Histoire de sexe sans titre.
Récit érotique écrit par Philippe chaumont [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Histoire de sexe sans titre.
Pensionnaire au collège Sainte barbe, un exeat me permettait de sortir le Jeudi après
midi. ( c’ était à cette époque, le jour des élèves)
Cet après-midi de fin de printemps, je descendais la rue Valette et allais sans but me
balader dans Paris, je flânais, regardais les boutiques, les affiches des cinémas,
j’humais l’air de ma liberté. j’errais sans but, je traversais la seine, remontais
sebastopol, me retrouvais Gare du Nord. Je décidais de poursuivre ma pérégrination en
métro.
descendant les marches de la station, au niveau des correspondances et de l’accès au
quai j’arrive devant les toilettes publiques, une petite envie m’y pousse. je
m’installe aux urinoirs, baisse le zip de mon short, le type d’à coté me donne un
petit coup de coude, et recule exhibant à mes yeux un sexe raide, j’éprouve un mélange
de honte de peur mais aussi de trouble, je fixe son sexe qu’il caresse doucement, et
je ne peux m’empêcher de bander, il le voit, glisse sa main et prend mon sexe,
j’éprouve une terrible excitation, il baisse son pantalon et son caleçon en me
demandant d’ ôter mon short mon tee-shirt et mon slip, j’accroche mes effets a la
paterne, je suis nu, je regarde son sexe, je suis fasciné, il me dit: tu as déjà sucé
un homme? pour faire le malin je dis oui, il m’attire contre lui, m’embrasse introduit
sa langue dans ma bouche tandis que ses mains caressent mon dos mes fesses il plaque
son sexe contre mon ventre, il bande très fort, moi aussi, puis il glisse sa main
entre mes jambes caressant mon sexe et mes couilles je suis au bord de la jouissance,
je lui demande si je peux embrasser.
Quand il part en giclées onctueuses et épaisses, j’avale avec gourmandise, il sort de
ma bouche , je me redresse, il me retourne se plaque contre mon dos, il me masturbe je
sens son sexe contre mes fesses dans la raie, sous sa caresse je parts libérant de
longs jets de foutre qui maculent le mur, il remonte son caleçon et son pantalon, je
me rhabille, avant d’ouvrir la porte, il me donne un baiser en me disant que j’étais
très doué et qu’il espérait me revoir, nous sortons, la dame pipi sourit quand je
passe devant elle, mon amant est parti, je marche dans le couloir, je sens sur mon
épaule une petite tape, un homme mur me dit : allez viens...
je le suis, nous sortons du métro tout en marchant il me dit: tu aimerais pas qu’on
fasse l’amour tous les deux tranquillement? j’ ai un ami qui a un hôtel a deux
pas,nous serons bien non? j’ acquiesce, nous marchons et nous retrouvons a Barbès, nos
pas s’arrêtent devant un hôtel devant lequel stationne une file d’hommes et dont le
hall est occupé par des dames vêtues de manière extravagante; une pancarte porte
l’inscription :la femme dix euros, nous entrons, un “réceptionniste” lance un
“bonjour Monsieur Jean” il me tend une serviette de toilette et me lance chambre 20,
il ajoute “Monsieur Pierre vous verra tout à l ‘ heure.
