Hong Kong 3
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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Hong Kong 3
Aujourd'hui, je dois jouer le rôle de Chloé. Monsieur Fong m'a fait parvenir les accessoires. Une culotte et un soutien gorge en coton blanc, comme les jeunes filles en portaient jadis, et une robe mauve transparente. Un homme doit venir me chercher.
Il est habillé comme les souteneurs des années 50. Moi, je danse au milieu de la piste. Lui, il joue au poker. Il perd tout son argent. Les autres joueurs me regardent danser et me proposent comme enjeu. L'homme vient me chercher et me ramène près de la table de jeu. Ils se remettent à jouer. L'homme perd encore et je dois enlever ma robe. Il perd la partie suivante et ils réclament mon soutien gorge. L'homme passe derrière moi et dégrafe le sous vêtement. Je croise les bras sur ma poitrine pour le retenir. C'est alors, que deux hôtesses viennent me chercher. Chacune me prend la main. Elles me traînent sur la piste de danse. Elles ont chacune un verre à la main.
Les filles se collent contre moi et me parlent à l'oreille. La lumière devient tamisée. Nous dansons toutes les trois ensemble. Les filles me caressent les bras, le dos, les épaules. De temps à autre, elles portent leur verre à mes lèvres. Elles lèvent leurs bras au ciel et m'invitent à en faire autant. L'une d'elles se saisit de mes bras et les relèvent. L'autre s'empare du soutien gorge. Il ne me reste plus que la culotte. Les autres danseurs s'écartent et regardent la scène. J'ai l'air hébétée. Les bras toujours en l'air, les filles me font danser. Je me sens toute drôle. Je danse entre elles.
Je sens des doigts qui m'effleurent dans le dos. L'hôtesse derrière moi tente de saisir ma culotte. Je sursaute et baisse mes bras. L'autre fille me prend par les mains et me relève les bras à nouveau. Derrière moi, les mains de sa copine se posent sous mes aisselles. Elles me caressent en descendant lentement jusqu'à mes hanches. Ses doigts se glissent dans le fragile tissu et je fais un pas de côté pour esquiver. Devant, l'hôtesse tient toujours mes bras en l'air. L'autre me fait boire encore un peu de son verre, pose ses mains sur mes cuisses et me fait bouger un peu. Je me sens un peu cotonneuse. D'après Monsieur Fong, il ne devait y avoir que de l'eau dans les verres. Au goût, ça ressemblait bien à de l'eau. Mon visage se décomposa et l'hôtesse fit un signe à sa collègue.
Elle ramena ses mains sur mes fesses, et cette fois, je ne me dérobai pas. Elle se mit à genoux, et saisit ma culotte sur mes hanches. Lentement, lentement, elle la baissa jusqu'à mes pieds. L'autre fille me fit balancer d'une jambe sur l'autre et ma culotte disparut. L'hôtesse se releva et avec sa collègue, elles me reprirent par les mains. Elles écartèrent mes bras pour que tout le monde me voit nue, de face et de dos.
Les lumières se sont éteintes. Dans le noir, on m'a changé les vêtements. Ça ne devait pas se passer comme ça. Quand la lumière est revenue, j'étais couchée sur un matelas. Je portais un soutien gorge et un culotte rouge. Un homme tout habillé s'est approché et s'est agenouillé près de moi. Il a tiré sur ma culotte pour voir mon sexe. Je me suis dérobée. Le joueur de poker a fait irruption dans la pièce. Il m'a attrapée par le bras et m'a jetée sur le matelas. Il a saisi le soutien gorge et me l'a arraché. Je me suis retournée sur le ventre. Il a saisi ma culotte et a tiré dessus pour me l'enlever. Le scénario se poursuivait, conforme, quoique un peu trop réel. L'homme m'avait poussée sur le matelas avec un peu trop de force.
