Histoires d'une infirmière (1)
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Histoires d'une infirmière (1)
Ceci est une histoire complètement fictive et en rien elle n'est inspirée de faits réels.
Les intrigues qui se nouent au sein du personnel hospitalier sont peu connues du public ... je vous propose de découvrir Fanny une infirmière de nuit dans quelques une de ces aventures. Elle à 24 ans, cheveux noir, 1.70m pour 67kg. De belles longues jambes et des seins de la taille de deux belles oranges. Son intimité est épilée et elle a l'habitude de ne jamais mettre de sous vêtements.
Un soir nous la retrouvons qui viens de prendre son service et elle est seule dans son service. C'est bientôt l'heure de donner les médicaments aux patients. Par chance ils ne sont pas nombreux et seul celui de la chambre 147 doit avoir un traitement après 22h00. C'est une chambre individuelle occupée par un jeune homme de 19 ans. Elle entre et il dort déjà comme un loir. Elle en profite pour souffler un peu en prenant son temps. Elle commence par le réveiller en douceur en augmentant la lumière progressivement. Le jeune ouvre les yeux et voit sa jeune infirmière assise dans le fauteuil à côté de son lit. Elle à les jambes croisée et sa longue blouse est remontée jusque sur ses cuisses. Fanny avait remarqué que le jeune homme reluquait ses jambes ainsi dénudées.
Oh ! Regardez-moi ce petit coquin ! Qu'est-ce que tu regarde comme ça ? Attends, j'arrive ...
Elle se lève et se penche sur le lit.
Tu sais, j'ai un faible pour les jeunes comme toi et je suis certaine que tu ne dois pas beaucoup t'amuser ici ?
Euh ... Non ... Enfin, qu'est-ce que vous faites ?
Fanny retirait le drap et glissa la main sur le bas ventre de son patient. Elle descendit en lui dégagea la bite et sans surprise, il était en érection.
Laisse-toi faire,je vais te soulager.
Mais ... je ...
Tu es tendu, n'est-ce pas ? C'est bien il faut toujours l'être dans cette situation.
C'est que je ... ooh, mmm ...
Elle venait de prendre sa queue en mains et le masturbait ? Elle sentait ce sexe vibre dans sa main et quand il fut au maximum de son développement elle changea de position.
Et maintenant passons au dessert ...
Elle ouvrit la bouche et y glissa son sexe. Rien de tel qu'un onctueux dessert pour terminer ce splendide repas.
Oooh, oooh ... Mademoiselle ... oooh ... c'est bon ... mmm ...
Elle glissait sa bouche le long de cette hampe et sa langue caressait son gland.
Aaaah ... c'est tout de même mieux que mes branlettes ... oooh ...
Laisse-toi aller, je veux ton lait dans ma bouche !
Il ne fallut que quelques minutes pour qu'il envoi s’écraser contre le palet de Fanny plusieurs jets de spermes qu'elle avala sans problèmes.
Et si maintenant on faisait une omelette bien baveuse ? Les ingrédients sont prêts, il ne te reste plus qu'à fouetter le liquide avec ta langue ...
Quoi ? Je ... ne comprends pas ...
Maintenant c'est à toi de jouer, mon poussin.
Elle monta sur le lit, chevaucha le jeune homme et s’assit offrant sa chatte à sa bouche.
Allez ! Vas-y ! Doucement ...
C'est qu'il était doué le poussin. Elle avait l'impression qu'une anguille frétillante s'était faufilée entre ses cuisses.
Oooh. Je perds la tête, vas-y, vas-y plus vite ... oooh ...
Elle n'imaginait pas qu'il avait de si bons coups de langue et lui de son côté avait la bouche inondée du liquide s'écoulant sa chatte. Également après quelques minutes, elle aussi jouis, mais elle retenu autant que possible ses cris pour ne pas alerter ses collègues.
Eh bien ! Nous sommes quittes maintenant, jeune homme !
Les patient de l'étage ont beaucoup de chance d'avoir une infirmière telle que vous.
Bonne nuit ...
A demain mademoiselle ...
Elle quitta la chambre et continua son service comme si rien ne s'était passé.
Mais à deux heures du matin, alors qu'elle faisait un passage de routine devant les chambres. Son attention est attirée par un bruit étrange provenant du local où sont entreposé les médicaments des patients.
Elle s'approcha du local et ouvrit la porte. Rien tout à l'air en ordre. Mais par acquis de conscience, elle entra pour vérifier.
Et en effet deux individus s'étaient introduit à l'intérieur pour voler des drogues. Mais à peine avait-elle franchi la porte qu'une main d'homme se plaqua contre sa bouche pour l'empêcher de crier. Avec force cet intrus la poussa sur une table au centre de la pièce. Elle sentit qu'il retroussait son tablier et découvrit ses fesses. Brandissant un couteau il lui dit :Un mot et je te tranche la gorge !
Elle connaissait cette voix ...
Mais elle était couchée sur le ventre et il semblait bien qu'elle allait devoir supporter plus que d'être simplement prise en otage.
Je me charge d'elle, toi tu te démerdes pour trouver la marchandise.... Mmmm ... Pas de petite culotte ... tiens ... tiens ... faut croire que tu attendais ma visite ... Et bien ma poulette, je vais profiter de la situation que tu m'offres si gentiment ...
En effet, ainsi maintenue sur la table, elle lui offrait une vue des plus érotique. Il s'empressa de lui écarter ses fesses avec sa matraque de chair brûlante d'excitation.
Il la pénétra encore et encore. Jusqu'à ce que son complice revienne.
Tu es en train de tuer le temps, Marc ? Allez, on se tire, j'ai le matos.
