Histoire de Claire (chapitre 13) - histoire érotique

J’attends dans ma chambre. L’homme ne devrait pas tarder.

Ma porte s’ouvre d’un coup. Personne n’a frappé.
Surprise, je découvre Olivia sur le seuil.

- Qu’est-ce que… mais…

Je ne trouve rien de mieux à dire.
- Ça te surprend ma chérie ? Tu ne t’attendais pas à me voir ?
- Non. Mais c’est toujours un plaisir maitresse Olivia.
- Cesse de mentir. Il y a longtemps que nous savons l’une et l’autre que nous ne serons jamais amies.

Elle a raison et je ne peux que baisser les yeux devant elle ; comme souvent.

- Mais ne t’inquiète pas, ton client va venir. Il est déjà en bas avec Catherine. Il ne tardera pas. Simplement, il a demandé à ce que nous soyons deux.

Puis elle ajoute :

- Il a exigé que l’une de nous soit entièrement rasée et l’autre plutôt poilue. J’ai préféré te laisser jouer le rôle de la guenon.

Elle me fixe du regard d’un air moqueur. Je garde la tête baissée.
On frappe à la porte.

Olivia se lève et ouvre. Un homme de taille moyenne, en costard cravate avec un embonpoint certain nous fait face.
Il est chauve, probablement dans la quarantaine. Il porte des lunettes rondes qui dissimulent de petits yeux brun clair.
Il fait un pas en avant sans attendre notre permission, ôte sa veste et la jette sur mon lit.
- Bienvenue Monsieur, dit Olivia.
- Merci Madame. A qui ai-je l’honneur ?
- Je m’appelle Olivia et elle, c’est… Claire, dit-elle avec dédain.
- Très bien mes chères. J’ai entendu parler de votre établissement dans les meilleures sphères. J’espère que vous serez à la hauteur de mes attentes.
- Oui Monsieur, répondons-nous toutes les deux.
Il s’assied sur mon lit.
- Parfait ! Commencez ! Déshabillez-vous lentement.

Nous nous exécutons au même rythme. Olivia s’est parfumée avec une huile qui rend sa peau magnifique. Elle est totalement nue et rasée, le sourire aux lèvres.
J’ai honte car à l’exception de mes jambes, je suis de nature plutôt poilue et une touffe dépasse de mon string. Je serre mes bras contre moi et fais de même avec mes fesses car là aussi quelques poils apparaissent.

- Claire ! Enlevez votre string, voulez-vous ? Et venez près de moi.

Cette formulation et le ton doux qu’emploie cet homme ne suppose malgré tout aucun refus.
Lorsque j’approche de lui, Il met la main sur mon sexe et commence à toucher mes poils. Il la passe ensuite sous mes bras puis sur mon anus et toujours il s’amuse avec mes poils. Puis il s’arrête pour sentir sa main puis me demande d’approcher encore pour qu’il puisse me renifler directement.
Il introduit son nez dans ma touffe et prend une grande inspiration avant de faire de même en me demandant d’écarter les fesses.

Il demande ensuite à Olivia de s’approcher à son tour et effectue la même démarche.

- Vous êtes de délicieux papillons Mesdames, dit-il avant d’enchaîner :
- J’aimerais maintenant que vous enleviez mon pantalon et que vous suciez mon pénis, voulez-vous ?
- Oh oui ! Répondons-nous en cœur.

