Histoire d'un désir caché (3) - histoire érotique

Mon Dieu, j'étais endolorie le jour suivant. Christopher avait vraiment fait un malheur dans ma chatte. Bon, c'est moi qui le chevauchais, alors peut-être que j'étais responsable de sa destruction, de son étirement et de la démolition générale de mon vagin. Quoi qu'il en soit, j'avais prévu de faire profil bas pendant un certain temps après ça. Mon neveu et moi avons échangé quelques regards complices au petit déjeuner, puis je les ai envoyés, lui et son oncle, à leurs occupations.
Je n'étais pas prête à utiliser mon gode avec ma chatte encore douloureuse, alors j'ai effectué un certain nombre de tâches que j'avais ignorées récemment. J'ai nettoyé. J'ai fait les courses. Je suis même sortie dans le jardin un petit peu faire du nettoyage. Il y avait tellement de mauvaises herbes. Mon obsession pour Christopher avait occulté une grande partie de la vie. Alors que je me tenais parmi les fleurs, j'ai pris une profonde inspiration. Malgré la douleur entre mes jambes, ou peut-être à cause d'elle, la vie était belle.
Cette nuit-là, je n'ai pas rendu visite à Christopher après que Carl se soit couché. J'y ai pensé. Je n'allais certainement pas coucher avec lui avec une chatte en lambeaux, mais j'aurais pu lui faire une bonne pipe. Mais non, on devait faire une petite pause. C'était le moment idéal pour réfléchir. Ma frustration était partie.
Ce matin, Christopher m'a jeté des regards interrogateurs, mais a eu le bon sens de ne pas demander pourquoi je n'étais pas venue le voir la veille. Il avait l'air un peu contrarié en soulevant son sac à dos et en marchant vers la porte d'entrée.
Bey, tante, je vais chez Gwen cet après-midi. Je ne serai peut-être pas à la maison pour le dîner.
Il s'est arrêté devant la porte pour évaluer ma réaction.
C'est bon, mon chéri. Dis à ta copine que je lui passe le bonjour.
Je lui ai fait un joli petit signe de la main et il est parti.
Qu'est-ce qui se passe ?
Apparemment, Carl n'était pas aussi naïf qu'il en avait l'air. Il a décelé la tension entre moi et notre neveu.
Oh, tu sais comment il est avec Gwen.
Ce que j'ai dit n'a aucun sens. Comment était-il avec Gwen ? Mais j'ai sondé quelque chose que Carl ne voulait pas admettre qu'il ne savait rien.
Oh, c'est vrai.
Il m'a fait un signe de tête viril. Les hommes sont tellement idiots.
Au revoir, ma chérie.
Je l'ai accompagné à la porte.
Bonne journée au travail.
Et comme ça, j'avais la maison pour moi toute seule. J'ai pensé à aller chercher mon gode, ma chatte avait un peu récupéré après deux jours sans sexe. Mais à la place, je me suis occupée de mes tâches quotidiennes. Il y avait tellement de choses à rattraper.
Christopher a manqué le dîner comme il l'avait dit. Je me suis assurée de lui faire un câlin quand il est revenu, et comme de juste, il sentait le sexe. Il s'était fait sa petite amie toute l'après-midi. J'en étais sûre. Notre nuit mémorable a dû faire exploser ses hormones d'adolescent. J'ai pensé à lui rendre visite cette nuit-là. Mais comme on était en vacances, je voulais le rendre un peu fou. Il m'avait rendue folle. Il semblait juste de le faire dans aussi.
Au lieu de rendre visite à Christopher dans son sous-sol ce soir-là, j'ai été une bonne épouse et j'ai séduit Carl. La bonne nouvelle, c'est qu'il n'a pas du tout blessé ma chatte encore en voie de guérison. La mauvaise nouvelle... Vous l'avez deviné. Je l'ai à peine senti. Il est fort possible que le gode et moi ayons gâché le sexe avec mon mari à perpétuité. J'ai donné à Carl mon plus vilain faux orgasme cette nuit-là, mais j'ai été soulagée lorsque la séance de cinq minutes s'est terminée.
Le lendemain matin, la tension avec Christopher est montée d'un cran.
Je vais encore rester avec Gwen chez elle aujourd'hui.
Les sourcils de Christopher se sont froncés.
