Hôtesse de l'air

- Par l'auteur HDS Trekkie -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Hôtesse de l'air Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Hôtesse de l'air
À la retraite depuis peu, j'ai aujourd’hui envie de me confier, de raconter ce qu'était la d'une hôtesse de l'air au cours des années 1950.
A cette époque, le métier d'hôtesse de l'air était magique pour les jeunes filles... Nous étions prêtes à tout pour réussir. Et les interviews d'embauche étaient souvent particulier.
Ainsi mademoiselle, vous désirez rejoindre notre grande et belle famille ?... Nos fille doivent être belles... Hum... Vous l'êtes ! Et nos clients apprécient les jeunes pucelles comme vous...
Le recruteur, me caressait les seins et je n'osais pas le repousser.
Car vous l'êtes n'est-ce pas ?
C'est que... Oui, je suis vierge, monsieur.
Vous ne paraissez pas sûre de vous... Si vous refusez , je passe à la suivante...
Je tenais tant à cette place que je le laissait faire... Ses grosses pattes poilues relevaient ma jupe et faisaient glisser mon slip...
Ta chatte est bien poilue... J'aime ça... Écarte les cuisses que je puisse vérifier...
Malgré moi j'éprouvais des frissons inconnus, il faut dire que mon fiancé osait à peine me caresser les seins...
Désolé, mais il faut que j'y mette les doigts... Hé, c'est que tu mouilles...
Les doigts dans ma chatte, il constata que je ne lui avis pas menti.
Mmm... Tu es encore inutilisée... comme neuve...
Je ne savais plus où j'étais, pour la première fois un étranger touchait à ma fente...
Je ne peux pas te laisser comme ça... Tu vas voir comme c'est meilleur avec la langue...
Il avait raison. Il devait avoir l'habitude de faire vibrer les filles qui défilaient dans son bureau...
Aaaaah ! C'est trop fort... Je ne me contrôle plus...
Laisse-toi aller... Prends tes nichons, c'est encore meilleur.
Toute force m'ayant abandonnée, je libérais mes seins aux pointes tendues par le plaisir...
Avec une paire de roberts comme les tiens, tu vas faire un malheur sur la ligne.
Il me considérait déjà comme embauchée... que c'était bon... dans tous les sens du terme. Pendant ce temps, ses gros doigts malmenaient mes bouts alors que ses dents titillaient mon clito en feu...
Aaaah, je jouis !
Pour la première fois, j'ai pris mon pied avec un partenaire. C'était bien autre chose que mes caresses furtives, avant de m'endormir.
Te voilà des nôtres, petite ! Avant de partir, passe à l'atelier de couture. Maria va te mijoter un uniforme digne de tes formes... Dans huit jours, tu voles vers l'Algérie !
Merci monsieur, merci pour tout...
Le corps poisseux, je me suis rendue chez Maria. Le bonheur d'entrer dans la compagnie et la jouissance que je venais de ressentir me rendaient euphorique...
Bonjour, je suis une nouvelle hôtesse...
Viens... Je vais pas te manger, tu vas te déshabiller que je puisse prendre tes mesures... Tu enlève tout...
Elle inspectait mon corps avec une impudeur qui me faisait trembler.
Tu devrais faire du cinéma avec un corps comme l tien...
Elle me palpait, me caressait et je sentis sa main se glisser entre mes cuisses.
C'est bien humide là-dedans... on t'aurait pas fait le coup de la virginité ? Ce vieux cochon doit de branler en pensant à ta chatte.
Et plus se doigts se faisaient précis,plus mon corps réclamait de nouvelles caresses.
Avec tous les types qui vont te vouloir, tu ne vas pas la garder longtemps ta virginité...
Et alors qu'elle prenait mes mensurations, je regrettais déjà qu'elle ait abandonné ses attouchements.

J'avais gagné ! J'étais engagée ! Huit jours plus tard. Je prenais mon service sur un Super Constellation, destination Alger.