Je n'ai pas regardé l'homme retirer la ceinture de son pantalon. C'est quand j'ai reçu le premier coup de ceinture que j'ai compris. Monsieur Fong m'avait dit qu'ils avaient arrangé les scènes pour faire plus de public. Je ne savais pas à quel point. Je me mis à hurler et à me tortiller sous les coups. Mes larmes étaient des vraies larmes. Les spectateurs exultaient. Je n'avais jamais expérimenté ça. Mes fesses, mes seins et mes cuisses me brûlaient. Quand l'homme revint, il posa ses mains sur mes cuisses et les écarta. Il glissa ses doigts sur mon sexe. J'étais trempée. Il releva mes jambes et s'engagea entre elles. Il écarta aussi les siennes pour que tout monde voit ma chatte et mon anus. Il se coucha alors sur moi et enfonça sa bite. Chauffée à blanc par les coups, le passage de la bite entre les petites lèvres me survolta. J'ai transformé ce qui devait n'être qu'une scène de sexe banale en une sorte de viol sauvage.
J'ai pris l'homme dans mes bras et l'ai retourné sur le dos, sa bite toujours fichée en moi. Mes mains ont plaqué ses épaules sur le matelas. Ma moule montait et descendait le long de sa queue. Il écarta ses bras en croix, ravi. Mes mouvements étaient rapides et puissants. Il a joui. Je me suis dégagée. Le sperme coulait sur mes cuisses. J'ai tourné le dos au public et j'ai enjambé l'homme. J'ai écarté mes fesses avec mes mains et me suis assise sur la bite de l'homme. Lubrifiée par son propre sperme, la queue est entrée dans mon cul. Un éclair de lucidité m'a fait descendre lentement, faisant transpercer mon cul par le membre, centimètre par centimètre. C'est tout juste si les hommes de l'assistance ne se branlaient pas. Quand mes fesses touchèrent les cuisses de l'homme, je me suis activée. L' homme a joui dans mon cul, comme il l'avait fait dans ma chatte. Je continuai de glisser le long du pieu. Le sperme débordait. Lessivée, je suis tombée sur le côté.
Le pseudo souteneur, revient, la ceinture à la main. Il me fouette de nouveau et hurle :
- Nettoies-le !
A quatre pattes, les fesses bien relevées, je me faufile entre les cuisses de l'homme couché sur le matelas. Je passe un coup de langue sur le gland. Un coup de ceinture me cingle les fesses et je lèche le sperme. Ma langue passe sous les couilles et remonte vers le gland récupérant au passage les gouttes de semence. Chaque fois que j'arrive en haut, un coup supplémentaire me rappelle que je n'ai pas fini. Je recommence, encore et encore. Mes fesses sont striées des marques de la ceinture.
L'homme se lève et sort de la pièce. J'entendis alors le bruit caractéristique du micro que l'on ouvre.
- Chers invités ! Avant que pour notre plus grand plaisir, elle devienne Ô, ce soir, et pour le reste de la nuit, Chloé vous est offerte. Pas de violence, du sexe, encore du sexe, mais rien que du sexe.
A deux, à trois, et même une fois à quatre, j'ai subi les assauts des "invités". Quatre, vous vous demandez comment !
Le premier s'est couché sur le dos. Le second s'est allongé dans l'autre sens et ils ont croisé leurs jambes. Dans cette position, leurs bites se touchaient. Le premier à s'introduire en moi était debout dans mon dos. Il planta sa bite dans mon cul et, en tandem, nous nous sommes assis sur les deux hommes. Lui, sur les cuisses de l'un, moi sur les deux bites en même temps. Le quatrième, s'est planté debout devant moi et m'a fourré sa queue dans la bouche. Quand les hommes couchés se sont agités, les deux bites écartelaient ma chatte.
Après cette orgie, Monsieur Fong est venu me voir dans ma chambre. J'ai protesté.
- Ça ne devait pas se passer comme ça !
