martin essaya de s’introduire dans son sexe sec. La réponse à ses protestations fut immédiate : c’était cela ou la porte...
Pour faciliter son action Mr Martin avait enduit son membre de salive et parvint à pénétrer cette pauvre Sabine qui pleurnicha tout le temps de l’acte. Lequel fut court car Mr Martin n’ayant plus accès au sexe de sa femme se trouvait très frustré… De plus il n’était pas du genre à se soucier du plaisir de sa partenaire !
Une fois l’acte terminé, Mr Martin lui mit une claque sur les fesses maigres. Sabine remonta tant bien que mal sa culotte et son collant que Mr Martin avait filé, tout en reniflant.
Elle rentra chez elle, le collant déchiré et les yeux rouges. Quand son mari lui demanda ce qui s’était passé, elle éclata en sanglot et raconta ce qui, à ses yeux, était un viol. Même si au fond d’elle-même, elle reconnaissait ne pas s’être trop débattue.
Curieusement la réaction de son mari fut très différente de ce qu’elle attendait. Il voulut connaitre tous les détails, surpris que sa maigrichonne de femme excite des appétits sexuels. Elle dut expliquer. Il voulut voir et elle se rendit rapidement compte que son mari était très excité alors qu’il ne l’avait pas touché depuis trois bons mois. Rapidement elle se retrouva à reproduire la scène, son mari jouant le rôle de Mr Martin et elle prit du plaisir à le sucer puis se faire prendre sur la table de la salle à manger qui joua le rôle du bureau. Sabine comprit que son viol avait ranimé la flamme de son mari et leur vie sexuelle, depuis, devint bien plus intéressante…
Chaque fois que Mr Martin la troussait sur le bureau, c'est-à-dire environ deux fois par semaine, le soir même son mari et elle rejouaient la scène y ajoutant quelques suppléments et chacun y prenait un plaisir intense… Le feu rejaillit des anciens volcans…
Aussi, ce vendredi, lorsque la main de Mr Martin malaxe le sexe de Sabine, celle-ci ne bronche pas et se projette déjà dans l’après. Son mari l’attend dans le petit hall d’entrée. Ils iront au restaurant, elle lui racontera à voix basse comment Mr Martin l’aura prise tout en caressant son sexe au travers de son pantalon. Puis, une fois à la maison, ils rejoueront la scène en la pimentant…
Mr Martin a déjà sorti sa queue et attend sa fellation. Sabine s’agenouille et avale le sexe mou. Le patron n’est pas en forme. Il a reçu cet après-midi une note de l’avocat de sa femme et ça lui reste sur l’estomac… Du coup il est de méchante humeur et il bande mou.
- Vous vous y prenez comme une gourde ma pauvre Sabine… Relevez-vous !
Sabine est décontenancée. C’est la première fois qu’elle voit Mr Martin ne pas frétiller du sexe dès le début de la fellation. Surtout qu’elle a l’impression de s’être améliorée dans cette technique. Une progression saluée par son mari !
Mais pour Mr Martin il en faut plus, aujourd’hui, pour oublier ses soucis de pensions alimentaires et autres frais d’avocat. Il lui faut plus d’excitation. Une envie perverse lui traverse l’esprit.
- Déshabillez-vous, ordonne-t-il
Obéissante elle trousse sa jupe et fait glisser sa culotte le long de ses pauvres cuisses.
- Non, complètement, enlevez tout…
Elle hésite, regarde autour d’elle, perturbée par ce changement de programme…
- Mon mari… Il m’attend… Dans le hall…
- Comment ? Vous discutez mes ordres ? Eructe le tyran
Alors Sabine se décide et se dénude sous les yeux du vicieux.
- Gardez seulement vos bas…
Elle se retrouve debout à côté de lui, vêtue de ses seuls bas, une main devant son sexe et l’autre essayant de cacher sa petite poitrine qui pendouille comme deux gants de toilettes greffés sur son torse maigre. Elle a honte et cela se voit. Un sentiment de toute puissance fouette les sangs de Mr Martin.
- Vous avez osé contester un de mes ordres. Vous méritez une punition…
Il la saisit par un bras et l’attire violement vers lui. Elle butte contre le fauteuil et bascule en avant. Elle se retrouve à plat ventre sur les cuisses de Mr Martin et il lui assène une belle claque sur ses fesses plates. Elle sursaute et pousse un cri.
