Hélène 61 : Casse-noisette, première partie

- Par l'auteur HDS Rouge22 -
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Récit libertin : Hélène 61 : Casse-noisette, première  partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Hélène 61 : Casse-noisette, première partie
Hélène : Casse-noisette, première partie


Je suis heureuse. Mon homme m’a emmenée déguster une excellente côte de bœuf, accompagnée d’un bon bordeaux. Et puis, pour qu’il n’y ait aucun doute mes intentions sur la suite de cette soirée, j’ai discrètement ôté ma culotte, entre le plat de résistance et le dessert, et je lui ai donnée sous les yeux du serveur médusé. Nous laissons la voiture dans les voies de notre maison, et pendant qu’il glisse les clés dans la serrure, il me murmure.

 J’ai préparé une surprise pour toi, tu vas aimer.

Dans le salon, trône un objet, recouvert d’un voile noir.

 Avance, et découvre-le.

Dessous, je suis plutôt déçue : C’est une chaise sur laquelle est posé un petit god en caoutchouc qui fait à peine la moitié de Pierre en taille et diamètre, et une boite avec quelques câbles et un ou deux tuyaux flexibles.

 Mon chéri, je suis habituée à plus d’imagination et à un gabarit au moins égal au tien.
 Pas de soucis, ma belle, empale-toi et laisse-moi faire.

Sous ma robe, je suis trempée, et ma mouille a coulé jusqu’à ma rosette. Je m’empale sans problème, seulement déçue par le peu de sensations ressenties. J’étale ma jupe en corolle autour de moi. Mon homme lie mes chevilles aux pieds du siège, puis il rassemble mes mains dans le dos et me menotte, ce qui me cambre.
Pierre farfouille sous la chaise et en sort trois câbles munis de pinces. Il ouvre mon corsage, et dégage mes deux seins du soutien-gorge. Il masse mes tétons déjà durcis à l’idée de ce qui les attend. Il place les petites mâchoires dentelées autour de mes framboises congestionnées et serre. J’accompagne chaque tour de vis d’un soupir d’aise. Puis il plonge les mains sous ma robe, et découvre mon ventre, il écarte mes cuisses, et dégage mon sexe. Il ouvre mes grandes lèvres. Mon clitoris est déjà gorgé de sang, il est presque impatient de subir la morsure de l’électrode. Je geins quand il pince mon petit bourgeon. Il se dégage et s’agenouille près de moi.

 Voilà, ma belle, tu es prête pour « casse-noisette »,
 Pardon?
 Tu es empalée sur un gode gonflable. Dans un premier temps, la tête du gode va gonfler et envahir ton rectum, puis la partie médiane va pousser contre ton petit anneau. Si tu ne contracte pas ton sphincter, tu seras dilatée à l'extrême. Tu dois serrer tant que ça ne se dégonfle pas.
 Mais pourquoi l'électricité
 Pour te prévenir, un petit courant électrique te chatouillera
 Seulement chatouiller ???
 Ah je vois Madame est une gourmande. On va régler un peu plus fort, et il continue.
 Voilà, c'est bon, on se lance.
 Oui

Je ressens une grosse chatouille dans les seins et dans le clitoris, alors je serre à fond mon anus.

 Ouais, ce n’est pas terrible.
 C'est un problème de rythme, il faut laisser gonfler le bout pour qu'il se moule dans ton ampoule rectale et appuie sur tes muqueuses anales, et après tu bloque ton sphincter.

Je me concentre: petite électrocution, gonflage, contraction, puis dégonflage. Je suis douée, et tout devient presque automatique. Et en plus mon rectum est délicieusement massé.

 Chéri, mets un peu plus de stimulation, et un peu plus vite.

Tout s'accélère, mais j'arrive toujours à me serrer juste à temps pour éviter que mon petit muscle soit trop dilaté. Mon trou du cul chauffe agréablement, une grosse boule de bonheur monte de ma rosette. Pierre augmente l'électricité. Et boum, j'explose dans un splendide orgasme anal. Mon chéri coupe instantanément l’appareil.
Je m'avachis sur mon siège, il me soutient, puis d'une main, il défait les pinces. Le sang afflue dans mes bouts. Atroce. Mais j'adore ce mélange plaisir- souffrance. Et en plus Pierre est un expert à ce jeu.

Je me laisse aller dans ses bras. Il m'allonge sur le canapé, puis me monte dans notre lit.
Je m'endors comme une bête épuisée.
L'odeur des croissants, et des œufs pochés me réveille. A côté, j'entends l'eau couler. Mon chéri se douche. Je me précipite dans la salle de bains.

 Chaton, j'adore te voir à poil, surtout depuis que tu n'en as plu. Tu veux que je te savonne
 Trop tard, je viens de me rincer, mais je peux m'occuper de toi.
 Et en profiter pour me tripoter partout !!!
 C'est bien ton objectif, ma chérie.
 Oui, j'avoue, J'adore tes mains sur tout mon corps.