C'était un défi pour moi. Je pouvais le sentir. Je me demandais si la mère de Gwen avait surpris sa fille de dix-huit ans en train de le baiser avec Christopher. Ce n'est pas comme s'ils étaient très discrets à ce sujet. Je me suis demandé où, dans la maison de Gwen, les adolescents baisaient.
Tante ?
Christopher s'est à nouveau arrêté devant la porte.
J'ai dit que j'allais chez Gwen après l'école.
C'est bien, chéri.
J'ai bu mon café à petites gorgées.
Je te le dis juste, parce que...
Il a marché jusqu'à moi.
Je n'ai pas besoin d'aller chez Gwen.
Il a chuchoté et a regardé autour de lui à la recherche de son oncle, mais Carl était toujours à l'étage.
On pourrait traîner ensemble cet après-midi.
Je voulais faire une parade, mais j'ai souri gentiment à la place. "Prends ça petite Miss Petite Amie Parfaite". Je faisais exploser le score de Gwen. Cette jeune femme, avec son corps parfait et guilleret, ne pouvait pas rivaliser.
Je vais te dire, Christopher. J'ai une réunion de volontaires avec la commission des parcs cet après-midi. Je viendrai te chercher après l'école.
Il n'est pas un peu vieux pour un ramassage scolaire ?
Carl est entré dans la cuisine et s'est dirigé vers la boîte à pain. Christopher est devenu rouge comme une tomate.
Oui, je suppose.
Carl était trop occupé avec son beignet pour remarquer le malaise de Christopher.
Quand j'avais son âge, je ne pense pas avoir manqué une occasion de passer du temps avec une fille. Mais s'il veut laisser tomber Gwen pour sa tante...
Mon mari a haussé les épaules.
Mon sourire était si large que j'ai cru que mes joues allaient éclater. Même Carl, à sa manière, soulignait le fait que j'avais battu Gwen.
Je te vois après l'école.
J'ai regardé Christopher se précipiter vers la porte, se déplaçant maladroitement avec ce que j'ai supposé être une érection douloureuse...
Ensuite Carl est parti au travail et j'ai passé une journée remplie de corvées. Quand la cloche a sonné, j'ai repéré Christopher et l'ai salué. Il avait un sourire stupide sur son visage. Il a embrassé Gwen et s'est précipité vers la voiture.
Bonjour, tante !
Son grand sourire idiot n'avait pas quitté son visage. S'il ne faisait pas attention, Gwen pourrait commencer à avoir des soupçons. Je la voyais nous regarder, les bras croisés. Elle n'avait pas l'air contente. Je lui ai fait un petit signe amical. "Je vole juste ton petit ami pour l'après-midi".
Christopher et moi sommes montés dans la voiture, et j'ai démarré.
Bonjour, mon chéri. Comment s'est passée ta journée ?
J'ai pensé... hum... Je veux dire ... après qu'on ai baisé, tu n'es plus venue dans ma chambre les deux dernières nuits. Je pensais... que j'avais fait quelque chose de mal. Tu es en colère ?
Je suis désolée de t'avoir fait subir ça.
J'ai froncé les sourcils et d'une main j'ai tapoté son genou. Je n'étais pas désolée. Cet après-midi était la récompense.
J'étais juste vraiment endolorie et j'avais besoin d'une pause.
Son visage s'est décomposé.
Alors, on fait une pause pour tout ?
On l'a fait.
J'ai serré son genou.
Mais je ne suis plus aussi endolorie, alors...
J'ai laissé mon doigt remonter le long de sa cuisse. En jetant un coup d’œil rapide, j'ai pu voir qu'il était déjà dur dans son pantalon.
On va recommencer ?
Christopher avait l'air si plein d'espoir.
Avec un préservatif, je veux dire.
A-t-il ajouté puisque je n'ai pas répondu tout de suite.
Nous verrons comment ça se passe.
J'ai pris un chemin de terre, puis j'ai tourné rapidement dans un vieux parking isolé.
Qu'est-ce que c'est ?
Il a regardé autour de lui avec surprise.
J'ai pensé que ce serait amusant de faire un arrêt sur le chemin du retour. Ce parc est fermé à cause d'un effondrement. Personne ne vient ici maintenant. .
Ma main est montée jusqu'à sa queue et l'a pressée à travers son pantalon. Je revivais vraiment mon adolescence. Je me souvenais très bien avoir embrassé dans des parkings abandonnés il y a des années.