- Taisez-vous ! Vous voulez que votre mari vous entende ?
Une deuxième claque s’abat sur son derrière osseux et elle serre les dents. Les claques pleuvent maintenant régulièrement et Mr Martin sent monter une excitation sans égal. Il administre une fessée à sa secrétaire nue alors que le mari est à quelques mètres séparé par une porte. D’ailleurs ce n’est plus Sabine qui est sur ses genoux les fesses offertes. C’est sa femme, cette emmerdeuse qui ose le quitter et qu’il punit en la fessant sans retenue. Son sexe gonfle à mesure que les fesses de Sabine rougissent.
- Debout et en position.
Elle n’hésite pas une seconde et se relève, pose son ventre sur le bureau, écarte les jambes et attend l’assaut, pauvre vestale offerte au phallus patronal. Son arrière train rougi par la punition est brulant et elle est partagée entre un sentiment de honte de s’être fait fessée comme une gamine et une excitation suspecte. Serait-elle maso ?
Mr Martin, lui, ne se pose pas de questions et s’est introduit sans difficulté dans le sexe de Sabine
- Salope ! Tu aimes ça la fessée, tu es toute mouillée, constate-t-il en lui donnant de furieux coup de butoirs
Puis il ralentit. Ses yeux exorbités son rivés aux fesses rougies de Sabine. Le pauvre cul plat, les fesses tristes l’excitent comme jamais. S’il n’y prend garde il va décharger sur le champ. Alors il ralentit le rythme de ses mouvements et essaie de s’enfoncer le plus possible. Il aimerait qu’elle réagisse, qu’elle crie, que son mari entende sa femme brailler sous ses assauts à lui, le patron. Mais Sabine, aussi excitée soit-elle, reste silencieuse et immobile, attendant que Mr Martin prenne son plaisir.
Hélas, celui-ci a envie d’être violent, de faire mal, de se venger sur elle des ennuis que sa femme va lui créer. Sournoisement il sort sa queue du sexe qui l’hébergeait et pose le bout de son gland sur l’anus de Sabine. Une pratique que sa femme n’aurait acceptée pour rien au monde, elle pour qui la fellation est déjà une abomination…
Sabine a compris ce qui se passe dans la tête de Mr Martin. Elle tente de se redresser mais il appuie de tout son poids sur son dos avec son torse tandis que, le sexe dans une de ses mains, il tente de se guider entre les fesses de Sabine.
- Non, non, pas par là, pas ça…
- Tais-toi ton mari va t’entendre
Son gland vient de pénétrer ce petit trou serré. De la paume de sa main Sabine étouffe son cri de douleur. Elle sent la progression de sexe de Mr Martin dans son intestin. Elle a le temps de penser qu’heureusement qu’il n’est pas de la taille de ceux qu’elle a vu dans les cassettes que son mari ramène pour pimenter leurs ébats. Puis elle sent le ventre mou et rebondi de son patron qui pousse sur ses fesses. Il est entièrement en elle et s’immobilise pour savourer son plaisir. Ce répit permet à Sabine de s’habituer à cette sensation étrange. La douleur diminue maintenant qu’elle se décontracte. Puis Mr Martin se met en mouvement. D’abord doucement puis de plus en plus vite. Il grogne et tente à chaque aller et retour d’aller plus profond pressant son gros ventre sur les fesses aussi maigres que rouges. Le silence règne sur le bureau, à peine perturbé par le souffle court de Mr Martin et le claquement rythmique des chairs.
Enfin elle le sent qui pousse une fois encore, s’arrête, puis le sexe de son tourmenteur semble grossir et il explose. Mr Martin se vide en elle en souffrant fort. Sabine sent que son intestin est inondé. Son patron se remet à bouger lentement, un ou deux allers et retours, comme pour extirper les dernières gouttes de son plaisir tout en respirant comme une locomotive.
Après quelques moments à reprendre son souffle, il retire son sexe presque mou de ce cul qu’il vient d’honorer. Les fesses rouge vif le font sourire et il plaque une dernière claque sur le derrière immobile. Mais cette claque-là est presque affectueuse.
