Heike, jeune fille au pair.

- Par l'auteur HDS Abadi -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Heike, jeune fille au pair. Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2017 dans la catégorie Plus on est
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Heike, jeune fille au pair.
Ce que je vais vous raconter là, se passe lors d’une soirée chez des amis wallons près de Mons, en Belgique au tout début des années 2000. Mes amis, un couple de 40 à 42 ans, sont très sympas et très ouverts. Pierce, est représentant en produits industriels ; sa femme Josuelle est commerciale elle aussi dans une boîte de produits pharmaceutiques.

Ce soir-là il y a aussi Samuel, un jeune ami de la famille, canadien d’environ 25 ans, de passage chez eux et Heike, une jeune hollandaise, jolie brunette de 22 ans, étudiante en français, qui effectue un séjour au pair (au père !!), chez mes amis belges. Ils l’hébergent pendant ses séjours à l’université, depuis plusieurs mois par altruisme et pour leur tenir compagnie, n’ayant plus d’enfants en bas âge à garder.

Nous étions donc ce soir–là cinq, deux femmes : Josuelle et Heike, et trois hommes : Pierce, Samuel et moi, Georges. En Belgique dès qu’il y a des invités, les apéritifs durent longtemps, souvent plusieurs heures, pendant lesquelles l'on ne se presse pas et où les discussions vont bon train. Là, si je me souviens bien, il devait être 21 h 30 ou peut-être même 22 h et nous n’en finissions pas de passer à table... Quant à moi, je décide de faire quelques des photos de la soirée amicale, histoire de faire un petit souvenir…

Aussi, au bout de deux heures, après moult verres d’apéritif, la belle petite hollandaise commence à être bien éméchée et même plus que ça. Les pommettes rouges, les yeux pétillants, elle semble même un peu ivre. Riant comme une petite folle à chaque plaisanterie un peu leste des autres hommes…

Josuelle, qui pourtant tient bien l’alcool et a une grande habitude de ces genres d’apéritifs, est elle aussi un peu grise. Elle ne surveille plus trop sa mise ni ses positions sur le canapé. A un moment, elle écarte largement les jambes et de là où je suis, je vois largement entre ses cuisses, gainées de bas noirs, son slip noir avec de la dentelle… Avec son petit coup dans l’aile, la coquine derrière ses grosses lunettes de myope aux verres fumés, parait encore plus vulgaire que lorsqu’elle est à jeun.

Ainsi, la conversation va bon train et ne se languit pas. Bien souvent sont abordés des sujets pour le moins égrillards… Pierce en rajoute, sans doute volontairement, et la petite hollandaise n’arrête pas de glousser et de rire comme une vraie petite poulette à chaque allusion au sexe, se bouchant les oreilles ou se cachant les yeux avec la main, comme pour marquer maladroitement qu’elle est prude et ne saurait voir ni entendre de telles insinuations. Mais dans le même temps, grâce à l’alcool qui, c’est bien connu, libère des interdits, elle parle de sexe sans gêne et de façon très incongrue, que l’on pourrait juger déplacée dans la bouche d’une jeune fille, même libérée.

Par exemple, voici ce qu’elle raconte :
- " L’autre matin, alors que j’étais assise dans le bus, un jeune homme beau et bien fait se tenait debout tout près de moi, de sorte qu’il me mettait son…, son paquet juste sous le nez…", dit-elle, accompagnant ses paroles de gestes très significatifs.
- " C’est qu’il en avait un beau paquet, ça je vous le dis… Tiens, Samuel, un peu comme le tiens ", dit-elle en mettant la main sur le renflement de la braguette du jeune canadien et en caressant la bosse avec conviction. Elle rit de sa hardiesse, tout en regardant l’entrejambe de Pierce puis le mien, comme pour mesurer la grosseur des bosses…
- " Et vous savez la pensée qui m’a traversé l’esprit ?... Oh non, je n’ose pas le dire…", fait-elle en riant.
- " Mais si, mais si, ma belle Heike, fais-nous ce plaisir…! ", encourage Joselle, riant à son tour.