Il était si doué qu'elle regretta presque qu'il s'en aille sans conclure.
Merci, ma belle ! Fait de beaux rêves !
Sous le choc, elle ne réagit pas bien qu'ils ne l'avaient ni attachée, ni menacée. La seule chose qui lui passait pas la tête était, qu'il l'avait abandonnée au moment crucial. Elle était encore toute chaude. Elle fit descendre sa main vers son pubis et ses doigts titillèrent doucement son clitoris ... puis elle accéléra le rythme ...Cela faisait plusieurs minutes qu'elle se masturbait devant la porte restée ouverte, quand elle s'aperçut que le docteur Perkins, qui était de garde, la regardait se besogner avec stupéfaction ...et tout à coup ...
Mademoiselle Fanny, vous savez très bien que l'onanisme est mauvais pour la psyché ! Il faut toujours partager ses besoins sexuels avec quelqu'un ... laissez-vous faire.
Et il entra, ferma la porte et elle se retrouva à nouveau renversée sur la table subissant cette fois les chatouillements de la moustache du chef de service.Elle ne pus s'empêcher de se trémousser nerveusement et d'émettre malgré elle des soupir saccadés.
Oh, oh, aaah ... oh,oh, aaah ...
Elle finit par imprimer à ses hanches une rotation voluptueuse et à son ventre des mouvements cadencés. Alors qu'il continuait à lui lécher la chatte ils continuaient tous les deux à gémir de plaisir.
Mmmh ... mmmh ...
Aaah ... oui ... c'est bon, continuez, ... oooh.
Elle avait maintenant des fourmis dans les jambes et elle sentait que son bas-ventre allait exploser de plaisir. Et elle finit par jouir avec force et tremblements.
Voilà, mademoiselle, à votre service ...
Le Docteur Perkins était sympa, on aurait presque dit qu'il avait fait cela uniquement pour lui rendre service. Elle ne parla pas de ce qui c'était passé avant et elle se remit de ses émotions.
Mais avec toutes ces émotions, sa blouse était mouillée de son excitation, elle descendit alors aux vestiaires pour se changer. Elle venait de commencer à xe changer quand soudain entra l’infirmière en chef ... un vieille femme acariâtre qui ne ratait ps une occasion de faire des remarques.
Mais que faites-vous sans culotte ...
J'allais me changer Madame Allison ...
Vous ne portez pas la tenue réglementaire. Je devrais faire un rapport à ce sujet. Déshabillez-vous immédiatement.
Soyez gentille, Miss Allison, s'il vous plaît.
Elle ne savait pas pourquoi on lui faisait cette demande, mais elle n'osa pas refuser. Alors qu'elle s’exécutait, elle sentait les yeux de cette mégère braqué sur ses fesses rebondies.
Gentille ? Ça dépendra de votre bonne volonté, ma belle. Je pourrais vous faire virer de l'hôpital pour incitation à la débouche .. ; à moins que vous ne vous montriez complaisante à mon égard. On peut bien se rendre quelques petits services entre collègues, n'est-ce pas ?
Quoi ? ... Que voulez-vous dire ? Vous êtes folle, non ?
Allons du calme, de toute façon vous n'avez pas le choix ... Détendez-vous, laissez-vous faire tout ira bien.
Cette vieille femme s'agenouilla devant elle, sa langue s'aventura entre ses cuisses et arriva à son intimité. Elle frémit des pieds à la tête. Ensuite elle la suça avec tant d'ardeur qu'elle finis par se sentir complètement en sa possession. Elle finit par jouir encore une fois.
Je suis certaine que vous garderez le silence ... d'ailleurs, si vous racontez ce qui s'est passé, personne ne vous croira ... allez, rhabillez-vous !
Oui, Miss Allison.
Et si ça vous chante, je vous permets de garder votre lingerie ! Après tout, vous êtes plus ravissante comme ça ...ces dessous affriolants ne feront qu'accroître mon plaisir. Si vous vous conformez à mes désirs, vous pourrez devenir ma protégée !
Vous êtes très gentille, Miss Allison.
C'est vrai que si elle jouait la comédie, cette vieille dégoûtante pouvait l'aider. Mais dix minutes plus tard, elle parcourais à nouveau les couloirs de l'hôpital. Tout était calme ... elle allait enfin pouvoir se reposer ... elle alla s'isoler et laissa son esprit vagabonder.
C'est avec un certain plaisir qu'elle se remémora ses aventures lorsqu'elle passait des vacances aux Mexique ...
Tout avait commencé dans le petit village de Xulupo où elle fit la connaissance d’Amando le sorcier ... Le vieillard était assis sur le coin d'une maison et vendait des souvenir aux voyageurs.
Ce petit flacon contient un philtre d'amour, mademoiselle.
Et j'imagine que comme chez nous, cette babiole est hors de prix.
Chez vous peut-être, mais pas ici. Les effets de ce breuvage magique sont éternels. Son pouvoir est en tous cas cyclique.
Bon, bon, d'accord, combien ça coûte ?
10.000 pesos !
10.000 pesos ?!! Dites donc, c'est vachement chérot, mon ami !
Pour le plaisir éternel, c'est un cadeau mademoiselle !
Elle acheta la potion. Après tout elle avait le droit de s'amuser un peu et cet homme avait l'air si sympathique. Elle rentra ensuite à son hôtel et après avoir prit une bonne douche elle enfila un petite nuisette transparente. La soirée se passa et en allant se coucher, elle voulu tester cet étrange élixir.
Elle prit la fiole et après l'avoir ouvert, elle remarqua que l’odeur qui en émanait était plutôt agréable. Elle hésita un peu, mais finit par la boire d'un trait et alla se coucher.