Monsieur Jean me pousse
Chambre 20 j’ouvre la porte, un grand lit à coté duquel est fixé une grande glace,plus
loin un bidet et un lavabo, Monsieur Jean m’enlace m’embrasse prend ma bouche,
m’ordonne de lui défaire ceinture et pantalon et d’ ôter son caleçon, sa queue raide
est tendue,
offerte, cette vison me trouble m’excite je bande comme un damné, il m’ordonne de me
déshabiller, j’obtempère d’autant plus vite que, délice, son doigt branle mon cul, il
me dit: “tu aimes chéri,” sa queue dans ma bouche m’empêche de répondre clairement ,
mais j’ émets un oui caverneux, il m’introduit un second doigt et les fait tourner
dans mon trou d’amour , avant de leur faire effectuer des va et vient d’abord lents
puis rapides, brutalement il retire son sexe de ma bouche, “ j’allais juter chéri et
c’est pas là que je veux le faire , il me relève du bidet m’essuie et me conduit vers
le lit “allonges toi sur le dos” je m allonge, il s’allonge sur moi, “mets tes jambes
sur mes épaules” dans cette position il a une vue de mon cul et de ma queue qui
l'excite a fond, décuplant mon excitation.... "tiens moi" me dis Mr Jean sans cesser
ses mouvements, je le prends par la taille, le serre, il me dit viens chéri viens je
vais jouir.... je sens en moi les giclées puissantes de sa jouissance,pratiquement en
même temps je jute sur son ventre et le mien. Nous restons un moment silencieux
enlacés, je sens son sexe qui débande et sort de moi. "Viens me laver chéri" me dit -
il en se levant et en allant vers le lavabo, je le suis, ouvre le robinet savonne mes
mains avant de laver son sexe; " c'est bien chéri c'est comme ça que font les putains
avant et après. Maintenant va te laver sur le bidet.
Pendant que je procède a mes ablutions, la porte s'ouvre un homme d'une soixantaine
d'année entre, "salut Jean" "salut Pierre" Mr Pierre me regarde
en souriant," joli très joli" murmure-t-il," et en plus très porté sexe" ajoute Mr
Jean, "combien de fois as tu joui aujourd'hui" me demande Mr Pierre, "deux fois" je
réponds, " à ton âge c'est rien, tu aimerais rester un peu avec moi? je regarde
monsieur Jean qui me dit "chéri je dois partir mais tu peux rester avec Pierre, en
confiance" là dessus il m'embrasse
et me pousse vers Mr Pierre, qui me prend par l'épaule et me pousse vers le couloir je
fais un pas en arrière pour prendre mes affaires, "t'inquiète pas tu les récupéreras
tout à l'heure, ça ne risque rien cet hôtel m'appartient" nous traversons le couloir
moi nu, Mr Pierre en costume cravate, croisant quelques clients et putes, pour arriver
enfin devant une porte sur laquelle est marque PRIVE en gros.Monsieur Pierre me fait
entrer
après un hall, un salon
"mets toi sur la banquette"....
la suite? à une prochaine fois si vous aimez.
midi. ( c’ était à cette époque, le jour des élèves)
Cet après-midi de fin de printemps, je descendais la rue Valette et allais sans but me
balader dans Paris, je flânais, regardais les boutiques, les affiches des cinémas,
j’humais l’air de ma liberté. j’errais sans but, je traversais la seine, remontais
sebastopol, me retrouvais Gare du Nord. Je décidais de poursuivre ma pérégrination en
métro.
descendant les marches de la station, au niveau des correspondances et de l’accès au
quai j’arrive devant les toilettes publiques, une petite envie m’y pousse. je
m’installe aux urinoirs, baisse le zip de mon short, le type d’à coté me donne un
petit coup de coude, et recule exhibant à mes yeux un sexe raide, j’éprouve un mélange
de honte de peur mais aussi de trouble, je fixe son sexe qu’il caresse doucement, et
je ne peux m’empêcher de bander, il le voit, glisse sa main et prend mon sexe,
j’éprouve une terrible excitation, il baisse son pantalon et son caleçon en me
demandant d’ ôter mon short mon tee-shirt et mon slip, j’accroche mes effets a la
paterne, je suis nu, je regarde son sexe, je suis fasciné, il me dit: tu as déjà sucé
un homme? pour faire le malin je dis oui, il m’attire contre lui, m’embrasse introduit
sa langue dans ma bouche tandis que ses mains caressent mon dos mes fesses il plaque
son sexe contre mon ventre, il bande très fort, moi aussi, puis il glisse sa main
entre mes jambes caressant mon sexe et mes couilles je suis au bord de la jouissance,
je lui demande si je peux embrasser.