- Vous n'avez pas aimé ? Depuis que vous êtes arrivée, j'ai remarqué que mes petits arrangements vous mettaient en valeur et que vos sens appréciaient particulièrement. Au départ, la ceinture devait être factice. La rendre réelle ne vous a apparemment pas déplu. Votre corps et votre réaction en ont été les témoins. Si vous êtes d'accord, demain, il y aura deux séances. Vous connaissez les œuvres de V.... ? La scène de la petite Colette ? Ça vous va ?
- D'accord !
Le lendemain, la salle était transformée en chambre de jeune fille. J'étais couchée dans le lit, en pyjama, les draps et les couvertures repoussées, quand la directrice est entrée, suivie du docteur. Ma main, entre mes cuisses, était cachée par le pyjama en forme de robe. Le docteur souleva le tissu. Mes doigts étaient enfoncés dans mon sexe.
- Debout ! dit la directrice.
Je me levais et la directrice, prenant le vêtement de nuit par le bas, le fit passer par dessus ma tête et l'enleva. J'étais à poil.
- Approches, dit le docteur.
Je me plantais devant lui et m'attaquais à son pantalon. J'ai dégrafé sa ceinture et déboutonné sa braguette. J'ai baissé son slip. Sa queue pendait. J'ai laissé tomber le pantalon et le docteur a fini de se déshabiller tout seul.
- Je sais comment tu vas me réveiller ! me dit-il.
Il retira un lacet de sa chaussure.
- Mets-toi à genoux et assieds-toi sur les talons.
Il lia mes poignets avec le lacet puis retira la ceinture de son pantalon. Il entra dans le cercle que faisaient mes bras. Prenant sa bite à la main, il me dit :
- Allez !
J'ouvris la bouche et accueillis le membre flasque entre mes lèvres. Un premier coup de ceinture cingla mes fesses. Je tressaillis. Le sexe du docteur se réveilla. Au deuxième, je poussai un cri étouffé. La bite avait grossi et remplissait ma bouche. La vue de mes fesses rougies et le travail de ma langue le congestionnaient. Il maugréa :
- Relèves-toi, à genoux !
Il prit ma tête entre ses mains et ondula des hanches faisant glisser sa bite entre mes lèvres et sur ma langue. Au bord de la jouissance, il se retira de ma bouche.
- Vas t'allonger sur le lit ! ordonna-t-il.
Je relevai le visage vers lui, le regardai avec des yeux brillants, un petit sourire ironique et la langue qui léchait mes lèvres. En même temps, je caressai la ceinture.
- C'est pas vrai ! dit-il en se tournant vers la directrice. Une maso, nous avons de la chance ! Madame, le bruit ! ajouta-t-il.
La directrice souleva sa jupe et retira sa culotte. Elle s'approcha du lit, la fourra dans ma bouche et regagna son poste d'observation.
Je remontai sur le lit et me couchai sur le ventre. Je tournai la tête vers le docteur en relevant les fesses, les lèvres à demi closes, un filet de bave coulant sur le menton.
- Salope ! hurla-t-il, en m'assénant le premier coup.
Je plongeai la tête dans l'oreiller, simulant un cri de douleur étouffé, soulevant mes fesses, pour réclamer le coup suivant.
Mes fesses se soulevèrent de nouveau, afin de mieux s'offrir à la bande de cuir. Le docteur était au bord de l'apoplexie. L'avalanche de coups qui suivit, le laissèrent essoufflé. Il saisit sa queue dans sa main, la branla deux ou trois fois et m'inonda le dos et les fesses de son sperme chaud et collant.
La directrice était restée près de la porte. Tenant sa jupe relevée dans une main, elle avait glissé l'autre dans sa culotte et se masturbait. Elle se rapprocha du praticien et retint son bras.
- Arrêtez, vous vous faites du mal ! Votre cœur va lâcher !
