III – Tribulations charnelles (1re partie)

- Par l'auteur HDS Guts - Perledo -
Auteur femme.
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Récit libertin : III – Tribulations charnelles (1re partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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III – Tribulations charnelles (1re partie)
Dans les premières lueurs de l'aube, les mouettes se découpent dans le ciel orangé parsemé de nuages blancs vaporeux. Malgré qu’il reste la fraîcheur du matin, le soleil monte dans l'azur en devenant de plus en plus agressif.
Une mèche rousse tombe sur mon front. Je lève les yeux vers elle et la remets en place... dire que j’avais passé plus d'une heure à se faire un chignon original, comme l’aime Monsieur.

Il m’a donné rendez-vous ici, près de ce chemin de terre longé par des grands arbres aux feuilles veinées. C’est la première fois… en extérieur.
Je suis prête comme demandé dans ses consignes reçues par mail, la veille. Légèrement vêtue sous ma veste longue… mais parfumée de larmes de Shalimar, parfum enivrant et si sensuel. Ma tenue noire se compose seulement d’une jupe transparente posée au-dessus de mes seins sur ma nudité… comme seuls accessoires, des chaussures pointues noires, ouvertes sur ses talons hauts et tenues par des liens de cuir entrelacés remontant jusqu’aux genoux, puis deux pics en argent qui retiennent ma crinière.
J’aperçois un petit nuage de poussière qui se rapproche à vive allure. Une voiture s’arrête à quelques mètres de moi. Un homme tout en noir est assis sur le siège conducteur. Je ne vois pas son visage, car un rayon de soleil provoque une intense lumière à cet endroit. La portière passager s’ouvre, m’invitant ainsi à m’avancer et à y pénétrer.
Installée à ses côtés, Monsieur me regarde avec son sourire si carnassier qui me donne des frissons de délice. Il m’embrasse langoureusement, sa main ouvre ma veste. Il se défait de mes lèvres et regarde sans rien dire, mais je sais qu’il est satisfait… Son bras droit entoure mes épaules et sa main s’empare vigoureusement de ma chevelure tandis que l’autre se faufile sous ma tenue, caresse ma peau. Elle frôle mes seins qui, à son contact commencent à s’ériger. Sa langue fouille ma bouche pendant que ses doigts jouent avec mon corps. Ils descendent vers mon pubis lisse et offert, car instinctivement j’ai ouvert mes cuisses pour être plus accessible. Il longe ma fente, titille la bordure dentelée de mes petites lèvres et son pouce pénètre avec vigueur dans mon vagin déjà humide. Il me dépose un baiser chaste sur ma bouche, puis la joue, le cou, l’oreille qu’il mordille.
Soudain, il me lâche… reprends son volant en démarrant le véhicule qui nous héberge. Monsieur est toujours en tenue chic décontractée, aujourd’hui un costume deux pièces et chemise de soie raffinée. Il est habillé tout en noir de la tête aux pieds comme je l’aime. Je le sais, il souhaite me faire plaisir même dans les détails qui ont leur importance. Il est si séduisant en noir.

Après quelques instants de conduite, ma main glisse vers son entrejambe. Il ne réagit pas, donc je continue. Mes doigts effleurent le tissu fin de son pantalon. Je longe l’intérieur de ses jambes en faisant des arabesques. Je caresse doucement Monsieur et avec… son accord. Ma paume gauche se cale en épousant la forme qui gonfle entre ses cuisses. Avec de petits mouvements rotatifs, je m’amuse à stimuler. Mon autre main s’active sur la ceinture, je fais sauter les deux boutons qui enserrent le bas ventre de cet homme de valeur. Le bruit métallique de la fermeture éclair est incongru dans le silence et provoque un petit rire des deux parties. Je découvre un caleçon noir, en son centre un renflement m’excite et m’invite. Je le libère du tissu. J’investis l’endroit avec ma bouche. Je hume son odeur. Le bout de ma langue pointue lèche la peau autour du menhir droit. Elle suit les plis de flexion de l’entrejambe. Cet organe charnu accroché à mon palais, côtoie la chair avec toutes les sensations du moment. Ma bouche avale une des ses boules près de l’aine. Mes papilles s’en abreuvent. Je joue avec ses deux testicules, à tour de rôle. Les faisant jongler entre mon palais et ma langue… les aspirant, les tapotant, les gobant, les enveloppant dans mes joues, les léchant goulûment. Puis je m’attable au morceau de chair qui dépasse du fourreau de la verge…. Ce gland rose semblable à un bonbon que l’on a envie de sucer copieusement et longuement. Ce dôme, que je fais glisser inlassablement sur mon plancher buccal. Mes lèvres enserrent le haut de son sexe pendant que ma langue interprète un ballet de stimulations. Elle tourne autour du gland, s’enfonce doucement dans le méat, cette petite fente. Elle s’immisce entre la verge et son fourreau, sans faire descendre celui-ci. Elle plonge au plus profond de cette chaleur.
D’un coup sec, ma bouche englobe le sexe entier. Elle pompe activement. Elle s’accélère le va-et-vient qui surprend Monsieur qui ne peut empêcher un petit cri. La surprise lui procure la chair de poule… mais un sourire amusé marque ses lèvres qui m’encouragent.
« Coquine !» murmure-t-il en reprenant le contrôle de son volant d’une main. De l’autre, il appuie sur mon crâne, ses doigts entrent dans mes cheveux, les tiennent. Monsieur gère lui-même mes allers-retours buccaux. Il sait que j’aime quand il fait ces gestes. Il m’aide pour accentuer nos plaisirs. Ma bouche monte, descend toujours sur ce pieu dur qui heurte le fond de ma gorge. Je l’aspire à fond. Je force la cadence de plus en plus. Et soudain… un jet chaud emplit ma bouche… le nectar de Monsieur si miellé… j’en raffole… et en avale une partie. Avec le reste, j’embrasse Monsieur avec béatitude. J’inspire sa saveur, son odeur.
Quel contentement à chaque fois que Monsieur expulse son sperme… que je ressens son plaisir qui jouxte le mien.

