La Belle des années folles - Chapitre 5

- Par l'auteur HDS Abadi -
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La Belle des années folles - Chapitre 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Belle des années folles - Chapitre 5
Suite du ch4 : Référence : 26144-a2353
L’arrivée au ''Carré de dames ''

Pour Jeanne la soirée se prolonge dans sa tête, bien au-delà de la semaine…
Elle n’en revient pas de cette découverte. Au point que 3 semaines plus tard, elle abandonne son couple de vieux parisiens après leur avoir dit qu’elle avait trouvé un autre travail ailleurs…
Bien entendu il n’y a rien de vrai dans cette déclaration. Mais elle en a assez du train-train et désormais le sexe lui trotte dans la tête… Elle en arrive à se masturber plusieurs fois par jour, même en pleine journée dès qu’elle se sent un peu seule…
Une fois même, la petite vieille lui tombée dessus alors qu’elle s’était retroussée debout devant l’évier, et qu’elle se caressait le clitoris avec le manche de l’écumoire… Heureusement la grand-mère qui ne voit pas trop clair, n’a pas eu le temps de voir ce qu’elle était en train de faire…

Bref, elle prend son congé et la voilà partie chez la fleuriste en bas de la rue où elle se propose pour faire des livraisons…
Après quelques jours de ce travail, la voilà qui devient vendeuse-livreuse dans une épicerie Place Clichy, juste à côté de la boîte à partouses où quelques semaines plus tôt, elle a découvert le sexe libéré et à plusieurs…
Là, dans son nouveau job, elle voit passer les putes qui font les cent pas devant le magasin toute la journée. Lorsqu’elle sort de l’épicerie pour aller livrer la clientèle, elle les frôle et les côtoie, ce qui ravive ses souvenirs de baise intense et la fait fantasmer énormément. (Photo 1)
Un jour alors qu'elle faisait une livraison dans un bar, elle est remarquée par la patronne. Qui lui propose de l’embaucher dans son établissement.

A 19 ans et demi, presque 20, après ces petits boulots, la voici donc entraîneuse dans un bar américain à Pigalle. Le bar s'appelle "Le Carré de Dames".
Il mérite bien son nom parce qu'il y a là 4 jolies femmes toutes entraîneuses pour faire boire le client et un peu plus certains soirs selon le désir de ces dames et la générosité des messieurs... Jeanne est bien souvent passée devant ce bar à filles, sans savoir qu'un jour très proche, elle va échouer là, passant ainsi d’un travail pénible de livreuse à un autre type d’occupation bien plus flatteur et intéressant…
Ce bar est en réalité un bordel, disons-le clairement. Et pas une de ces "maisons closes" de haute volée, non. Comme nous allons le voir, il s’agit plutôt d’un bordel de bas étage. Presque sordide. Bien tenu et propre certes, mais dont la clientèle reste un peu quelconque, voire vulgaire !

Voyons d’un peu plus près les pensionnaires du moment…
La Léopoldine d'abord, une grande fille de la banlieue, qui dépasse le mètre soixante-douze ce qui n'est pas fréquent à l’époque. Elle approche la trentaine, bien faite, une grande bouche toujours peinte en rouge éclatant, une jolie poitrine, de belles jambes longues et élancées dont elle était très fière. (Photo 2)
Et surtout lorsqu’elle n’est pas déshabillée pour des raisons de travail, elle est toujours accoutrée d'un costume de marin qui lui donne un caractère très particulier. Ce costume d'homme, en tout point celui d'un marin avec batave à pompon rouge, col marin à rayures blanches et bleues, lui donne de prime abord un aspect masculin caractéristique. Le pantalon à pont, de marin lui aussi, présente un petit détail dont il sera question plus loin.
Léopoldine, une petite dizaine d’années avant la guerre de 14, a fait des photos coquines avec des photographes professionnels qui se mettaient alors dans le porno, dont la mode se lançait juste avant la guerre. Une mode qui ira ensuite croissant : avec les duretés de la guerre et les horreurs du front, les jeunes hommes qui revenaient en perm, avaient bien besoin de ces photos pour trouver le repos du guerrier. Léopoldine a donc acquis à ce titre, une grande expérience des poses et n’a plus aucune pudeur pour montrer tout ce qui peut exciter les hommes… C’est la vraie parisienne, gouailleuse, forte en gueule et qui n'a pas froid aux yeux avec les clients et qui va aussi de temps en temps avec les filles, notamment la petite Joyeuse avec qui elle s'occupe volontiers les soirs de disette.

