Histoires d'une infirmière (5) - histoire érotique

Quelques jours plus tard et plusieurs épreuves réussie, Fanny se promenait dans le jardin de MR Lin-Chang !
Elle pensait toujours à cette poudre miraculeuse, elle devait absolument s'en procurer. Tout à coup une bruit.
Hein ! Qui est là ? Attends que je t'attrape sale petit voyeur ! Voilà ! Mon petit !
C'était un nain, et il devait savoir certaines choses. Elle se dit qu'il pourrait savoir où se trouvait la fameuse poudre. Mais elle savait aussi que le sexe était le seul moyen de délier sa langue.
Tues très mignon, mais un peu vicieux.
Euh ... moi ...
Tu aimerais bien que je te montrer ce qui se cache là dessous. Juste en-dessous de mon porte jarretelle.
Heu ... Oui ... oui ...
Mais tu dois me donner quelques chose ! ... par exemple, sais-tu où se trouve la poudre magique ?..
Oh ... non ... Je suis un serviteur ... c'est tout ...
Fanny se fit plus pressente.
Je veux te sentir heureux. Laisse-moi faire.
Alors, vous ... vous voulez ...
Je veux te faire des petites câlineries, mon petit ...
Voyant qu'elle n'arriverait pas aussi facilement, elle sortit des arguments plus provocateurs. Elle déboutonna son chemisier et prenant ses seins en main , elle les pressaient, excitant le petit homme.
Regarde les beautés occidentales qui s'offrent à l'orient.
Aaaah ! C'est bon ... c'est Ying ...
Elle passa ensuite sa main dans son pantalon et sorti son petit sexe.
Allez, pendant que je te caresse, raconte-moi.
S'il vous plaît. Dou ... doucement ...
Pas d'ordres, maintenant c'est moi qui commande ici, ... dis-moi ...
Oh ! Oui ... comme ça ! Encore ... c'est bon ... je ne peux ... pas ...
Allons, allons ! ... le petite poudre ... Sinon j'arrête ...
Fanny insistait et bien qu'elle reste petit, la bite de cet homme semblait en pleine érection.
Alors ? Tu me le dis ?
Non ... non ! N'arrêtez pas ! Je vous en prie, continuez ! ... La poudre ... elle ... elle est ... Ooohh ...
Continue et ton Yang pourra bientôt se libérer de cette pression ...
Oooh ... une ... une boîte laquée noire ... dans la chambre jaune ... sur la table de gauche ...
Ce renseignement reçu , elle le termina et il jouis. Elle n'était toutefois pas d'humeur à lui faire de cadeau et c'est bien dirigé que ses jets se perdirent dans l'herbe.
Belle étrangère, je reste votre humble serviteur.
Elle tourna les talons et reprit la direction de sa chambre tout en sentant son regard s'attarder sur sa croupe ondulante.
Plus tard, le soir, elle partis à la recherche de la poudre magique. Elle se dirigea sans se faire remarquer vers la chambre jaune. Elle y entra et trouva facilement le coffre noir. Il ouvrit le couvercle, par chance il n'était pas fermé à clé, et le trouva remplis de petits sacs de poudre blanche. Elle se contenta d'en prendre un, pour que cela passe inaperçu ? Mais tout à coup, quelque chose toucha ses fesses.
Mais ... qu'est-ce que .. ?
Le petit homme du matin se précipita sur la elle et avec son élan, elle trébucha et se retrouva au sol. La jupe retroussée jusqu'au dessus de son string et lui emporté dans la chute encastré entre ses cuisses.
Je veux vous remercier de votre gentillesse de tout à l'heure.
Espèce de brute, lâchez-moi ! Ne me touchez pas !
Il ne répondit pas si ce n'est en plongeant collant sa bouche sur son sexe. En quelques coups de langue, elle était en feu. Il lui dévorait la chatte, le nez dans sa toison. Elle commença à sentir ses hanches remuer et ses cuisses s'écarter contre sa volonté. Elle offrait à ce demi-homme une vue de plus en plus dégagée sur son trésor palpitant d'excitation. Cette langue et cette bouche sur son sexe l'emplirent d'une frénésie indescriptible. Un vrai brasier venait de s'allumer entre ses cuisse. Le va-et-vient s’accéléra progressivement jusqu'à ce que vint vint son orgasme. C'était tellement bon qu'elle poussa des râles de plaisirs.