Il se rebraguette tandis que Sabine se redresse doucement. Elle a les traits tirés, les yeux presque aussi rouges que son cul en tandis qu’elle s’habille lentement et sans un mot. Mr Martin a un moment de vertige. Et si elle portait plainte ? Si elle va consulter un médecin ? Comment faire croire qu’elle est consentante avec ces traces sur ses fesses ?
Elle met ses vêtements tandis qu’il fouille les poches de son pantalon.
- Allez rejoindre votre mari Sabine… Et tenez, une petite prime. Vous irez avec lui au restaurant ce soir…
Il lui tend un gros billet qu’elle prend et disant machinalement merci. Elle qui connait bien son avarice légendaire elle se dit que cette sodomie a dû lui procurer un plaisir intense.
Lorsqu’elle arrive dans le hall, son mari qui trouvait le temps long se précipite.
- Ce salaud t’a baisée, hein ? Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
Elle lui fait signe de se taire et ils regagnent rapidement la voiture.
En route vers le restaurant elle commence à raconter. A l’épisode de son strip-tease imposé, il conduit d’une main alors qu’il se caresse de l’autre. La scène de la fessée le met dans tous ses états. Il se gare sur le bas-côté de la route heureusement peu passante et Sabine, à genoux sur le siège passager lui prodigue cette gâterie dans laquelle elle commence à être experte. Il a relevé sa jupe et caresse les fesses encore endolories et chaudes. Dans son cerveau, le mari de Sabine vit la scène, imagine, brode, l’adapte à son envie, à ses fantasmes… Son excitation est telle qu’il se répand rapidement dans la bouche accueillante. Elle serre ses lèvres autour de la hampe et avale goulument la semence de son mari. Encore une chose impensable quelques mois plus tôt.
Elle reprend une place plus normale dans le siège passager et prend le sexe dans sa main pour une longue caresse langoureuse tandis qu’à l’oreille elle lui raconte sa sodomie. Elle sent que son mari reprend immédiatement de la vigueur. Elle est aussi excitée que lui et ils abandonnent la voiture pour s’enfoncer dans le sous-bois ou Sabine, après avoir rapidement troussé sa jupe et baissé sa culotte, se fait prendre debout, agrippée à un tronc d’arbre. Après un premier orgasme qui n’a pas échappé à son mari ravi, elle se cambre, saisit le sexe qui la fouille, l’extirpe de sa chatte inondée et le positionne sur son anus. Elle est tellement trempée que la queue de son mari n’a aucun problème pour se frayer un chemin dans un anus décidément bien fréquenté ce soir…
Tandis qu’il la besogne à grands coups de reins elle ne peut s’empêcher de rendre hommage à Mr Martin : grâce à lui, sa vie de couple est repartie sur de bons rails, son mari est ardent comme un jeune homme et elle découvre des plaisirs inconnus.
Elle sait désormais comment se rendre indispensable à Mr Martin et comment faire pour que son mari redevienne l’amant fougueux qu’il était voici vingt ans. L’avenir s’annonce radieux…
Mr Martin n’a donc plus d’exutoire à ses pulsions sexuelles. Le recours à des professionnelles est exclu car il n’y en a pas dans leur petite ville de province et la grande ville la plus proche est à une distance considérable. Au prix de l’essence et en ajoutant la prestation de la dame, cela couterait une somme rondelette. Car Mr Martin, en plus, est radin…
Heureusement Mr Martin a son royaume ! Son entreprise, une petite affaire d’une quinzaine de salariés, qui tourne rond, rapporte assez pour vivre correctement et dans laquelle il peut se comporter en petit tyran. C’est bien le seul endroit où il se sent bien ! Un endroit où on ne conteste pas son autorité ni ses ordres. Un endroit où on l’écoute quand il parle et où on ne divorce pas. La situation catastrophique de l’emploi dans la Région interdit à ceux et celles qui ont du travail de l’abandonner.
C’est à cela qu’il pense ce vendredi soir, en glissant une main entre les cuisses maigres de Sabine, debout, aux ordres, à côté du fauteuil directorial dans lequel il est vautré.
Il est 17h30, le personnel est parti, ils ne sont que tous les deux. Il a attendu ce moment depuis le début de l’après-midi. Sabine était penchée et tournait les pages du parapheur quand la main de Mr Martin est arrivée, rapide, jusqu’à ses fesses, sous la jupe, sans qu’elle ne bronche… Elle s’y attendait et elle a l’habitude.