- " Eh bien, ma tête a tout de suite fait abstraction du pantalon et du slip du type et j’ai vu le beau morceau du garçon, dressé à 10 cm de mes yeux !!... Oh, là-là… J’ai eu envie de tendre la main et de lui prendre comme ça…!", ajoute-t-elle. Et joignant le geste à la parole, elle prend en main le renflement du pantalon de Samuel.
- " C’est plus fort que moi, lorsque j’ai un sexe d’homme dans mes parages immédiats, j’ai envie de le prendre en main et de le sucer !... ".
- " Eh bien Samuel, tu sais ce qui t’attend ! A ce que je vois-là, je crois que la petite Heike est dans de bonnes dispositions !...", continue Pierce en riant.
- " Oui, oui, dit à son tour Josuelle, ne t’inquiète pas, ma jolie, je suis dans la même idée que toi ! De voir ces " paquets " comme tu dis, cela me donne la même envie… Tu vois tu n’es pas la seule. Et je vais même te dire plus, ma chère ! Eh bien, dans un cas comme celui-là, moi tu sais, je mouille aussi mon slip !... Ce genre de situation tu vois, me fait couler la fente ".

Tout le monde se met à rire et à rajouter chacun des commentaires sur l’affaire… Et comme, la discussion est bien partie sur ce genre de remarques, Heike se lâche maintenant tout à fait :
- " Je n’osais pas le dire, mais tu sais, ce fut le cas pour moi ce matin-là : j’ai moi aussi tiré une bordée dans ma petite culotte !! "

Toujours est-il qu’à force de boire et de rire, la petite Heike est prise d’une envie bien naturelle et alors qu’elle s’excuse et se lève pour aller aux toilettes, Pierce mon ami lui dit avec un naturel déconcertant (qui m’a trompé moi-même, c’est dire !) que les toilettes sont inutilisables, car bouchées ! Que le plombier devait passer dans l’aprsè-midi pour réparer, et cela n’a pas été le cas. Donc, pas question d’utiliser les toilettes !
Il faut ajouter pour bien comprendre qu’en général, les jeunes hollandaises n’ont pas froid aux yeux et sous l’effet de l’alcool, forcément, elles se libèrent encore davantage…

La petite se rassied donc et continue de boire, mais son envie ne se dissipe pas pour autant. Au bout d’un moment, n’y tenant plus, elle se lève et la main comprimant son pubis, elle réclame, toujours souriante mais un peu inquiète de pouvoir aller aux toilettes, sinon :
- " Je ne réponds plus de rien !", dit-elle. (Photo 1).
- " Las ! dit Josuelle, doucement ma belle, fais comme moi, retiens-toi le plus possible, tu sais que comme vient de le dire Pierce, nous ne pouvons aller aux commodités, alors, il faut se retenir !! Tiens, moi par exemple, voilà bien une heure que j’en ai envie et j’essaie de ne pas y penser !!".

Elle se rassied donc encore une fois, mais moins de deux minutes après, elle se relève de nouveau en demandant :
- " Mais si je pouvais au moins sortir et pouvoir me soulager dehors !"
- " Mais tu n’y penses pas dit Pierce, en pleine rue, comme ça !! Même à 10 h du soir ! Et en plus dans l’état où tu es, c’est des coups à te retrouver les fesses par terre… Et si les voisins te voyaient, ce serait le comble !! Tu vois un peu ce qu’ils pourraient penser de nous ici !!"
- " Je me cacherai bien et puis je ne m’accroupirai même pas !..." dit Heike, sûre d’elle-même.
" Allez, allez ! lui rétorque Pierce, ne te gène surtout pas pour nous !! Tu peux fort bien t’accroupir là, près du canapé et te soulager sans plus de façon. Tu sais, on ne va pas t’en vouloir de cela, sachant qu’on ne peut faire autrement..."
- " Oh non, Pierce, je n’oserais jamais faire ça ici !! Et puis Josuelle ne serait pas très contente de cette liberté ; dans son salon et devant toi, Pierce et aussi devant Samuel et Georges, qui plus est !!"
- " Mais non, chérie, tout se nettoie, vas-y !" dit Josuelle …
- " Mais qui te parle de faire pipi directement sur le parquet, chère Heike ? Pas du tout ! Tiens regarde, tu peux tout aussi bien faire là-dedans !... Depuis que les toilettes sont bouchée, je le garde à portée de main !". Et ce disant, il sort de dessous le canapé, de façon si inattendue que j’en ris encore, un vase de nuit à l’ancienne, vieux rose, orné de fleurs rétro, comme nos grand-mères en avaient autrefois.

