II – Tribulations sexuelles
Récit érotique écrit par Guts - Perledo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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II – Tribulations sexuelles
Une larme d’eau glisse le long de la fenêtre… la buée la recouvre… nos plaisirs ont chaudement augmenté la température de la pièce.
Nous prenons une douche froide ensemble, ses mains me caressent en me lavant agréablement, avec une douceur extrême. Ma peau frisonne à son contact. Essuyée, propre comme un sou neuf, il me parfume de gouttes de Shalimar, parfum enivrant et sensuel.
Monsieur me donne à boire… la froideur du champagne fait un bien fou et la douce euphorie en moi, augmente. Quelques perles de fraîcheur s’échappent sur ma peau quand il me donne la coupe à boire. Elles sont happées par Monsieur, qui n’hésite pas à mordiller la chair. Les marques de ses dents restent visibles quelques instants et disparaissent de mon cou.
Après nos tribulations sensuelles (voir chapitre I)… nous nous restaurons légèrement avec quelques amuse-gueules délicieux, après nous avoir revêtus partiellement.
Mais le désir, le plaisir est toujours présent…
Et sans attendre plus, nos instincts reprennent le dessus.
Monsieur attrape mes mains et les ligotent. Les liens entrent dans ma chair si je ne me tiens pas droite. Plantée au milieu de la pièce, sur mes talons hauts, droite, cambrée, mains liées en hauteur, je suis entièrement à sa merci, à son bon vouloir… et surtout à notre bonheur.
Un regard de braise transperce mes yeux… l’un et l’autre sur le même diapason, la satisfaction d’un délicieux bonheur dans des plaisirs charnels, des envies impétueuses…
Sa main effleure mon corps quasi nu… puis à travers la dentelle de ma culotte, il tapote mon fessier encore rosi par la cravache. Ses doigts frôlent le tissu aérien, s'y posent et appuient en douceur contre mon mont de Vénus lisse. Ils se glissent dessous et je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Dans une tendre vibration, les extrémités de ses mains agacent mon bouton dressé, sorti de son capuchon, l’entourent, le tapotent, le tirent. Tous ses gestes contribuent à me faire mouiller d’abondance. Sa main englobe mon pubis, puis elle descend pour caresser ma fente gluante, remonte sur le clitoris innervé pour le pincer. Mon excitation si affolante me fait perdre toute notion, même celle du temps. Sa main enlève la légère culotte de dentelle et disparaît… pour revenir accompagnée d’un martinet.
Une séance sensuelle et piquante… des lanières fouettant les airs près de mon corps exposé, pour s’abattre sur moi marbrant ma chair de troublantes fines lignes rouges. L’énergie de Monsieur à se laisser porter à chaque claquement, cinglement par le tact de n’oublier aucune parcelle de mon postérieur, des seins, de l’entrecuisse, montant progressivement sur mon sexe, sur mes parties les plus intimes… Il alterne les coups, marquant ma peau, ce qui m’oblige à me tortiller, à m’onduler dans une danse sensuelle et impudique.
D’un doigt, Monsieur longe les jeunes zébrures de mon épiderme. Il s’arrête sur ma poitrine, la malaxe, triture les tétons débutant de manière douce, puis plus fermes. Je frémis, mon épiderme se constellant d’une douce chair de poule jouissive. Monsieur serre de plus en plus mes framboises pour les gonfler, les faire bander. Il les tord, les vrille tellement qu’elles s’allongent incroyablement. Alors il pose des élastiques qui enrobent mes seins. Ils deviennent violines par l’afflux de sang. Monsieur attache leur extrémité avec une ficelle en la passant derrière mon cou… à chaque mouvement de tête, mes fruits gonflés se redressent, de plus en plus enserrés et durs. Mes râles accompagnent leur étirement, pendant que la main de Monsieur plonge dans mon entrejambe chaud et humide. Un sourire se dessine sur son visage. Il adore sentir ma sève, ma cyprine qui coule dans sa main, comme il aime pénétrer de ses longs doigts mon antre accueillant et gluant, me caresser de l’intérieur… chatouiller la fine peau entre le vagin et l’anus… Il se délecte alors que mon ondoiement se joint à ses gestes.
