Hakima, la marocaine
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Hakima, la marocaine
Leslie SO12 – Souvenirs
Hakima, la marocaine
Hakima est une fille vraiment formidable...
Je l’ai rencontré un jour du mois de mai, un vendredi en fin d’après-midi, lors du salon antiquités brocante à la Bastille, autour de bassin de l’arsenal à Paris, elle chinait comme moi d’ailleurs et, sur un stand nous nous sommes intéressées au même objet, une belle eau forte de femme nue de Louis Icart, alors nous avons conversées un moment pour savoir qui pourrait acquérir cet objet…
Voyant qu’elle était vraiment intéressée par ce petit tableau, je lui ai laissé la primeur de l’acquisition car pour moi ce n’était qu’un petit coup de cœur, sans plus.
Elle m’a invité à boire un verre pour me remercier et parler de notre passion commune des vieux objets et des objets d’art…
Devant un verre, installées à la terrasse d’un café nous avons discuté, puis la conversation au bout d’un moment est devenue de plus en plus intime, et à un moment prenant ma main dans la sienne Hakima commença à me faire des confidences…
Hakima me dit qu’elle était une fille libre, bisexuelle, aimant l’amour sous toutes ses formes sans préjugés avec des hommes comme des femmes, elle n’avait aucun tabous hormis la violence, c’est ainsi que se rapprochant de moi, en me regardant avec ses yeux noirs elle me dit :
- T’es une fille sympa, tu me plais et j’ai envie d’aller plus loin avec toi !
- Euh… Dis-je, ne sachant quoi répondre.
- Je ne te plais pas ?
- Si bien sûr, tu es ravissante !
- Alors tu n’aimes pas les filles ?
- Si bien sûr, mais disons…
- Quoi, tu es maquée avec une gonzesse et tu ne veux pas la tromper ?
- Non, ce n’est pas ça, disons que je suis particulière…
- Bon, je te plais et tu fais la réticente, alors c’est quoi le problème ?
- Disons que je ne suis pas une femme au sens précis du terme !
- C’est quoi ce délire ?
- Je suis une transexuelle !
Hakima me regarda avec des yeux brillants et elle me dit :
- Pour moi ce n’est pas un problème et bien au contraire ça m’excite encore plus et j’adorerais faire l’amour avec une femme au sexe d’homme !
En l’écoutant, mon sexe à palpiter dans mon petit string et à commencer à se redresser, Hakima était vraiment une fille pas ordinaire, cette belle marocaine aux formes plus qu'attirantes, aux cheveux noirs, mi longs, encadrant un visage d'ange, me faisait de l’effet. Et son sourire qui envouterait plus d’un homme, ses grands yeux noirs et sa bouche finement dessiner devait en avoir rendus plus d’un heureux…
Hakima a vingt-cinq ans, et quelques instants auparavant je n'imaginais pas un seul instant me retrouver dans sa couche et m'envoyer réellement en l'air avec elle !
En me regardant une fois de plus de ses grands yeux noirs, elle rajoute avec un joli sourire :
- Maintenant que tu as allumé le feu en moi, vas-tu l’éteindre ?
- Maintenant !
- Non, prenons le temps, passons ensemble une bonne soirée et finissons là comme il se doit !
- Ça me va, dis-je, on commence par quoi ?
- Allons prendre un cocktail à la rhumerie, puis ensuite nous irons manger créole pas loin dans le quartier, ça te va comme début de soirée ?
- Super, en plus c’est dans mon quartier, j’adore !
- Ah ! Tu habites dans ce quartier ?
- Oui, et toi ?
- Moi j’habite près de la porte de Vincennes, côté Paris.
Puis elle rajoute :
- Bon on y va ?
- C’est parti !
Nous n’avons pas bu un, ni deux mais trois planteurs à la rhumerie, avec des accras et des petits toasts, si bien qu’à vingt heures trente nous étions légèrement gaies, et il était temps d’aller diner. Heureusement nous n’avons eue qu’à traverser le boulevard pour nous rendre au restaurant, rue Mabillon.
Une fois installées, nous avons prises notre temps pour diner, en évitant le vin, prenant des jus de fruits exotique maison et dégustant des plats succulents. Hakima me parlait de sa vie, de son travail et de ses conquêtes, profitant de ces instants pour me faire des confidences sur ce qu’elle aimait ou ce qu’elle préférait, mais apparemment rien dans le sexe n’avait l’air de lui déplaire, ayant fréquentée assidument avec plusieurs de ses rencontres le milieu échangistes, rien n’avait l’air de lui faire peur…
Ce soir, seule la nouveauté d’avoir rencontré une transexuelle et de finir la nuit avec la mettait dans tous ses états, je sentais qu’elle avait une réelle envie d’en découdre rapidement.