Grand éclat de rire de tous, y compris de Heike. Le rire, on s’en doute, n’arrange pas son envie. Chacun peut s’imaginer la scène et les différentes poses que pourrait prendre la jeune et belle hollandaise en train d’uriner dans ce vase de nuit !
- " Oh oui, s’il te plaît, ce serait super! Tu peux être sûre que je n'ai encore jamais vu cela !!" dit le jeune Samuel qui souhaite vivement que cela se fasse...
- " Je demande aussi à ne pas manquer cela !" dis-je à mon tour pour apporter mon insistance, en me préparant à prendre des photos...
Pierce écarte alors les verres et les bouteilles d’apéritif et pose le pot devant Heike sur la petite table du salon. Josuelle lui dit alors :
- " Viens ma belle, je vais t’aider. Tu vas pouvoir enfin te soulager tout en faisant plaisir à nos hommes ". Disant cela, elle invite Heike à quitter ses chaussures. Puis elle lui prend la main et l’aide à monter sur la table basse du salon. Mais l’aide de Josuelle est insuffisante pour faire monter la petite qui titube un peu et n’arrive pas grimper sur la table. Il faut que ce soit Samuel qui soulève Heike par les hanches et la dépose directement sur la table.

La jeune fille est un peu hésitante, ne sachant comment faire et de plus, elle n’ose s’accroupir, ni se dévoiler. Elle reste là debout au-dessus du pot de chambre, en socquettes blanches et en petite robe d’été imprimée, au milieu de nous quatre qui entourons la table sur laquelle elle est montée.

Cette hésitation dure quelques instants, où chacun s'efforce de l'inciter tout en la rassurant… L’envie devient intenable pour Heike ; elle se contorsionne et son visage grimace. Enfin, un peu aidée par Josuelle, qui la retient aux épaules, elle consent à s’accroupir au-dessus du vase.
- " D’accord, finit-elle par dire, mais je ne baisse pas ma petite culotte… Je suis bien décidée à faire dedans !"
- " Comme tu voudras, lui dit Pierce, très sûr de son affaire et patient, il est vrai qu’on ne peut te demander de faire ce que tu ne veux pas faire !"
Pierce et Samuel la prennent chacun sous un bras pour la soutenir au-dessus du pot et moi, je m’installe en face pour photographier.

Là, Heike est un peu inquiète. Elle regarde tour à tour chacun de nous et aussi son entrejambe toujours bien recouvert d'une culotte de coton blanc, style culotte d'écolière " Petit Bateau ", désuète et enfantine. Ses cuisses sont largement écartées et elle nous donne à voir ses jolies jambes de jeune fille. Débordant du fond du slip, de chaque côté, des poils bruns s'échappent, assez longs et très denses et marquent l'endroit de la jolie petite chatte qui doit être très fournie. On devine la fente qui doit être très écartée à cet instant.
- " Vas-y, ma jolie... Vas-y ne te retiens plus, laisse-toi aller !", lui conseille Josuelle, qui se veut être rassurante.
Josuelle remarque que je me tiens au bout de la table pour photographier, juste en face des jambes très écartées de la jeune hollandaise. Elle fait relever à Heike sa légère robe d’été à fleurs afin de bien dégager la vue entre les cuisses…
Encore un bref instant et voilà le fond de la culotte qui se mouille très vite. Déjà l'urine jaune déferle et déborde sur le côté de la petite culotte en coton et coule jusque dans le pot de chambre. (Photo 2).

La jeunette se met donc à uriner à travers sa culotte. La voilà qui pisse et se soulage avec un bonheur visible, un sourire de satisfaction éclairant son regard. Le relâchement se lit dans ses yeux clairs :
- " Ah oui, ça fait du bien !... J’en pouvais plus !... Ah, mais vous n’allez pas me regarder faire ça !! Et toi Georges arrête de photographier s’il te plaît ! Oh, que j’ai honte de me faire voir ainsi !!... Mais tant pis, je pisse !! Ah là-là, oui !! Ça fait du bien !! "...