Faut pas avoir peur... Le commandant Laurens est un chic type. Tu vas vite aimer l'équipe !
Le steward avait raison, j'ai très vite été adoptée par l'équipage et surtout par le commandant. Je le trouvais pourtant fort distant avec moi. Il était beau dans son uniforme.
Le soir, après le repas prit en équipe, dans mon lit, je me caressais en pensant au commandant Laurens, mon beau commandant.
Le steward, Michel, n'avait pas autant de scrupules à me faire la cour.
Laisse-moi prendre un dernier verre dans ta chambre...
Et trop faible pour refuser, j'ai finis par le laissé entrer. En refermant la porte, j'ai croisé le regard du commandant, qui passait dans le couloir, il semblais triste.
Tu permets... J'ai une soif pas possible !
Mon uniforme me colle... Je reviens dans un moment...
Fais comme chez toi ma poulette !
La seule pensée de savoir un homme dans ma chambre me faisait mouiller. Au fil des voyages, mon corps réclamait un mâle pour faire de moi une femme... Pourquoi pas lui ? Ils avaient raison, mes collègue, être vierge à 20 ans, ce n'était pas sérieux. Je n'aimais pas Michel, mais il était assez beau pour me donner du plaisir. J'ai enfilé un déshabillé transparent et je suis retourné dans la chambre. Le mufle ! Il était déjà couché dans le lit, probablement à poil sous les draps.
Whaou... Sacrée paire de bichons ! Viens, j'ai tellement envie de toi !
Au final, ses lèvres étaient douces, ses mains habiles, très vite je l'ai désiré.
Prends ma queue... en as-tu vu d'aussi grosses ?
Comment lui avouer que je n'avais pris un sexe d'homme en main, pas même celui de mon fiancé, bien trop coincé. Après que je l'avoir branlé, sa bouche s'est emparée de ma chatte déjà humide. Pour ne pas avoir l'air idiote, j'ai pris à mon tour son gros sexe entre mes lèvres. Cet énorme truc qui me remplissait la bouche, cette langue qui me fouillait le sexe, je n'étais plus moi-même, mais une fille des rues, une putain avide de plaisir.
Arrête... Sinon je t'envoie tout dans la bouche... Tu veux toujours ma queue en toi ?
Oui !... Prends-moi ! Fais de moi une femme !
Lorsque son gland a effleuré mes lèvres intimes, j'ai ressenti une première jouissance.
Toi, t'es chaude... Tu vas faire une belle baiseuse.
Ne parle plus... Prends-moi... Je te veux en moi.
Tu vas en prendre plein la chatte, ma poulette !
La douleur fut très brève... en sentant l'engin en moi, j'ai su que, désormais, je ne pourrais plus jamais me passer de cette merveilleuse sensation...
Chéri... C'est si gros, si fort... encore plus vite...
Doucement, si tu ne veux pas que je te fasse un gosse...
Oooooh... Comme c'est bon... Je vais jouir... Ouiiii...
Moi aussi... Prends bien tout...
J'ai connu un nouvel orgasme en voyant gicler pour la première fois son foutre sur mon corps dénudé...
Dis moi, toi qui navigue depuis de longues années avec le commandant. Pourquoi est-il aussi changeant ?
Sa vie est un drame ! Aviateur pendant la guerre, il s'est crashé... Il a survécu ; mais il a perdu sa virilité... sa femme l'a plaqué...
Le pauvre ! Je comprends sa tristesse...
Bah ! I se console en organisant des partouzes avec les arabes... C'est un voyeur, mais aussi un soda-maso de première... Mais pensons plutôt à nous... vois comme ma queue se redresse... tu n'en n'as pas envie ?
Nous avons refait l'amour, mais le plaisir n !'est pas venu. Je pensais au commandant Laurens et à ses jeux pervers...
Le jour suivant, je me suis refusée à Michel. Je voulais aider Laurens, mais était-ce seulement cela ?
Eh bien, Martine, nous sommes les derniers à quitter l'appareil.