Elle me prit par la main et ajouta :
- Et toi, vas prendre ta douche !
A poil, je suis sortie de la chambre, suivie du docteur et de la directrice.
Les lumières se sont éteintes sous un tonnerre d'applaudissements.
Il est habillé comme les souteneurs des années 50. Moi, je danse au milieu de la piste. Lui, il joue au poker. Il perd tout son argent. Les autres joueurs me regardent danser et me proposent comme enjeu. L'homme vient me chercher et me ramène près de la table de jeu. Ils se remettent à jouer. L'homme perd encore et je dois enlever ma robe. Il perd la partie suivante et ils réclament mon soutien gorge. L'homme passe derrière moi et dégrafe le sous vêtement. Je croise les bras sur ma poitrine pour le retenir. C'est alors, que deux hôtesses viennent me chercher. Chacune me prend la main. Elles me traînent sur la piste de danse. Elles ont chacune un verre à la main.
Les filles se collent contre moi et me parlent à l'oreille. La lumière devient tamisée. Nous dansons toutes les trois ensemble. Les filles me caressent les bras, le dos, les épaules. De temps à autre, elles portent leur verre à mes lèvres. Elles lèvent leurs bras au ciel et m'invitent à en faire autant. L'une d'elles se saisit de mes bras et les relèvent. L'autre s'empare du soutien gorge. Il ne me reste plus que la culotte. Les autres danseurs s'écartent et regardent la scène. J'ai l'air hébétée. Les bras toujours en l'air, les filles me font danser. Je me sens toute drôle. Je danse entre elles.
Je sens des doigts qui m'effleurent dans le dos. L'hôtesse derrière moi tente de saisir ma culotte. Je sursaute et baisse mes bras. L'autre fille me prend par les mains et me relève les bras à nouveau. Derrière moi, les mains de sa copine se posent sous mes aisselles. Elles me caressent en descendant lentement jusqu'à mes hanches. Ses doigts se glissent dans le fragile tissu et je fais un pas de côté pour esquiver. Devant, l'hôtesse tient toujours mes bras en l'air. L'autre me fait boire encore un peu de son verre, pose ses mains sur mes cuisses et me fait bouger un peu. Je me sens un peu cotonneuse. D'après Monsieur Fong, il ne devait y avoir que de l'eau dans les verres. Au goût, ça ressemblait bien à de l'eau. Mon visage se décomposa et l'hôtesse fit un signe à sa collègue.
Elle ramena ses mains sur mes fesses, et cette fois, je ne me dérobai pas. Elle se mit à genoux, et saisit ma culotte sur mes hanches. Lentement, lentement, elle la baissa jusqu'à mes pieds. L'autre fille me fit balancer d'une jambe sur l'autre et ma culotte disparut. L'hôtesse se releva et avec sa collègue, elles me reprirent par les mains. Elles écartèrent mes bras pour que tout le monde me voit nue, de face et de dos.
Les lumières se sont éteintes. Dans le noir, on m'a changé les vêtements. Ça ne devait pas se passer comme ça. Quand la lumière est revenue, j'étais couchée sur un matelas. Je portais un soutien gorge et un culotte rouge. Un homme tout habillé s'est approché et s'est agenouillé près de moi. Il a tiré sur ma culotte pour voir mon sexe. Je me suis dérobée. Le joueur de poker a fait irruption dans la pièce. Il m'a attrapée par le bras et m'a jetée sur le matelas. Il a saisi le soutien gorge et me l'a arraché. Je me suis retournée sur le ventre. Il a saisi ma culotte et a tiré dessus pour me l'enlever. Le scénario se poursuivait, conforme, quoique un peu trop réel. L'homme m'avait poussée sur le matelas avec un peu trop de force.