Le petit homme fut satisfait de cela et il se releva la laissant étendue, la chatte trempée de plaisir.
Que l'honorable Lin-Chang me pardonne. Mais je suis devenu l'humble serviteur de votre beauté et de vos désirs. Je reste à vos ordres.
Il était, semble t-il sous son charme, elle allait sans doute pouvoir en profiter. Mais pour le moment elle retourna dans sa chambre avec le petit paquet dans la main. Son séjour devenait passionnant et avec cette poudre elle allait pouvoir s'envoler vers les sommets du plaisir. Elle prit une douche et alors qu'elle allait se mettre au lit, une envie irrésistible la prit. Elle ouvrit le sachet et répandit sur son corps nu la poudre magique. Elle avait envie de faire l'amour et espérait que cela l'emmènerait vers de plus loin horizons.
Elle se laissa choir sur le lit en attendant les effets ... Mais la nuit passa et aucun résultats. Peut-être avait-elle vu trop de films fantastiques, peut-être que cette poudre était de la drogue ? Mais c'est au petit déjeuner qu'elle ressenti quelque chose d'étrange et compris trop tard que la drogue faisait enfin son effet.
Sa vue commença à se brouiller, ses bras et ses jambes se paralysèrent et un brouillard enveloppa son esprit. Elle s'écroula sur la table et sombra dans l'inconscience...
Elle finit par se réveiller. Ses paupières s'écartèrent, des taches colorées apparaissaient et ... devant ses yeux Mr Lin-Chang.
Eh bien, ma chère ! Vous avez l'air toute étonnée ? Mon petit serviteur à fait du bon boulot.
Mais, qu'est-ce que ... ? Qu'est-ce que vous m'avez fait ?
Si vous vous mêlez de mes affaires, ça risque de mal tourner pour vous. Les stupéfiants, c'est pas votre job vous resterez ici le temps de réfléchir.
Elle face à un poteau, les mains attachée devant elle. Maître Lin-Chang parti, elle entendis un murmure qui s'approchait ... le petit serviteur était derrière elle.
Il ne fallait se tromper Mademoiselle, c'est dangereux. A présent , on va vous débarrasser de vos envies et nous allons donner un petit spectacle en votre honneur. Un spectacle dont vous serez la vedette principale. Cela fera plaisir ) mon copain Yamamoto ...
Elle n'avait pas encore complètement reprit ses esprits, mais elle ne rêvait pas quand elle vit une montagne de chair graisseuse s'approcher d'elle. Le sol et les murs tremblaient sous chacun de ses pas. Elle reconnu un sumo, ces demi-dieu japonais. Ses yeux ne pouvait se détacher de lui, il devait faire dans les 180kg et à sa façon de s'avancer, elle devait être à son goût. Mais il s'arrêta à un bon mètre d'elle.
Votre humble serviteur Potamot, vous demande d'être honoré par votre fleur de lotus.
Laisser mon lotus tranquille ! ...
Hurla-t-elle. Panique à la pensée d'être prise par un tel monstre, ellegesticulait dans tous les sens. Mais rien n'y fit, elle restait attachée et à sa merci.
J'aime la beauté de l'occident et les fleurs qui parfument son paysage. Ainsi que votre mode si séduisante et tellement différente de celle de nos femmes, entourées e kilomètres de soie dans leur kimono ... ça c'est plus facile.
Il venait de se collé contre son dos et de retrousser sa jupe, découvrant un string qu'il arracha d'une geste brusque. Il lui prit lesjambes et elle se retrouva d'un côté suspendue par les bras et de l'outre soulevée par cette montagne hiumaine. Il venait de dgager son sexe de son costume traditionnel et s'avançait doucement, elle se tortillait en emettant de petits cris. Mais elle sentait un durcissement révélateur entre ses cuisses et ensuite contre ses fesses et elle le sentit la pénétrer. Son membre devait être énorme tant il remplissait son vagin.