On ne s'est jamais embrassés, mon chéri. Je veux dire, comme on le ferait si j'étais ta petite amie. Tu as déjà pensé à ça ?
Hum... ouais.
Il a hoché la tête, rougissant à nouveau.
Je suis assez jolie pour te voler un baiser ? Plus jolie que Gwen ?
J'ai penché mon visage vers lui, massant sa bite à travers son pantalon.
Tu es plus jolie que Gwen, tante.
Il s'est penché.
Nous étions timides au début. Mais nos lèvres se sont touchées. Nous nous sommes embrassés quelques fois. Et bientôt, ma langue était dans sa bouche, et il a caressé mes seins à travers mon pull. On s'embrassait comme des ados.
Ça te dérange... si je... te... ?
Je me suis penché et j'ai sorti sa bite.
On va jouer à un petit jeu. Je vais te sucer un peu. Si tu peux te retenir pendant 15 minutes, tu pourras la mettre en moi à nouveau.
Je savais que ce serait facile pour lui de gagner.
Si tu jouis dans ma bouche, pas de sexe aujourd'hui. Ça marche ?
Hum... bien sûr...
Il s'est accroché au siège de la voiture pendant que je lui faisais une fellation lente et bâclée.
Après quelques minutes, j'ai senti son corps devenir rigide.
Tante, il y a une dame qui promène son chien.
Il a mis sa main dans mes cheveux et m'a retiré de sa queue.
Est-ce qu'elle nous voit ?
J'ai levé les yeux vers lui, en continuant à branler sa bite avec mes mains. Il m'avait tellement excité que mon cerveau n'avait pas compris le danger que nous courions. Plutôt que de paniquer, je me sentais délicieusement perverse à l'idée qu'une femme puisse avoir la surprise de l'année si elle était trop curieuse. De la salive a coulé sur mon menton, mais je m'en fichais.
Je... ne pense pas.
Christopher avait l'air d'être un peu paniqué, béni soit son courage. Lui et Gwen n'ont probablement pas fait de choses coquines en public. Je me suis souvenu que Cart et moi avions fait des bêtises derrière le restaurant une fois, il y a longtemps. Ce n'était pas aussi excitant que ça. Loin s'en faut.
Que crois-tu qu'elle ferait si elle nous voyait ?
Je le caressais doucement et regardais autour de moi pour trouver le meilleur endroit pour faire l'amour. Ça faisait pas encore 15 minutes, mais mon neveu méritait son prix.
Elle appellerait la police.
Christopher m'a regardé avec étonnement.
Est-ce qu'elle se dirige vers nous ?
J'ai sorti le préservatif que j'avais apporté de mon sac.
Nous ne voudrions pas qu'elle voie ce qui se passe maintenant.
Je me suis déshabillée, laissant tomber mes vêtements sur le sol. Ces jeux auxquels Christopher et moi jouions m'ont vraiment rendue imprudente.
Elle s'éloigne. Elle ne nous a pas vus.
Allons à l'arrière.
J'ai enlevé son pantalon et ses sous-vêtements et j'ai embrassé les fesses nues de Christopher pendant qu'il rampait sur la banquette arrière. Je l'ai suivi et me suis assis à côté de lui.
Ce n'est pas spacieux, mais ça ira.
J'ai retiré le préservatif de son emballage et l'ai fait rouler sur sa queue.
Tu es prêt ?
J'ai rampé sur son dos. Il avait encore sa chemise, alors je l'ai fait passer par-dessus sa tête et l'ai jetée sur le sol avec mes vêtements.
Je suis... prêt ?
Christopher a avalé comme si sa gorge était toute sèche. C'était si mignon.
Je suis encore un peu endolorie après la dernière fois, alors je vais commencer doucement.
Je me suis glissée entre ses jambes et je l'ai guidé à l'intérieur. Je n'étais pas fidèle à mes paroles. En une minute, je l'ai chevauché à fond. J'ai heurté ma tête contre le plafond de la voiture plusieurs fois et j'ai fini par devoir enlacer les épaules de mon neveu et placer ma tête à côté de la sienne pour ne pas avoir de commotion cérébrale. À part ma tête, je n'ai pas eu mal cette fois-ci. Ma chatte s'était adaptée à lui.
Si cette promeneuse de chiens était arrivée un peu plus tard, elle aurait sûrement remarqué que la voiture se balançait d'avant en arrière. Je me suis demandée si elle allait prendre une autre route pour rentrer. Elle ne l'a pas fait.