Nous sommes toujours sur le chemin qui s’est rétrécit. Maintenant une forêt s’étend autour de nous. Il n’y a pas âme qui vive. Monsieur stoppe la voiture et en sort. Il en fait le tour et m’ouvre la portière. Toujours aussi gentleman et attentionné, il me donne sa main que je prends pour m’extraire du siège.
Nous sommes face à face, les yeux dans les yeux, les mains dans les mains, nos corps s’effleurent.
Soudain, Monsieur me lâche d’une main, celle-ci s’enfonce dans sa poche et en ressort un petit paquet carré noir orné d’un ruban bleu… bleu comme son regard azuré qui peut devenir un acier froid et sévère comme doux et enrobant. Il me présente le paquet et m’invite à l’ouvrir, ce que je fais immédiatement avec un peu de maladresse. Au centre d’un doux papier de soie, une chaîne de taille en argent brille. Deux bijoux de seins l’accompagnent assortis à deux pendentifs de petites lèvres. L’ensemble argenté avec des pierres bleu clair est superbe. Mon regard se pose sur le sien. Mes yeux brillent offrant un remerciement chaleureux. Une larme perle sur mes cils. Je suis comblée par ce don, par le fait qu’il ait pris du temps pour choisir et acheter ces présents. Monsieur est heureux… heureux de me faire plaisir avec ces petits accessoires qu’il posera lui-même sur mon corps. Ils renforcent Notre appartenance. Nous sommes l’un à l’autre, définitivement.
Monsieur fait toujours les choses très bien. Dans son coffre, une bouteille de champagne trône dans un seau de verre remplit de glaçons. Il l’ouvre… dans l’explosion du bouchon, quelques gouttes s’éjectent du goulot pour atterrir sur son torse, dont la chemise est entrouverte. Je me précipite pour lécher sa peau mouillée, simplement pour l’essuyer avec ma langue… pour en apprécier sa souple texture.
« Gourmande ! » dit-il en servant ma coupe et me la présentant. Il verse ce liquide pétillant dans la sienne. Nous trinquons à cette sublime journée qui ne fait que commencer.
Dans son coffre, une mallette argentée aux arêtes noires m’attire par son élégance et étrange place. Monsieur la prend et ferme le coffre de la voiture.
Il me convie à le suivre sur un sentier s’enfonçant entre les arbres. Le délice du mystère est toujours intriguant pour une femme. C’est un moment savoureux.
Une légère brise crée une vie dans le feuillage, marquant une sensation d’isolement agréable. Seuls au monde.
À chaque pas, je sens l’humidité de la rosée encore présente à cette heure, sous ses grands arbres dont le soleil n’a pas encore transpercé leur touffe de verdure. Des gouttelettes glissent dans mes chaussures. Mes talons ne sont pas très pratiques pour cette marche, je me tors les chevilles pour rester droite, mais Monsieur est toujours là, prêt à me soutenir.
Au détour du sentier, le charme fantomatique d’une ruine en vieilles pierres se dresse hautainement entre les branches d’arbres. Elle est envahie de lierre et d’herbes folles. Mais l’on voit qu’en son temps, ce lieu avait dû vivre des aventures pittoresques et peut-être même sanguines. Elle est marquée. Il reste des traces de fers sur un des murs où se niche une grande ouverture arrondie. Des accroches l’entourent, elles sont rouillées et piquées par les siècles. Elles sont si présentes à cet endroit magnifique. Pratiques, elles vont servir… car très bien placées, une hauteur qui correspond à mes mensurations.
