Les aventures de Séverine (04)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Séverine (04)
Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.
J’en sors de ma douce torpeur après cette séance de sexe intense aux bruits d’applaudissements qui, tout comme Laeticia, me font sursauter. Je tourne la tête et je vois Sarah, ma copine, sur le seuil de la porte. Elle nous applaudit mais ses yeux ne rigolent pas et son expression est indéchiffrable. Tournant les talons et quittant la chambre elle lance « Habillez vous les filles, il faut qu’on parle ». Laeticia et moi lançons tout bas « Ho ! Putain ! ».
Je sens alors Laeticia quitter mon fondement mais je ne suis plus tout à fait Séverine et cela me fait un drôle d’effet. Une fois libéré je me redresse, je n’ose pas la regarder. Je quitte en vitesse mes dessous et passe un caleçon et un survêtement. J’en passe également à Laeticia qui semble être redevenues Hakim. « Vous vous bouger le cul les filles, vous n’allez pas remettre ça quand même ? » nous cri Sarah depuis le salon. Nous tentons de nous démaquiller tant bien que mal, réussissant à croiser le regard d’Hakim, j’y lis la panique que je ressens et nous nous dirigeons vers le salon comme nous le ferions si nous allions à l’échafaud.
Sarah est assise dans un fauteuil, elle est rouge, ses jambes sont croisées et son pied en socquette s’agite. La connaissant, nous sommes au summum de son énervement. Elle nous toise et nous lance :
- Franck, Hakim, vous avez fait quoi des deux greluches qui baisaient dans ma chambre ?
- …
- Hakim, je me suis permise d’appeler Laura, elle ne devrait tarder.
Elle se tait et nous restons debout, sans oser bouger et encore moins parler. Laura sonne et entre comme une furie.
- C’est quoi ce bordel Sarah, j’ai rien compris, Hakim baisait une salope dans ta chambre ? C’est quoi ce bordel Hakim, tu me trompes dans la maison de ton pote ?
- …
- Viens t’assoir Laura, ces messieurs vont nous expliquer.
- …
- Allez les mecs expliquez nous qui baisait sur mon lit. On aurait dit deux nanas en lingerie sexy sauf qu’il y en avait une avec une queue qui bourinait le cul de l’autre.
- Quoi ! Ce n’est pas ce que je crois ! Hakim, ce n’est pas ce que je crois ?
- …
- Bon, Franck, tu prends une valise, tu mets tes fringues dedans et tu te casses.
- Hakim, c’est même pas la peine de rentrer, tu trouveras ta valise devant la porte.
Elles se lèvent.
- Non, les filles, s’il vous plait. Laissez-nous un peu de temps, on va vous expliquer.
- Du temps pour expliquer quoi, tu pues le foutre à 15 mètres. Ça fait longtemps qu’Hakim te la met profond.
- Hakim, tu me trompes avec un mec, t’es homo maintenant ?
- Franck, tu as une heure pour débarrasser le plancher sinon je publie la petite vidéo de vos exploits.
Sarah nos montre son téléphone. Non, elle n’a pas filmé ! Mais elle montre la vidéo à Laura. Nous entendons des gémissements qui se finissent sur un râle et un cri. Laura est devenue toute pâle et sert ses manches devant sa bouche comme pour retenir un cri d’horreur. Vaincu, complètement perdu, apeuré à l’idée de perdre Sarah mais effrayé de révéler notre secret je finis par supplier :
- On va tout vous expliquer et nous pourrons en parler calmement.
- J’en doute mais vas-y.
Alors je leur explique tout, notre besoin de nous travestir, et tente de minimiser la chose en trouvant des analogies avec les cosplaying ou de manière générale le déguisement. C’est une activité comme une autre, en tout bien tout honneur. Je passe sous silence nos sorties et toute particulièrement notre sortie en boite et ses conséquences ainsi que notre première étreinte. J’essaye d’expliquer qu’aujourd’hui il y a eu un dérapage que nous regrettons et qui ne se reproduira pas. Je finis ma plaidoirie de défense et un silence lourd s’installe. Sarah le rompt soudain.
- Donc, votre divertissement c’est de vous déguiser en fille comme d’autre en Titi et Grosminet et là, pas de bol, Grosminet a bouffé Titi ?
- …
- Vous vous foutez de nos gueules là.
- Non, pas du tout, je t’assure Sarah.