Il tire mes grandes lèvres, puis pince les petites vicieusement… elles sont gorgées de sang lors qu’il pose des pinces avec des poids sur leur bordure dentelée. Elles s’allongent et le regard de Monsieur s’illumine… je pousse un cri de douleur aussitôt recouvert par un grognement de douce volupté, cette flamme m’envahie en remontant à l’intérieur de mon corps… ma tête en arrière, mes tétons distendus, mes petites lèvres alourdies et béantes… un plaisir passionné monte et s’affermit dans mon être... un déferlement de sensations. A chaque déplacement, les poids se choquent entre eux dans un bruit métallique. Monsieur s’en amuse, il aime ce son, ce cliquètement.
« Plus… écarte plus, ma douce… » susurre Monsieur d’une voix si tranquille, mais ferme.
Mon corps nu, mon entrejambe sont offerts à leur maximum à cet homme qui me permet d’assouvir nos envies. Sa main enfouie dans mon sexe, masse le col de l’utérus et prélève le doux nectar. Mes mamelons tournoient entre ses doigts humidifiés Je brûle de désir, ses attouchements aux tréfonds de mon être affolent mes sens, font chavirer mon corps et mon esprit. Je suis complètement abandonnée.
Ma respiration soulève ma poitrine et ma bouche entrouverte a du mal à prendre de l’oxygène tellement elle est sèche. Monsieur s’approche de ma tête, me regarde profondément dans mes yeux qui perlent de bonheur et de remerciements. Sa bouche s’approche de la mienne, la lèche, la mordille… un jeu de lèvres et de langues s’instaure qui m’apaise pour m’exciter encore davantage. Une main dans ma chevelure et l’autre sur mes reins, il me colle à lui. Je sens ses courbes s’encastrer dans les miennes. Le merveilleux renflement de son bas-ventre appuie sur mon pubis lisse. Un léger mouvement ondulatoire fait balancer les poids attachés à mes lèvres vaginales. Monsieur le sait et accentue. Sa langue dans ma bouche étouffe mes petits rugissements de jouissance. Il continue jusqu’à que je sois dans un état second… que je n’en puisse plus de ces actes de plaisirs.
Monsieur, vous vous immiscez un peu plus dans mon âme...
Mon corps est un pantin, il n’est soutenu que par les bras, la force de Monsieur. Il me détache brutalement, si brutalement que je me retrouve à genoux, à ses pieds. Dans ses bras forts, il me porte jusqu’au lit… et me pose sur le dos… Il me débarrasse de la ficelle, des élastiques enserrant mes tétons.
La main de cet homme câline mon sexe. Son gland chatouille mon bouton qui de rose foncé devient bleu, puis violet par l’excitation. Avec précision, Monsieur pénètre de son phallus, sa verge dressée de désir. Erigée comme un pieu, elle s’empale en une lente et impérieuse poussée que j’aime, dans l’entrée qui s’offre à lui… mon antre trempé et engageant qui lui offre une pénétration facile. Une sensation merveilleuse m’envahit, nos corps sont soudés dans un même élan. Alors commence une danse sensuelle dans mes profondeurs, des allers-retours lents et délicats accentués par les frissons de nos peaux. Nos tétons se frottent à chaque geste. Je jubile de plaisir. Des va-et-vient plus rapides, plus bestiaux… des coups de butoir sur notre couche…
Monsieur, je vous sens en moi, si fort… un feu intérieur me brûle. A chacun de ses coups de reins, puissants qui glissent si facilement dans ma grotte en fusion… cet antre si chaud, si humide qu’il en demande toujours plus, le plaisir est présent.
Les pinces mordent mes chairs à chaque assaut. Mon corps n'est qu'un spasme de vous. Je hurle et nos cris se mêlent, ensemble notre plaisir est roi… nous côtoyons le ciel et ses étoiles.