Il était vingt-trois heures quand nous nous sommes retrouvées sur le trottoir, Hakima me parut passablement excitée et elle me demanda :
- Ça te dirait un petit tour dans un club échangiste, super hard, histoire de se chauffer un peu ?
- T’en connait un ?
- Oui, j’y ai été plusieurs fois avec mes amants de passage, nous y avons passé un bon moment, mais toi, tu as déjà été dans un tel endroit.
- Oui, quelques fois.
- Alors on y va ! dit Hakima.
Le temps de sauter dans un taxi et un quart d’heure plus tard nous étions rendues dans l’endroit en question, la Cheminée. Après un accueil chaleureux, nous sommes entrées dans l’endroit au joli décor que les voutes rendaient un peu plus mystérieux.
Installées dans les banquètes aux nombreux coussins, nous y avons pris une boisson en nous tenant la main et regardant autour de nous. Il n’y avait pas grand monde, mais l’ambiance était déjà chaude et les échanges avaient déjà commencé…
Dans un coin, deux couples légitimes ou pas, s’embrassaient en se caressant, les femmes caressant les hommes ayant le pantalon ouvert sur leur sexe raide et les femmes étaient caressées par les hommes, la jupe retroussée à la taille, le sexe à l’air sans culotte.
Dans un autre coin, une femme se faisait sodomiser par un homme, tandis qu’elle en suçait un autre. Et près de nous deux femmes se gouinaient pendant que leurs hommes se suçaient mutuellement.
D’autres couples attendaient en regardant, buvant comme nous leur boisson choisie…
Je sentais au fil des minutes, Hakima de plus en plus excitée et c’est sans étonnement que je l’entendis me demander :
- On participe ?
Je lui ai répondu sans hésitation :
- Pas ce soir, une autre fois peut-être, mais j’aimerais rentrer !
- Comme tu veux, allez, on y va…
Nous sommes sorties et c’est dans le taxi,qu'elle me demande :
- L’ambiance t’as plus ?
- Oui, mais ce soir je ne me sentais pas en forme pour ce genre de tripe, une autre fois peut-être !
- Pas de problème.
Arrivées chez Hakima nous sommes entrées dans son immeuble et après avoir pris l’ascenseur nous nous sommes retrouvées sur un palier, je suivais Hakima qui me conduisait dans son chez elle, au milieu du couloir qui dessert les appartements m’attrapant par la main, elle me plaque contre elle et m’embrasse à pleine bouche en me caressant le dos...
Plaquée contre moi, elle doit sentir mon sexe en érection, car elle me dit :
- Waouh, la vache, t’as une sacrée gaule !
Et elle m’entraine chez elle…
Dès que la porte s’est refermée derrière nous, elle me reprend la bouche en soupirant :
- Humm, que c'est bon…
Je glisse mes mains sous ses bras et les remonte lentement vers ses seins généreux. Elle se laisse faire. Je remonte encore et sens ses tétons durs sous le pull... Elle penche sa tête en arrière et me présente son cou. J'y pose les lèvres et l'embrasse délicatement, tout en prenant possession de sa poitrine sous le pull, Hakima ne porte pas de soutien-gorge et ses seins s’offrent, nus, à mes caresses.
Hakima soupire et pose ses mains sur mon sexe qu’elle presse fort au-travers du tissu de mon pantalon, et d'une voix à peine audible me dit :
- J'ai envie de toi...
Aussitôt elle m’entraine dans sa chambre et Hakima se tourne face à moi et s'appuie contre la table de chevet en me jetant un regard espiègle, elle m’attire à elle et m'embrasse goulûment. Nos langues se rencontrent et s'emmêlent entre nos lèvres excitées.
Elle repose une main sur mon entrejambe et caresse mon sexe en me regardant avec des yeux brillants de désir, je cherche la ceinture de son pantalon, l'ouvre et descend la fermeture éclair du pantalon de la belle.
Elle se laisse faire et m'aide à l'enlever, dessous elle porte un joli string ficelle qui ne cache pratiquement rien de sa vulve imberbe, elle s’empresse de le retirer, laissant sa chatte nue à mes doigts.