Au moment où je me remettais de mon deuxième orgasme, j'ai regardé par la fenêtre latérale et j'ai croisé le regard d'une femme blonde qui promenait son chien. Sa bouche était un rictus de surprise quand elle a commencé à me regarder. Je ne l'ai pas reconnue, Dieu merci. Mes hanches ne se sont jamais arrêtées. Elle ne le savait pas, mais cette femme était témoin du fait qu'une tante surpassait lentement la petite amie de son neveu. Une bouffée de fierté et d'extase m'a envahi. Son chien a tiré sur la laisse, et la femme s'est rapidement éloignée. Vous ne serez pas surpris d'apprendre que j'ai eu l'orgasme le plus intense de ma vie quelques instants plus tard.
J'ai chevauché Christopher si fort que j'ai cru que j'allais casser la banquette arrière. Le soleil se couchait lorsque son grognement grave et révélateur a rempli la voiture.
Vas-y, chéri.
Ai-je chuchoté dans son oreille.
Oh... ugh... Tante.
Ses mains ont serré mes fesses. Il m'a plaqué contre lui, arrêtant la progression de mes hanches, et il a déchargé. C'était une pure joie.
Après un certain temps, je me suis retirée et me suis assise avec précaution à côté de lui. J'espérais que je ne dégoulinais pas trop. Au moins, je n'avais pas encore eu d'inondation.
C'était magique, Christopher.
J'ai enlevé le préservatif et je l'ai mis dans le petit sac que j'avais apporté dans mon sac à main.
Ouais.
Il respirait encore trop fort pour en dire plus. Le sourire sur son visage en disait long. Je me suis blottie contre lui et j'ai posé ma tête sur son épaule, en caressant doucement son torse dur. Ce moment post-coïtal était presque aussi parfait que le sexe. Nous n'avons rien dit. Nous n'avions pas besoin de le faire. Je ne voulais pas que cet après-midi se termine. Mais il commençait à faire sombre dehors.
Rentrons à la maison. Ton oncle ne doit pas revenir dans une maison vide.
Je me suis assise et penchée pour récupérer mes vêtements, mais ses mains se sont rapidement posées sur mes hanches.
Toujours sans mots, il m'a mis à quatre pattes sur la banquette arrière. Il s'est mis derrière moi.
Attends. Je n'ai pas apporté deux préservatifs. Et nous devons... aaaaahhhh... retourner à... ooooohhhh.
Dans cette position, il a frappé contre mon col de l'utérus à nouveau, plus fort que lorsque j'étais sur le dessus. la douleur est revenue dans ma chatte.
Attends... hummm... hummm... on devrait... hummm... Hummmmm.
La douleur s'est transformée en un tout nouveau plaisir. Je n'avais plus de mots pour protester.
Mon neveu m'a baisé comme une salope sur la banquette arrière de ma voiture pendant un long moment. Il s'est même emparé de mes cheveux à un moment donné, un truc qu'il a sûrement appris avec Gwen. J'ai perdu toute notion d'espace et de temps. Je suis passée d'un orgasme hurlant à un autre alors que la nuit s'installait autour de nous. Finalement, il s'est retiré et m'a aspergé le dos et le cul. Je me suis effondrée sur le siège, tremblante et gémissante.
Alors que je retrouvais mon calme, je l'entendais s'habiller à côté de moi. Je me suis assise et il m'a tendu mes vêtements. Nous nous sommes habillés en silence. Quand je me suis sentie suffisamment en forme pour conduire, je me suis glissée sur le siège avant et j'ai démarré la voiture.
Je suis désolé pour la deuxième fois sans préservatif, ma tante. Tu étais juste trop belle.
Christopher a grimpé sur le siège passager. Il souriait encore d'une oreille à l'autre. Je n'ai pas détecté beaucoup d'excuses dans son ton. C'était bon. Tant qu'il se retirait à temps, il n'y avait pas vraiment de mal. Et, je ne pouvais pas le nier, j'avais aimé savoir que sa bite nue était en moi.
Ne t'inquiète pas pour ça.
J'ai sorti la voiture du parking. Mon dos et mes fesses étaient couverts de sperme sous mes vêtements ?
Qu'est-ce qu'on va dire à ton oncle ?
Il sait que tu es venu me chercher aujourd'hui. On dira juste... qu'on a fait une promenade.