Pourtant, le flot de pipi chaud ne s'épanche pas assez vite ; le liquide qui coule mal au-delà de la culotte, remonte vers le pubis d’Heike. Comme il s’agit d’un coton à mailles serrées, l’ondée ne sort pas facilement au travers du tissu, et cela fait une poche qui grossit et lui gonfle l’entrejambe à vue d'œil. Nous le remarquons tous, mais faisons mine de ne rien voir.
- "Ah là-là, s’exclama-t-elle, ça ne s’écoule plus. Et pourtant je sens que je pisse encore ! Ca me remonte jusqu’aux fesses !! Ah… Il faut que je me dégage !! "

Elle écarte alors de sa main droite le fond de sa culotte où la poche d’urine s’est formée, libérant ainsi la retenue de pipi et elle nous montre enfin sa jeune et délicieuse fente très brune et très poilue.
- " Oui, dit Pierce se penchant en avant pour voir la jolie chatte d’Heike, oui, vas-y écarte-toi bien ma belle et dégage bien ta petite fente pour ne pas mouiller ton petit cul ! "
- " Oui, vas-y, Heike ! dit Samuel en passant sa main sous elle. Je vais te tenir le slip ouvert et comme cela tu pourras finir bien tranquillement ce que tu as si bien commencé !!". Il lui passe sa main gauche sous la cuisse et lui maintient le fond du slip ouvert pour qu’elle finisse de se soulager à son aise et sans rencontrer d’obstacle.

- " Ah putain ! s’écria Pierce, de la voir faire ça, me donne aussi l’envie de pisser que je retiens depuis une heure aussi, moi !" Il sort alors sa bite de belle taille que Josuelle s’empresse de prendre en main. Il se mit à pisser presque tout de suite... Josuelle dirige le jet chaud et doré de Pierce vers le pot de chambre et surtout la fente ouverte d’Heike. Celle-ci, le moment de surprise passé, continue de sourire. Au contraire cela la stimule et elle se remet à pisser de concert avec Pierce et redouble la force de son ondée. Elle se vide complètement.
- " Ah ! quel soulagement ! dit-elle encore, il m'était impossible de tenir plus longtemps !! "
Pierce, lâche lui aussi complètement sa pisse longtemps retenue et arrose ainsi le pubis et la chatte très fournie de poils très bruns d’Heike. (Potos 3).

Quand Pierce a fini de pisser, Josuelle prend en main les opérations. Elle approche le membre de son homme de la bouche d’Heike, toujours accroupie sur son pot et qui continue de pisser encore quelques jets. La jeune fille prend alors entre les lèvres la pipe encore dégoulinante de pisse que lui présente Josuelle. Elle la lèche du bout de sa langue, puis s’enhardissant l’enfourne complètement.

La bite à peine bandée de Pierce lui glisse sans peine dans la bouche. Mais très vite la petite a comme un haut le cœur. Est-ce dû à l’écœurement de la pisse où le fait d’avoir trop bu, en tout cas elle refoule le membre de sa bouche et vomit sur la table un flot jaune, fait manifestement d’un mélange de vin blanc et d’apéritif. (Photo 4). Un second jet sort de nouveau de sa bouche, frôle la bite tendue de Pierce encore toute proche et s’éclate en gerbe sur la table.
- " Putain, mais elle gerbe, la coquine !... s’exclame Pierce. Ne me dis pas que c’est le goût de mon membre qui t’indispose !! Hein, je crois que tu as trop bu, ma belle et que tu évacues le trop plein !..."
- " Ce n’est rien ma chérie, je vais essuyer ça, dit Josuelle en attrapant prestement une serviette dans le petit meuble derrière elle. Ce n’est pas grave, tu sais, essuies-toi bien la jambe qui en a attrapé aussi et enlève ta robe et ta petite culotte souillée ".
- " Excusez-moi, je suis désolée, j’ai été surprise… Je ne voulais pas...", se désespère Heike.
- " Ce n’est rien... !", dit Samuel qui tente de la calmer.
- " Non, mais on n’a pas idée, fait semblant de s’emporter Pierce. Et si ce n’était de ton pucelage que je respecte trop, j’aurais bien envie de te faire connaître d’un peu plus près ce qui fait ma fierté !", dit-il en manœuvrant son braquemart maintenant bien bandé, sous le nez de la petite hollandaise. Tout le monde se met à rire et Josuelle qui a le sens de l’opportunité ajoute à l’adresse de Pierce :
- " Et puis quoi, mon beau moustachu… A défaut de te faire la main sur la petite, tu sais que tu peux compter sur moi, non ? ! " Et elle commence à branler doucement le vit de son homme en le suçant à son tour…