- Et sa queue dans ton cul c’est arriver en tombant alors que tu essayais de lui fixer un bas à une jarretelle ?
- …
- Bon, t’en penses quoi Laura ?
- J’en sais rien. Je suis choquée j’ai besoin de recul.
- Tu as raison. Franck, tu prends tes cliques et tes claques et tu te casses.
- Mais chérie, on se marie bientôt.
- Ouaip mais y’a qu’une robe blanche et on risque de se la disputer.
- Ne dit pas n’importe quoi.
- N’importe quoi ? C’est pas n’importe quoi que de te trouver en lingerie avec la bite de ton pote dans ton cul ?
- …
- Bon, dégagez Laura et moi il faut qu’on parle.
Ma valise faite, nous sommes partis.
Après plusieurs semaines de négociations et de rencontres orageuses au début, elle a décidé de passer l’éponge à la condition que je jette toutes mes affaires de fille et que je ne recommence plus jamais. J’ai promis sans regrets. J’ai réintégré notre maison et après quelques heures plutôt fraiches, elle a accepté que je l’embrasse et, de fil en aiguille, nous avons fait l’amour comme si nos vies en dépendaient. Elle s’accrochait à moi comme si ça vie en dépendait, comme une naufragée à son sauveteur et elle eut un orgasme profond alors que je jouissais en elle. « Je t’aime tu sais ? Tu m’as fait très peur. » me dit-elle dans ce moment particulier post coït. « Je sais, pardonne-moi » je lui réponds en la serrant dans mes bras. « Il va quand même falloir que l’on s’occupe de jeter tout tes trucs » poursuivit-elle. J’acquiesce et lui fait des petits bisous sur le front. Elle se love contre moi et nous nous endormons.
A mon réveil je suis seul dans le lit. J’en sors, enfile mon caleçon qui traine part terre, enfile un tee-shirt et me dirige vers la cuisine, guidé par l’odeur du café. Sarah y est et sirote son café. Elle est belle ma Sarah, je devine un bout de culotte sous le tee-shirt qu’elle m’a piqué et je bande. Mon caleçon ne peut pas le masquer et elle s’en aperçoit. L’œil coquin elle me dit « Pas de ça ce matin, on a du rangement à faire ». Je débande. Bon, me dis-je, plus vite on s’y mettra et plus vite toute cette histoire sera derrière nous. Je prends mon café avec elle, nous parlons de ce que nous allons faire ce week-end et nous y allons.
Je lui montre mon placard secret que j’ai installé dans l’espace perdu entre le toit et le mur de la chambre d’amis. Comme c’est du lambris, la trappe d’accès ne se voit pas. L’espace n’est pas grand, 1m70 au plus haut sur 90cm de profondeur mais j’y ai installé des étagères et une penderie qui en font un dressing acceptable. Sarah est surprise et jalouse que je n’ai pas installé un tel dressing dans notre chambre. Je le note pour plus tard. « Et bien dit donc tu n’y es pas allé de main morte, c’est une sacrée garde-robe que tu as là » me lance-t-elle en détaillant le contenu du dressing. « Bon on s’y met » lança-t-elle en attrapant les affaires et les jetant sur le lit. Elle s’arrête parfois pour détailler un vêtement. Elle s’arrête sur l’ensemble que je portais pour notre sortie en boite, la mini-jupe gris/rose brodée de motifs floraux avec un ourlet volanté et le d’un top assorti à manches longues et épaules découvertes. Je frissonne tandis qu’elle dit « C’est joli ça, tu crois que ça m’irait ? ». Sans attendre ma réponse, elle enfile la jupe, quitte son tee-shirt et passe le top. Ça lui va super bien, elle est belle et sexy, je bande. Elle s’en aperçoit, son regard s’allume mais elle me lance « Pas de ça, on n’a pas fini », je débande et elle me lance « Va cherche les sacs poubelle, on va jeter tout ça ».
Quand je reviens, elle a fini de vider le dressing sur le lit et je remarque un petit tas composé de ma lingerie. Elle le tapote en me disant « Ben mon coquin, t’aime les dessous chics et sexys ». Je ne dis rien, ouvre un sac poubelle et m’apprête à y mettre la lingerie mais elle m’arrête. Elle me montre l’ensemble tanga rose pâle en tulle et dentelle aux motifs floraux avec le soutien-gorge et le porte-jarretelles assortis. Ceux de la soirée boite, je suis poursuivi, sait-elle quelque chose ?