D’un doigt je caresse sa vulve, elle est accueillante et chaude, légèrement humide, Hakima mouille déjà. Je passe un doigt entre ses lèvres intimes, puis deux, caresse son clitoris et Hakima se raidit de plaisir...
Alors que je continue de la doigter, elle m’embrasse en ouvrant mon pantalon, le fait descendre à mes chevilles et m’aide à l’ôter afin qu’il n’entrave pas mes mouvements, puis elle dégage de mon string mon sexe raide, qu’elle commence à branler doucement en s’exclamant :
- Ohhh ! Tu as vraiment un beau membre !
Elle ne peut s’empêcher de s’accroupir et de prendre mon sexe entre ses lèvres pour me sucer un moment, puis heureuse de sa fellation, elle se redresse, écarte les jambes et prenant ma main elle guide mes doigts vers sa vulve puis vers son anus en me murmurant :
- Là, j’adore...
Je suis stupéfaite, c'est la première fois qu'une fille me demande de lui caresser l’œillet avant de lui donner du plaisir par des caresses sur les autres parties de son corps et avant même de l’avoir pénétré de façon plus classique, d’ici à ce qu’elle me demande de la sodomiser debout…
D'habitude les filles sont plutôt réticentes d’offrir leur intimité la plus cachée dès le premier rapport, mais Hakima semble être une vraie salope et de plus une anale, alors pourquoi refuser…
Alors que nos bouches continuent à jouer, mon doigt caresse le pourtour de son anus, Hakima gémit et tend sa croupe en me disant dans un souffle :
- Met-moi un doigt, j’adore !
Alors je lui enfonce lentement mon doigt dans son œillet, Hakima se cambre dans un cri, je le ressors et lui replante aussitôt, et recommence ce manège plusieurs fois de suite, de plus en plus profondément.
Je sens l’anus d'Hakima se dilater et elle gémit de plaisir. Elle se caresse le sexe et le clitoris pour s’emmener vers le plaisir, alors je lui enfonce un deuxième doigt dans le cul, elle râle et feule quand je les fais tourner au fond de son cul.
Maintenant elle doit sentir que son orifice est suffisamment dilaté pour qu’il puisse accueillir mon sexe, alors Hakima se retourne et pose ses coudes sur la table de chevet et m'offre sans pudeur la vision de son trou dilaté. Toute cambré et offerte, elle me demande comme dans une supplique :
- Encules-moi !
Prenant mon sexe en érection, je pose le gland sur l’œillet de ma petite marocaine et appuis lentement pour enfoncer mon membre en elle, Hakima frémit de plaisir. Je continue de pousser et bientôt mon sexe est entièrement dans son cul.
Tenant Hakima par les hanches, je commence mes va-et-vient, elle pousse un long gémissement de jouissance, elle jouit et mon membre coulisse facilement dans sa gaine anale.
Je l’encule de plus en vite, Hakima jouit en continu tout en se masturbant énergiquement la chatte, elle pousse un soupir d'orgasme, juste avant que le plaisir monte en moi et que ma jouissance ne lui remplisse les entrailles.
Puis nous nous séparons, pour nous mettre nues et nous allonger sur le lit, mais Hakima reprend mon sexe en main et recommence à me masturber. Je gémis sous la caresse et Hakima se met à me lécher le sexe, puis me reprenant entre ses lèvres recommence à me sucer…
Cette petite cochonne, en plus d'aimer les sodomies, elle aime les fellations ! Décidément, c'est une fille qui va me réserver des surprises…
Puis voyant que mon membre est à nouveau raide, elle se relève, m’enjambe et d'une main elle guide ma bite jusqu'à son anus, et descend sur moi pour se sodomiser en me chevauchant...
Pour la seconde fois, je l'encule, en fait-elle s’encule elle-même, avec lenteur et plaisir. Mon sexe glisse en elle sans problème, elle monte et descend longuement tandis qu'elle se caresse la chatte. Elle a rapidement un second orgasme et m’inonde de sa jouissance.
Elle hurle de plaisir et ses cris remplissent la chambre, je me retiens tant que je peux, mais Hakima serrant son sphincter autour de mon membre me fait jouir une seconde fois avant de s’écroules sur le lit en soupirant de bien être…
Cette nuit-là, Hakima à refuser que je la pénètre par la chatte, prétextant que ce n’est pas dans ses habitudes d’offrir sa vulve la première fois, alors elle s’est laissée sodomisée toute la nuit.
Ce n’est que le lendemain soir qu’elle a écarté ses cuisses, m’offrant sa petite chatte glabre et étroite pour que je lui fasse l’amour.