Joyeuse, elle, si elle n'est pas la plus jeune avec ses 24 ans, elle est de loin la plus petite avec son mètre cinquante-six. Un tout petit gabarit mais superbe : bien proportionnée et faite à peindre avec un joli et fin minois. (Photo 3)
Habillée comme une poupée de porcelaine, avec une jupe ou une robe assez courte, mais toujours ample sous laquelle dépasse toujours une large main de dentelles. Joyeuse a quelque chose à la fois d'enfantin, d'innocence, et aussi de très prometteur. Une sorte d'invitation à passer la main sous la jupe… On ne la connait au ''Carré de Dames'' que sous le nom de ''Joyeuse''. Sans doute a-t-elle été appelée ainsi, à cause de son sourire charmant, dont elle ne se sépare jamais.

Il y a aussi la Fernande, celle-là par contre, la quarantaine bien sonnée, ressemble plutôt à un cheval de trait dans les labours qu'à une fille dont le métier est de plaire aux hommes. Peu distinguée, large et assez rondelette, les hanches fortes et le fessier très large. Elle a un relent de la fille de ferme mal dégrossie. (Photo 4)
Pourtant elle plaît beaucoup, à la clientèle du lieu, habituée à des filles un peu rustres et sans chichi. Elle a ce pouvoir d'écarter les cuisses au point que plus rien n'existe plus pour les hommes. Il faut dire que la taille de son clitoris (plus gros que le bout du pouce !) en fait une curiosité… La Fernande a pour particularité d’avoir servi la patrie comme elle dit. Trois ans de guerre, à l’arrière certes, mais quand même et pas loin des tranchées et du front. Nous y reviendrons plus loin…

Adèle, enfin, la patronne qui déborde largement la cinquantaine et n'est pas la dernière à mettre la main à la pâte d'une façon que nous verrons, mais sans jamais ''monter '' avec les clients, même quand la soirée a été chaude et que le personnel est un peu débordé... Il faut dire qu'ayant commencé dans le métier assez tôt, vers les 13 – 14 ans, elle compte maintenant pas mal d'heure de vol au compteur et a décidé depuis quelques années déjà '' de ne plus embarquer de passagers '' comme elle le dit, même pour des '' vols intérieurs ''… (Photo 5)

Et puis, depuis peu dans le cercle du bar, il y a la dernière recrue : Jeanne avec ses 19 piges et sa belle tournure de jeune femme épanouie… Rien qu'à la voir, du premier coup d'œil, on peut mesurer l'ampleur de sa sensualité et la promesse d'une sexualité rare…
Un corps superbe et une poitrine opulente bien faite, sans être trop lourde… De jolies jambes dont la coquine est très fière, et en haut des cuisses, une peau si fine, si lisse, si soyeuse et si délicate, qu'y porter la main c'est à coups sûrs se damner et se condamner à ne plus vouloir toucher à autre chose…
Une peau comme il est difficile d'en voir et d'en palper de semblable dans une vie d'homme… Son visage, fin et régulier présente de très beaux yeux clairs qui tout de suite vous accrochent le regard et promettent des nuits sans lendemain… Son ''intimité'', comme l’on dit, et que l’on devine avenante, la démange bien souvent depuis quelques années et notamment depuis qu'elle s'est fait prendre, bien malgré elle dans le fossé d'un petit bois alors qu'elle avait 14 ans. Ses petites lèvres bien développées et son clitoris, qu'elle caresse très souvent tantôt par désœuvrement et tantôt pour s'exciter, appelle autant le regard des hommes que leurs caresses…

Ainsi avec l'arrivée de Jeanne le ''Carré de Dames'' compte désormais cinq femmes. C’est désormais plus qu’un carré et on devrait l’appeler la ''Quinte de Dames''…
Dans cet environnement plus débauché que romantique, Jeanne fait figure d'une belle jeune femme, la plus jeune avec ses dix-neuf ans, un regard et un corps que personne ne peut égaler en grâce et en forme, dans ce carré de dames ! Il faut dire que les soirs où elle est en forme et où, comme l'on dit : " les choses partent vite ", plus rien ne l'arrête et elle rivalise aisément avec les spécialités des autres animatrices du lieu.

C’est que nous allons voir au chapitre suivant…

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Texte coquin : La Belle des années folles - Chapitre 5
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