Son souffle sur mon sexe brûlant… son sexe recouvert de votre crème, cette douche nacrée qui se répand sur moi… sa sève… j’en prend une gorgée, l’a fait tourner en rond dans ma bouche, mon palais absorbe les saveurs fruitées et épicées de ce liquide qui engorge mes sens… à en faire chavirer mes yeux de bonheur et d’extase, ce nectar des dieux chatouille ma luette et glisse comme du miel dans ma gorge.
Mes mains déliées effleurent son corps, son dos, pendant que ma bouche embrasse son torse de petits bisous chastes, puis ma langue se délecte de sa peau. Mes doigts descendent et jouent gentiment avec ses testicules. Elles roulent au bout de mes mains, pendant que ma langue nettoie sa verge, elle la lèche avidement. Je gobe son sexe, ma langue glisse sur mon gland, le long de sa tige, autour de ses bourses. Je le pompe avec dévotion jusqu’à sentir en lui cette vague de plaisir… allant, venant dans ma bouche jusqu’à ma gorge, frappant ma luette. Je sais qu’il aime ce piège délicieux que sont ma bouche et ses atouts. Je relâche sa verge, puis la coince entre mes seins opulents. Je continue à titiller son plaisir afin de lui laisser projeter son nectar, qu’il explose sur moi. Tel un geyser, il jouit avec délectation sur ma poitrine. Il m’embrasse avec passion… qu’il est doux de se faire dévorer la bouche par homme cruel d’un imaginaire fertilisant.
Après une rapide toilette, nous sirotons une coupe de champagne, les bulles montent et explosent sur mon nez, me chatouillent vivement mes narines. Ca fait un bien fou…
Sur le dos, allongée sur notre couche, la tête sur un amas de coussins, dénudée, ouverte comme le veut toujours, Monsieur… je suis accessible.
L’ombre de ses doigts parcourt ma poitrine, puis glisse sous moi… Ses doigts plein de nectar, ils se rapprochent de mon étoile ourlée et la barbouille de sperme. Je suis fébrile. Ils me caressent précieusement et entrent doucement dans cette partie que Monsieur a épanouie.
« Tournes-toi que je te prenne par ta rosette si fraîche !
Je me laisse prendre sans attendre, mais avec attente. Son sexe s’enfonce d’un seul coup dans mon cratère, son bassin vient frapper mes fesses avec force. Je m’écarte encore plus. J’accentue la pression avec mes reins, me trémousse, ondule en un accord parfait et sensuel. A chaque assaut, ma tête cogne contre le mur, mais je ne sens rien… je ne sens que cette fièvre qui entre en moi. Je ne sens que ce morceau de chair tant désiré, élargir à chaque pénétration, mon anus.
Au plus profond de ce lieu, son sabre tendu, son ardent objet me retourne les sens, m’enflammant de son zèle bestial.
Monsieur souffle, telle la bête qu’il est à cet instant. Nous sommes « animals »… soumis à nos pulsions, à nos créations de désirs évanescents.
Nous crions ensemble, en une longue plainte continue… des râles de bonheur…
Nous nous écroulons, nos corps repus et enlacés, liés par nos désirs, par certaines de nos attentes assouvies que nous cachons au fond de nous et qui nous permettent de les découvrir ensemble. Cette journée nous a offert des jouissances oubliées. Une lumière s’est penchée sur nous, nous a permis de nous donner entièrement l’un à l’autre. De faire de ses pratiques, les miennes, celles que j’attendais depuis si longtemps, celles qui subliment le partage, notre amitié complice. Amitié fière sans mensonges, sans honte. Une complicité dans la fièvre du plaisir…
Monsieur,
Vous me possédez corps et âme, vous m'élevez, vous m'enivrez… d’actes impudiques, vous m'ouvrez à l’abandon sans appréhension du mal qui fait du bien, de moments intenses… vous êtes mon bien-être et la flamme de mes envies, de mes attentes. Vous êtes l’esprit chevaleresque, mon protecteur… et mon révélateur d’impures pensées qui ont troublé mon esprit si longtemps… Je me livre à vous sans retenue… dans ces moments d'exception, de complicité intense.