Je... je voudrais vous parler... Je sais ce que vous faites, parfois, le soir...Je vous aime, je veux mieux vous connaître... Laissez-moi vous accompagner...
Êtes-vous prête à vous donner à d'autres hommes devant moi ? À goûter au fouet ? Vous êtes trop sage pour cela, fillette !
Oui et encore oui... Je suis prête à vous suivre !
Je ne sais quelle folie m'a dicté de le suivre dans son jeu, de la provoquer...
Alors venez ! On m'attends en ville...
Je ne voyais pas la ville grouillante... J'étais impatiente de découvrir le secret de Laurens... En entrant dans la grande pièce sombre, j'ai senti la peur, la vraie, s'emparer de moi...
Ils t'attendent, commandant... Combien faudra-t-il de filles ?
Aucune ! J'ai ce qu'il faut avec moi...
La femme qui venait de nous accueillir m’observait de ses yeux sombres...
Mes fils vont être comblés par ce présent... Peu de blanches acceptent de forniquer avec les arabes.
Je voulais fuir, mais cet endroit , mais la curiosité m'en empêchait... La femme m'invita à la suivre et me prépara... L'eau froide sur mon corps nu me faisait frissonner...
Belle... tu es très belle... mes fils vont te faire vibrer... Ce parfum accentue le désir de l'homme. Tu vas vivre des heures de folie auprès du commandant... Mais viens à présent les hommes attendent ta venue...
En entrant dans la salle, j'ai vu les trois hommes observant mon corps que le vêtement transparent révélait, leurs queues montreuses et bandantes m'ont donné envie de fuir. Dans un coin, assis sur une simple chaise, Laurens observait sans faire le moindre geste.
Elle est à vous ! Surtout ne la ménagez pas ! C'est une salope qui rêve de se faire mettre par des arabes.
A genoux ! Bouffe nos belles bites !
Obéis ! Sinon tu goûteras du fouet !
Docilement, j'ai pris en bouche tour à tour les trois monstres circoncis sous le regard vide du commandant.
Bien à fond ! Montre leur que tu es une belle salope !
Salope ! Il prononçait ce mot d'une façon sale qui malgré moi me faisait mouiller... Satisfaite de ma prestation, ils m'ont placée sur le lit. Je me sentais avilie et pourtant j'avais envie qu'ils m'offrent leurs belles queues.
Tu vas me chevaucher, pouliche blanche !
Son énorme truc est lentement entré en moi. Je savourais en râlant cet instant sublime.
Aaaaah...
Hum... Par Allah, cette fille est toute ruisselante de mouille !
J'ai moins apprécié quand un autre membre vigoureux qui est venu buter contre mon petit trou...
Non ! Par derrière... Je ne l'ai jamais fait...
Ferme là ! Prends ça et laisse-toi enculer !
Une bite en bouche, une autre dans la chatte et la main du troisième frère prenait mon jus qui dégoulinait de ma fente afin d'en enduire son sexe. Et malgré sa taille imposante la queue est entrée en moi. J'ai senti le ventre poilu de l'homme buter contre mes fesses. La douleur vive mais brève fut très vite remplacée par un plaisir inconnu.
Laurens avait raison, j'étais bien une salope prise par trois arabes et qui aimait ça.
Celui qui s'occupait de ma bouche s'est le premier vidé en moi, m'obligeant à boire jusqu'à la dernière goutte. J'ai pris mon pied en sentant le foutre du second remplir ma chatte en feu et un second orgasme m'a anéanti lorsque le dernier s’est vidé dans mon fondement. Épuisée, je leur ai offert la vue de mon corps dénudé, tremblant encore d'avoir éprouvé tant de jouissance. Insatiables, ils sollicitaient déjà de nouvelles caresses. Et bien plus tard il m'ont abandonnée couvertes de leurs spermes et brisée par des heures de baise.
A présent à nous deux, putain !