Christopher a haussé les épaules et a bouclé sa ceinture.
On se balade, en effet.
La journée fut très agréable pour Christopher. Et le lendemain, sa tante est encore venue le chercher. Gwen, elle aussi trouva de quoi s'occuper en allant chez son amie Cassandra.
Pourquoi n'es-tu pas avec Chris aujourd'hui ?
Cassandra m'a regardé du bord de son lit, en soufflant un long jet de fumée. Elle m'a tendu le joint. J'ai inhalé profondément et j'ai retenu mon souffle en regardant mon amie. J'ai expiré lentement. Heureusement pour nous, ses parents étaient d'accord pour un peu d'herbe tant qu'on ne s'attirait pas d'ennuis. Nous avions dix-huit ans, donc nous pouvions la gérer de manière responsable.C'est ce qu'ils ont dit, en tout casIl fait quelque chose avec sa tante.
Ai-je répondu, alors que la pièce vibrait agréablement autour de moi...
Il a été très occupé ces derniers temps. Tu es sûre qu'il ne te trompe pas ?
Cassandra s'est allongée sur son lit et a regardé le plafond d'un air rêveur.
C'est ce que Mike faisait avant que nous rompions. Il était tout le temps occupé.
L'idée m'a traversé l'esprit.
J'ai hoché la tête. Il avait été très occupé. Et la façon dont sa tante m'a regardé. Elle était dans le coup ? Est-ce qu'elle couvrait son neveu infidèle ? J'ai glissé dans la paranoïa en un clin d’œil.
Ouais, c'est comme Mike. Il pourrait me tromper.
Qu'est-ce que tu vas faire ?
Cassandra a tourné son regard vers moi, un air inquiet creusant ses jolis traits.
Eh bien...
Mon esprit ne pouvait pas aller trop vite, mais il travaillait sur le problème.
Je sais exactement comment il va s'y prendre. Dans sa chambre, en faisant entrer la fille qu'il a par la fenêtre du sous-sol. Ou peut-être qu'elle ne se faufile même pas si sa tante est dans le coup. Le fils de pute.
Je me suis levée.
Quelle heure il est ?
Je ne sais pas. Quatre heures et demie ?
Il est probablement en train de me tromper en ce moment même. Tu n'as jamais pensé que c'était bizarre que des gens puissent faire deux choses si différentes et ne pas le savoir ? Je veux dire des gens connectés. Tu vois ? Vous êtes liés d'une certaine façon, mais l'espace et le temps vous séparent.
C'était de la bonne herbe, c'était certain, moi-même je ne comprenais plus ce que je disais.
Donc, tu veux te rapprocher de lui en le surprenant avec une autre fille ?
Cassandra avait l'air dubitative. Elle ne comprenait pas.
Oui, c'est ce que je vais faire. Bey.
Je l'ai entendue dire au revoir alors que je sortais de sa chambre, descendais les escaliers et quittais la maison. J'ai sauté sur mon vélo et j'ai roulé jusqu'à la maison de Christopher. Je me suis peut-être perdue en chemin quand j'ai dû suivre une mésange sur quelques pâtés de maisons, mais je suis arrivée vers 16h45.
En descendant de mon vélo, j'ai remis mon short en place et ajusté mon haut. J'ai pris une profonde inspiration. J'ai fait le tour de mon vélo et l'ai posé sur le côté de la maison, près de la fenêtre à battants, au cas où j'aurais besoin de partir rapidement. Est-ce qu'il me trompait ? Je n'en étais pas sûre, car j'étais chez Cassandra. J'ai hésité et regardé autour de la cour tranquille. Je pouvais sentir l'herbe respirer. Oui, je devais aller à l'intérieur. J'ai tendu le bras vers la fenêtre. Elle était déverrouillée, comme toujours. Je l'ai ouverte et me suis glissé à l'intérieur.
Le sous-sol était tapissé, ce qui m'a permis de rester silencieuse. Au début, tout ce que j'entendais, c'était mon cœur qui battait dans ma poitrine. Mais ensuite j'ai entendu des grincements. C'était le son de ce lit. Et puis des grincements ont atteint mes oreilles. C'était la salope qu'il se tapait. Oh, mon dieu. Ce n'était pas seulement l'herbe. Il me trompait vraiment. Je suis allée dans la buanderie et j'ai collé mon oreille contre le mur. Je savais que sa chambre était juste de l'autre côté.