À suivre… III – Tribulations charnelles…
Nous prenons une douche froide ensemble, ses mains me caressent en me lavant agréablement, avec une douceur extrême. Ma peau frisonne à son contact. Essuyée, propre comme un sou neuf, il me parfume de gouttes de Shalimar, parfum enivrant et sensuel.
Monsieur me donne à boire… la froideur du champagne fait un bien fou et la douce euphorie en moi, augmente. Quelques perles de fraîcheur s’échappent sur ma peau quand il me donne la coupe à boire. Elles sont happées par Monsieur, qui n’hésite pas à mordiller la chair. Les marques de ses dents restent visibles quelques instants et disparaissent de mon cou.
Après nos tribulations sensuelles (voir chapitre I)… nous nous restaurons légèrement avec quelques amuse-gueules délicieux, après nous avoir revêtus partiellement.
Mais le désir, le plaisir est toujours présent…
Et sans attendre plus, nos instincts reprennent le dessus.
Monsieur attrape mes mains et les ligotent. Les liens entrent dans ma chair si je ne me tiens pas droite. Plantée au milieu de la pièce, sur mes talons hauts, droite, cambrée, mains liées en hauteur, je suis entièrement à sa merci, à son bon vouloir… et surtout à notre bonheur.
Un regard de braise transperce mes yeux… l’un et l’autre sur le même diapason, la satisfaction d’un délicieux bonheur dans des plaisirs charnels, des envies impétueuses…
Sa main effleure mon corps quasi nu… puis à travers la dentelle de ma culotte, il tapote mon fessier encore rosi par la cravache. Ses doigts frôlent le tissu aérien, s'y posent et appuient en douceur contre mon mont de Vénus lisse. Ils se glissent dessous et je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Dans une tendre vibration, les extrémités de ses mains agacent mon bouton dressé, sorti de son capuchon, l’entourent, le tapotent, le tirent. Tous ses gestes contribuent à me faire mouiller d’abondance. Sa main englobe mon pubis, puis elle descend pour caresser ma fente gluante, remonte sur le clitoris innervé pour le pincer. Mon excitation si affolante me fait perdre toute notion, même celle du temps. Sa main enlève la légère culotte de dentelle et disparaît… pour revenir accompagnée d’un martinet.
Une séance sensuelle et piquante… des lanières fouettant les airs près de mon corps exposé, pour s’abattre sur moi marbrant ma chair de troublantes fines lignes rouges. L’énergie de Monsieur à se laisser porter à chaque claquement, cinglement par le tact de n’oublier aucune parcelle de mon postérieur, des seins, de l’entrecuisse, montant progressivement sur mon sexe, sur mes parties les plus intimes… Il alterne les coups, marquant ma peau, ce qui m’oblige à me tortiller, à m’onduler dans une danse sensuelle et impudique.
D’un doigt, Monsieur longe les jeunes zébrures de mon épiderme. Il s’arrête sur ma poitrine, la malaxe, triture les tétons débutant de manière douce, puis plus fermes. Je frémis, mon épiderme se constellant d’une douce chair de poule jouissive. Monsieur serre de plus en plus mes framboises pour les gonfler, les faire bander. Il les tord, les vrille tellement qu’elles s’allongent incroyablement. Alors il pose des élastiques qui enrobent mes seins. Ils deviennent violines par l’afflux de sang. Monsieur attache leur extrémité avec une ficelle en la passant derrière mon cou… à chaque mouvement de tête, mes fruits gonflés se redressent, de plus en plus enserrés et durs. Mes râles accompagnent leur étirement, pendant que la main de Monsieur plonge dans mon entrejambe chaud et humide. Un sourire se dessine sur son visage. Il adore sentir ma sève, ma cyprine qui coule dans sa main, comme il aime pénétrer de ses longs doigts mon antre accueillant et gluant, me caresser de l’intérieur… chatouiller la fine peau entre le vagin et l’anus… Il se délecte alors que mon ondoiement se joint à ses gestes.