Monsieur pose le seau à champagne… puis la mallette sur une sorte de puits rond fermé, adjacent au mur. Il l’ouvre et je peux voir qu’elle est remplie d’accessoires pour nos plaisirs… Monsieur en sort deux bracelets de cuir rouge et noir. Il les pose sur mes poignets en les enserrant fortement. Ma veste tombée, il m’attache au mur par les accroches ce qui ouvre mes bras en croix en remontant ma poitrine qui se dresse, mes reins qui se cambrent. Il fait de même avec mes chevilles ce qui m’empêche tous déplacements, tous mouvements.
Je me retrouve en pleine forêt, écartelée en croix sur un mur de pierres vieillies par le temps, habillée par un morceau de tissu transparent sur ma peau nue de sous-vêtements.
Quelques larmes de champagne sortent de ma bouche quand Monsieur me fait boire dans la coupe. Cela me rafraîchit, car ma peau de rousse s’échauffe. Le soleil tape de plus en plus dans ce lieu jusque là un peu frais. L’excitation de la préparation aussi joue dans la température de mon corps.
Monsieur se recule et m’observe. Je connais cette lueur dans ces yeux céruléens où je me noie régulièrement de bonheur.
Il s’approche, sa main se colle sur mon sexe, il caresse mon pubis. Ses doigts glissent dans ma fente qui l’attend avec impatience.
« Mmmmmmm… ma tendre… t’es toute mouillée… Mmmmmm » murmure-t-il à mon oreille de sa voix si envoûtante. Il murmure comme si nous n’étions pas seuls… comme si les arbres ne devaient rien entendre.
Cet homme qui me met en transe sensuelle, descend ma jupe à mes pieds. Il revient sur ma fente gluante, la caresse. Ses doigts remontent sur ma poitrine et déposent ma cyprine sur ses bouts qu’il roule entre son index et son pouce. Des gémissements sortent de ma gorge. Mes tétons gonflent et durcissent. C’est à ce moment, que Monsieur décide de les orner des pendentifs qu’il m’a présentés. Il les accroche délicatement. L’attache en forme de noeud coulant enserre la base du téton. Au premier mouvement, la pierre bleuâtre se balance. Vient le tour de la chaîne de taille coulissante, qui repose sur mon nombril.
Ensuite Monsieur pose un genou à terre. Une sensation d’euphorie, Monsieur à mes pieds ! Petits rires. Son visage face à mon Mont de Vénus, il sourit. Il est très satisfait, car au fur à mesure de nos séances, le travail d’étirement de mes petites lèvres permet enfin de dépasser les grandes. Elles sortent de leur cachette et sont offertes à sa vision. Ca le comble. Désormais, il peut mettre les bijoux. L’effet est jouissif. L’ensemble très bien choisi et assurément dans le teint de ma peau de rousse, bel assortiment qui avantage mes courbes et met en valeur mes taches de rousseur parsemées sur mon épiderme.
Monsieur me contemple. Il est radieux et ne peut s’empêcher de dire de sa voix si envoûtante, un madrigal… que de pensées galantes.
« Mon regard s’auréole de cette vision… ma douce… Ces pendentifs sont mes yeux qui ne te quitteront, qui observeront cette fusion… ma tendre… Chaque balancement de ces bijoux sera une réaction, une mutation, une éducation sans fin qui devient notre paradis de passion, notre cocon … ma petite novice ! »
Je me sens splendide et Monsieur me le montre à chaque instant dans ses actes, ses mots… son regard. Son regard que je fixe avec tous mes remerciements. Cette passion qui nous procure une communion. Cette communion entre deux êtres au fait de leurs attentes, leurs envies si proches et si parallèles. Elle emplit notre extase.
En chacun d’entre nous, un grain de délicieuse folie sensuelle, sexuelle, charnelle, animale, voire bestiale.