Des voix étouffées ont filtré à travers le mur. Elle lui disait quelque chose entre deux cris de plaisir. J'ai serré les poings et je me suis mordu la lèvre. Je n'avais jamais été aussi en colère contre un garçon. Je n'avais jamais été trahie avant. J'ai pensé à monter à l'étage et à le dire à sa tante. Elle serait entrée, et il aurait eu des ennuis. Mais si elle le couvrait ? Mes ongles se sont enfoncés dans mes paumes quand la fille qu'il avait là a hurlé son odieux orgasmeJe voulais partir à ce moment-là, mais j'ai dû perdre la notion du temps. C'était encore l'effet de l'herbe. Je suis restée là à les écouter baiser dans sa chambre, l'oreille contre le mur, pendant ce qui m'a semblé être une éternité. J'avais vraiment envie de les frapper tous les deux. Sans y penser, je me suis finalement détaché du mur et je suis sortie de la buanderie. Mes pieds m'ont porté jusqu'à la porte de la chambre de Christopher. Elle était entrouverte, et ils étaient beaucoup plus bruyants de cet endroit. Je pouvais entendre le grognement qu'il émettait quand il était prêt à jouir. Mon estomac s'est retourné et mon sang a bouillonné. Il faisait ce bruit pour quelqu'un d'autre. Comment le pouvait-il ?
Un parallélogramme de lumière s'étendait sur le sol depuis la porte. Je me suis approché du bord et j'ai regardé à l'intérieur. Mon estomac s'est noué quand j'ai été assez près pour voir le lit de Christopher. Je ne me souviens pas avoir jamais eu le sang froid aussi rapidement. Je suis passée de She-Hulk à Jennifer Susan Walter comme si j'étais entrée dans une douche froide. Au début, je ne savais même pas si c'était la réalité ou la défonce qui me faisait voir la femme que mon petit ami baisait furieusement. C'était un effet de la lumière ? A quel point cette herbe était bonne ?
De ma place, je pouvais voir le cul splendide de Christopher pendant qu'il la sautait en missionnaire. Sous lui, se tortillant, les paupières battantes, se trouvait sa tante. Son visage normalement joli était tordu. Si je ne savais pas ce que la bite de Christopher pouvait faire à une femme, j'aurais pensé qu'elle avait une attaque.
Ma main est allée vers ma bouche béante, mon corps était raide comme une planche. Mme Lily Green regardait dans ma direction, mais je ne pense pas qu'elle m'ait vu. Elle était perdue dans un plaisir intérieur.
Oh... Christopher... aaaaahhh... aaaaaahhhh... chéri... tu es si... profond.
Mme Green a placé ses deux mains sur les fesses de son neveu et les a serrées fort. Je pouvais voir les marques dans sa chair. Son alliance brillait. Merde, je n'avais même pas pensé qu'elle était mariée. C'était mal à bien des égards. A présent, j'étais convaincu que ce que je voyais était vraiment en train de se produire.
Merde... tante... Je vais... jouir... encore.
Les hanches de Christopher ont glissé dans un rythme effréné. J'ai vu deux préservatifs sur la couverture à côté d'eux. Je savais qu'il pouvait aller et venir. Mais... avec... sa tante ? C'était sa tante avec ses jambes écartées. Mon esprit s'est mis à divaguer.
Dehors... dehors...
Mme Green a couiné. Je pouvais voir ses mains passer de la position où elle tirait sur son cul à celle où elle poussait ses hanches. Je crois que j'ai failli m'évanouir quand Christopher s'est retiré. Je pouvais voir qu'il n'avait pas de préservatif. Il a grogné comme un animal en se branlant sur les seins et le visage de sa tante.
Oui, asperge-moi. Asperge-moi.
Elle a gémi et gloussé en tenant ses seins. Quand il a fini, elle a frotté son sperme sur sa poitrine. Bon sang, elle traitait son foutre comme une lotion. D'habitude, je me dépêche de m'essuyer, mais pas Mme Green. C'est pour ça que sa peau était si belle à son âge ? Je me suis demandée depuis combien de temps ils faisaient ça ? Mon esprit s'est remis à tourner. Il n'y a jamais de bon moment pour découvrir que ton petit ami baise la chatte de sa tante. Mais quand tu es défoncée, c'est certainement l'une des pires façons de le faire. J'aurais dû fuir, mais je suis restée figée sur place.