Ainsi soutenue par ce sexe en elle, il la saisi par le bas du dos et y enfonça ses ongles, lui griffant le dos et les fesses. Elle se tortillait dans tous les sens tel un pantin désarticulé, mais rien n'y fit, il restait planter en elle. Et même, il accélérale mouvement de va-et-vient progressivement. Et sans prévenir il donna un violent coup de reins et s'enfonça au plus profond d'elle. Elle sentit son sexe toucher le fond de son vagin et ses couilles rebondir sur son clitoris.
C'est à ce moment que des vagues de plaisirs le submergèrent, des bouffées de chaleur s'abattaient sur lui et il soufflait comme un boeuf. Elle subissait, mais la taille de son membre et la violence de ses coups, mais sa chatte était en feu, ses sens en plein émois et elle explosa en un orgasme inattendu en même temps que lui. Son affaire terminée il repartit comme si rien ne s'était passé. Fanny était seule et l'orgasme continuait à répendre sa chaleur entre ses reins, son ventre et ses cuisses. Mais tout à coup ... le petit homme apparu derrière le poteau auquel elle était attachée.
Vous êtes prisonnière, à présent nous pouvons out faire avec vous ... Yamamoto avait envie de s'amuser un peu avec vous. C'est tout.
Moi aussi, J'en ai envie, maintenant avec vous ... Je peux vous rendre de « grands services ». Il y a sûrement moyen de s'entendre. Relâchez-moi.
... Mmmm ... Mademoiselle, je voudrais que vous vous occupiez de mon petit oiseau. Le pauvre chéri manque d'affection. Il aime l'amour.
D'accord ... d'accord, mais libère-moi.
Alors qu'il la détachait, il posa une main sur ses seins et commença à les caresser.
Tu aimes ça, hein. Petit cochon !
Libre, elle le poussa et prit son petit sexe avec ses doigts brûlants et très site ses lèvres englobèrent se bout de chair.
Oooh ! Qu'est-ce que j'aime ça .. ! Je sens mon petit oiseau va cracher ...
Elle le sentit gonfler de plaisir et ses palpitations le faire vibrer dans sa bouche.
Aah ! ... Oui, ouiii .. !
Il se déchargea et c'est à peine si elle pu étancher sa soif. Elle avala, mais ne lui fit pas le plaisir de montrer un quelconque plaisir à le faire.
Vous savez y faire avec les hommes ...
Et il s'éclipsa sans lui demander quoi que ce soit d'autre. Elle hésitait de quitter cette cave, mais elle finit par retourner dans sa chambre. Épuisée par « David et Goliath » , elle prit une douche et enfila une nuisette. Couchée sur son lit elle récapitula tout ce qu'elle savait.
Par hasard je découvre la drogue, mais même si je suis témoin, il me laisse en vie. Tant mieux pour moi ! Monsieur Lin-Chang m'avait menacé ... mais rien, si ce n'est d'être attachée et livrée à deux de ces hommes de main. Je dois en savoir plus !
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, elle sortit dans le jardin, à la recherche du nain. Elle était certaine qu'il avait la clé. Elle s'était donc habillée en conséquence pour le faire craquer, chemisier et très courte jupe. Elle finit par le trouver et entama son jeu de séduction.
Bonjour ! Belle journée !
... Bonjour ! Belle fleur du matin ! ...
... au sujet des fleurs, en voilà une de vraiment jolie, regarde là-haut !
Entre deux branches, une fleur énorme et magnifique. Elle tenta d'escalader l’arbre pour la cueillir, mais cela faisait partie de son jeu de séduction.
Faites attention ! Le sol est humide et glissant !
Je sais merci ... Je la tiens, presque ...
Elle monta sur les racines et se mettant sur la pointe des pieds, elle s'étira comme pour attraper cette fleur. Mais ce qui l’intéressait vraiment, c'est son chemisier sortant de sa jupe et dévoilant sa peau blanche et surtout pour que le petit homme ai à hauteur des yeux ses fesses et une vue sur son string. Le but maintenant était de tomber sans se faire mal, mais en lui laissant croire le contraire.