Quand il part en giclées onctueuses et épaisses, j’avale avec gourmandise, il sort de
ma bouche , je me redresse, il me retourne se plaque contre mon dos, il me masturbe je
sens son sexe contre mes fesses dans la raie, sous sa caresse je parts libérant de
longs jets de foutre qui maculent le mur, il remonte son caleçon et son pantalon, je
me rhabille, avant d’ouvrir la porte, il me donne un baiser en me disant que j’étais
très doué et qu’il espérait me revoir, nous sortons, la dame pipi sourit quand je
passe devant elle, mon amant est parti, je marche dans le couloir, je sens sur mon
épaule une petite tape, un homme mur me dit : allez viens...
je le suis, nous sortons du métro tout en marchant il me dit: tu aimerais pas qu’on
fasse l’amour tous les deux tranquillement? j’ ai un ami qui a un hôtel a deux
pas,nous serons bien non? j’ acquiesce, nous marchons et nous retrouvons a Barbès, nos
pas s’arrêtent devant un hôtel devant lequel stationne une file d’hommes et dont le
hall est occupé par des dames vêtues de manière extravagante; une pancarte porte
l’inscription :la femme dix euros, nous entrons, un “réceptionniste” lance un
“bonjour Monsieur Jean” il me tend une serviette de toilette et me lance chambre 20,
il ajoute “Monsieur Pierre vous verra tout à l ‘ heure.
Monsieur Jean me pousse
Chambre 20 j’ouvre la porte, un grand lit à coté duquel est fixé une grande glace,plus
loin un bidet et un lavabo, Monsieur Jean m’enlace m’embrasse prend ma bouche,
m’ordonne de lui défaire ceinture et pantalon et d’ ôter son caleçon, sa queue raide
est tendue,
offerte, cette vison me trouble m’excite je bande comme un damné, il m’ordonne de me
déshabiller, j’obtempère d’autant plus vite que, délice, son doigt branle mon cul, il
me dit: “tu aimes chéri,” sa queue dans ma bouche m’empêche de répondre clairement ,
mais j’ émets un oui caverneux, il m’introduit un second doigt et les fait tourner
dans mon trou d’amour , avant de leur faire effectuer des va et vient d’abord lents
puis rapides, brutalement il retire son sexe de ma bouche, “ j’allais juter chéri et
c’est pas là que je veux le faire , il me relève du bidet m’essuie et me conduit vers
le lit “allonges toi sur le dos” je m allonge, il s’allonge sur moi, “mets tes jambes
sur mes épaules” dans cette position il a une vue de mon cul et de ma queue qui
l'excite a fond, décuplant mon excitation.... "tiens moi" me dis Mr Jean sans cesser
ses mouvements, je le prends par la taille, le serre, il me dit viens chéri viens je
vais jouir.... je sens en moi les giclées puissantes de sa jouissance,pratiquement en
même temps je jute sur son ventre et le mien. Nous restons un moment silencieux
enlacés, je sens son sexe qui débande et sort de moi. "Viens me laver chéri" me dit -
il en se levant et en allant vers le lavabo, je le suis, ouvre le robinet savonne mes
mains avant de laver son sexe; " c'est bien chéri c'est comme ça que font les putains
avant et après. Maintenant va te laver sur le bidet.
Pendant que je procède a mes ablutions, la porte s'ouvre un homme d'une soixantaine
d'année entre, "salut Jean" "salut Pierre" Mr Pierre me regarde
en souriant," joli très joli" murmure-t-il," et en plus très porté sexe" ajoute Mr
Jean, "combien de fois as tu joui aujourd'hui" me demande Mr Pierre, "deux fois" je
réponds, " à ton âge c'est rien, tu aimerais rester un peu avec moi? je regarde
monsieur Jean qui me dit "chéri je dois partir mais tu peux rester avec Pierre, en
confiance" là dessus il m'embrasse
et me pousse vers Mr Pierre, qui me prend par l'épaule et me pousse vers le couloir je
fais un pas en arrière pour prendre mes affaires, "t'inquiète pas tu les récupéreras
tout à l'heure, ça ne risque rien cet hôtel m'appartient" nous traversons le couloir
moi nu, Mr Pierre en costume cravate, croisant quelques clients et putes, pour arriver
enfin devant une porte sur laquelle est marque PRIVE en gros.Monsieur Pierre me fait
entrer
après un hall, un salon
"mets toi sur la banquette"....
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