Prends-moi ! C'est pour toi que j'ai fait l'amour avec ces trois arabes, pour que tu me fasses jouir ! Viens !
Je vais te punir pour t'être vautrée avec ces types !
Sans relâche, le fouet lacérait mon corps nu. Avec habileté, Laurens visait les endroits les plus sensibles.
Toutes les mêmes ! Dues queues ! Encore des queues ! C'est tout ce que vous voulez !
Enfin, les coups ont cessé, Laurens semblait se réveiller d'un terrible cauchemar... Il observait mon corps lacéré comme un enfant qui a commis une faute.
Pardonnez-moi, Martine. Je ne savais pas ce que je faisait... Cette guerre m'a brisé !
L'onguent préparé par la femme me faisait du bien. Laurens était redevenu l'homme séduisant et doux que je connaissais.
Après cette cruelle expérience, je ne supportais plus la vue de Laurens. J'ai obtenu une mutation sur la ligne américaine de la compagnie.
Depuis ma triste aventure algérienne, les hommes ma faisaient peur... C'est peut-être pourquoi j'appréciais la présence de Nicole, ma collègue. Son corps frôlait délicieusement le mien, faisant naître en moi d'étranges sensations.
Un jour, dans la zone de préparation des repas, elle se lança...
Tu dois avoir une belle paire de seins... Les miens sont trop petits... regarde, pas plus gros que des petits pois... Fais-moi voir les tiens !
Troublée, je me suis laissée faire dénudant à mon tour mes nichons.
Comme ils sont beaux ! Te voilà toute émue ; sens comme tes bouts sont durs !
Au contact de ses doigts sur mes mamelons, un frisson a parcouru mon corps.
Noooon, il ne faut pas... Le steward peut venir...
Elle se pencha sur ma poitrine et me suça les tétons.
Penses-tu ! Il drague à l'autre bout de l'avion... Toujours avec les premières classes...
Hum...
Privée de plaisir depuis trop longtemps, je me suis laissée faire... Elle glissa sa main dans ma culotte et j'ai serré les cuisses pour qu'elle ne puisse pas la retirer.
Hum... Nooon... C'est trop fort... Je jouis....
Tu vas voir comme c'est bon de faire l'amour avec moi !
Le soir à 'escale de New-York, nus partagions la même chambre... impudique, Nicole m’offrait la vue de son corps dénudé, alors que je l'attendait en déshabillé couchée sur le lit.
Bouffe-moi la chatte ! Sens comme je mouille pour toi.
Dégoûtée au début, j'ai très vite apprécié le parfum épicé du plaisir de mon amie... Ses râles ma laissaient panser qu'elle aimait les caresses de la débutante que j'étais encore.
Mon clito ! Tu me fais vibrer comme une dingue... Je jouis chériiiie...
Le temps qu'elle reprenne ses esprits et elle enleva ma culotte.
Viens ! À mon tour de te travailler le minou.
Nicole était douce, elle savait agacer les endroits les plus sensibles. J'ai connu plusieurs orgasmes avant de demander grâce.
Assez... C'est trop... Mon cœur va lâcher... Aaaaaahh !
Dès lors, aussitôt libérée de notre travail, nous courions à l'hôtel, afin de nous aimer jusqu'à épuisement... Comme bien des lesbiennes, Nicole était d'une jalousie maladive.
Tu as encore été très gentille avec le steward... Ce type ne pense qu'à te sauter !
Tu te trompes et puis ce type n'a aucune chance avec moi. ! Viens, j'ai envie de ta chatte !
Je prenais toujours beaucoup de plaisir sous ses caresses, mais au fil des jours, la présence d'une bonne queue entre mes cuisses s'imposait. Je la gouinais en pensant que je m'ouvrais à un sexe triomphant.
Bernard le co-pilote, me plaisait. Parfois, il me coinçait, me pelotant sans vergogne.
Cette foi-ci tu ne vas pas pouvoir refuser. Sens comme tu me fais bander. Dans cinq minutes dans le WC arrière.