... J'y suis presque ... encore quelques centimètres. ... Aaahh ! ... Mon dieu, j'ai glissé ... Tu avait raison ... à ne pas t 'écouter ... je me suis fait mal à la cheville. ... Je crois que je me suis foulé la cheville. ... Oooh !
Fanny était à genoux et sa jupe était remontée sur son dos et se fesses ainsi que son sexe s'offrait à la vue de nabot ... mais il ne semblait pas convaincu !
Hum ! ... Elle cache quelque chose, elle s'offre trop facilement. Je dois me méfier. ...
Aidez-moi ! Ooh Peux-tu venir me masser ? Je crois que je me suis aussi cogné la cuisse. Aie ... j'ai vraiment très mal.
Le petit homme lança des cris en une langue qu'elle ne compris pas, sûrement du chinois.
Arrête tes conneries et viens m'aider. Allez ! ... Dépêche-toi ...
Elle se demandait ce qu'il attendait ! Elle lui montrait ses fesses et il ne réagissait pas. ... Mais soudain, elle compris ... Un chien de style dogue surgit des buissons et fonça sur elle les crocs sortis.
Aaaah ! ... Non ... non ... Pas ça ... non !
Elle se redressa et se réfugia contre l'arbre.
Non ! Non ! Arrêtez-le, je vous en supplie ... Arrêtez cette bête ...
Tuas triché, tu cherche quelque chose ... Je ne sais pas quoi, mais je vais te punir à présent ...
Il siffla et l'animal sauta sur Fanny, la faisant trébucher. Elle sentait ses griffes sur ses jambes et le souffle de sa respiration tout contre ses cuisses. La bête s'avança et lui lacéra sa jupe alors qu'il lui arracha son chemisier avec ses dents.
S'il vous plaît ... Je n'en peux plus ... arrêtez -le ...
Le contact de l'animal devenait humiliant, il bavait et elle tombait sur son string avant de ruisseler sur son sexe et ses cuisses. Mais le nain semblait y prendre plaisir.
Mais alors qu'elle pensait que le petit homme allait laisser ce chien s'en prendre à son intimité, il le rappela.
J'espère que vous avez bien appris la leçon. Il ne faut pas jouer avec moi. La prochaine fois, mon ami va s'amuser avec vous et il adore boire à la fontaine des jeunes femmes.
... d’accord ... j'ai compris ... mais ...
Il ne faut pas tenter la chance deux fois Mademoiselle, ça serait dommage ...
... Vous vous trompez ... J'avais besoin d'un homme. Je sens encore les effets de la poudre magique ...
Mmm ... d'accord ... Mais rappelez-vous ! Vous ne devez plus jouer au détective !
Je veux vous montrez que j'avais envie de vous ... Il ne faut pas se méfier de tout le monde ... tu as imaginé des histoire ... laisse-moi faire ... Détends-toi ... comme ça, oui ... relax ...
Fanny se fit très pressante, n'hésitant pas à lui baisser le pantalon et à prendre sa bite en bouche sans même lui demander la permission.
Ooohh ! Ta bouche est le plus tendre des fourreaux et elle est douce comme les pétales de la rose. ... Continue ! ... continue ! ... Oui ... c'est doux ... c'est beau ... Oooh ! ... Je vais ... je viens ... aaahh ! ... Mmm ! ...
Elle avala encore une fois ce qu'il lui donna et comme d'habitude ce fut très médiocre tant en quantité qu'en goût. Satisfait, le nain lui donna les derniers ordres.
Les ordres du maître sont d'être sage ...
Oui, mon petit ... Rassure-toi. Je n'aime pas les problèmes et j'adore la vie ... Bye !