- Je suis curieuse, tu voudrais les mettre que je me rende compte de l’effet sur toi ?
- Ben ! Heu ! Non ! On a dit que c’était fini tout ça.
- Juste une fois, il faut bien que je te vois au moins une fois en fille.
- …
- Allez ! S’il te plait, là c’est moi qui te le demande.
Vaincu j’attrape les dessous et me dirige vers la salle de bain. « Non habille toi ici que je vois ta transformation ». Un peu gêné, je quitte mon caleçon enfile le tanga, j’ôte mon tee-shirt, met le soutien-gorge et fini par le porte-jarretelles. Elle me tend alors une paire de bas noirs que j’enfile. Me voyant galérer pour les fixer elle s’agenouille devant moi et les fixe. Ses mains qui chatouillent le haut de mes cuisses me donnent des frissons et je bande à nouveau. « Dis à Popol de rester tranquille, on est toujours pas là pour ça ! », je débande.
Elle se redresse, se recule, me regarde me demande de me retourner. « Bon, t’es un peu plate mais t’as un beau p’tit cul, faut le reconnaitre, ça te va bien. Et puis t’es un peu poilue pour une fille. Finis de t’habiller et on jette tout. ». Elle me tend alors une mini-jupe en cuir bordeaux, un chemiser en soie blanc et mes escarpins. Je reste un moment sans comprendre puis je m’habille. Sur son initiative nous finissons de remplir les sacs poubelle avec le reste de mes affaires.
- Quand tu es habillé en fille, tu t’appelles toujours Franck ?
- Non, je suis Séverine.
- Bien. Séverine, avant d’aller manger il faudrait que tu te maquilles un peu et que tu mettes ça.
Elle me tend ma perruque. Je ne comprends rien mais j’obéis. Quand je sors de la salle de bain, je sens de bonnes odeurs en provenance de la cuisine. J’y trouve Sarah qui touille dans une marmite. Mon ensemble lui va très bien, elle est belle. « Je nous ai fait un poulet à la basquaise, ça te va ? » me dit-elle en m’entendant arrivé perché sur mes talons. Elle se retourne me découvre, reste la cuillère en bois en suspension, le regard interdit, avant de dire « Ben Franck, tu fais une très belle femme. ». Je lui réponds « Ben Sarah, tu es une très belle femme aussi » et me dirige vers les placards pour attraper les assiettes et les verres pour dresser la table dans la salle. Elle reste sans bouger un moment, la cuillère toujours en suspension puis reprend son touillage.
Nous mangeons et buvons une bouteille de vin en discutant comme si de rien n’était. Ce n’est qu’à la fin du repas que je me rends compte qu’elle ne m’appelle plus Franck mais Séverine. Le repas finit nous débarrassons et alors que je suis penché pour mettre des assiettes dans le lave-vaisselle, je la sens se coller contre mes fesses. Je me redresse, elle m’attrape la poitrine et se colle à moi et me murmure « Séverine, j’ai envie de toi ». Je me retourne, ses yeux pétillent alors je l’embrasse. Ma langue va chercher la sienne, la trouve et notre baiser devient passionné. Je descends mes mains dans son dos trouve ses fesses et les caresse tandis qu’elle fait de même. Je remonte sa jupe et trouve la peau de ses fesses que je continue à caresser, je passe sous sa culotte pour les prendre à pleine mains, elle frissonne et son bassin se colle contre le mien. Je bande et j’espère que cette fois-ci nous n’aurons que ça à faire. J’en suis convaincu maintenant que je la sens défaire le bouton et descendre la fermeture de ma jupe qui tombe au sol. Ses mains m’agrippent les fesses et me collent à elle.
Elle se frotte à moi, nos souffles sont cours et elle quitte mes lèvres, me prend la main et m’amène dans notre chambre. Elle quitte sa jupe et le top et s’alonge sur le lit en me faisant signe de la rejoindre. Qu’elle est belle en culotte ! Je quitte mon chemisier et la rejoins. Je m’allonge sur elle et nos lèvres se retrouvent pour un baiser plus tendre tandis que je bouge entre ses jambes, mon sexe frottant le sien. Elle plie les jambes et accompagne mes mouvements de ses hanches et de ses mains sur mes fesses. Je quitte ses lèvres et descends dans son cou un instant avent de poursuivre ma descente. Je passe dans la vallée de ses seins, me dirige vers le gauche, trouve le téton que je tille de la langue. Il se durcit tandis que sa respiration accélère. Je me dirige vers le droit que je soumets au même supplice pour le même résultat. Elle émet un petit gémissement. Encouragé je reprends ma descente, je léchouille son ventre jusqu’à arriver à la frontière de sa culote, je la suis du bout de la langue. Je traverse la frontière de coton et arrive sur sa cuisse. Alors, toujours à la frontière de la culotte, je descends jusqu’à la naissance de ses fesses. Je traverse un nouvelle fois la frontière et arrive sur son autre cuisse. Ses mains se posent sur ma tête tandis que je la sens frissonner et gémir doucement.