Je sentais cette queue qui devait être énorme tant elle tendait le tissu de son pantalon... Ces cinq minutes figurent parmi les plus longues de ma vie. Je n'arrivais pas à chasser de mes pensées cette queue que mes doigts avaient caressé seulement quelques secondes. Je me répétais que je ne devait pas y aller, je n'était plus une fille qui allait se laisser sauter comme ça. Mais le désir était trop fort.
Je savait que tu viendrais... tu as vu l'engin ! Vite ! Nous n'avons pas le temps de finasser.
Il était le pantalon sur les chevilles et je relavais ma jupe pour baisser ma culotte et lui offrir ma chatte ruisselante..
-Tu as une sacrés paire de fesses ! Et ça ruisselle là-dedans !
Il avait raison,au cours de ces dernières minutes, j’avais malgré moi mouillé et maintenant lui montrer mes fesses m'excitait. Il s’assit sur le WC et je suis venue l’empalée sur son sexe.
Doucement... Enfonce-toi ma grosse queue doucement... Sens comme elle te remplis...
J'éprouvais un bonheur total à sentir son énorme bite écarter mes lèvres intimes trop longtemps négligées.
Tu l'as toute entière... Tu la sens bien ?
Oh oui... Elle est bien dure...
Vas-y ! Remue bien ton cul !
Le salaud, il venait de m'enfiler un doigt dans mon petit trou, et son autre main qui s'occupait de mes nichons.
C'est bon... Tu es étroite et chaude.
C'est alors que son foutre m'a arrosé provoquant un orgasme intense. Je me suis mordue les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir. Il m'en avait mit tant que son jus coulait de ma chatte sur mes cuisses.
Depuis le temps que j'avais envie de te la mettre !
C'est en sortant de l'étroit local que les choses se sont gâtées. Nicole nous vit sortir...
Garce ! Oser me faire ça !
Mais nous avons continué à baiser ensemble. Elle m'avait fait une scène et puis s'était calmée. Nicole me surveillait maintenant, joue et nuit. Sa jalousie était telle que je ne parvenais plus à jouir dans ses bras.
Tu penses encore à ce connard de Bernard ?
Non... Je suis fatiguée...
Une nouvelle aventure m'a permis de fuir mon envahissante maîtresse. Depuis quelques semaines un riche texan me courtisait lors de ses fréquents voyages en Europe... J'ai fini par accepter de passer mes vacances dans son ranch.
Tu es ici chez toi ! Tu vas voir la vie est agréable à Yuccah ranch.
Bill était un homme parfait, je savais pourtant qu'il espérait bien être remercié intimement et puis la présence de ce mâle auprès de moi commençait à me titiller. Ce soir là, la chaleur m'empêchait de dormir... Je me suis caressée mais j'avais besoin de quelques chose de plus consistant. Je voulais la queue de Bill, je me suis donc levée et j'ai été jusque dans sa chambre.
Bill... Je peux venir près de toi ?
Martine ! Je désespérais de connaître ce bonheur.
Ne bouge pas... Laisse-moi faire.
Impatiente de découvrir sa virilité, j'ai fait glisser son slip.
Oh quel morceau ! Tu ne m'avais pas dit que tu étais aussi bien pourvu...
Je n'avais jamais tenu un sexe aussi énorme, à la fois long et épais. Bill avait de quoi contenter une honnête femme. Avec lenteur, je me suis empalée sur ce monstre de chair et de sang, savourant chaque centimètre gagné en moi.
Personne ne m'a autant rempli la chatte que toi...
Alors vas-y ! Sois une bonne jument !
Ok, cow-boy, tu vas voir que les françaises sont aussi bon cow-boy que les yankees !
L'engin monstrueux coulissait de plus en plus vite dans ma fente lubrifiée. J'étais proche de l'orgasme lorsqu'un intrus est arrivé.
Steve ! Quelle surprise ! Ta mère t'a laissé quitter ses jupons ?