A suivre…
Hakima, la marocaine
Hakima est une fille vraiment formidable...
Je l’ai rencontré un jour du mois de mai, un vendredi en fin d’après-midi, lors du salon antiquités brocante à la Bastille, autour de bassin de l’arsenal à Paris, elle chinait comme moi d’ailleurs et, sur un stand nous nous sommes intéressées au même objet, une belle eau forte de femme nue de Louis Icart, alors nous avons conversées un moment pour savoir qui pourrait acquérir cet objet…
Voyant qu’elle était vraiment intéressée par ce petit tableau, je lui ai laissé la primeur de l’acquisition car pour moi ce n’était qu’un petit coup de cœur, sans plus.
Elle m’a invité à boire un verre pour me remercier et parler de notre passion commune des vieux objets et des objets d’art…
Devant un verre, installées à la terrasse d’un café nous avons discuté, puis la conversation au bout d’un moment est devenue de plus en plus intime, et à un moment prenant ma main dans la sienne Hakima commença à me faire des confidences…
Hakima me dit qu’elle était une fille libre, bisexuelle, aimant l’amour sous toutes ses formes sans préjugés avec des hommes comme des femmes, elle n’avait aucun tabous hormis la violence, c’est ainsi que se rapprochant de moi, en me regardant avec ses yeux noirs elle me dit :
- T’es une fille sympa, tu me plais et j’ai envie d’aller plus loin avec toi !
- Euh… Dis-je, ne sachant quoi répondre.
- Je ne te plais pas ?
- Si bien sûr, tu es ravissante !
- Alors tu n’aimes pas les filles ?
- Si bien sûr, mais disons…
- Quoi, tu es maquée avec une gonzesse et tu ne veux pas la tromper ?
- Non, ce n’est pas ça, disons que je suis particulière…
- Bon, je te plais et tu fais la réticente, alors c’est quoi le problème ?
- Disons que je ne suis pas une femme au sens précis du terme !
- C’est quoi ce délire ?
- Je suis une transexuelle !
Hakima me regarda avec des yeux brillants et elle me dit :
- Pour moi ce n’est pas un problème et bien au contraire ça m’excite encore plus et j’adorerais faire l’amour avec une femme au sexe d’homme !
En l’écoutant, mon sexe à palpiter dans mon petit string et à commencer à se redresser, Hakima était vraiment une fille pas ordinaire, cette belle marocaine aux formes plus qu'attirantes, aux cheveux noirs, mi longs, encadrant un visage d'ange, me faisait de l’effet. Et son sourire qui envouterait plus d’un homme, ses grands yeux noirs et sa bouche finement dessiner devait en avoir rendus plus d’un heureux…
Hakima a vingt-cinq ans, et quelques instants auparavant je n'imaginais pas un seul instant me retrouver dans sa couche et m'envoyer réellement en l'air avec elle !
En me regardant une fois de plus de ses grands yeux noirs, elle rajoute avec un joli sourire :
- Maintenant que tu as allumé le feu en moi, vas-tu l’éteindre ?
- Maintenant !
- Non, prenons le temps, passons ensemble une bonne soirée et finissons là comme il se doit !
- Ça me va, dis-je, on commence par quoi ?
- Allons prendre un cocktail à la rhumerie, puis ensuite nous irons manger créole pas loin dans le quartier, ça te va comme début de soirée ?
- Super, en plus c’est dans mon quartier, j’adore !
- Ah ! Tu habites dans ce quartier ?
- Oui, et toi ?
- Moi j’habite près de la porte de Vincennes, côté Paris.
Puis elle rajoute :
- Bon on y va ?
- C’est parti !
Nous n’avons pas bu un, ni deux mais trois planteurs à la rhumerie, avec des accras et des petits toasts, si bien qu’à vingt heures trente nous étions légèrement gaies, et il était temps d’aller diner. Heureusement nous n’avons eue qu’à traverser le boulevard pour nous rendre au restaurant, rue Mabillon.
Une fois installées, nous avons prises notre temps pour diner, en évitant le vin, prenant des jus de fruits exotique maison et dégustant des plats succulents. Hakima me parlait de sa vie, de son travail et de ses conquêtes, profitant de ces instants pour me faire des confidences sur ce qu’elle aimait ou ce qu’elle préférait, mais apparemment rien dans le sexe n’avait l’air de lui déplaire, ayant fréquentée assidument avec plusieurs de ses rencontres le milieu échangistes, rien n’avait l’air de lui faire peur…
Ce soir, seule la nouveauté d’avoir rencontré une transexuelle et de finir la nuit avec la mettait dans tous ses états, je sentais qu’elle avait une réelle envie d’en découdre rapidement.