Je recommence l’opération en sens inverse en posant mes doigts entre ses jambes, sur son sexe que je caresse tandis que ma langue fait son chemin. Elle se cambre parfois dans un gémissement et son bassin ondule doucement. Sa culotte se mouille et je la lui enlève. Si elle est belle en culotte, elle magnifique nue. Je passe un doigt entre ses lèvres et fait quelques allers-retours pour m’arrêter sur son clitoris que je titille. Elle gémit doucement et je me penche pour remplacer mon doigt par ma langue. Je parcours sa chatte, l’embrasse, la mets dans ma bouche tandis que ma langue virevolte. Ses mains sur ma tête semblent vouloir la guider, je laisse faire. Elle me guide sur son clitoris que je mange avant de le titiller. Lorsque je la pénètre d’un doigt elle se cambre et lorsqu’un deuxième le rejoint elle gémit. Je les fais alors aller et venir tandis que ma langue poursuit ses titillements et son bassin ondule. Mes doigts légèrement courbés accélèrent tandis que ses ondulations sont plus violentes et que ses gémissements sont discontinus. Soudain ses mains se crispent sur ma tête, son bassin se cambre avant d’être pris de spasmes alors qu’elle pousse un petit cri de plaisir. Elle me relâche la tête que je redresse tandis que mes doigts quittent son sexe trempé.
Je remonte sur elle tandis qu’elle reprend ses esprits et je l’embrasse doucement. S’écartant de ma bouche elle me dit « Je ne savais que gouiner est aussi bon ! ». « Tu vas voir comme c’est bon de gouiner avec moi » lui répondis-je. Et, ayant sorti mon sexe de mon tanga, la pénétrait d’une poussée. « Hooo ! » lâchât-elle. Sa chatte est douce et accueillante et je commence à aller et venir doucement. Elle met ses mains sur mes fesses et les caresses, jouant avec la mince lanière entre mes fesses. Ça m’excite et j’accélère le mouvement. Elle écarte d’avantage les jambes et repli les genoux, m’appuyant sur les fesses pour me faire pénétrer le plus profond possible en elle, gémissant à chaque poussée. Je trouve mon rythme et mon sexe profite de ce doux fourreau. Soudain ses mains m’agrippent les hanches et m’éloignent. Elle se dégage et se place à quatre pattes et me regarde avec un air gourmant. Je me place dernière elle, quelle vue magnifique ! je lui caresse la chatte, la lui lèche puis me positionne et la pénètre d’une poussée profonde. Elle pousse un petit cri et, l’attrapant par les hanches, commence mes mouvements. La vision est à la mesure des sensations, c’est beau, c’est bon. Je vais plus vite et mon ventre claque sur ses fesses. Je râle de plaisir et elle gémit.
Pris d’une envie subite je lui libère une hanche et ma main glisse sur sa fesse et descend tandis que mon pouce s’invite dans son sillon. Il y trouve son anus et elle frissonne tandis que son gémissement se fait plus guttural. Ne trouvant pas de réticence, il le caresse au rythme de mes pénétrations. Ça m’excite au plus haut point et je sens que je vais venir quand elle pousse les fesses en venant à ma rencontre, la pénétration est forte et mon pouce entre en elle. Elle émet un « Hooo ! » dans un soupir profond. Je n’ose plus bouger et c’est elle qui commence à le faire. Je laisse mon pouce qui la sodomise tandis qu’elle va et vient sur mon sexe. Mon plaisir qui était un peu tombé de peur de sa réaction remonte en flèche. Soudain elle fait quitter mon sexe de son écrin et me dit dans un râle « Prends moi ». Je n’hésite pas, je présente mon sexe devant son anus, je pouce un peu, elle se cambre et mon gland passe et elle gémit.