Je ne savais plus où me mettre. Le garçon observait mon sexe encore écartelé par le membre de son père.
Steve est mon fils... Il vit à New-York avec sa mère. Tu vois ton vieux père plaît toujours aux jolies filles...
Je vous laisse... Vous devez avoir bien des choses à vous dire...
Je me suis retrouvée seule, frustrée d'une jouissance, le corps avide de caresses... J'aurais tellement voulu sentir sa queue gicler en moi. Insatisfaite par le plaisir solitaire que je m'étais offert, je me suis endormie.
Le lendemain matin...
Que tu es belle ...
Toi ! Que fais-tu dans ma chambre ? Ton père...
Il est en ville... Dès que je suis au ranch, il trouve toujours un rendez-vous ailleurs. Désolé de t'avoir surprise dans ton sommeil.
Ce n'est rien... Passe-moi mon short !
Pourquoi faire ? Je peux terminer ce que ce vieux Bill n'a pas fait. Ivre comme il va être à son retour, il sera incapable de bander !
Non... il ne faut pas...
Je voulais lui résister, mais sentir son jeune sexe dressé sous le short me rendait folle de désir. Et ce fut d'autant plus difficile quand il sorti sa bite.
Sens comme je te veux !
Il... il ne faut pas...
Bien que moins impressionnant que celui de son père, il faisait monter en moi de délicieux frissons.
Tu sais c'est la première fois qu'une fille me prend dans sa bouche.
Après avoir connu des hommes expérimentés, je découvrais l'amour aux côtés d'un garçon jeune et vigoureux. Pendant plusieurs heures nous avons baisé comme ses dingues. Nous nous sommes endormis au petit matin, épuisés. Au réveil, Bill avait disparu nous laissant un chèque et deux billets pour New-York.
Le vieux a dû nous voir au pieu ! Désolé chérie !
Je suis restée quelques jours avec mon jeune amant, mais les vacances se terminaient, il a bien fallu que je reprenne le travail... J'ai revu Bill dans l'avion, mais il a fait semblant de ne pas me connaître. De vraies têtes de mules des texans !
Avec Nicole ce fut différent. Dès mon retour, elle s'est faite câline.
Chérie, comme tu m'as manqué... Toutes les nuits j'ai rêvé de tes beaux nichons.
Pas moi ! Je me suis faite remplir par des bites énormes qui m'ont fait jouir comme une dingue !
Méchante ! Je saurais te redonner goût à nos folles étreintes... Viens, sens comme je mouille pour toi.
Terminé chérie ! J'ai compris qu'il fallait une bonne queue pour bien prendre mon pied !
Sans cesse, elle revenait à l'attaque, finissant par me troubler ? J'avais de plus en plus de difficultés à la remettre en place.
Hum... Non...
Salope ! Tu es toute humide...
J'étais prête à rendre les armes. Je devais trouver le moyen d'éloigner cette fille qui savait si bien me troubler.
Si je mouille ce n'est pas pour toi... Un passager doit me rejoindre ici...
Menteuse ! Tu veux me rendre jalouse !
Chiche ? Planque-toi, je reviens !
Prise à mon propre piège, je me suis dirigée vers un beau noir qui depuis le départ me draguait... Je l'ai attiré dans la partie personnel où était cachée Nicole.
Alors, comme ça, je te plais ?
Oui, j'ai envie de toi... vite ! Quelqu'un peut venir...
J'ai sorti sa queue de son pantalon et lui ai offert mes fesses.
Vas-y ! Plante toi bien au fond de ma chatte...
Son sexe m'a donné beaucoup de plaisir d'autant plus que j'imaginais la tête de Nicole...
Plus fort... oui, comme ça... c'est trop bon, je vais jouir... Aaaaaah ! Que tu es bon...
Derrière un rideau, Nicole était furieuse et réfléchissait déjà à se venger de cette putain de garce.
Qu'est-ce que tu m’as mis ! C'est court, mais ça fait du bien.