Sans perdre de temps, Samuel aidé de Pierce, enlevèrent la petite culotte à Heike, et la descendent de la table... La jeune fille, maintenant complètement désinhibée, nous donne à voir son joli cul, un pied sur la table l’autre au sol, la fente très écartée et encore humide de sa miction...
Je pose mon appareil photo quelques instants pour aller me mêler à la scène. Là, m’agenouillant entre les cuisses ouvertes de la petit Hieke, je lui nettoie tout l’entrejambe de ma langue en aspirant les gouttelettes d’urine qui perlent encore à son joli petit con. La petite vacille dans les bras de Samuel qu’elle embrasse maintenant avec passion et en frémit un court instant...

A côté, Josuelle suce la bite humide de Pierce. Elle aussi aime la pisse. Elle tend la main et la passant sous l’entrejambe ouvert de Heike, elle saisit la bite que Samuel vient enfin de sortir de son pantalon. Une bite superbe et longue que le jeune homme frotte sur les fesses de la jeune hollandaise. Celle-ci lui ouvre la bouche où il engouffre sa langue pour lui donner de voluptueux et humides baisers.

Pierce vient alors me remplacer et langotte un long moment la fente ouverte et mouillée de la petite Heike. Je manque la photo du moment où Josuelle, debout, jambes à demi fléchies, écarte le fond de son slip et urine à son tour dans le pot de chambre rose à fleurs, resté sur la table… Elle n’en peut plus elle non plus, de retenir sa miction. Elle lâche aussi à deux reprises des pets sonores, ce qui m’excite encore davantage.

Je passe alors derrière elle et je lui lèche longuement la rondelle tandis qu’elle frotte sa fente ouverte et humide sur la hanche de Pierce. Elle a un orgasme bref et intense, et un grand frisson la secoue. Puis elle se laisse aller, jambes écartées sur le bras du fauteuil.
Courbé sur elle, je branle mon membre dur et dressé sur l’intérieur de sa cuisse tant je la trouve excitante... Malgré le slip noir qu’elle n’a pas enlevé, sa chatte est superbe, béante et sa toison est dégoulinante de sa mouille onctueuse que je cueille du bout de ma langue...

Samuel a fait asseoir Heike sur le canapé et lui présente sa queue pour qu’elle le suce à son tour... Pierce vient se glisser entre les jambes de la jeune fille et la suce tout en lui branlant doucement le bouton. Sous l’effet de la caresse, Heike commence à se contorsionner. Je ne peux toujours pas faire de photo de la scène, trop occupé que je suis à caresser la fente ouverte de Josuelle...

- " Ah petite cochonne ! dit Pierce à Heike, que ton beau petit con est chaud et étroit. Mon doigt y rentre à peine ! Dommage que tu sois pucelle et que tu ne veuilles pas te faire baiser encore !! Je t’aurais bien déflorée avec le plaisir que tu sais !!"
- " C’est vrai, renchérit Josuelle à l’intention de Samuel et de moi, notre petite amie a encore sa fleur et ne veut pas prendre de belles bites dans son joli petit trou de vierge... "
Puis s’adressant à Heike, elle ajoute :
- " Tu ne sais pas ce que tu perds chérie, je te l’ai déjà dit ! Prendre une ou plusieurs belles bites dans son trou de femme, c’est vraiment super tu sais ! Ou plutôt, tu ne sais pas le bien que ça peut faire !! Moi, tiens, rien que d’en parler, j’en ai plus qu’envie !!... Viens, mon Georges !"