A mesure que le temps passait, une chaleur étouffante la faisait suffoquer. Sa chair devenait de plus en plus moite, par moments des souffles d'air tiède venaient caresser son corps de la pointe des ses seins jusqu'à son pubis. Elle éprouvait de plus en plus le besoin de jouir comme une folle.
Ne trouvant pas le sommeil et poussée par une force irrésistible, elle se leva. Elle s’assit sur le canapé et les jambes écartées, elle commença à se masturber. Armand avait raison, cette potion la rendait frénétique d'excitation. Il lui fallait un mâle et au plus vite. Bien qu'elle s'enfonça plusieurs doigts dans la chatte, cela ne lui procurait pas assez de plaisir. Elle décida d'appeler les service d'étage.
Quelques minutes plus tard, un homme d'une quarantaine d'année arriva et elle lui ouvrit.
Vous avez sonné Sénorita ?
Oui, j'ai l'impression que le système d'air conditionné est en panne !
Je vais regarder c'est l'affaire de quelques minutes, Sénorita !
Il prit un petit escabeau et monta dessus pour examiner la bouche d'air de la suite. Fanny était irrésistiblement attirée vers lui et elle s'approcha au point de poser sa main sur l’entre-jambe de l'homme.
Mais ... que ... ?
Trop tard, elle avait déjà sorti sa bite de son pantalon et l'enfournait dans sa bouche ?
Oooh ... Meu deus ! ( Oooh ... mon dieu!)Elle le tira en bas de son esca beau et le poussa sur le lit.
Viens ! Je veux connaître le plaisir mexicain !
Elle baissa son pantalon et le chevaucha. Se laissant monter et descendre en rythme sur sa queue déjà bien dure.
Ce qu'on raconte est vrai ! Vous les latins, vous êtes bien équipés, c'est évident.
Elle sentait encore belle grosse bite gonfler en elle.
Voilà, doucement. C'est bien, comme ça !
Sénorita, vous êtes de la pure dynamite prête à exploser.
Tais-toi ... aaah ! Plus fort, bel étalon !
Oui ! Oui ! ...
Elle voulu ensuite être prise en levrette et l'effet de l'élixir se prolongea jusqu'à minuit. Le pauvre technicien s'en alla complètement épuisé. Elle l'avait pressé comme un citron et maintenant elle en sentait le résultat. Du sperme encore chaud coulait le long de ses cuisses. Elle passa un main entre ses jambes et se lécha ensuite les doigts.
En tant qu'infirmière elle connaissait les propriétés de certains préparations, mais elle ignorais qu'une philtre d'amour puisse posséder de tels pouvoirs. Elle s'était prête à se donner à n'importe qui n'importe où ?
Depuis ce jour, elle n'est plus jamais satisfaite. Il lui faut régulièrement un homme ou une femme pour la soulager de la pression sexuelle. Heureusement, à l'hôpital, elle était gâtée...
Mais elle sorti de ses rêves et elle était toujours à l'hôpital, elle maintenant une encore une envie de se caresser, mais plus question de se faire prendre. Elle alla prévenir sa chef de service et prétextant un besoin urgent elle quitta son service quelques minutes. Elle ne pouvait pas réellement aller dans les sanitaires, le passage y était trop important. Elle choisit alors d'aller s'isoler dans un local technique. Mais à peine avait-elle franchit la porte qu'elle fut assommée par un coup sur la tête.
Un peu plus tard, elle se réveilla pendue par les bras à la tuyauterie du plafond.
Mais, qu'est-ce que ... ?
Elle sent alors une présence derrière elle et reconnaît tout de suite le voleur qui l'avait violée quelques heures plus tôt. Il ne s'était enfuit, mais caché attendant sûrement l'ouverture au public pour ressortir sans se faire remarquer.
Qui que vous soyez, ça peut vous coûter cher, ne faites pas de bêtises !
Ne t'inquiète pas poulette ! Si la sécurité se pointe, je n'aurai qu'a enlever mon masque !
Ce qu'il fit d’ailleurs tout de suite.
Et voilà ! Ah, une chose rien ne sert de crier nous sommes dans les caves et il n'y a personne pour t'entendre.
Elle avait reconnu sa voix et maintenant elle savait qu'elle l'avait déjà vu quelque part, mais où ?
Alors, c'est vous qui voliez les stupéfiants avec votre ami. Je savais que j’avais déjà entendu votre voix, mais qui êtes vous ?
Tu fais semblant de ne pas me reconnaître ? Allez cherchez un peu !
Détachez-moi et je vous promets de ne rien dire ... Holà pas si vite ! D'abord, on va prendre son pied ensemble puis je vais te tuer. Une overdose, comme par hasard et personne ne soupçonnera quoique ce soit. On t'accusera même du vol de ce soir et je pourrai continuer mes petites affaires.
La tension dans ses bras était de plus en plus forte et cette position inconfortable fit sauter les pressions de son uniforme. Elle avait la poitrine nue et voilà que cet individu, venait lui caresser les fesses.
- Mmm ... on peut dire que tu as les fesses bien rondes et fermes ! Et en même temps elles sont si douces et chaudes. Je t'assure que tu n’oublieras pas cette nuit. Tu auras toute la mort pour t'en souvenir, ah ah ah ...
Glissant sa main entre ses cuisses, il lui enfonça un doigt dans la chatte et lui lécha ses belles demi-lunes. Et rien qu'avec cela, elle sentait déjà le plaisir monter en elle.
Aah ... assez, assez !! Arrêtez ! Je vous en prie !