Christopher s'est baissé et a tapé son ventre avec sa bite. Les petites ondulations provoquées par chaque impact m'ont hypnotisé. Je me réjouissais qu'il ait joui sur son visage, sinon Mme Green aurait remarqué que je me tenais là comme une idiote. Ses yeux étaient toujours fermés alors qu'elle essuyait le sperme avec le dos de ses mains.
Ok, je devrais vraiment commencer le dîner. Et tu devrais envoyer un SMS à ta petite amie pour t'excuser de l'avoir encore laissée tomber.
Mme Green a gloussé. Elle parlait de moi. Avec le sperme de son neveu partout sur elle. Quel culot !
Encore une fois, tante ?
Christopher a frappé son ventre avec sa bite à nouveau.
Non.
Mme Green avait toujours les yeux fermés.
Envoie un message à ta copine, ou elle ne voudra plus être ta copine très longtemps.
Elle avait raison sur ce point.
Nah, tante. Je préfère y aller une fois de plus.
Christopher s'est déplacé un peu plus bas et a glissé de nouveau dans la chatte de sa tante. Je me suis frotté les yeux, essayant de croire ce que je voyais.
Attends. Tu as encore du sperme sur ta... aaaaahhhh... bite... aaahhh... aaahhh... tu pourrais... me mettre... enceinte.
Le reste de ce que Mme Green a dit était inintelligible. Ses pieds ont flotté dans l'air alors qu'il lui en remettait une couche. Christopher et moi avons toujours été plus prudents que ça. A quoi il pensait ? Il ne pensait pas. Sa bite était à la place du cerveau. Je regardais les seins de sa tante se balancer d'avant en arrière sur sa poitrine.
Je me sentais si bizarre. Sans m'en rendre compte, ma main a attrapé l'entrejambe de mon short. J'ai commencé à regarder les fesses de Christopher, les fléchissant encore et encore. Il se faisait sa tante. Et je le regardais. Je me suis mis à transpirer. Ma chatte a giclé. Une vague de vertiges m'a frappée. J'étais défoncée. C'était la seule raison pour laquelle ce qu'ils faisaient m'excitait.
Un cri a rempli l'air. Pas un cri d'extase, mais de surprise. J'ai regardé le visage couvert de sperme de Mme Green. Elle me regardait droit dans les yeux et criait.
Quoi, ma tante ? Encore ton col de l'utérus ?
Les hanches de Christopher se sont arrêtées.
Mme Green ne lui a pas répondu, mais elle m'a désignée du doigt. Christopher s'est retourné et a regardé. Sa mâchoire s'est décrochée.
Gwen... Je... hum... nous n'avons pas...
Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir dire pour expliquer cela ?
Tu es malade, Chris. Et vous, Mme Green... Je veux dire, Jésus Christ.
Je me suis retourné et j'ai couru.
Ne le dis à personne, Gwen.
Mme Green m'a appelé.
S'il te plaît.
Je suis partie, j'ai sauté sur mon vélo qui m'attendait, et j'étais dans la rue, pédalant à l'aveuglette. L'univers était devenu fou ? Tout était faux. Ma vie entière était partie en vrille en un après-midi. Qu'est-ce que j'allais dire à mes amis ? Que j'ai surpris mon petit ami de 18 ans en train de se taper sa tante ?
Pas question ! Mme Green allait arriver à ses fins. Je n'allais rien dire à personne de tout ça. C'était trop bizarre. Mon téléphone a sonné dans mon soutien-gorge, où je le rangeais habituellement quand je n'avais pas de poche arrière assez grande. Je n'avais pas l'intention de répondre à un quelconque texto.
Mon vélo semblait se diriger vers la maison. C'était bien. Au moins une partie de mon cerveau fonctionnait. J'ai essayé de ne pas penser à ce que j'avais vu. Mais ce n'était pas facile. Le regard d'extase de Mme Green. Et la façon puissante dont Christopher l'avait prise en main. Mon Dieu, pour un gars aussi stupide, il était si bon au lit.
Je suis arrivée à la maison et j'ai déposé le vélo dans le garage. Mon téléphone a encore sonné, mais je l'ai ignoré. Je ne voulais pas voir ce que Christopher avait à dire.