Après quelques instants je commence de petits mouvements m’enfonçant en elle un peu plus à chacun d’eux jusqu’à la pénétré jusqu’à la garde. Alors je commence à aller et venir en lui agrippant les hanches. C’est serré, c’est chaud, c’est bon. Lui lâchant une hanche je me dirige entre ses jambes, trouve sa chatte humide et la caresse par des aller-retours rapides. Le plaisir monte, mon sexe me transmets des ondes qui me traverse le corps. N’y tenant plus, accélérant le rythme de mes va et vient et de mes caresses sur sa chatte, je me cambre soudain, la pénètre fortement et explose tandis qu’elle cri et commence à trembler. Elle s’écroule et, toujours en elle, je l’accompagne et m’allonge sur elle. Mon sexe perdant son volume sort de son antre.
Nos souffles se calment et nous reprenons nos esprits. Je la libère, me place contre son côté et lui caresse le dos et les fesses. « Hummmm ! Gouiner avec une fille à bite c’est plutôt bon ! Dit Franck, tu veux bien qu’on garde Séverine avec nous ? » me demande-t-elle tout à coup. Je prends un temps et je lui réponds « Pourquoi pas ? Mais attention, je pourrais être jaloux. » lui répondis-je en lui donnant une petite tape sur les fesses.
J’en sors de ma douce torpeur après cette séance de sexe intense aux bruits d’applaudissements qui, tout comme Laeticia, me font sursauter. Je tourne la tête et je vois Sarah, ma copine, sur le seuil de la porte. Elle nous applaudit mais ses yeux ne rigolent pas et son expression est indéchiffrable. Tournant les talons et quittant la chambre elle lance « Habillez vous les filles, il faut qu’on parle ». Laeticia et moi lançons tout bas « Ho ! Putain ! ».
Je sens alors Laeticia quitter mon fondement mais je ne suis plus tout à fait Séverine et cela me fait un drôle d’effet. Une fois libéré je me redresse, je n’ose pas la regarder. Je quitte en vitesse mes dessous et passe un caleçon et un survêtement. J’en passe également à Laeticia qui semble être redevenues Hakim. « Vous vous bouger le cul les filles, vous n’allez pas remettre ça quand même ? » nous cri Sarah depuis le salon. Nous tentons de nous démaquiller tant bien que mal, réussissant à croiser le regard d’Hakim, j’y lis la panique que je ressens et nous nous dirigeons vers le salon comme nous le ferions si nous allions à l’échafaud.
Sarah est assise dans un fauteuil, elle est rouge, ses jambes sont croisées et son pied en socquette s’agite. La connaissant, nous sommes au summum de son énervement. Elle nous toise et nous lance :
- Franck, Hakim, vous avez fait quoi des deux greluches qui baisaient dans ma chambre ?
- …
- Hakim, je me suis permise d’appeler Laura, elle ne devrait tarder.
Elle se tait et nous restons debout, sans oser bouger et encore moins parler. Laura sonne et entre comme une furie.
- C’est quoi ce bordel Sarah, j’ai rien compris, Hakim baisait une salope dans ta chambre ? C’est quoi ce bordel Hakim, tu me trompes dans la maison de ton pote ?
- …
- Viens t’assoir Laura, ces messieurs vont nous expliquer.
- …
- Allez les mecs expliquez nous qui baisait sur mon lit. On aurait dit deux nanas en lingerie sexy sauf qu’il y en avait une avec une queue qui bourinait le cul de l’autre.
- Quoi ! Ce n’est pas ce que je crois ! Hakim, ce n’est pas ce que je crois ?
- …
- Bon, Franck, tu prends une valise, tu mets tes fringues dedans et tu te casses.
- Hakim, c’est même pas la peine de rentrer, tu trouveras ta valise devant la porte.
Elles se lèvent.
- Non, les filles, s’il vous plait. Laissez-nous un peu de temps, on va vous expliquer.
- Du temps pour expliquer quoi, tu pues le foutre à 15 mètres. Ça fait longtemps qu’Hakim te la met profond.
- Hakim, tu me trompes avec un mec, t’es homo maintenant ?
- Franck, tu as une heure pour débarrasser le plancher sinon je publie la petite vidéo de vos exploits.