Non ma belle, maintenant on va aussi faire reluire le revers de la médaille.Mais avant je veux goûter à ton parfum de femelle.
Il se mit sous elle et sa langue remplaça son doigt. Il fouilla toute sa chatte aussi loin que possible et termina en lui suçant le clitoris.
Tu aimes ça, hein, salope ! Attends ... c'est loin ... d'être fini ...
Oui, oui, comme ça. Allez-y, aaahh !
Maintenant tu vas sentir l'effet de mon marteau piqueur dans ton cul. Un conseil, laisses-toi faire et tu va atteindre le septième ciel !
Ooh !! Oui ... le brûle d'envie !
Il s'enfonça en elle sans difficulté, ce ne devait pas être la première fois qu'elle se faisait enculer. On peur même soupçonner que ça devait être une habitude pour elle. Il ne s'en donna donc à cœur joie. Et lui défonçant la rondelle pendant de longues minutes, il l'a fit gémir de plus en plus fort. Ce salaud allait la faire jouir, mais qu'au début elle n'était pas du tout volontaire. Maintenant elle ne voulait plus qu'il arrête avant qu'elle n'ai eut son orgasme.
Aah ! Tu prends ton pied, hein.
Ooh je n'en peut plus, ça y est, je viens ... je jouis ... aaaah !
Dans le même élan il lui remplit le cul de sperme.
Il réajusta ses vêtements, ensuite il l'a détacha et la plaqua au sol. Il l'a maintenait avec un genou sur son dos.
Eh bien, c'est fini la rigolade, ma biche. Il est grand temps de piquer un roupillon à présent !!
Laissez-moi, je vous en conjure ! Je ne parlerai pas, s'il vous plaît, ne me faites pas de ça ... Nooon !
Remue pas tes fesses comme une forcenée, on dirait que tu n'as jamais vu une aiguille de ta vie !
L'homme lui injecta le contenu d'une seringue dans la fesse et s'en alla sur-le-champ. Une torpeur l'envahit et ses paupières devinrent lourdes. Ses jambes se raidirent et son cœur se mit à battre la chamade.Mais elle savait qu'elle devait trouver l'énergie pour quitter cet endroit. Elle rassembla ses forces car elle devait trouver un antidote, sa vie en dépendait. Elle sentait de plus en plus ses forces la quitter et une douleur aiguë lui transperçait l'estomac. Elle devait sortir au plus vite ... enfin elle atteint la porte et par chance une réserve de médicaments était juste à côté. Il était plus que temps, mais elle trouva un antidote à largue spectre d'action. A bout de force, elle se laissais choir lentement sur une table, en attendant les effets du contre-poison.
Plus tard elle se réveilla, par chance elle avait réussi à s'en sortir. Deux choses la tracassaient maintenant, d'abord combien de temps avait-elle été absente et ensuite comme faire pour coincer ce salopard. Elle remonta dans son service et se retrouva nez à nez avec Miss Allison. Ne recevant pas de remarque, elle devina que sont absence était passée inaperçue. Mais elle l'interpella quand même.
Ça va Fanny ? Pas de problèmes, ma chérie ?
Ça va, ça va, Miss Allison. Tout est plutôt calme. Il n'y a pas eu d'urgences.
Julie a besoin d'aide au 5ème ! Vas-y ! Je te remplacerai ici.
A vos ordres, Miss Allison. J'y vais tout de suite.
Elle avait le pré-sentiment que Miss Allison lui tendait un piège pour la soumettre à nouveau à ses caprices libidineux.
Elle monta toutefois au 5ème et alla voir ce dont sa collègue avait besoin.
Salut, Julie !
Bonsoir, Fanny !
C'est Miss Allison qui m'envoie ...
Tes rapport personnels sont très brillants, tu es exactement la personne qu'il me fallait ... J'avais besoin de chair fraîche.Un nouveau joujou pour une pauvre prisonnière enfermée dans une cage aseptisée.
Ce ne fut pas long, la lesbienne, qui avait un faible pour les nouvelles, passa à l'attaque.
Elle prit toute les initiatives, en commençant par l'embrasser et Fanny ne lui opposais aucune résistance.Elle déboutonna son tablier et elle se retrouvèrent dans une chambre inoccupée. Julie la poussa sur le lit et lui écarta les jambes. Fanny avait déjà le feu entre ses cuisses et Julie était visible ment une experte dans l'extinction des incendies de ce genre. Elle utilisait sa langue avec habilité, mais cette fois au lieu d'éteindre l'incendie, elle voulait attiser le désir. Elle ne fit qu'accélérer la besogne ...
Aaah ! Assez, je n'en peux déjà plus, aaah ! Tu me rends folle ...
Je t 'aime tellement Fanny, tu m'excites à mort. Je vais te faire connaître le vrai plaisir avec ma langue et on va devenir de bonnes copines.
Elle lui demande de se retourner pour qu'elle puisse vois ses fesses et elle se mit à lui lécher la rondelle, enfonçant au plus profond sa langue. C'était la première fois que Fanny perdait la tête avec de telles caresses. Elle eut rapidement un orgasme et cela l’avait fait mouillée comme elle n'aurai jamais imaginer.
Voilà ma récompense ... !
Julie lécha alors tout ce liquide qui s'échappait d'elle et plus elle passait sa langue sur ce sexe en feu plus elle mouillait. Fanny eut ensuite encore plusieurs orgasmes de cette façon avant que Julie la laisse tranquille. Cette salope avait satisfait ses instinct lesbiens et Fanny regagna son poste.
Bonsoir, Fanny ! A bientôt !
Bonsoir !