Elle devait maintenant éviter le nain, il était devenu trop suspicieux. Mais peut-être que son ami Goliath, cette grosse boule de graisse, pourra l'aider à tout découvrir. Elle devait aller se changer, mettre de quoi lui faire tourner la tête et surtout le trouver. Car malgré qu'il était le copain du nain, elle était convaincue qu'il avait une toute petite cervelle en comparaison de sa masse de graisse et qu'elle pourrait en tirer avantage. Elle choisi une tenue sportive, un short cour, ainsi qu'un haut très ample. Il était plus que certain qu'elle le trouverai dans la salle de gym. Arrivé devant elle entendit des soufflements et cela lui rappela sa première rencontre. Elle en eu des nausées, mais elle prit son courage à deux mains entra et il était là, faisait des exercices.
Bonjour ! Il faut se tenir en forme, hein ! ... Moi aussi j'en ai besoin ...
Il lui répondu en japonais, ça commençait bien. Mais elle ne renonça pas et s'approcha de lui. Son short et son T-Shirt, bien que très simple, étaient aussi très malicieux. D'ailleurs les yeux du sumo étaient déjà posés sur elle.
Elle se coucha sur un tapis, face à lui et fit quelques exercices de jambes. Tout cela dans le but de lui faire deviner sa toison et lui montrer ses fesses. Il avait arrêter son entraînement et là regardait.
Vous êtes très belle mademoiselle, vous avez la souplesse du bambou.
Merci ... c'est très gentil ...
Maintenant, toujours au sol, elle fit des mouvements de bras et le T-Shirt glissa libérant ses seins. Il était séduit par sa poitrine opulente, par leurs pointes durcies à l’extrême.
Votre peau sous la lumière est la blancheur de la pureté.
Dans un dernier mouvement, elle s'étira au maximum, son ventre se dénuda e largement et l'élastique de son short était si bas, qu'il dévoilait le haut de son pubis. En suite elle se redressa et s'approcha de lui.
Pouvez-vous me dire si je fait bien ma série d'exercices ? Je ne voudrait pas me blesser par méconnaissance.
L'atmosphère commençait à chauffer. Et maintenant elle levait les bras, montrant son ventre, se baissait, dévoilant ses seins, jouait des hanches, faisant descendre son short.
Alors qu'en pensez-vous ?
Heu ... oui ... vous êtes parfaite ...
Mais je me demande ! ... L'autre jour ... aurais-tu pu profiter de moi si je n'avais pas étés attachée ?
Bien sûr, je suis champion et je plus fort de tous.
Elle se colla à lui et senti l'expression de son excitation.
J'aime l'orient ses coutumes, ses guerriers, mais surtout son art dans la décoration des coffres.
Sa main venait de glisser dans son mawashi et elle caressait son sexe déjà bien dur.
Il y a un de ces coffres dans la chambre jaune. ... en y a-t-il d'autres dans la maison ?
Heu ... Non ... Hhmmm ... Seulement dans cette chambre ...
Tu es certain que c'est le seul ?
Oui ... oui ... Chaque semaine Mr Lin-Chang le vend à un collectionneur et en achète un nouveau, mais toujours le même modèle.
Elle sentait son sexe grossir et palpiter de plus en plus dans sa main. Mais ne pouvant plus tenir, il retira sa main et l'attrapa par les hanches. La coucha sur un tapis et lui dévora la chatte.
Hhmmm ... vas-y ... rassure-toi tout ça restera entre nous. Mais pourquoi le même modèle ? Dis-moi !
Mmmm ... Tout ce que je sais ... Mmmm ... c'est qu'il vient de Hong-Kong. Et que c'est toujours la même personne qui vient le chercher.
Ooohh ! C'est bon ... mais ... mais qui ... ooohh ... qui vient ...
Mmm .. c'est ... quelqu'un de chez ... Mr McGrégor ...
Ooohhh ... Merci ... Hhmmm ... Ouiii ...
Elle simula un orgasme pour ne plus devoir supporter ce gros tas de graisse entre ses cuisses et lui satisfait et crédule, cru l'avoir comblé et la laissa se rhabiller.
Tu es extraordinaire ! ... Un vrai mâle ...
Toujours Yamamoto restera votre humble serviteur ...
Satisfaite des infos récolté, elle retourna réfléchir à tout cela.

A suivre ...