Ma femme enceinte et le représentant

- Par l'auteur HDS Philippe chaumont -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme enceinte et le représentant Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Ma femme enceinte et le représentant
Au début de sa grossesse Ginou eut une libido en berne. Les nausées, la fatigue
tuaient tout désir, à peine au lit que déjà elle somnolait.
Ginou d'habitude si gourmande, si demandeuse, si inventive était devenue apathique du
sexe, fermée à la notion d'envie comme de plaisir.

Quatre mois viennent de se passer. ses seins se sont gonflés, son ventre s'est
arrondi. Elle se fait "chatte" devant moi, murmurant à mon oreille son envie d'être
prise, pétrissant ses seins lourds, glissant entre ses cuisses sa main pour se
masturber, et me faire entendre le bruit de sa vulve rendue humide par l'habile
caresse de ses doigts, cherchant à se saisir de mon sexe, s'évertuant à éveiller mon
désir, en vain.
Hélas c'est à mon tour de faire un blocage, je ne m'explique pas pourquoi je ne bande
pas, pourquoi son corps m'impose davantage de respect que de désir, j'ai plein d'amour
pour Ginou, mais suis incapable de le lui prouver, et de satisfaire son appétit.

Les semaines passent, elle s'arrondit davantage, et moi je suis toujours incapable
d'érection, Ginou essaie de me provoquer en prenant des attitudes lascives, des
positions coquines, elle se masturbe, jouant avec son godemichet, proférant des mots
crus....
Elle en arrive à penser et à dire que je ne peux pas rester comme ça, sans rapport
sexuel depuis si longtemps, et se convainc que j'ai une maîtresse.
J'ai beau lui jurer qu'il n'en est rien, le doute s'est installé en elle. Elle n'en
continue pas moins, dès que je suis là, à essayer d' attiser mes sens et à se faire
jouir, parfois plusieurs fois dans la journée.

