Infiltration (1) - histoire érotique

[Entre nous les hommes] [travesti] [fellation]

Comme une drogue, le sexe peut devenir une addiction. Stéphane en a fait la découverte à ses dépens et aujourd’hui encore il est sous son emprise. Comme pour certains qui tombe dans le cercle infernal de la drogue sans s’en rendre compte, Stéphane est tombé dans le monde du travestissement et ne parvient pas à en sortir. Ce n’était pourtant pas, à priori, son destin. Mais commençons par le début.

Stéphane est un tout jeune officier de police qui, après un master II en droit criminel et 1 an et demi de formation à l’école nationale supérieure des officiers de police a intégré la DTPJ de Lyon dans la section de lutte contre la traite des êtres humains. Sa section est en crise car deux de leurs indicateurs viennent de disparaitre. Après quelques mois d’enquêtes il semble évident qu’ils ont été éliminés sans qu’il soit possible de la prouver. Sans ces indicateurs il est très difficile de poursuivre l’enquête qui est au cœur de leur préoccupation et qui concerne un réseau de prostitution très actif, très violent et peut être lié au terrorisme sur le département du Rhône. Il a donc été décidé d’infiltrer le réseau et, le juge d’instruction ayant donné son accord, un scénario a été mis en place. Ne reste plus qu’à trouver l’agent qui jouera l’infiltré.

Stéphane a une pensée pour ses collègues féminines car c’est un rôle qui ne doit pas être évident à jouer. Aussi est-il surpris lorsque son chef de section le nomme pour le poste. Devant son étonnement il lui précise qu’il s’agit d’infiltrer la branche travestis de l’organisation. Stéphane sait qu’il peut refuser mais une infiltration réussie est un tel coup d’accélérateur pour une carrière qu’il accepte, se donnant le droit de refuser si le rôle doit aller trop loin. Ce n’est pas le cas, il doit juste tapiner un peu jusqu’à se faire approcher par les macs, les identifier et tenter de comprendre leur organisation.
Il a une semaine pour se préparer et s’entrainer. La première étape consiste en une épilation intégrale. Stéphane se demande comment il va expliquer ça à sa copine et comment elle va le prendre. Son explication vaseuse fut couverte par la surprise favorable de celle-ci. La partie de jambes en l’air torride qui suivit cette découverte fut la preuve qu’elle aimait ça et il n’y pas plus d’explication à donner. Stéphane aimait bien aussi, faire l’amour sans pilosité plus procurait plus de plaisir, les caresses étaient plus sensibles et sa peau plus réceptive.

Il s’entraina donc à porter une perruque, à se maquiller, à porter des faux ongles, à porter des dessous féminins, à marcher avec des talons, à porter de vêtements féminins, …. Il va sans dire que, si l’équipe de préparation était très pro, ses collègues ne manquaient pas une occasion de le charrier. Finalement le jour J arriva et, comme on le lui avait demandé, il arriva assez tôt avec sa camionnette pour réussir à trouver une place et que l’équipe de soutien soit en place. Et il attendit, les choses commencèrent à vraiment bouger vers 22H00. Sa voisine de devant avait déjà eu 2 visites et celle de derrière au moins 3. Malgré sa lanterne éteinte il avait eu quelques visites auxquelles il n’avait pas répondu. Vers 23H00, pour se dégourdir les jambes il sortit de la camionnette. Pour l’occasion il portait un ensemble soutien-gorge et string simple et noirs, un perruque blonde mi- longue, une minijupe qui ne masquait pas entièrement les jarretières de ses bas noirs et des escarpins noirs avec des talons de 5 centimètres.

Il eut alors quelques clients potentiels qu’il éconduit en prétextant que c’était ça pause. Après une petite demi-heure il s’enferma à nouveau dans sa camionnette et quelques instants plus tard on frappait à la porte. Il répondit qu’il n’était pas disponible et les coups redoublèrent. Il se décida à ouvrir et un mec s’engouffra dans la camionnette. Plutôt grand et costaud, dans la trentaine, typé Europe de l’est que confirme son accent.