Et bien entendu, ça dégénère en pelotage général. Nous finissons de faire un sort au petit déjeuner et Pierre commence à ranger quand...

 Dis-moi pourquoi ça s'appelle casse-noisette ?
 Je vais te montrer, mets-toi sur le ventre, et écarte tes fesses.
 Qu'est-ce que tu fais.
 Je te mets un peu de beurre, pour que ça coulisse.
 Comme dans le dernier tango.
 Exactement, maintenant détend toi.

Il pousse son doigt dans ma rosette et s'enfonce.

 Serre, dis-moi ce que tu sens
 C'est bien sympa, mais ça ne me fait pas grimper aux rideaux
 On va faire autrement. Glisse ton index dans ton œillet
 Pourquoi faire, j'ai quand même un amant pour me fourrer sa langue dans mon cul
 S'il te plait, essaie

J’insère mon index dans mon trou mignon.

 Serre.
 C'est incroyable. Mon doigt est comme écrasé.
 C'est parce que tu t'es musclée.
 Et pourquoi faire, je ne vais pas faire un concours de culturisme, spécialité anus.
 Bon, tu fais exprès de ne pas comprendre, alors à quatre pattes, et tu écartes tes fesses.

Bonne fille, j'obéis à mon homme. Il appuie son gland sur mon oignon et pousse. Je résiste une seconde, et je le laisse passer.

 Serre.
 Mais tu es énorme.

Il se penche contre mon oreille.

 Pas plus que d'habitude, mais tu es plus sensible.
 C'est aussi intense que quand j'ai pris du plaisir par-là, pour la première fois.
 Et voilà, tu es redevenue pucelle du cul.
 Chaton, arrête de causer, et défonce moi, c'est trop bon.

Au début, je coordonne ma contraction avec sa pénétration, puis je me laisse aller à l'instinct. Quand je me contracte et qu'il se recule, j'ai l'impression qu'il me tire mon anus comme s’il allait l’arracher. Et quand il pousse, je le laisse coulisser, pour stimuler mon rectum.
Je perds la tête. Tout mon vocabulaire ordurier y passe.

 Baise ta salope !
 Défonce-moi !
 Encule-moi profond !
 Pistonne ta bourge salope !

Pierre est déchainé, il me bourre comme si c'était ma dernière enculade. Il part, balançant sa purée dans mon rectum hyper sensible. J'explose aussi. Il s'affale sur moi, puis roule sur le côté.

 En fait, tu es un coquin égoïste, tu dresses mon cul pour ton propre plaisir.
 Ne me dis pas que ça ne t'as pas plu.
 Si beaucoup, mais maintenant, j'ai envie d'un gros câlin tout doux d’amoureux.

Une semaine plus tard, Pierre pousse la porte de ma mercerie.

 Quelle bonne surprise, fais-je en embrassant mon amant.
 Désolé, ma chérie, je suis venu te dire que je pars en consulting, je rentre à la maison samedi soir.
 C’est quoi cette affaire.
 Tu sais, j’avais aidé une petite boite qui fabrique des chocolats, dans l’est. Ils veulent s’agrandir, et lancer une nouvelle ligne de production. Ils me demandent un coup de main pour la partie économique du dossier.
 Et tu pars quand ?
 Maintenant.

Je marque un instant de silence. Il reprend.

 J’ai appelé Mel et Anne So, elles t’invitent à une soirée shopping demain soir. Voilà ma carte bleue, tu te souviens du numéro ?
 Tu sais le shopping, j’aime mieux quand je suis avec toi.
 Ah bon !
 Oui, tu payes, mais en plus tu portes les paquets

Je fais un peu de rangement quand je tombe sur casse-noisette. Pierre rentre demain. Et si je faisais un peu de gymnastique. Je me douche en vitesse, et je m'empale sur le plug gonflable. Et je mets en route le sex toy.
Instantanément, je comprends que j'ai faits deux erreurs. J'ai laissé le réglage sur intense. La deuxième, c'est de ne pas avoir utilisé une électrode pour me prévenir du gonflage du god.
Le plug se gonfle, mais je n'ai pas reçu le petit choc électrique. Et je suis dilatée jusqu'à une souffrance insupportable. Je cherche le contacteur, mais je ne le trouve pas, et je suis de nouveau envahie jusqu'à la douleur.
Alors je tente le tout pour le tout, et je tire le god de ma rosette. Mais il est déjà en train de se gonfler, et je l'impression de m'arracher l'anus. C'est atroce. Je frôle l'évanouissement. Je récupère un peu et je me traine jusqu'à la salle de bains. J'essaie de me masser avec le jet de la douche. Mais il reste une douleur lancinante.

A suivre

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Quelle délicieuse découverte, le casse-noisette



Texte coquin : Hélène 61 : Casse-noisette, première  partie
Histoire sexe : Une rose rouge
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