Il était vingt-trois heures quand nous nous sommes retrouvées sur le trottoir, Hakima me parut passablement excitée et elle me demanda :
- Ça te dirait un petit tour dans un club échangiste, super hard, histoire de se chauffer un peu ?
- T’en connait un ?
- Oui, j’y ai été plusieurs fois avec mes amants de passage, nous y avons passé un bon moment, mais toi, tu as déjà été dans un tel endroit.
- Oui, quelques fois.
- Alors on y va ! dit Hakima.
Le temps de sauter dans un taxi et un quart d’heure plus tard nous étions rendues dans l’endroit en question, la Cheminée. Après un accueil chaleureux, nous sommes entrées dans l’endroit au joli décor que les voutes rendaient un peu plus mystérieux.
Installées dans les banquètes aux nombreux coussins, nous y avons pris une boisson en nous tenant la main et regardant autour de nous. Il n’y avait pas grand monde, mais l’ambiance était déjà chaude et les échanges avaient déjà commencé…
Dans un coin, deux couples légitimes ou pas, s’embrassaient en se caressant, les femmes caressant les hommes ayant le pantalon ouvert sur leur sexe raide et les femmes étaient caressées par les hommes, la jupe retroussée à la taille, le sexe à l’air sans culotte.
Dans un autre coin, une femme se faisait sodomiser par un homme, tandis qu’elle en suçait un autre. Et près de nous deux femmes se gouinaient pendant que leurs hommes se suçaient mutuellement.
D’autres couples attendaient en regardant, buvant comme nous leur boisson choisie…
Je sentais au fil des minutes, Hakima de plus en plus excitée et c’est sans étonnement que je l’entendis me demander :
- On participe ?
Je lui ai répondu sans hésitation :
- Pas ce soir, une autre fois peut-être, mais j’aimerais rentrer !
- Comme tu veux, allez, on y va…
Nous sommes sorties et c’est dans le taxi,qu'elle me demande :
- L’ambiance t’as plus ?
- Oui, mais ce soir je ne me sentais pas en forme pour ce genre de tripe, une autre fois peut-être !
- Pas de problème.
Arrivées chez Hakima nous sommes entrées dans son immeuble et après avoir pris l’ascenseur nous nous sommes retrouvées sur un palier, je suivais Hakima qui me conduisait dans son chez elle, au milieu du couloir qui dessert les appartements m’attrapant par la main, elle me plaque contre elle et m’embrasse à pleine bouche en me caressant le dos...
Plaquée contre moi, elle doit sentir mon sexe en érection, car elle me dit :
- Waouh, la vache, t’as une sacrée gaule !
Et elle m’entraine chez elle…
Dès que la porte s’est refermée derrière nous, elle me reprend la bouche en soupirant :
- Humm, que c'est bon…
Je glisse mes mains sous ses bras et les remonte lentement vers ses seins généreux. Elle se laisse faire. Je remonte encore et sens ses tétons durs sous le pull... Elle penche sa tête en arrière et me présente son cou. J'y pose les lèvres et l'embrasse délicatement, tout en prenant possession de sa poitrine sous le pull, Hakima ne porte pas de soutien-gorge et ses seins s’offrent, nus, à mes caresses.
Hakima soupire et pose ses mains sur mon sexe qu’elle presse fort au-travers du tissu de mon pantalon, et d'une voix à peine audible me dit :
- J'ai envie de toi...
Aussitôt elle m’entraine dans sa chambre et Hakima se tourne face à moi et s'appuie contre la table de chevet en me jetant un regard espiègle, elle m’attire à elle et m'embrasse goulûment. Nos langues se rencontrent et s'emmêlent entre nos lèvres excitées.
Elle repose une main sur mon entrejambe et caresse mon sexe en me regardant avec des yeux brillants de désir, je cherche la ceinture de son pantalon, l'ouvre et descend la fermeture éclair du pantalon de la belle.
Elle se laisse faire et m'aide à l'enlever, dessous elle porte un joli string ficelle qui ne cache pratiquement rien de sa vulve imberbe, elle s’empresse de le retirer, laissant sa chatte nue à mes doigts.
D’un doigt je caresse sa vulve, elle est accueillante et chaude, légèrement humide, Hakima mouille déjà. Je passe un doigt entre ses lèvres intimes, puis deux, caresse son clitoris et Hakima se raidit de plaisir...