Je n'ai pas regardé l'homme retirer la ceinture de son pantalon. C'est quand j'ai reçu le premier coup de ceinture que j'ai compris. Monsieur Fong m'avait dit qu'ils avaient arrangé les scènes pour faire plus de public. Je ne savais pas à quel point. Je me mis à hurler et à me tortiller sous les coups. Mes larmes étaient des vraies larmes. Les spectateurs exultaient. Je n'avais jamais expérimenté ça. Mes fesses, mes seins et mes cuisses me brûlaient. Quand l'homme revint, il posa ses mains sur mes cuisses et les écarta. Il glissa ses doigts sur mon sexe. J'étais trempée. Il releva mes jambes et s'engagea entre elles. Il écarta aussi les siennes pour que tout monde voit ma chatte et mon anus. Il se coucha alors sur moi et enfonça sa bite. Chauffée à blanc par les coups, le passage de la bite entre les petites lèvres me survolta. J'ai transformé ce qui devait n'être qu'une scène de sexe banale en une sorte de viol sauvage.
J'ai pris l'homme dans mes bras et l'ai retourné sur le dos, sa bite toujours fichée en moi. Mes mains ont plaqué ses épaules sur le matelas. Ma moule montait et descendait le long de sa queue. Il écarta ses bras en croix, ravi. Mes mouvements étaient rapides et puissants. Il a joui. Je me suis dégagée. Le sperme coulait sur mes cuisses. J'ai tourné le dos au public et j'ai enjambé l'homme. J'ai écarté mes fesses avec mes mains et me suis assise sur la bite de l'homme. Lubrifiée par son propre sperme, la queue est entrée dans mon cul. Un éclair de lucidité m'a fait descendre lentement, faisant transpercer mon cul par le membre, centimètre par centimètre. C'est tout juste si les hommes de l'assistance ne se branlaient pas. Quand mes fesses touchèrent les cuisses de l'homme, je me suis activée. L' homme a joui dans mon cul, comme il l'avait fait dans ma chatte. Je continuai de glisser le long du pieu. Le sperme débordait. Lessivée, je suis tombée sur le côté.
Le pseudo souteneur, revient, la ceinture à la main. Il me fouette de nouveau et hurle :
- Nettoies-le !
A quatre pattes, les fesses bien relevées, je me faufile entre les cuisses de l'homme couché sur le matelas. Je passe un coup de langue sur le gland. Un coup de ceinture me cingle les fesses et je lèche le sperme. Ma langue passe sous les couilles et remonte vers le gland récupérant au passage les gouttes de semence. Chaque fois que j'arrive en haut, un coup supplémentaire me rappelle que je n'ai pas fini. Je recommence, encore et encore. Mes fesses sont striées des marques de la ceinture.
L'homme se lève et sort de la pièce. J'entendis alors le bruit caractéristique du micro que l'on ouvre.
- Chers invités ! Avant que pour notre plus grand plaisir, elle devienne Ô, ce soir, et pour le reste de la nuit, Chloé vous est offerte. Pas de violence, du sexe, encore du sexe, mais rien que du sexe.
A deux, à trois, et même une fois à quatre, j'ai subi les assauts des "invités". Quatre, vous vous demandez comment !
Le premier s'est couché sur le dos. Le second s'est allongé dans l'autre sens et ils ont croisé leurs jambes. Dans cette position, leurs bites se touchaient. Le premier à s'introduire en moi était debout dans mon dos. Il planta sa bite dans mon cul et, en tandem, nous nous sommes assis sur les deux hommes. Lui, sur les cuisses de l'un, moi sur les deux bites en même temps. Le quatrième, s'est planté debout devant moi et m'a fourré sa queue dans la bouche. Quand les hommes couchés se sont agités, les deux bites écartelaient ma chatte.
Après cette orgie, Monsieur Fong est venu me voir dans ma chambre. J'ai protesté.
- Ça ne devait pas se passer comme ça !