Nous nous retrouvons à quatre pattes devant cet homme assis sur mon lit. Son sexe en érection n’est pas circoncis. Lorsque je le découvre, une forte odeur de sexe mal lavé me surprend.
Il sourit avant d’ajouter :
- Je ne me lave jamais avant cet exercice. Ce serait dommage que vous ne puissiez profiter de mon odeur vous aussi, n’est-ce pas ma petite ?
Un peu dégoutée, je me force à sourire.
- Vous avez raison, Monsieur, j’en profite.
Je prends son sexe en bouche et m’applique à bien le sucer pour en enlever l’odeur puis je le passe à Olivia et la regarde faire d’un œil tout en regardant cet homme qui ne semble pas apprécier nos coups de langue plus que ça.
- Olivia ! Veuillez arrêter je vous prie. Claire, venez vous coucher sur votre lit, sur le dos.
Je m’installe et ce type se couche sur moi. Il va me pénétrer, c’est certain.
- Olivia ! Venez vous accroupir sur le visage de notre belle amie et frottez votre sexe dessus, laissez-vous lécher aussi.
Sur cette phrase, je sens son sexe s’introduire en moi. Il pousse un petit gémissement de plaisir. Je n’ai pas le temps de voir son visage car la chatte nue d’Olivia se pose brutalement sur ma bouche. Elle appuie de tout son poids et se frotte sur mon visage comme il lui a été demandé.
J’introduis ma langue dans son sexe et chatouille son clitoris avec mes lèvres.
L’homme n’en perd pas une miette. Il doit savourer ce spectacle tout en me sautant.
Il finit quand même par se retirer.
- Je vais faire une pause Mesdames, puis vous inverserez vos rôles.
Il s’allume une clope sans nous en proposer. Il nous regarde sans gêne, en nous recrachant la fumée au visage.
Nous ne savons ni l’une ni l’autre que dire. Nous sommes intimidées par cet homme sûr de lui, aux paroles polies mais aux manières discourtoises.
- Il n’y a pas de cendrier ici, constate-t-il. Je suis déçu. Ouvrez la bouche Claire.
- Que je…
Son regard m’empêche de continuer ma phrase. J’ouvre la bouche timidement.
Il met sa cigarette au-dessus et tapote sa cendre qui tombe sur ma langue.
Il me regarde, impassible, et répète le processus autant de fois que nécessaire. Puis, il l’éteint contre le bord du lit et la jette par terre.

Nous nous retrouvons dans la même position qu’auparavant avec nos rôles inversés. C’est la première fois qu’Olivia me lèche la chatte. Je me demande comment elle le prendra.
Ça ne dure pas longtemps.
- C’est bon, j’ai choisi, dit-il soudainement en se relevant.
Nous nous asseyons sur le bord de mon lit et attendons qu’il reprenne la parole.
- Claire ! Vous allez vous mettre à quatre pattes devant moi et vous Olivia vous installerez entres ses jambes.

Olivia à l’air fâchée par cette idée mais nous obéissons néanmoins. Elle aperçoit le petit sourire narquois que je lui jette et ses yeux me lancent des éclairs de fureur.

Le type commence alors à me pénétrer sauvagement et je dois avouer que je prends mon pied. Il sait y faire et je ne veux pas qu’il s’interrompe ; même si les pauses qu’il m’impose pour mettre son sexe dans la bouche d’Olivia m’excitent de plus belle.
Après une énième pause, il décide de passer entre mes fesses et je crie de plaisir en sentant son membre dur s’enfoncer loin en moi.
Je ne résiste que quelques secondes avant de jouir et je l’entends en même temps pousser un grognement qui me confirme qu’il est en train d’éjaculer en même temps.
Il reste encore un instant profondément installé en moi, affalé sur mon dos, avant de se retirer.
Je veux alors me relever, imitée par une Olivia empressée de se dégager de cette position humiliante.
- Non mes chères ! Restez comme vous êtes. Claire, redressez-vous et écartez bien les fesses. Olivia, ouvrez la bouche et approchez de l’anus de Claire. Plus près. Encore. C’est bien, vous êtes une brave fille.
Il sort son portable et ajoute en commençant une série de clichés :
- Poussez Claire !
Malgré ma rancœur envers Olivia, je me sens gênée pour elle. Quelle humiliation !
En même temps, cet homme a réussi à me faire jouir et je ressens une intense satisfaction à coller mes fesses sur le visage d’Olivia. Elle va payer tous les réveils qu’elle m’impose.

Je sens le sperme de cet homme descendre dans mon rectum puis, d’un coup violent, je l’expulse. Il s’éclabousse sur le visage d’Olivia qui en a un haut le cœur.
- Léchez Olivia ! Il en reste quelques gouttes. Ne gaspillez pas, s’énerve l’homme alors qu’Olivia essaie de se retirer.
Je sens alors sa langue passer sur mon anus poilu pour en ramasser les derniers reliefs de la jouissance de cet homme et de mes sécrétions corporelles.
Lorsque l’homme nous autorise à nous retirer, Olivia se précipite aux toilettes et je l’entends s’étrangler. Je crois qu’elle vomit.

Le type se rhabille en riant. Il a l’air satisfait.
Je me couche satisfaite moi aussi. Je devine pourtant qu’Olivia n’en restera pas là. Elle voudra me faire payer cette humiliation.