Le petit bar - histoire érotique

J’étais en première au collège Sainte Barbe, pensionnaire, j’avais le droit de sortie le Jeudi.
Ce jeudi là je me promenais boulevard de Clichy, il faisait beau j’étais, comme à l’ordinaire toujours à l’affût de ce qui pourrait titiller mes sens, et me dirigeais vers Barbès où je savais un urinoir fréquenté par des hommes virils, que ma bouche aurait plaisir à soulager.
J’avais découvert ces endroits de plaisir peu après mon initiation par un homme mur, rue du commerce, trois ans auparavant. Je les fréquentais assidûment depuis, autant que je le pouvais. J’avais mes préférées, celles de la Gare du Nord , du Boulevard de Clichy, de Barbès et celle de la rue froidevaux. J’aimais y passer des heures à sucer, caresser ces sexes qui se dressaient pour moi. Parfois certains me proposaient de venir chez eux, désireux de me prendre en toute discrétion, et tranquillité.

Je me dirigeais vers Barbès, lorsque je fus abordé par un maghrébin qui me proposât des photos pornographiques. C’était à l’époque chose interdite.
“Je peux les voir?”
“Oui, mais je les ai pas sur moi, à cause la police, suis moi”
Je le suis, nous nous engageons dans une petite rue, nous entrons dans un bar, l’intérieur est sombre, peu de monde. Assis au fond sur une banquette de moleskine rouge, un autre maghrébin, plus âgé, se tient devant un thé. mon “abordeur” lui parle en arabe, il m’invite à m’asseoir à coté du “chef” et se retire.

“Alors tu veux voir des photos pornos?”
“Oui Monsieur”, lui répondis-je laconiquement.
Il extirpe de sa veste un petit livret qu’il pose sur la table entre nous deux.
Il en sort une première photo en noir et blanc, qu’il me montre, je vois un homme nu un très gros sexe raide, à genoux devant lui une femme
nue qui le regarde. je suis fasciné par le membre extraordinaire de l’homme. Il sort une deuxième photos. Là le même homme, la même femme, elle a pris en bouche le sexe tendu, j’imagine être à la place de la fille...

Ces images m ’émeuvent, et je ne tarde pas à bander; je jette sournoisement un regard sur la braguette de mon voisin et constate qu’elle est déformée par une énorme protubérance: lui aussi bande!

il s’aperçoit que mon regard est fixé sur la bosse due à sa verge dressée, il montre une autre photo, tout en défaisant de sa main libre la braguette de son pantalon, il extirpe son sexe mat , le gland violet épais, la hampe veinée et lentement se masturbe, son sexe d’une belle longueur m’excite terriblement.
Je suis dominé par mes sens, j’ai une envie folle de le sucer, sans même le lui demander, je me penche sous la table et prend dans ma bouche sa queue raide , j’absorbe le gland , avale le plus possible de cette bite épaisse, et de ma main m’empare de la partie que je ne peux avaler pour la branler en même temps que je le suce. Il semble apprécier et murmure “tu es drôlement vicieux pour ton âge....”

Avec ardeur je le suce, m’arrêtant parfois pour parcourir l’espace avec le bout de ma langue , de la base de sa hampe à l’extrémité de son gland, déjà il libère quelques gouttes de liquide séminale qui me régale .

Il me demande d’ ôter mon pantalon et mon boxer, mi allongé sur la banquette de moleskine, je n’ai aucune difficulté pour les baisser . Il insiste pour que je les enlève, pour que je me mette entièrement nu!.
J’ai quelque appréhension, à me trouver “cul nu” dans un bar ou je peux être surpris à tout moment, mais je ne réfléchis pas davantage tant je suis excité par son sexe, tout en continuant à le sucer, je me défaits de tous mes vêtements.