Mon vélo semblait se diriger vers la maison. C'était bien. Au moins une partie de mon cerveau fonctionnait. J'ai essayé de ne pas penser à ce que j'avais vu. Mais ce n'était pas facile. Le regard d'extase de Mme Green. Et la façon puissante dont Christopher l'avait prise en main. Mon Dieu, pour un gars aussi stupide, il était si bon au lit.
Je suis arrivée à la maison et j'ai déposé le vélo dans le garage. Mon téléphone a encore sonné, mais je l'ai ignoré. Je ne voulais pas voir ce que Christopher avait à dire.
Ma mère lisait dans le salon. Elle a demandé quand je suis passée.
Comment s'est passée ta journée, chérie ?
Je ne veux pas parler maintenant, maman. J'ai des devoirs à faire.
J'ai pris les escaliers deux par deux.
Ok, le dîner est dans une heure.
M'a-t-elle crié. Je l'ai à peine entendue. Mon pouls battait dans mes oreilles. Je ne pouvais pas sortir ces images dépravées de ma tête.
Dans ma chambre, j'ai trouvé ma fidèle brosse à cheveux. J'ai verrouillé la porte. Je me suis déshabillé comme si mes vêtements étaient en feu. Mon téléphone a encore sonné quand je l'ai posé sur ma commode.
Putain de merde, Christopher, je t'ai surpris avec ta tante. Je n'ai pas envie de parler.
En sueur à cause de ma balade à vélo et de ce que j'avais vu, j'ai tiré mes couvertures et sauté dans le lit. Je me suis allongé et j'ai laissé mon esprit se repasser tout ce dont j'avais été témoin ce jour-là. Ma chatte était déjà trempée. Bon sang, la tante de mon petit ami s'était mise à me regarder pendant que du sperme dégoulinait sur ses joues.
Le manche de la brosse m'était familier, même s'il n'était pas aussi grand que celui de Christopher. Je l'ai fait pénétrer. En un rien de temps, je me suis fait jouir en pensant à la façon dont mon petit ami venait de posséder sa tante. La noble et discrète Mme Green était une salope pour mon petit ami. J'ai joui à nouveau.
Ce n'est que lorsque ma mère a frappé à la porte et annoncé le dîner que j'ai enfin arrêté de me masturber. J'espérais qu'elle ne m'avait pas entendu. J'essayais d'être silencieuse.
Je me suis habillé, j'ai fait le ménage et je suis descendue dîner. Comme c'était étrange de faire la conversation avec ma sœur et mes parents après cette journée. Comment ne pouvaient-ils pas savoir que quelque chose de bouleversant s'était produit ? Et que j'avais... peut-être... aimé ça ? Les événements semblaient si énormes que tout le monde devait être au courant. Mais ils ont continué comme si c'était un jour comme les autres.
Après le dîner, je me suis excusée pour faire mes devoirs. J'ai jeté un coup d’œil à mon téléphone et j'ai vu que j'avais vingt-deux textos manqués de Christopher, et trois appels manqués. Eh bien, je n'étais pas sur le point de sortir de ce guêpier. Mais il y avait quelque chose qui devait être fait. Je suis allée sur internet et j'ai fait quelques recherches.
Il s'avère qu'un petit pourcentage d'hommes ont des relations sexuelles avec des femmes de leur famille. Il y avait même un site en ligne appelé Le Guide, qui prétendait offrir des étapes "infaillibles" pour les séduire. Bon sang. J'ai lu un peu, et j'étais à nouveau trempée. Ma main a glissé entre mes jambes. Je me suis masturbée en lisant Le Guide, me demandant si c'était ainsi que Christopher avait séduit sa tante.
Cette lecture m'a coûté quelques heures et quatre autres orgasmes. J'avais besoin d'une douche froide. Mais une fois sous l'eau, mon esprit enfiévré a voulu revenir à ce que j'avais vu. La façon dont Mme Green avait frotté le sperme sur ses seins. Et l'expression d'adoration sur son visage quand Christopher l'a arrosée. C'était trop. J'ai frotté mon clito jusqu'à un autre orgasme massif.
Épuisé lorsque j'ai quitté la douche, j'ai suivi mon rituel nocturne en pilote automatique. J'ai essayé de penser à autre chose qu'au sexe. Quand ma tête a touché l'oreiller, j'ai brièvement espéré que la journée avait été un rêve. Peut-être que je me réveillerais demain et que tout serait normal. Puis le sommeil m'a pris. Vous pouvez probablement deviner de quoi parlaient mes rêves.


À suivre...