Elle était dans un couloir, quand une voix l'interpella. Elle se retourna et reconnu ... son agresseur.
A suivre ...
Les intrigues qui se nouent au sein du personnel hospitalier sont peu connues du public ... je vous propose de découvrir Fanny une infirmière de nuit dans quelques une de ces aventures. Elle à 24 ans, cheveux noir, 1.70m pour 67kg. De belles longues jambes et des seins de la taille de deux belles oranges. Son intimité est épilée et elle a l'habitude de ne jamais mettre de sous vêtements.
Un soir nous la retrouvons qui viens de prendre son service et elle est seule dans son service. C'est bientôt l'heure de donner les médicaments aux patients. Par chance ils ne sont pas nombreux et seul celui de la chambre 147 doit avoir un traitement après 22h00. C'est une chambre individuelle occupée par un jeune homme de 19 ans. Elle entre et il dort déjà comme un loir. Elle en profite pour souffler un peu en prenant son temps. Elle commence par le réveiller en douceur en augmentant la lumière progressivement. Le jeune ouvre les yeux et voit sa jeune infirmière assise dans le fauteuil à côté de son lit. Elle à les jambes croisée et sa longue blouse est remontée jusque sur ses cuisses. Fanny avait remarqué que le jeune homme reluquait ses jambes ainsi dénudées.
Oh ! Regardez-moi ce petit coquin ! Qu'est-ce que tu regarde comme ça ? Attends, j'arrive ...
Elle se lève et se penche sur le lit.
Tu sais, j'ai un faible pour les jeunes comme toi et je suis certaine que tu ne dois pas beaucoup t'amuser ici ?
Euh ... Non ... Enfin, qu'est-ce que vous faites ?
Fanny retirait le drap et glissa la main sur le bas ventre de son patient. Elle descendit en lui dégagea la bite et sans surprise, il était en érection.
Laisse-toi faire,je vais te soulager.
Mais ... je ...
Tu es tendu, n'est-ce pas ? C'est bien il faut toujours l'être dans cette situation.
C'est que je ... ooh, mmm ...
Elle venait de prendre sa queue en mains et le masturbait ? Elle sentait ce sexe vibre dans sa main et quand il fut au maximum de son développement elle changea de position.
Et maintenant passons au dessert ...
Elle ouvrit la bouche et y glissa son sexe. Rien de tel qu'un onctueux dessert pour terminer ce splendide repas.
Oooh, oooh ... Mademoiselle ... oooh ... c'est bon ... mmm ...
Elle glissait sa bouche le long de cette hampe et sa langue caressait son gland.
Aaaah ... c'est tout de même mieux que mes branlettes ... oooh ...
Laisse-toi aller, je veux ton lait dans ma bouche !
Il ne fallut que quelques minutes pour qu'il envoi s’écraser contre le palet de Fanny plusieurs jets de spermes qu'elle avala sans problèmes.
Et si maintenant on faisait une omelette bien baveuse ? Les ingrédients sont prêts, il ne te reste plus qu'à fouetter le liquide avec ta langue ...
Quoi ? Je ... ne comprends pas ...
Maintenant c'est à toi de jouer, mon poussin.
Elle monta sur le lit, chevaucha le jeune homme et s’assit offrant sa chatte à sa bouche.
Allez ! Vas-y ! Doucement ...
C'est qu'il était doué le poussin. Elle avait l'impression qu'une anguille frétillante s'était faufilée entre ses cuisses.
Oooh. Je perds la tête, vas-y, vas-y plus vite ... oooh ...
Elle n'imaginait pas qu'il avait de si bons coups de langue et lui de son côté avait la bouche inondée du liquide s'écoulant sa chatte. Également après quelques minutes, elle aussi jouis, mais elle retenu autant que possible ses cris pour ne pas alerter ses collègues.
Eh bien ! Nous sommes quittes maintenant, jeune homme !
Les patient de l'étage ont beaucoup de chance d'avoir une infirmière telle que vous.
Bonne nuit ...
A demain mademoiselle ...
Elle quitta la chambre et continua son service comme si rien ne s'était passé.
Mais à deux heures du matin, alors qu'elle faisait un passage de routine devant les chambres. Son attention est attirée par un bruit étrange provenant du local où sont entreposé les médicaments des patients.
Elle s'approcha du local et ouvrit la porte. Rien tout à l'air en ordre. Mais par acquis de conscience, elle entra pour vérifier.
Et en effet deux individus s'étaient introduit à l'intérieur pour voler des drogues. Mais à peine avait-elle franchi la porte qu'une main d'homme se plaqua contre sa bouche pour l'empêcher de crier. Avec force cet intrus la poussa sur une table au centre de la pièce. Elle sentit qu'il retroussait son tablier et découvrit ses fesses. Brandissant un couteau il lui dit :Un mot et je te tranche la gorge !
Elle connaissait cette voix ...
Mais elle était couchée sur le ventre et il semblait bien qu'elle allait devoir supporter plus que d'être simplement prise en otage.
Je me charge d'elle, toi tu te démerdes pour trouver la marchandise.... Mmmm ... Pas de petite culotte ... tiens ... tiens ... faut croire que tu attendais ma visite ... Et bien ma poulette, je vais profiter de la situation que tu m'offres si gentiment ...
En effet, ainsi maintenue sur la table, elle lui offrait une vue des plus érotique. Il s'empressa de lui écarter ses fesses avec sa matraque de chair brûlante d'excitation.
Il la pénétra encore et encore. Jusqu'à ce que son complice revienne.
Tu es en train de tuer le temps, Marc ? Allez, on se tire, j'ai le matos.
Il était si doué qu'elle regretta presque qu'il s'en aille sans conclure.