Sabine Dumont est la secrétaire de Mr Martin depuis 5 ans. Assez grande, anguleuse, sèche, elle n’a ni fesses ni poitrine, aucun charme ni sex-appeal…
Elle subit les assauts de Mr Martin depuis la demande de divorce de Mme Martin il y a six mois. La première fois que Mr Martin s’était permis de lui mettre la main aux fesses, elle a été très surprise. A 45 ans, aussi fine d’esprit que de corps, elle n’a aucune illusion sur ses charmes. L’indifférence de son mari à son égard, au plan sexuel, lui démontrait tous les jours qu’elle n’engendrait pas le désir charnel. Aussi était-elle restée clouée sur place par la surprise quand, sans un mot, Mr Martin s’était mis à lui caresser le sexe au travers de ses collants et de sa culotte. A aucun moment elle n’avait songé à protester et quand Mr Martin exhiba son sexe en lui enjoignant de le sucer, elle protesta mollement puis, sous la pression de la main du patron qui appuyait sur son épaule, elle glissa sur les genoux et prit le sexe en bouche. Ca fut une fellation maladroite qui s’interrompît rapidement. Mr Martin lui enjoignit de se relever et elle se retrouva assez brutalement à plat ventre sur le bureau, la jupe troussée, les bas et la culotte sur les chevilles. Elle grimaça de douleur et protesta lorsque Mr martin essaya de s’introduire dans son sexe sec. La réponse à ses protestations fut immédiate : c’était cela ou la porte...
Pour faciliter son action Mr Martin avait enduit son membre de salive et parvint à pénétrer cette pauvre Sabine qui pleurnicha tout le temps de l’acte. Lequel fut court car Mr Martin n’ayant plus accès au sexe de sa femme se trouvait très frustré… De plus il n’était pas du genre à se soucier du plaisir de sa partenaire !
Une fois l’acte terminé, Mr Martin lui mit une claque sur les fesses maigres. Sabine remonta tant bien que mal sa culotte et son collant que Mr Martin avait filé, tout en reniflant.
Elle rentra chez elle, le collant déchiré et les yeux rouges. Quand son mari lui demanda ce qui s’était passé, elle éclata en sanglot et raconta ce qui, à ses yeux, était un viol. Même si au fond d’elle-même, elle reconnaissait ne pas s’être trop débattue.
Curieusement la réaction de son mari fut très différente de ce qu’elle attendait. Il voulut connaitre tous les détails, surpris que sa maigrichonne de femme excite des appétits sexuels. Elle dut expliquer. Il voulut voir et elle se rendit rapidement compte que son mari était très excité alors qu’il ne l’avait pas touché depuis trois bons mois. Rapidement elle se retrouva à reproduire la scène, son mari jouant le rôle de Mr Martin et elle prit du plaisir à le sucer puis se faire prendre sur la table de la salle à manger qui joua le rôle du bureau. Sabine comprit que son viol avait ranimé la flamme de son mari et leur vie sexuelle, depuis, devint bien plus intéressante…
Chaque fois que Mr Martin la troussait sur le bureau, c'est-à-dire environ deux fois par semaine, le soir même son mari et elle rejouaient la scène y ajoutant quelques suppléments et chacun y prenait un plaisir intense… Le feu rejaillit des anciens volcans…
Aussi, ce vendredi, lorsque la main de Mr Martin malaxe le sexe de Sabine, celle-ci ne bronche pas et se projette déjà dans l’après. Son mari l’attend dans le petit hall d’entrée. Ils iront au restaurant, elle lui racontera à voix basse comment Mr Martin l’aura prise tout en caressant son sexe au travers de son pantalon. Puis, une fois à la maison, ils rejoueront la scène en la pimentant…
Mr Martin a déjà sorti sa queue et attend sa fellation. Sabine s’agenouille et avale le sexe mou. Le patron n’est pas en forme. Il a reçu cet après-midi une note de l’avocat de sa femme et ça lui reste sur l’estomac… Du coup il est de méchante humeur et il bande mou.
- Vous vous y prenez comme une gourde ma pauvre Sabine… Relevez-vous !
Sabine est décontenancée. C’est la première fois qu’elle voit Mr Martin ne pas frétiller du sexe dès le début de la fellation. Surtout qu’elle a l’impression de s’être améliorée dans cette technique. Une progression saluée par son mari !