C'est à ce moment, alors que nous nous rhabillions encore que nous fûmes surpris par le commandant.
Martine ! Comment pouvez-vous vous livrer à de telle turpitudes à bord de mon avion. Je n'osais croire Nicole, mais...
C'est cette garce qui voulait ma chatte, j'ai préféré me faire baiser par monsieur.
Mais le commandant Dubard était à cheval avec le règlement. Dès le lendemain, j'étais invitée à passer chez le chef du personnel. Il était toujours là avec ces grosses mains poilues et son sourire salace.
Hum... Rapport accablant, mademoiselle... Je savais bien que tu étais une bonne affaire.... Viens près de moi...
J'étais prête à tout ce qu'il voulais afin de conserver mon emploi.
Je veux bien faire quelque chose pour toi, mais il va falloir être une gentille fille.
Il glissa ses mains sous ma jupe, la releva, fit glisser ma culotte et me retourne pour m'accouder sur le bureau.
Je vais commencer par te punir. Couche-toi sur le bureau et montre moi tes jolies fesses.
Je devais être obscène dans cette position humiliante. Mais qu'importe puisqu'il l'exigeait. Je serrais les dents quand j'ai senti les premiers coups de martinet qu'il faisait tomber sur mes fessesTon petit cul est tout rouge, sale petite vicieuse !
Quand les coups ont enfin cessé, je n'entendais plus que le souffle du chef du personnel, ce vieux salaud se masturbait tout en lorgnant sur mon petit cul meurtri.
Petite garce, tu l'as eue ta punition... Dis-moi que tu ne recommenceras plus à te faire sauter dans l'avion, dis-le moi...
Oh non, monsieur. Je ne ferais plus de telles choses dans les avions.
Et là, je sentis son foutre chaud venir s’écraser sur mes fesses. À son contact, j'ai senti monter en moi le désir de jouir.
Sauve-toi et que je ne revoie plus dans ce bureau !
Je me suis réajustée dans les toilette, mais uniquement après m'être fait jouir en me caressant le clito.
C'est bon... ça ne vaut pas une bonne bite, mais ça soulage.
J'ai conservé mon travail, mais je me suis retrouvée sur une obscure ligne de province.
Au cours de ces année, j'ai multiplié les amants, ne vivant que pour le sexe. Et puis Michel est arrivé. J'ai tout de suite aimé sa façon de me faire l'amour et peu à peu, j'ai abandonné mes amants de rencontre, pour me donner tout entière à lui.
Nous fréquentions les boîtes échangistes, ce qui me permettait d'assouvir mes pulsions sexuelles sans le tromper.
Ces deux types ne te quittent pas des yeux.
Tu veux que je les dragues ?
Il glissa sa main dans ma culotte.
Vas-y ! Je suis certain que ta chatte est déjà brûlante de désir.
C'est triste d'être seul... Laissez-passer m'occuper de vous.
Toi tu es une sacrée vicieuse.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j'avais une queue en bouche et 'autre dans la chatte. Michel nous observait tout en se masturbant sans jamais se laisser aller à la jouissance. Sa présence me rendait dingue. Nous nous retrouvions dans la voiture et j'étais encore souillée du foutre de mes amants Nous nous arrêtions dans un coin reculé d'une bois et...
C'est chouette ici... nous serons tranquilles.
Il me faisait alors me pencher sur le capot de la voiture, lui offrant le spectacle de mes fesses dénudées encore humides du plaisir de la soirée.
Je vais te la mettre putain chérie !
J'étais prête à m'offrir à la terre entière pour goûter à cet instant sublime où je sentais la queue de mon mari pénétrer ma chatte.
Ouiiii ! Prends-moi... Tu es le meilleur...
J'étais vraiment une femme comblée.
Depuis quelques années nous avons abandonné ces habitudes, Michel se consacre à son jardinage et moi,je me caresse en pensant au passé. Mais le soir venu il continue à ma labourer et à m'arroser tout comme au début.

Fin.

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