Il tire mes grandes lèvres, puis pince les petites vicieusement… elles sont gorgées de sang lors qu’il pose des pinces avec des poids sur leur bordure dentelée. Elles s’allongent et le regard de Monsieur s’illumine… je pousse un cri de douleur aussitôt recouvert par un grognement de douce volupté, cette flamme m’envahie en remontant à l’intérieur de mon corps… ma tête en arrière, mes tétons distendus, mes petites lèvres alourdies et béantes… un plaisir passionné monte et s’affermit dans mon être... un déferlement de sensations. A chaque déplacement, les poids se choquent entre eux dans un bruit métallique. Monsieur s’en amuse, il aime ce son, ce cliquètement.
« Plus… écarte plus, ma douce… » susurre Monsieur d’une voix si tranquille, mais ferme.
Mon corps nu, mon entrejambe sont offerts à leur maximum à cet homme qui me permet d’assouvir nos envies. Sa main enfouie dans mon sexe, masse le col de l’utérus et prélève le doux nectar. Mes mamelons tournoient entre ses doigts humidifiés Je brûle de désir, ses attouchements aux tréfonds de mon être affolent mes sens, font chavirer mon corps et mon esprit. Je suis complètement abandonnée.
Ma respiration soulève ma poitrine et ma bouche entrouverte a du mal à prendre de l’oxygène tellement elle est sèche. Monsieur s’approche de ma tête, me regarde profondément dans mes yeux qui perlent de bonheur et de remerciements. Sa bouche s’approche de la mienne, la lèche, la mordille… un jeu de lèvres et de langues s’instaure qui m’apaise pour m’exciter encore davantage. Une main dans ma chevelure et l’autre sur mes reins, il me colle à lui. Je sens ses courbes s’encastrer dans les miennes. Le merveilleux renflement de son bas-ventre appuie sur mon pubis lisse. Un léger mouvement ondulatoire fait balancer les poids attachés à mes lèvres vaginales. Monsieur le sait et accentue. Sa langue dans ma bouche étouffe mes petits rugissements de jouissance. Il continue jusqu’à que je sois dans un état second… que je n’en puisse plus de ces actes de plaisirs.
Monsieur, vous vous immiscez un peu plus dans mon âme...
Mon corps est un pantin, il n’est soutenu que par les bras, la force de Monsieur. Il me détache brutalement, si brutalement que je me retrouve à genoux, à ses pieds. Dans ses bras forts, il me porte jusqu’au lit… et me pose sur le dos… Il me débarrasse de la ficelle, des élastiques enserrant mes tétons.
La main de cet homme câline mon sexe. Son gland chatouille mon bouton qui de rose foncé devient bleu, puis violet par l’excitation. Avec précision, Monsieur pénètre de son phallus, sa verge dressée de désir. Erigée comme un pieu, elle s’empale en une lente et impérieuse poussée que j’aime, dans l’entrée qui s’offre à lui… mon antre trempé et engageant qui lui offre une pénétration facile. Une sensation merveilleuse m’envahit, nos corps sont soudés dans un même élan. Alors commence une danse sensuelle dans mes profondeurs, des allers-retours lents et délicats accentués par les frissons de nos peaux. Nos tétons se frottent à chaque geste. Je jubile de plaisir. Des va-et-vient plus rapides, plus bestiaux… des coups de butoir sur notre couche…
Monsieur, je vous sens en moi, si fort… un feu intérieur me brûle. A chacun de ses coups de reins, puissants qui glissent si facilement dans ma grotte en fusion… cet antre si chaud, si humide qu’il en demande toujours plus, le plaisir est présent.
Les pinces mordent mes chairs à chaque assaut. Mon corps n'est qu'un spasme de vous. Je hurle et nos cris se mêlent, ensemble notre plaisir est roi… nous côtoyons le ciel et ses étoiles.