- Qu’est-ce que tu fous là ? T’es qui ? lui demanda-t-il.
Bien, les choses sérieuses commence se dit Stéphane.
- Je suis Elodie, c’est mon premier jour ici, je viens de Paris.
- Pourquoi tu ne prends pas de clients ? Tu prends une place, il va falloir payer.
- Bien sûr ! C’est combien la place ? Aujourd’hui je prends juste mes marques, pour voir si le coin est bon.
- Pour la place c’est 150. Pour le coin, ils sont tous à moi. Toutes les putes sont à moi aussi.
- Désolée mais moi je suis indépendante, comme je l’étais à Paris.
Stéphane ne voit pas la main qui part comme une flèche et lui administre une gifle qui le fait tomber sur le lit. Il est prêt à lancer le signal de détresse pour faire intervenir l’équipe de soutien mais se ravise, s’il faut en passer par là pour infiltrer le réseau, il peut bien se prendre une gifle si cela booste sa carrière. Mais le mec se rapproche, ouvre son pantalon, sort son sexe et le présente devant la bouche de Stéphane.
- Vas-y suce moi et on verra si je te pardonne.

Stéphane reste interdit, il ne sait que faire, il ne l’a jamais fait et n’en a pas envie. Faut-il alerter les secours, mettre un terme au projet d’infiltration et perdre des semaines de préparation et peut être des mois d’enquête ? Bon, sucer une queue ne fera pas lui un vrai travesti. Alors il se lance, il caresse d’abord doucement du bout des doigts ce sexe qui se présente. Celui-ci est vivant et grossi à mesure que ses doigts le parcourent. Il peut bientôt voir le gland qui pointe et il le décalotte en prenant le sexe maintenant dur à pleine main. Il approche alors sa bouche, sort la langue et le lèche. « C’est bon salope, tu fais ça bien ! Avale-moi ». Stéphane le prend alors en bouche et il suçote le gland comme s’il s’agissait d’une sucette. Le mec pousse un soupir de plaisir, et son sexe gonfle dans la bouche de Stéphane qui commence alors de lent va et vient.

Il est surpris d’y prendre plaisir, il aime sentir la douceur du gland dans sa bouche, il aime sa forme sous sa langue, il aime sentir se membre aller et venir. Il est excité et son sexe gonfle dans le string noir. Il empoigne alors la queue qui va et vient dans sa bouche et la masturbe en rythme. Il est maintenant très excité d’autant que les soupirs d’aise du mac se font plus rapprochés. Il aspire cette queue qu’il commence à aimer comme il le ferait d’une paille géante. Il la quitte parfois pour la parcourir du bout de la langue avant l’aspirer à nouveau. Il accélère la cadence de sa main tandis que sa bouche se concentre sur le gland. Il sent bientôt le sexe se tendre et un liquide chaud et épais se répandre dans sa bouche. Il est tellement excité par cette sensation que sa main libre se rapproche de son sexe et à peine l’effleure-t-il qu’il jouit dans son string tout en continuant à caresser et sucer, doucement maintenant, le sexe du mac.

- T’es une bonne suceuse, lèves toi que je vois ton cul.
Stéphane ou Elodie à ce stade, la bouche un peu baveuse, de sperme ou de salive, il ne s’aurait le dire, s’exécute. Le mac la retourne et la pousse dans le dos pour qu’elle se penche en avant. Elle se retrouve les bras en appui sur la banquette les fesses tendues vers le mac qui commence à les caresser. Rapidement une main passe sous la jupe courte et s’invite entre ses fesses. Un doigt inquisiteur trouve la rondelle, l’examine et la pénètre.

Elodie pousse un gémissement de surprise et de plaisir et le mac s’exclame.
- Putain ! T’es toute serrée, t’es vierge ou quoi ? Mon boss adore ça les vierges, je vais t’offrir en cadeau, il m’aura à la bonne. Reviens ici demain matin, sans ta camionnette, je t’amènerai le voir.
- D’accord. Répond Elodie d’une petite voix hésitante.
Elle sent le doigt la quitter et entend le mac se rhabiller avant de sortir. Elle reprend ses esprits, se place au volant de la camionnette et rentre à la planque. Stéphane peut alors débriefer ses collègues en passant sous silence la fellation et l’auscultation de son cul. Toute l’équipe est aux anges, ils vont enfin pouvoir loger le boss !

Il faut maintenant préparer la journée de demain. Tant pour réussir à obtenir le maximum d’informations que pour assurer la sécurité de Stéphane qui sera dans un nid de guêpes.