Merci, ma belle ! Fait de beaux rêves !
Sous le choc, elle ne réagit pas bien qu'ils ne l'avaient ni attachée, ni menacée. La seule chose qui lui passait pas la tête était, qu'il l'avait abandonnée au moment crucial. Elle était encore toute chaude. Elle fit descendre sa main vers son pubis et ses doigts titillèrent doucement son clitoris ... puis elle accéléra le rythme ...Cela faisait plusieurs minutes qu'elle se masturbait devant la porte restée ouverte, quand elle s'aperçut que le docteur Perkins, qui était de garde, la regardait se besogner avec stupéfaction ...et tout à coup ...
Mademoiselle Fanny, vous savez très bien que l'onanisme est mauvais pour la psyché ! Il faut toujours partager ses besoins sexuels avec quelqu'un ... laissez-vous faire.
Et il entra, ferma la porte et elle se retrouva à nouveau renversée sur la table subissant cette fois les chatouillements de la moustache du chef de service.Elle ne pus s'empêcher de se trémousser nerveusement et d'émettre malgré elle des soupir saccadés.
Oh, oh, aaah ... oh,oh, aaah ...
Elle finit par imprimer à ses hanches une rotation voluptueuse et à son ventre des mouvements cadencés. Alors qu'il continuait à lui lécher la chatte ils continuaient tous les deux à gémir de plaisir.
Mmmh ... mmmh ...
Aaah ... oui ... c'est bon, continuez, ... oooh.
Elle avait maintenant des fourmis dans les jambes et elle sentait que son bas-ventre allait exploser de plaisir. Et elle finit par jouir avec force et tremblements.
Voilà, mademoiselle, à votre service ...
Le Docteur Perkins était sympa, on aurait presque dit qu'il avait fait cela uniquement pour lui rendre service. Elle ne parla pas de ce qui c'était passé avant et elle se remit de ses émotions.
Mais avec toutes ces émotions, sa blouse était mouillée de son excitation, elle descendit alors aux vestiaires pour se changer. Elle venait de commencer à xe changer quand soudain entra l’infirmière en chef ... un vieille femme acariâtre qui ne ratait ps une occasion de faire des remarques.
Mais que faites-vous sans culotte ...
J'allais me changer Madame Allison ...
Vous ne portez pas la tenue réglementaire. Je devrais faire un rapport à ce sujet. Déshabillez-vous immédiatement.
Soyez gentille, Miss Allison, s'il vous plaît.
Elle ne savait pas pourquoi on lui faisait cette demande, mais elle n'osa pas refuser. Alors qu'elle s’exécutait, elle sentait les yeux de cette mégère braqué sur ses fesses rebondies.
Gentille ? Ça dépendra de votre bonne volonté, ma belle. Je pourrais vous faire virer de l'hôpital pour incitation à la débouche .. ; à moins que vous ne vous montriez complaisante à mon égard. On peut bien se rendre quelques petits services entre collègues, n'est-ce pas ?
Quoi ? ... Que voulez-vous dire ? Vous êtes folle, non ?
Allons du calme, de toute façon vous n'avez pas le choix ... Détendez-vous, laissez-vous faire tout ira bien.
Cette vieille femme s'agenouilla devant elle, sa langue s'aventura entre ses cuisses et arriva à son intimité. Elle frémit des pieds à la tête. Ensuite elle la suça avec tant d'ardeur qu'elle finis par se sentir complètement en sa possession. Elle finit par jouir encore une fois.
Je suis certaine que vous garderez le silence ... d'ailleurs, si vous racontez ce qui s'est passé, personne ne vous croira ... allez, rhabillez-vous !
Oui, Miss Allison.
Et si ça vous chante, je vous permets de garder votre lingerie ! Après tout, vous êtes plus ravissante comme ça ...ces dessous affriolants ne feront qu'accroître mon plaisir. Si vous vous conformez à mes désirs, vous pourrez devenir ma protégée !
Vous êtes très gentille, Miss Allison.
C'est vrai que si elle jouait la comédie, cette vieille dégoûtante pouvait l'aider. Mais dix minutes plus tard, elle parcourais à nouveau les couloirs de l'hôpital. Tout était calme ... elle allait enfin pouvoir se reposer ... elle alla s'isoler et laissa son esprit vagabonder.
C'est avec un certain plaisir qu'elle se remémora ses aventures lorsqu'elle passait des vacances aux Mexique ...
Tout avait commencé dans le petit village de Xulupo où elle fit la connaissance d’Amando le sorcier ... Le vieillard était assis sur le coin d'une maison et vendait des souvenir aux voyageurs.
Ce petit flacon contient un philtre d'amour, mademoiselle.
Et j'imagine que comme chez nous, cette babiole est hors de prix.
Chez vous peut-être, mais pas ici. Les effets de ce breuvage magique sont éternels. Son pouvoir est en tous cas cyclique.
Bon, bon, d'accord, combien ça coûte ?
10.000 pesos !
10.000 pesos ?!! Dites donc, c'est vachement chérot, mon ami !
Pour le plaisir éternel, c'est un cadeau mademoiselle !
Elle acheta la potion. Après tout elle avait le droit de s'amuser un peu et cet homme avait l'air si sympathique. Elle rentra ensuite à son hôtel et après avoir prit une bonne douche elle enfila un petite nuisette transparente. La soirée se passa et en allant se coucher, elle voulu tester cet étrange élixir.
Elle prit la fiole et après l'avoir ouvert, elle remarqua que l’odeur qui en émanait était plutôt agréable. Elle hésita un peu, mais finit par la boire d'un trait et alla se coucher.