Mais pour Mr Martin il en faut plus, aujourd’hui, pour oublier ses soucis de pensions alimentaires et autres frais d’avocat. Il lui faut plus d’excitation. Une envie perverse lui traverse l’esprit.
- Déshabillez-vous, ordonne-t-il
Obéissante elle trousse sa jupe et fait glisser sa culotte le long de ses pauvres cuisses.
- Non, complètement, enlevez tout…
Elle hésite, regarde autour d’elle, perturbée par ce changement de programme…
- Mon mari… Il m’attend… Dans le hall…
- Comment ? Vous discutez mes ordres ? Eructe le tyran
Alors Sabine se décide et se dénude sous les yeux du vicieux.
- Gardez seulement vos bas…
Elle se retrouve debout à côté de lui, vêtue de ses seuls bas, une main devant son sexe et l’autre essayant de cacher sa petite poitrine qui pendouille comme deux gants de toilettes greffés sur son torse maigre. Elle a honte et cela se voit. Un sentiment de toute puissance fouette les sangs de Mr Martin.
- Vous avez osé contester un de mes ordres. Vous méritez une punition…
Il la saisit par un bras et l’attire violement vers lui. Elle butte contre le fauteuil et bascule en avant. Elle se retrouve à plat ventre sur les cuisses de Mr Martin et il lui assène une belle claque sur ses fesses plates. Elle sursaute et pousse un cri.
- Taisez-vous ! Vous voulez que votre mari vous entende ?
Une deuxième claque s’abat sur son derrière osseux et elle serre les dents. Les claques pleuvent maintenant régulièrement et Mr Martin sent monter une excitation sans égal. Il administre une fessée à sa secrétaire nue alors que le mari est à quelques mètres séparé par une porte. D’ailleurs ce n’est plus Sabine qui est sur ses genoux les fesses offertes. C’est sa femme, cette emmerdeuse qui ose le quitter et qu’il punit en la fessant sans retenue. Son sexe gonfle à mesure que les fesses de Sabine rougissent.
- Debout et en position.
Elle n’hésite pas une seconde et se relève, pose son ventre sur le bureau, écarte les jambes et attend l’assaut, pauvre vestale offerte au phallus patronal. Son arrière train rougi par la punition est brulant et elle est partagée entre un sentiment de honte de s’être fait fessée comme une gamine et une excitation suspecte. Serait-elle maso ?
Mr Martin, lui, ne se pose pas de questions et s’est introduit sans difficulté dans le sexe de Sabine
- Salope ! Tu aimes ça la fessée, tu es toute mouillée, constate-t-il en lui donnant de furieux coup de butoirs
Puis il ralentit. Ses yeux exorbités son rivés aux fesses rougies de Sabine. Le pauvre cul plat, les fesses tristes l’excitent comme jamais. S’il n’y prend garde il va décharger sur le champ. Alors il ralentit le rythme de ses mouvements et essaie de s’enfoncer le plus possible. Il aimerait qu’elle réagisse, qu’elle crie, que son mari entende sa femme brailler sous ses assauts à lui, le patron. Mais Sabine, aussi excitée soit-elle, reste silencieuse et immobile, attendant que Mr Martin prenne son plaisir.
Hélas, celui-ci a envie d’être violent, de faire mal, de se venger sur elle des ennuis que sa femme va lui créer. Sournoisement il sort sa queue du sexe qui l’hébergeait et pose le bout de son gland sur l’anus de Sabine. Une pratique que sa femme n’aurait acceptée pour rien au monde, elle pour qui la fellation est déjà une abomination…
Sabine a compris ce qui se passe dans la tête de Mr Martin. Elle tente de se redresser mais il appuie de tout son poids sur son dos avec son torse tandis que, le sexe dans une de ses mains, il tente de se guider entre les fesses de Sabine.