Après avoir enlevé sa veste, Monsieur s’approche de mon corps et l’épouse. Il flatte mes fesses rondes avec ses grandes paluches douces. Puis il les claque doucement en m’écrasant ses lèvres contre les miennes. Ses mains se font de plus en plus sévères, jusqu’à ce que je pousse des petits cris étouffés par sa langue qui balaie l’entrée de ma bouche.
Soudain un bruissement dans les bois proches, le fait stopper net. Une branche bouge anormalement… Serions-nous pas seuls ? Situation cocasse…
Nous apercevons, alors, un petit écureuil curieux. Le petit animal tout de roux poilu, penche la tête en nous regardant. En quelques petits sauts, il disparaît prestement dans le feuillage touffu de l’arbre, une longue branche en tombe. Monsieur la ramasse. D’un geste vif, lui enlève son écorce. Elle est fine, souple telle une badine et se retrouve instantanément sur ma peau. Monsieur jongle avec. Il utilise le bois dénudé sur mes seins, sur mon ventre. Elle siffle sur mes hanches, descend sur mes cuisses… tapote mon entrejambe, à droite, à gauche, se faisant cinglante et piquante. Elle tapote mon sexe. Elle harcèle mon bouton qui se décapuchonne au fur et à mesure de son gonflement. Remontant sur mes tétons, il les agace avec la flèche de la branche. Mes pendentifs se balancent vivement et accentuent le durcissement des bouts grossis.
J’éprouve une ivresse des sens… le soleil, l’euphorie du champagne et l’excitation se mélangent dans mon corps, mon esprit. Je suis grisée par les sensations qui montent à l’intérieur de moi. Exaltée par les émotions, par les odeurs qui m’entourent, celles de l’homme qui m’anime d’un bien-être fabuleux, je suis aux anges d’une sensibilité accrue, proche d’un orgasme cosmique.
Monsieur fouille mon sexe. Sa main pénètre et s’engouffre lentement pour disparaître dans mon antre chaud et trempé. Mon premier vrai fisting… le massage interne de mon vagin me procure de nouvelles impressions. Je me maîtrise difficilement. Je suis au bord d’une flambée de jouissance. Je me retiens. Monsieur m’y aide en s’arrêtant immédiatement… pour mieux contrôler nos plaisirs. Il souhaite me procurer une différente sensation, une pulsion aphrodisiaque. Tous les pores de mon être sont en suspens. Des perles de sueurs glissent sur ma peau. Certaines me brûlent les yeux et j’en pleure.
Tout mon être suffoque sous la pression de l’attente…
C’est alors que… Monsieur cueille quelques fleurs champêtres. Il en forme un petit bouquet. Les pétales longent mes formes charnues. Il les frotte sur mon ventre. Quand elles sont en contact avec mon intimité, Monsieur, de soie, me caresse avec. Les glissent dans mon entrejambe. Vivement, les frictionnent sur mon sexe. Mon corps est envahi de soubresauts. Des secousses violentes me tordent. Mes bracelets de cuir s’ancrent dans mes chairs. Je crie de plaisir.
« Vas-y… ma douce, lâches toi à fond…» répète Monsieur, les yeux brillants.
Mon cœur explose. S’éparpille dans tous les sens. Mes tempes tambourinent. Mon esprit est nébuleux. Mon souffle court. Tout entier, mon être prend possession de cette jouissance… profondément… incroyablement… et accompagné de Monsieur. Je jouis comme jamais. L’écho de mes râles envahit la forêt. Il en fait fuir des habitants.
Il caresse ma crinière rousse défaite, passe délicatement le plat de sa main sur ma joue. Il me réconforte après ce feu d’artifice… cet épuisement de plaisir. Je suis anéantie par ce nirvana qui sort de mes tripes. Monsieur, ce suzerain qui sait réveiller des sens enfouis au tréfonds de mes entrailles. Mon allégeance à ce Seigneur des plaisirs est infinie.
Monsieur me détache et m’allonge sur la couverture à même le sol. Sa langue me lèche le visage, il ramasse mes larmes de volupté. Il m’embrasse longuement dans des saveurs de sel et de sexe. Il me câline, me rassure, me donne sa puissance, son énergie. Cet homme de valeur, de savoir-faire m’a fait atteindre un sommet que je n’aurais jamais imaginé. Quel privilège d’être sienne… d’appartenir à cet artiste au service d’un plaisir paradisiaque.
Je reprends peu à peu mes esprits. Mon cœur se calme. L’afflux de sang se rétablit lentement. Ma respiration se régule. Ma bouche est sèche. Elle réclame la soif. Prévoyant et toujours attentionné, Monsieur me fait boire, il a même préparé une collation sympathique et qui correspond à nos goûts de gourmets. Nous nous abreuvons et sustentons de ces mets que nous dégustons calmement. Il m’offre de sa main, les bouchées qui me nourrissent d’énergie. Nous conversons tranquillement autour de notre pique-nique, abrités sous un grand parasol de toile. Notre dialogue se porte sur notre relation privilégiée. Chaque moment sert à nous découvrir un peu plus, plus encore, plus profondément.

Mon abandon à Monsieur, c'est… renoncer, se donner, se livrer corps et âme... délaisser des années d'idées préconçues… larguer une partie de ses habitudes, lâcher réellement ses émotions, des sensations nouvelles... il faut savoir offrir et s’offrir... c'est une relation fusionnelle à deux... pour devenir qu’un.


À suivre… IV – Tribulations manuelles (2ème partie)

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