Ce soir sonne à notre porte le représentant d'une maison d'édition de livres rares (
et chers) . Il se présente "Jean Vallérargues" , il a la soixantaine passée,
les cheveux blancs, un regard bleu acier, de grande taille et de belle prestance. Nous
nous installons dans le salon, il nous présente différents ouvrages,
illustrés , des rééditions d'Auteurs passés dans le domaine publique. Il s'avère très
sympathique et intéressant, il a eu tôt fait de briser la glace, de nous faire rire
Ginou et moi.
Je choisis un ouvrage de Pierre Louÿs, les chansons pour Billitis, la commande passée,
Ginou propose à Mr Vallérargues de prendre une coupe avec nous.
Ginou revient avec le champagne et les flûtes qu'elle dispose sur la table basse,
m'invitant à faire le service.
Elle s'assied sur le divan à coté de lui, je reste assis sur le fauteuil face à eux.
La conversation tourne un bon moment sur la région, ses richesses, ses spécialités,
puis, il s'enquiert de l'état de Ginou, et péremptoire affirme qu'une femme enceinte
est la plus belle chose au monde... Mon épouse ne perd pas l'occasion de se plaindre
de ce qu'apparemment ce n'est pas mon avis, que depuis des mois je la néglige, que je
ne la touche plus, que je ne la désire plus!
Quel dommage, quel gâchis! s'écrit Monsieur Vallérargues, comment ne pas être
sensible à une belle femme comme vous...
Se tournant vers moi: "ce n'est pas bien Monsieur Chaumont de négliger Madame, si je
peux me permettre".
Je n'ai pas envie que l'on entre dans les méandres de ma psychologie, je me contente
d'opiner du chef, et d'ajouter "j'en suis conscient".
Il demande alors à Ginou si elle l'autorise à toucher son ventre rond, il n'a jamais
eu d'enfant, et ignore tout de cette sensation.
je vois l'oeil de ma femme devenir tout brillant, en même temps qu'elle acquiesce à la
demande. Pour permettre la chose Ginou baisse son pantalon et remonte son chemisier
afin de dégager son ventre, aussitôt Mr vallérargues pose sa main sur le ventre et le
caresse effectuant dessus des mouvements de rotation.
"Comme votre peau est douce et tiède, comme c'est bon... Puis-je me permettre de
l'embrasser?".
Ma femme accepte. Elle me fixe dans les yeux d'un air narquois, tandis que la bouche
de l'homme se pose sur le ventre lui faisant de multiples petits baisers, dont je
perçois bien qu'ils émeuvent mon épouse.
De sa main l'homme fait glisser davantage encore le pantalon, et la culotte de Ginou ,
qui non seulement le laisse faire, mais l'aide en soulevant le bassin afin de
faciliter la tâche. Il découvre la vulve da ma femme, baissant culotte et pantalon aux
chevilles, Ginou finit de s'en débarrasser s'aidant de ses pieds.
Il continue à bisouiller son ventre tendu, mon épouse écarte les cuisses offrant à mon
regard sa chatte gonflée. Ses poils bruns et frisés luisent de sa cyprine, preuve de
son intense excitation.
Mr Valléragues demande à ma femme si ses seins lui font mal. Elle répond par
l'affirmative, assurant que les caresses apaisent ses douleurs. Après un "permettez-
moi" qui n'attend pas de réponse, il déboutonne le chemisier, qu'il lui fait ôter, et
dégrafe le soutien gorge, libérant deux seins énormes et lourds passés du 95C au 110D
en quelques mois. Il les caresse doucement. J'en vois les bouts se durcir sous les
doigts du représentant.
"Cela vous fait-il du bien?".
"Oh oui,vos caresses sont terriblement troublantes" répond Ginou tout en gémissant
doucement. Elle glisse sa main entre ses cuisses et commence à se caresser. Le bruit
humide de son désir est très audible. J'éprouve pour la première fois depuis des mois
un grand trouble à voir ma femme avec à ses côtés un autre homme, je bande.
Mr Vallérargues demande à Ginou de lui présenter sa chatte, d'ôter sa main et de bien
écarter ses cuisses. Elle obtempère, offrant à nos regards sa vulve gonflée et
proéminente, sa liqueur qui coule de son puits d'amour.
"Me permettez-vous de vous goûter?".
Sans demander mon assentiment, ma tendre moitié murmure un oui. Il s'agenouille entre
ses cuisses et de sa langue s'immisce entre ses lèvres gonflées à la recherche de son
clitoris épais et sensible. Ginou gémit aussitôt, saisie d'une immense excitation.
Elle se masse les seins en même temps. Sous l'habileté de la langue de son amant, elle
ne tarde pas à crier qu'elle va jouir. Elle plaque la tête du représentant contre sa
vulve, la bloquant le temps de sa jouissance qu'elle exprime fortement.
Elle libère enfin Monsieur Vallérargues qui se réinstalle sur le divan le visage
trempé de cyprine. Ginou en manque d'homme depuis tant de mois n'est pas repue. Elle
défait le pantalon de son amant libérant une queue raide, épaisse et longue dont le
gland est humide. Elle s'en empare doucement, le branlant.
Monsieur Vallérargues lui demande si le fait qu'il pourrait être son père ne la gêne
pas. "Non, j'aime les hommes mûrs" sussure-t-elle en se penchant pour prendre en
bouche la fière bite tendue. Tandis qu'elle le suce, Mr Vallérargues lui demande
"voulez-vous que je vous baise?".
Ginou, privée depuis tant de temps, émet un "oui" qui ne laisse planer aucune
équivoque.
"J'aimerai le faire dans le lit conjugal et devant votre époux". Tous deux me jettent
un regard attendant mon assentiment. Je cligne des paupières pour signifier mon
acquiescement. Ginou se lève du divan, elle est entièrement nue, pour la première fois
ses seins gonflés, son ventre rond et tendu éveillent en moi un désir. Mr Vallérargues
demande à Ginou de le conduire à notre chambre en le tenant par le sexe.
Mon épouse marche devant tenant dans sa main le sexe long épais et tendu, conduisant
son amant dans notre chambre. Je les suis.
"Déshabille-moi" ordonne Mr Vallérargues. Ginou déboutonne la chemise tandis qu'il lui
caresse les seins. Elle déboucle la ceinture, ouvre le pantalon qu'elle
fait glisser et enlève. Elle baisse et retire le shorty. Ainsi nu, il lui demande de
s'agenouiller devant lui et de prendre en bouche son sexe turgescent.
Ma femme suce un long moment cette verge, qui l'oblige à ouvrir au maximum sa bouche
tant elle est épaisse, et raide. Je suis étonné qu'un homme ayant passé la soixantaine
ait une telle rigidité.
Il va et vient dans sa bouche, sortant son sexe pour le renfoncer aussitôt le plus
profondément possible. Il me demande de venir vérifier l'état de la vulve de mon
épouse. Je me baisse, passe ma main entre ses jambes. "Alors?" demande-t-il. "Elle est
trempée" dis-je.
"Masturbez-la". Je branle mon épouse qui sous l'action de mes doigts inonde ses
cuisses de sa liqueur. Elle se met à se trémousser, à geindre et gémir.
Son amant retire sa verge de la bouche de mon aimée, s'allonge sur le lit et convie
Ginou à venir s'empaler sur lui, à le chevaucher face vers moi.
"Je veux que ton mari voit ma queue te baiser, en même temps qu'il voit ton visage
exprimer ta jouissance". Ginou s'assied sur le pieu viril. Bien qu'il soit très
épais, il glisse sans effort dans sa chatte dilatée et bien ouverte. "Dis donc, tu es
drôlement large, ton trou à bites a été rodé par des noirs?".
Ginou monte et descend sur le sexe qui la prend, sa liqueur d'amour coule sur la verge
raide. Mr Vallérargues me demande de venir embrasser la vulve de mon épouse, là où
leurs sexe sont unis. Je m'agenouille au bord du lit et lèche les sexes mêlés, jusqu'à
ce que les deux amants jouissent l'un par l'autre en même temps. Ils se séparent,
s'allongent l'un près de l'autre.
Ma femme est remplie du sperme de son baiseur, mêlé à sa propre jouissance. Je lui
demande si elle veut que je la lèche, et vais entre ses cuisses me repaître des fruits
de leur plaisir. Ginou re-jouit.
"Quelle gourmande!" remarque Monsieur Vallérargues.
"Voulez-vous rester dormir avec nous?" demande Ginou.
"Volontiers, si c'est avec vous. Vous dormirez au milieu de nous deux belle coquine".
Dans la nuit nous la prîmes plusieurs fois. Mr Vallérargues me demanda de faire
quelques photos de lui et mon épouse pour les publier sur son blog, cela excitait
Ginou de savoir qu'elle serait vue par beaucoup. Elle demandât juste que son visage
soit flouté.
Pour ma part j'étais guéri de mon blocage. Je remerciais Mr Vallérargues, qui nous
promit de revenir.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Et donc votre femme a été assez conne pour niquer sans capotes !!!! 🤦‍♀️
Pauvre France.



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