Alors que je continue de la doigter, elle m’embrasse en ouvrant mon pantalon, le fait descendre à mes chevilles et m’aide à l’ôter afin qu’il n’entrave pas mes mouvements, puis elle dégage de mon string mon sexe raide, qu’elle commence à branler doucement en s’exclamant :
- Ohhh ! Tu as vraiment un beau membre !
Elle ne peut s’empêcher de s’accroupir et de prendre mon sexe entre ses lèvres pour me sucer un moment, puis heureuse de sa fellation, elle se redresse, écarte les jambes et prenant ma main elle guide mes doigts vers sa vulve puis vers son anus en me murmurant :
- Là, j’adore...
Je suis stupéfaite, c'est la première fois qu'une fille me demande de lui caresser l’œillet avant de lui donner du plaisir par des caresses sur les autres parties de son corps et avant même de l’avoir pénétré de façon plus classique, d’ici à ce qu’elle me demande de la sodomiser debout…
D'habitude les filles sont plutôt réticentes d’offrir leur intimité la plus cachée dès le premier rapport, mais Hakima semble être une vraie salope et de plus une anale, alors pourquoi refuser…
Alors que nos bouches continuent à jouer, mon doigt caresse le pourtour de son anus, Hakima gémit et tend sa croupe en me disant dans un souffle :
- Met-moi un doigt, j’adore !
Alors je lui enfonce lentement mon doigt dans son œillet, Hakima se cambre dans un cri, je le ressors et lui replante aussitôt, et recommence ce manège plusieurs fois de suite, de plus en plus profondément.
Je sens l’anus d'Hakima se dilater et elle gémit de plaisir. Elle se caresse le sexe et le clitoris pour s’emmener vers le plaisir, alors je lui enfonce un deuxième doigt dans le cul, elle râle et feule quand je les fais tourner au fond de son cul.
Maintenant elle doit sentir que son orifice est suffisamment dilaté pour qu’il puisse accueillir mon sexe, alors Hakima se retourne et pose ses coudes sur la table de chevet et m'offre sans pudeur la vision de son trou dilaté. Toute cambré et offerte, elle me demande comme dans une supplique :
- Encules-moi !
Prenant mon sexe en érection, je pose le gland sur l’œillet de ma petite marocaine et appuis lentement pour enfoncer mon membre en elle, Hakima frémit de plaisir. Je continue de pousser et bientôt mon sexe est entièrement dans son cul.
Tenant Hakima par les hanches, je commence mes va-et-vient, elle pousse un long gémissement de jouissance, elle jouit et mon membre coulisse facilement dans sa gaine anale.
Je l’encule de plus en vite, Hakima jouit en continu tout en se masturbant énergiquement la chatte, elle pousse un soupir d'orgasme, juste avant que le plaisir monte en moi et que ma jouissance ne lui remplisse les entrailles.
Puis nous nous séparons, pour nous mettre nues et nous allonger sur le lit, mais Hakima reprend mon sexe en main et recommence à me masturber. Je gémis sous la caresse et Hakima se met à me lécher le sexe, puis me reprenant entre ses lèvres recommence à me sucer…
Cette petite cochonne, en plus d'aimer les sodomies, elle aime les fellations ! Décidément, c'est une fille qui va me réserver des surprises…
Puis voyant que mon membre est à nouveau raide, elle se relève, m’enjambe et d'une main elle guide ma bite jusqu'à son anus, et descend sur moi pour se sodomiser en me chevauchant...
Pour la seconde fois, je l'encule, en fait-elle s’encule elle-même, avec lenteur et plaisir. Mon sexe glisse en elle sans problème, elle monte et descend longuement tandis qu'elle se caresse la chatte. Elle a rapidement un second orgasme et m’inonde de sa jouissance.
Elle hurle de plaisir et ses cris remplissent la chambre, je me retiens tant que je peux, mais Hakima serrant son sphincter autour de mon membre me fait jouir une seconde fois avant de s’écroules sur le lit en soupirant de bien être…
Cette nuit-là, Hakima à refuser que je la pénètre par la chatte, prétextant que ce n’est pas dans ses habitudes d’offrir sa vulve la première fois, alors elle s’est laissée sodomisée toute la nuit.
Ce n’est que le lendemain soir qu’elle a écarté ses cuisses, m’offrant sa petite chatte glabre et étroite pour que je lui fasse l’amour.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
super recit j ai beaucoup aime