Pendant qu’elle dit cela, elle me fait asseoir dans le fauteuil et elle vient se mettre sur moi, me chevauchant à l’envers, son dos contre ma poitrine elle se branle d’abord sur la pointe de ma queue dressée qui bande très fort. Elle ne veut rien perdre de la scène qui se tient à côté entre la jeune fille et les deux hommes, qu’elle mate tout en se branlant. Bientôt, elle commence à mouiller.
Heureusement Samuel a la présence d’esprit de prendre une photo. (Photo 5).

Bientôt elle s’enfile sur ma queue raide où elle se baise toute seule bien à fond.
- " Ah oui, baise-moi bien, Georges et fais-moi jouir !! Pierce Samuel, et toi aussi Heike, regardez, Georges me baise et c’est bon… Continue, ne lâche pas !".
En fait c’est elle qui s’empale sur moi. Elle commence à délirer :
- " Ah oui, c’est bon… Je vais jouir !! Oh il faut que je retarde le moment car je vais tout lâcher !! Ah des bites oui, putain j’en veux ! J’en veux encore, oui !! Georges, enfile-moi dans l’autre sens…"

A peine a-t-elle le temps de se désenconner de ma queue, qu’elle se retourne et me fait face. Elle se renfile de nouveau sur moi, face à moi cette fois.
- " Oh, ouuuiiii, des bites !! Il me faut des bites !!! Des bites !!!... Plutôt deux qu'une !! Une dans le con, une autre dans le cul !! Oui, dans le cul aussi !! J’en veux partout !! Partout !!!"… Pierce ! Samuel, voyez mon cul ouvert et enfilez-le devant cette petite catin qui ne veut que sucer sans se faire baiser !"… Prenez-moi !... Baisez-moi et faites-moi jouir !!!"

Puis, elle s’arcboute sur moi, les genoux dans le fond du fauteuil et d’une main elle s’écarte les fesses pour montrer son cul ouvert. Pierce qui est le plus près se déplace vers elle et l’enfile derrière assez brutalement. Sous la violence de la pénétration elle hurle :
- " Ah oui salaud !! J’aime quand tu me prends comme ça ! Fort ! Vas-y, vas-y ! Ah oui, vas-y ! Je décharge !!... Heike, viens !... Viens et suce-moi les seins !! Et branle-toi chérie ! Branle-toi devant moi que je voie ta petite chatte frémir et décharger !! Que je te voie te branler !! Ah oui ça y est... Je jouis !! Je jouis !!....".
Une ondée brûlante m’inonde la queue, le bas-ventre, les couilles, les cuisses... La salope décharge en abondance en jurant comme un charretier.
Pierce la suit de près et lui inonde le cul de sa crème. Cela lui fait redoubler sa liqueur et je décharge à mon tour de délicieuse façon dans son con en feu, qu’elle serre autour de ma bite de façon convulsive et si appréciable.

Samuel décharge à son tour un sperme épais et abondant sur la croupe et le dos de la belle hollandaise, venue sucer les seins de Josuelle. Heike, qui elle-même se branle depuis un petit moment déjà, accélère le frottement de ses doigts sur son clitoris et part elle aussi, dans un orgasme fort et puissant... Elle s’effondre ensuite sur le canapé, vidée.

Les choses se calment alors tout doucement...
Chacun refait surface. Avec peine Josuelle se relève et quitte mon ventre. Son entrejambe est dégoulinante de cyprine et de foutre qui s’échappent en nappes visqueuses. Elle bascule sur le canapé les cuisses ouvertes à côté d’Heike qui ne cherche plus à cacher sa petite fente poilue qui reste maintenant béante… Nous, les hommes nous remettons lentement debout un peu sonnés par l’intensité du moment… Pierce propose que nous buvions un coup…
Heike dit comme s’excusant :
- " Excusez-moi, mais j’ai encore envie de faire pipi, moi…"
- "Eh, ma jolie, tu sais comment faire maintenant, n’est-ce-pas ? Tiens Samuel, remets le pot sur la table " dit Pierce avec un petit sourire en coin…

Et là, je reprends vite mon appareil photo…

Avec le recul je soupçonne la jolie petite brunette de ne pas en être à son coup d’essai…
N’empêche qu’elle a bien failli ce soir-là, perdre sa double virginité !!

Les avis des lecteurs

Quelle sympathique soirée !



Texte coquin : Heike, jeune fille au pair.
Histoire sexe : Une rose rouge
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