- Non, non, pas par là, pas ça…
- Tais-toi ton mari va t’entendre
Son gland vient de pénétrer ce petit trou serré. De la paume de sa main Sabine étouffe son cri de douleur. Elle sent la progression de sexe de Mr Martin dans son intestin. Elle a le temps de penser qu’heureusement qu’il n’est pas de la taille de ceux qu’elle a vu dans les cassettes que son mari ramène pour pimenter leurs ébats. Puis elle sent le ventre mou et rebondi de son patron qui pousse sur ses fesses. Il est entièrement en elle et s’immobilise pour savourer son plaisir. Ce répit permet à Sabine de s’habituer à cette sensation étrange. La douleur diminue maintenant qu’elle se décontracte. Puis Mr Martin se met en mouvement. D’abord doucement puis de plus en plus vite. Il grogne et tente à chaque aller et retour d’aller plus profond pressant son gros ventre sur les fesses aussi maigres que rouges. Le silence règne sur le bureau, à peine perturbé par le souffle court de Mr Martin et le claquement rythmique des chairs.
Enfin elle le sent qui pousse une fois encore, s’arrête, puis le sexe de son tourmenteur semble grossir et il explose. Mr Martin se vide en elle en souffrant fort. Sabine sent que son intestin est inondé. Son patron se remet à bouger lentement, un ou deux allers et retours, comme pour extirper les dernières gouttes de son plaisir tout en respirant comme une locomotive.
Après quelques moments à reprendre son souffle, il retire son sexe presque mou de ce cul qu’il vient d’honorer. Les fesses rouge vif le font sourire et il plaque une dernière claque sur le derrière immobile. Mais cette claque-là est presque affectueuse.
Il se rebraguette tandis que Sabine se redresse doucement. Elle a les traits tirés, les yeux presque aussi rouges que son cul en tandis qu’elle s’habille lentement et sans un mot. Mr Martin a un moment de vertige. Et si elle portait plainte ? Si elle va consulter un médecin ? Comment faire croire qu’elle est consentante avec ces traces sur ses fesses ?
Elle met ses vêtements tandis qu’il fouille les poches de son pantalon.
- Allez rejoindre votre mari Sabine… Et tenez, une petite prime. Vous irez avec lui au restaurant ce soir…
Il lui tend un gros billet qu’elle prend et disant machinalement merci. Elle qui connait bien son avarice légendaire elle se dit que cette sodomie a dû lui procurer un plaisir intense.
Lorsqu’elle arrive dans le hall, son mari qui trouvait le temps long se précipite.
- Ce salaud t’a baisée, hein ? Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
Elle lui fait signe de se taire et ils regagnent rapidement la voiture.
En route vers le restaurant elle commence à raconter. A l’épisode de son strip-tease imposé, il conduit d’une main alors qu’il se caresse de l’autre. La scène de la fessée le met dans tous ses états. Il se gare sur le bas-côté de la route heureusement peu passante et Sabine, à genoux sur le siège passager lui prodigue cette gâterie dans laquelle elle commence à être experte. Il a relevé sa jupe et caresse les fesses encore endolories et chaudes. Dans son cerveau, le mari de Sabine vit la scène, imagine, brode, l’adapte à son envie, à ses fantasmes… Son excitation est telle qu’il se répand rapidement dans la bouche accueillante. Elle serre ses lèvres autour de la hampe et avale goulument la semence de son mari. Encore une chose impensable quelques mois plus tôt.
Elle reprend une place plus normale dans le siège passager et prend le sexe dans sa main pour une longue caresse langoureuse tandis qu’à l’oreille elle lui raconte sa sodomie. Elle sent que son mari reprend immédiatement de la vigueur. Elle est aussi excitée que lui et ils abandonnent la voiture pour s’enfoncer dans le sous-bois ou Sabine, après avoir rapidement troussé sa jupe et baissé sa culotte, se fait prendre debout, agrippée à un tronc d’arbre. Après un premier orgasme qui n’a pas échappé à son mari ravi, elle se cambre, saisit le sexe qui la fouille, l’extirpe de sa chatte inondée et le positionne sur son anus. Elle est tellement trempée que la queue de son mari n’a aucun problème pour se frayer un chemin dans un anus décidément bien fréquenté ce soir…
Tandis qu’il la besogne à grands coups de reins elle ne peut s’empêcher de rendre hommage à Mr Martin : grâce à lui, sa vie de couple est repartie sur de bons rails, son mari est ardent comme un jeune homme et elle découvre des plaisirs inconnus.
Elle sait désormais comment se rendre indispensable à Mr Martin et comment faire pour que son mari redevienne l’amant fougueux qu’il était voici vingt ans. L’avenir s’annonce radieux…
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