- Vous n'avez pas aimé ? Depuis que vous êtes arrivée, j'ai remarqué que mes petits arrangements vous mettaient en valeur et que vos sens appréciaient particulièrement. Au départ, la ceinture devait être factice. La rendre réelle ne vous a apparemment pas déplu. Votre corps et votre réaction en ont été les témoins. Si vous êtes d'accord, demain, il y aura deux séances. Vous connaissez les œuvres de V.... ? La scène de la petite Colette ? Ça vous va ?
- D'accord !
Le lendemain, la salle était transformée en chambre de jeune fille. J'étais couchée dans le lit, en pyjama, les draps et les couvertures repoussées, quand la directrice est entrée, suivie du docteur. Ma main, entre mes cuisses, était cachée par le pyjama en forme de robe. Le docteur souleva le tissu. Mes doigts étaient enfoncés dans mon sexe.
- Debout ! dit la directrice.
Je me levais et la directrice, prenant le vêtement de nuit par le bas, le fit passer par dessus ma tête et l'enleva. J'étais à poil.
- Approches, dit le docteur.
Je me plantais devant lui et m'attaquais à son pantalon. J'ai dégrafé sa ceinture et déboutonné sa braguette. J'ai baissé son slip. Sa queue pendait. J'ai laissé tomber le pantalon et le docteur a fini de se déshabiller tout seul.
- Je sais comment tu vas me réveiller ! me dit-il.
Il retira un lacet de sa chaussure.
- Mets-toi à genoux et assieds-toi sur les talons.
Il lia mes poignets avec le lacet puis retira la ceinture de son pantalon. Il entra dans le cercle que faisaient mes bras. Prenant sa bite à la main, il me dit :
- Allez !
J'ouvris la bouche et accueillis le membre flasque entre mes lèvres. Un premier coup de ceinture cingla mes fesses. Je tressaillis. Le sexe du docteur se réveilla. Au deuxième, je poussai un cri étouffé. La bite avait grossi et remplissait ma bouche. La vue de mes fesses rougies et le travail de ma langue le congestionnaient. Il maugréa :
- Relèves-toi, à genoux !
Il prit ma tête entre ses mains et ondula des hanches faisant glisser sa bite entre mes lèvres et sur ma langue. Au bord de la jouissance, il se retira de ma bouche.
- Vas t'allonger sur le lit ! ordonna-t-il.
Je relevai le visage vers lui, le regardai avec des yeux brillants, un petit sourire ironique et la langue qui léchait mes lèvres. En même temps, je caressai la ceinture.
- C'est pas vrai ! dit-il en se tournant vers la directrice. Une maso, nous avons de la chance ! Madame, le bruit ! ajouta-t-il.
La directrice souleva sa jupe et retira sa culotte. Elle s'approcha du lit, la fourra dans ma bouche et regagna son poste d'observation.
Je remontai sur le lit et me couchai sur le ventre. Je tournai la tête vers le docteur en relevant les fesses, les lèvres à demi closes, un filet de bave coulant sur le menton.
- Salope ! hurla-t-il, en m'assénant le premier coup.
Je plongeai la tête dans l'oreiller, simulant un cri de douleur étouffé, soulevant mes fesses, pour réclamer le coup suivant.
Mes fesses se soulevèrent de nouveau, afin de mieux s'offrir à la bande de cuir. Le docteur était au bord de l'apoplexie. L'avalanche de coups qui suivit, le laissèrent essoufflé. Il saisit sa queue dans sa main, la branla deux ou trois fois et m'inonda le dos et les fesses de son sperme chaud et collant.
La directrice était restée près de la porte. Tenant sa jupe relevée dans une main, elle avait glissé l'autre dans sa culotte et se masturbait. Elle se rapprocha du praticien et retint son bras.
- Arrêtez, vous vous faites du mal ! Votre cœur va lâcher !
Elle me prit par la main et ajouta :
- Et toi, vas prendre ta douche !
A poil, je suis sortie de la chambre, suivie du docteur et de la directrice.
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