A mesure que le temps passait, une chaleur étouffante la faisait suffoquer. Sa chair devenait de plus en plus moite, par moments des souffles d'air tiède venaient caresser son corps de la pointe des ses seins jusqu'à son pubis. Elle éprouvait de plus en plus le besoin de jouir comme une folle.
Ne trouvant pas le sommeil et poussée par une force irrésistible, elle se leva. Elle s’assit sur le canapé et les jambes écartées, elle commença à se masturber. Armand avait raison, cette potion la rendait frénétique d'excitation. Il lui fallait un mâle et au plus vite. Bien qu'elle s'enfonça plusieurs doigts dans la chatte, cela ne lui procurait pas assez de plaisir. Elle décida d'appeler les service d'étage.
Quelques minutes plus tard, un homme d'une quarantaine d'année arriva et elle lui ouvrit.
Vous avez sonné Sénorita ?
Oui, j'ai l'impression que le système d'air conditionné est en panne !
Je vais regarder c'est l'affaire de quelques minutes, Sénorita !
Il prit un petit escabeau et monta dessus pour examiner la bouche d'air de la suite. Fanny était irrésistiblement attirée vers lui et elle s'approcha au point de poser sa main sur l’entre-jambe de l'homme.
Mais ... que ... ?
Trop tard, elle avait déjà sorti sa bite de son pantalon et l'enfournait dans sa bouche ?
Oooh ... Meu deus ! ( Oooh ... mon dieu!)Elle le tira en bas de son esca beau et le poussa sur le lit.
Viens ! Je veux connaître le plaisir mexicain !
Elle baissa son pantalon et le chevaucha. Se laissant monter et descendre en rythme sur sa queue déjà bien dure.
Ce qu'on raconte est vrai ! Vous les latins, vous êtes bien équipés, c'est évident.
Elle sentait encore belle grosse bite gonfler en elle.
Voilà, doucement. C'est bien, comme ça !
Sénorita, vous êtes de la pure dynamite prête à exploser.
Tais-toi ... aaah ! Plus fort, bel étalon !
Oui ! Oui ! ...
Elle voulu ensuite être prise en levrette et l'effet de l'élixir se prolongea jusqu'à minuit. Le pauvre technicien s'en alla complètement épuisé. Elle l'avait pressé comme un citron et maintenant elle en sentait le résultat. Du sperme encore chaud coulait le long de ses cuisses. Elle passa un main entre ses jambes et se lécha ensuite les doigts.
En tant qu'infirmière elle connaissait les propriétés de certains préparations, mais elle ignorais qu'une philtre d'amour puisse posséder de tels pouvoirs. Elle s'était prête à se donner à n'importe qui n'importe où ?
Depuis ce jour, elle n'est plus jamais satisfaite. Il lui faut régulièrement un homme ou une femme pour la soulager de la pression sexuelle. Heureusement, à l'hôpital, elle était gâtée...
Mais elle sorti de ses rêves et elle était toujours à l'hôpital, elle maintenant une encore une envie de se caresser, mais plus question de se faire prendre. Elle alla prévenir sa chef de service et prétextant un besoin urgent elle quitta son service quelques minutes. Elle ne pouvait pas réellement aller dans les sanitaires, le passage y était trop important. Elle choisit alors d'aller s'isoler dans un local technique. Mais à peine avait-elle franchit la porte qu'elle fut assommée par un coup sur la tête.
Un peu plus tard, elle se réveilla pendue par les bras à la tuyauterie du plafond.
Mais, qu'est-ce que ... ?
Elle sent alors une présence derrière elle et reconnaît tout de suite le voleur qui l'avait violée quelques heures plus tôt. Il ne s'était enfuit, mais caché attendant sûrement l'ouverture au public pour ressortir sans se faire remarquer.
Qui que vous soyez, ça peut vous coûter cher, ne faites pas de bêtises !
Ne t'inquiète pas poulette ! Si la sécurité se pointe, je n'aurai qu'a enlever mon masque !
Ce qu'il fit d’ailleurs tout de suite.
Et voilà ! Ah, une chose rien ne sert de crier nous sommes dans les caves et il n'y a personne pour t'entendre.
Elle avait reconnu sa voix et maintenant elle savait qu'elle l'avait déjà vu quelque part, mais où ?
Alors, c'est vous qui voliez les stupéfiants avec votre ami. Je savais que j’avais déjà entendu votre voix, mais qui êtes vous ?
Tu fais semblant de ne pas me reconnaître ? Allez cherchez un peu !
Détachez-moi et je vous promets de ne rien dire ... Holà pas si vite ! D'abord, on va prendre son pied ensemble puis je vais te tuer. Une overdose, comme par hasard et personne ne soupçonnera quoique ce soit. On t'accusera même du vol de ce soir et je pourrai continuer mes petites affaires.
La tension dans ses bras était de plus en plus forte et cette position inconfortable fit sauter les pressions de son uniforme. Elle avait la poitrine nue et voilà que cet individu, venait lui caresser les fesses.
- Mmm ... on peut dire que tu as les fesses bien rondes et fermes ! Et en même temps elles sont si douces et chaudes. Je t'assure que tu n’oublieras pas cette nuit. Tu auras toute la mort pour t'en souvenir, ah ah ah ...
Glissant sa main entre ses cuisses, il lui enfonça un doigt dans la chatte et lui lécha ses belles demi-lunes. Et rien qu'avec cela, elle sentait déjà le plaisir monter en elle.
Aah ... assez, assez !! Arrêtez ! Je vous en prie !
Non ma belle, maintenant on va aussi faire reluire le revers de la médaille.Mais avant je veux goûter à ton parfum de femelle.