Son souffle sur mon sexe brûlant… son sexe recouvert de votre crème, cette douche nacrée qui se répand sur moi… sa sève… j’en prend une gorgée, l’a fait tourner en rond dans ma bouche, mon palais absorbe les saveurs fruitées et épicées de ce liquide qui engorge mes sens… à en faire chavirer mes yeux de bonheur et d’extase, ce nectar des dieux chatouille ma luette et glisse comme du miel dans ma gorge.
Mes mains déliées effleurent son corps, son dos, pendant que ma bouche embrasse son torse de petits bisous chastes, puis ma langue se délecte de sa peau. Mes doigts descendent et jouent gentiment avec ses testicules. Elles roulent au bout de mes mains, pendant que ma langue nettoie sa verge, elle la lèche avidement. Je gobe son sexe, ma langue glisse sur mon gland, le long de sa tige, autour de ses bourses. Je le pompe avec dévotion jusqu’à sentir en lui cette vague de plaisir… allant, venant dans ma bouche jusqu’à ma gorge, frappant ma luette. Je sais qu’il aime ce piège délicieux que sont ma bouche et ses atouts. Je relâche sa verge, puis la coince entre mes seins opulents. Je continue à titiller son plaisir afin de lui laisser projeter son nectar, qu’il explose sur moi. Tel un geyser, il jouit avec délectation sur ma poitrine. Il m’embrasse avec passion… qu’il est doux de se faire dévorer la bouche par homme cruel d’un imaginaire fertilisant.
Après une rapide toilette, nous sirotons une coupe de champagne, les bulles montent et explosent sur mon nez, me chatouillent vivement mes narines. Ca fait un bien fou…
Sur le dos, allongée sur notre couche, la tête sur un amas de coussins, dénudée, ouverte comme le veut toujours, Monsieur… je suis accessible.
L’ombre de ses doigts parcourt ma poitrine, puis glisse sous moi… Ses doigts plein de nectar, ils se rapprochent de mon étoile ourlée et la barbouille de sperme. Je suis fébrile. Ils me caressent précieusement et entrent doucement dans cette partie que Monsieur a épanouie.
« Tournes-toi que je te prenne par ta rosette si fraîche !
Je me laisse prendre sans attendre, mais avec attente. Son sexe s’enfonce d’un seul coup dans mon cratère, son bassin vient frapper mes fesses avec force. Je m’écarte encore plus. J’accentue la pression avec mes reins, me trémousse, ondule en un accord parfait et sensuel. A chaque assaut, ma tête cogne contre le mur, mais je ne sens rien… je ne sens que cette fièvre qui entre en moi. Je ne sens que ce morceau de chair tant désiré, élargir à chaque pénétration, mon anus.
Au plus profond de ce lieu, son sabre tendu, son ardent objet me retourne les sens, m’enflammant de son zèle bestial.
Monsieur souffle, telle la bête qu’il est à cet instant. Nous sommes « animals »… soumis à nos pulsions, à nos créations de désirs évanescents.
Nous crions ensemble, en une longue plainte continue… des râles de bonheur…
Nous nous écroulons, nos corps repus et enlacés, liés par nos désirs, par certaines de nos attentes assouvies que nous cachons au fond de nous et qui nous permettent de les découvrir ensemble. Cette journée nous a offert des jouissances oubliées. Une lumière s’est penchée sur nous, nous a permis de nous donner entièrement l’un à l’autre. De faire de ses pratiques, les miennes, celles que j’attendais depuis si longtemps, celles qui subliment le partage, notre amitié complice. Amitié fière sans mensonges, sans honte. Une complicité dans la fièvre du plaisir…
Monsieur,
Vous me possédez corps et âme, vous m'élevez, vous m'enivrez… d’actes impudiques, vous m'ouvrez à l’abandon sans appréhension du mal qui fait du bien, de moments intenses… vous êtes mon bien-être et la flamme de mes envies, de mes attentes. Vous êtes l’esprit chevaleresque, mon protecteur… et mon révélateur d’impures pensées qui ont troublé mon esprit si longtemps… Je me livre à vous sans retenue… dans ces moments d'exception, de complicité intense.
À suivre… III – Tribulations charnelles…
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