Nu comme un vers enivré par son sexe qui va et vient dans ma bouche je ne pense à rien d’autre qu’au plaisir. sa main caresse mes fesses, ses caresses sont d’une grande douceur il ajoute “tu as un cul à gagner de l’or” Ses caresses cessent, il introduit directement deux doigts , qu’il a au préalable humectés de sa salive , dans mon anus et les fait aller et venir brutalement en moi, ce qui a pour effet de décupler mon excitation. il s’étonne “dis donc tu as le cul drôlement ouvert pour ton âge! tu te fais enculer depuis longtemps?”
Je ne lui réponds pas, cela m’est personnel, même si je m’amuse à en tenir comptabilité.

Son gland dans ma bouche va et vient, il accélère le rythme, il donne à ses doigts qui branlent mon trou à bites le même tempo. ma queue est très tendue aucune main ne la touche, pourtant mon gland est trempé, je suis au bord de la jouissance.
Je ne sais pas son nom, pour moi il n’est qu’une bite dont je me régale, rien qu’un sexe, je n’ai aucun sentiment, que du désir qu’une envie de queue, une envie de jouir.

Quand je suis en chasse, seule la bite compte, qu’elle soit de belle taille et épaisse, le reste m’indiffère, ils peuvent être petits, gros, vieux, blancs, jaunes, noirs, pourvu que leurs sexes soient gros et grands et qu’ils m’emplissent de leurs liqueurs épaisses et onctueuses que j’avale avec gourmandise et dont j’ai l’impression qu’elles me donnent une pêche d’enfer.

Mon amant qui est fasciné par mes fesses me demande :
“ tu veux que je te baise?”
Naturellement je ne rêve que de cela, avoir son beau sexe entre mes fesses, le sentir aller et venir en moi, jusqu’à ce qu’il jaillisse et m’emplisse de son sperme abondant et chaud.
Je murmure un timide “Oh oui”
Il interpelle l’homme du bar “dis on va derrière ok?”
“ok pas de problème, amusez vous bien”
Il celui dont j’ignore le nom , ce qui n’a pas d’importance pour moi il est “bite” point final se lève et me dit de le suivre, je prends mes vêtements à la main et nu me lève et le suit. Je sens sur moi les regards de ceux du bar, j’éprouve un mélange de honte et de plaisir à cela.
En fait si je sais que mes sens me dominent, je suis honteux que les autres le sachent.

“Il” pousse un rideau qui fait office de porte, nous pénétrons dans une petite pièce, au sol un matelas posé à même sans drap, très taché, une chaise, et au mur une glace où l’on se voit en pieds.
“il” prend mes effets les jette sur le matelas, tire la chaise devant la glace
s’installe dessus;
“viens t’asseoir sur mes genoux”
il me prend par la taille, je fais face à la glace, je vois mon corps, mon sexe tendu, je descends doucement sur lui, il écarte mes fesses, crache sur mon orifice et me fait m’empaler sur son pieu raide et ferme qui coulisse sans difficulté
“t’as le cul ouvert comme une pute, on dirait que t’as toujours fait ça!”
il me tient fermement par la taille, je monte et descend sur sa queue je donne la cadence, dans la glace je vois mon image, ma queue en l’air et sa queue qui monte et descend en moi.
Il ne me caresse pas, il me tient juste par la taille, lui aussi regarde dans la glace l’image de notre accouplement; ses mais remontent sur ma poitrine il me pince les seins, de temps en temps il me repousse vers l’avant pour voir sa queue dans mes fesses.
“t’as un cul de gonzesse, doux et mou, fait pour la bite... allez dis le moi, tu t’es fait baiser beaucoup?”
“tu veux vraiment savoir?”
“oh oui dis moi”
“la première fois c’était il y a trois ans aujourd’hui c’est la trois cent soixante dix neuvième bite qui me prend!”
“oh salope...t’en as déjà pris combien à la suite?”
“ le plus c’est cinq”
“c’était où? “
“dans lune cabine des wc de la gare du Nord”
je ne sais pas si c’est l’image qu’il se fait dans sa tête à ce moment là, mais il part en moi, lâchant de longs et onctueux jets à mon tour et au même instant je jouis tout mon sperme macule la glace.