Il se mit sous elle et sa langue remplaça son doigt. Il fouilla toute sa chatte aussi loin que possible et termina en lui suçant le clitoris.
Tu aimes ça, hein, salope ! Attends ... c'est loin ... d'être fini ...
Oui, oui, comme ça. Allez-y, aaahh !
Maintenant tu vas sentir l'effet de mon marteau piqueur dans ton cul. Un conseil, laisses-toi faire et tu va atteindre le septième ciel !
Ooh !! Oui ... le brûle d'envie !
Il s'enfonça en elle sans difficulté, ce ne devait pas être la première fois qu'elle se faisait enculer. On peur même soupçonner que ça devait être une habitude pour elle. Il ne s'en donna donc à cœur joie. Et lui défonçant la rondelle pendant de longues minutes, il l'a fit gémir de plus en plus fort. Ce salaud allait la faire jouir, mais qu'au début elle n'était pas du tout volontaire. Maintenant elle ne voulait plus qu'il arrête avant qu'elle n'ai eut son orgasme.
Aah ! Tu prends ton pied, hein.
Ooh je n'en peut plus, ça y est, je viens ... je jouis ... aaaah !
Dans le même élan il lui remplit le cul de sperme.
Il réajusta ses vêtements, ensuite il l'a détacha et la plaqua au sol. Il l'a maintenait avec un genou sur son dos.
Eh bien, c'est fini la rigolade, ma biche. Il est grand temps de piquer un roupillon à présent !!
Laissez-moi, je vous en conjure ! Je ne parlerai pas, s'il vous plaît, ne me faites pas de ça ... Nooon !
Remue pas tes fesses comme une forcenée, on dirait que tu n'as jamais vu une aiguille de ta vie !
L'homme lui injecta le contenu d'une seringue dans la fesse et s'en alla sur-le-champ. Une torpeur l'envahit et ses paupières devinrent lourdes. Ses jambes se raidirent et son cœur se mit à battre la chamade.Mais elle savait qu'elle devait trouver l'énergie pour quitter cet endroit. Elle rassembla ses forces car elle devait trouver un antidote, sa vie en dépendait. Elle sentait de plus en plus ses forces la quitter et une douleur aiguë lui transperçait l'estomac. Elle devait sortir au plus vite ... enfin elle atteint la porte et par chance une réserve de médicaments était juste à côté. Il était plus que temps, mais elle trouva un antidote à largue spectre d'action. A bout de force, elle se laissais choir lentement sur une table, en attendant les effets du contre-poison.
Plus tard elle se réveilla, par chance elle avait réussi à s'en sortir. Deux choses la tracassaient maintenant, d'abord combien de temps avait-elle été absente et ensuite comme faire pour coincer ce salopard. Elle remonta dans son service et se retrouva nez à nez avec Miss Allison. Ne recevant pas de remarque, elle devina que sont absence était passée inaperçue. Mais elle l'interpella quand même.
Ça va Fanny ? Pas de problèmes, ma chérie ?
Ça va, ça va, Miss Allison. Tout est plutôt calme. Il n'y a pas eu d'urgences.
Julie a besoin d'aide au 5ème ! Vas-y ! Je te remplacerai ici.
A vos ordres, Miss Allison. J'y vais tout de suite.
Elle avait le pré-sentiment que Miss Allison lui tendait un piège pour la soumettre à nouveau à ses caprices libidineux.
Elle monta toutefois au 5ème et alla voir ce dont sa collègue avait besoin.
Salut, Julie !
Bonsoir, Fanny !
C'est Miss Allison qui m'envoie ...
Tes rapport personnels sont très brillants, tu es exactement la personne qu'il me fallait ... J'avais besoin de chair fraîche.Un nouveau joujou pour une pauvre prisonnière enfermée dans une cage aseptisée.
Ce ne fut pas long, la lesbienne, qui avait un faible pour les nouvelles, passa à l'attaque.
Elle prit toute les initiatives, en commençant par l'embrasser et Fanny ne lui opposais aucune résistance.Elle déboutonna son tablier et elle se retrouvèrent dans une chambre inoccupée. Julie la poussa sur le lit et lui écarta les jambes. Fanny avait déjà le feu entre ses cuisses et Julie était visible ment une experte dans l'extinction des incendies de ce genre. Elle utilisait sa langue avec habilité, mais cette fois au lieu d'éteindre l'incendie, elle voulait attiser le désir. Elle ne fit qu'accélérer la besogne ...
Aaah ! Assez, je n'en peux déjà plus, aaah ! Tu me rends folle ...
Je t 'aime tellement Fanny, tu m'excites à mort. Je vais te faire connaître le vrai plaisir avec ma langue et on va devenir de bonnes copines.
Elle lui demande de se retourner pour qu'elle puisse vois ses fesses et elle se mit à lui lécher la rondelle, enfonçant au plus profond sa langue. C'était la première fois que Fanny perdait la tête avec de telles caresses. Elle eut rapidement un orgasme et cela l’avait fait mouillée comme elle n'aurai jamais imaginer.
Voilà ma récompense ... !
Julie lécha alors tout ce liquide qui s'échappait d'elle et plus elle passait sa langue sur ce sexe en feu plus elle mouillait. Fanny eut ensuite encore plusieurs orgasmes de cette façon avant que Julie la laisse tranquille. Cette salope avait satisfait ses instinct lesbiens et Fanny regagna son poste.
Bonsoir, Fanny ! A bientôt !
Bonsoir !
Elle était dans un couloir, quand une voix l'interpella. Elle se retourna et reconnu ... son agresseur.
A suivre ...
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