Sarah nos montre son téléphone. Non, elle n’a pas filmé ! Mais elle montre la vidéo à Laura. Nous entendons des gémissements qui se finissent sur un râle et un cri. Laura est devenue toute pâle et sert ses manches devant sa bouche comme pour retenir un cri d’horreur. Vaincu, complètement perdu, apeuré à l’idée de perdre Sarah mais effrayé de révéler notre secret je finis par supplier :
- On va tout vous expliquer et nous pourrons en parler calmement.
- J’en doute mais vas-y.
Alors je leur explique tout, notre besoin de nous travestir, et tente de minimiser la chose en trouvant des analogies avec les cosplaying ou de manière générale le déguisement. C’est une activité comme une autre, en tout bien tout honneur. Je passe sous silence nos sorties et toute particulièrement notre sortie en boite et ses conséquences ainsi que notre première étreinte. J’essaye d’expliquer qu’aujourd’hui il y a eu un dérapage que nous regrettons et qui ne se reproduira pas. Je finis ma plaidoirie de défense et un silence lourd s’installe. Sarah le rompt soudain.
- Donc, votre divertissement c’est de vous déguiser en fille comme d’autre en Titi et Grosminet et là, pas de bol, Grosminet a bouffé Titi ?
- …
- Vous vous foutez de nos gueules là.
- Non, pas du tout, je t’assure Sarah.
- Et sa queue dans ton cul c’est arriver en tombant alors que tu essayais de lui fixer un bas à une jarretelle ?
- …
- Bon, t’en penses quoi Laura ?
- J’en sais rien. Je suis choquée j’ai besoin de recul.
- Tu as raison. Franck, tu prends tes cliques et tes claques et tu te casses.
- Mais chérie, on se marie bientôt.
- Ouaip mais y’a qu’une robe blanche et on risque de se la disputer.
- Ne dit pas n’importe quoi.
- N’importe quoi ? C’est pas n’importe quoi que de te trouver en lingerie avec la bite de ton pote dans ton cul ?
- …
- Bon, dégagez Laura et moi il faut qu’on parle.
Ma valise faite, nous sommes partis.
Après plusieurs semaines de négociations et de rencontres orageuses au début, elle a décidé de passer l’éponge à la condition que je jette toutes mes affaires de fille et que je ne recommence plus jamais. J’ai promis sans regrets. J’ai réintégré notre maison et après quelques heures plutôt fraiches, elle a accepté que je l’embrasse et, de fil en aiguille, nous avons fait l’amour comme si nos vies en dépendaient. Elle s’accrochait à moi comme si ça vie en dépendait, comme une naufragée à son sauveteur et elle eut un orgasme profond alors que je jouissais en elle. « Je t’aime tu sais ? Tu m’as fait très peur. » me dit-elle dans ce moment particulier post coït. « Je sais, pardonne-moi » je lui réponds en la serrant dans mes bras. « Il va quand même falloir que l’on s’occupe de jeter tout tes trucs » poursuivit-elle. J’acquiesce et lui fait des petits bisous sur le front. Elle se love contre moi et nous nous endormons.
A mon réveil je suis seul dans le lit. J’en sors, enfile mon caleçon qui traine part terre, enfile un tee-shirt et me dirige vers la cuisine, guidé par l’odeur du café. Sarah y est et sirote son café. Elle est belle ma Sarah, je devine un bout de culotte sous le tee-shirt qu’elle m’a piqué et je bande. Mon caleçon ne peut pas le masquer et elle s’en aperçoit. L’œil coquin elle me dit « Pas de ça ce matin, on a du rangement à faire ». Je débande. Bon, me dis-je, plus vite on s’y mettra et plus vite toute cette histoire sera derrière nous. Je prends mon café avec elle, nous parlons de ce que nous allons faire ce week-end et nous y allons.
Je lui montre mon placard secret que j’ai installé dans l’espace perdu entre le toit et le mur de la chambre d’amis. Comme c’est du lambris, la trappe d’accès ne se voit pas. L’espace n’est pas grand, 1m70 au plus haut sur 90cm de profondeur mais j’y ai installé des étagères et une penderie qui en font un dressing acceptable. Sarah est surprise et jalouse que je n’ai pas installé un tel dressing dans notre chambre. Je le note pour plus tard. « Et bien dit donc tu n’y es pas allé de main morte, c’est une sacrée garde-robe que tu as là » me lance-t-elle en détaillant le contenu du dressing. « Bon on s’y met » lança-t-elle en attrapant les affaires et les jetant sur le lit. Elle s’arrête parfois pour détailler un vêtement. Elle s’arrête sur l’ensemble que je portais pour notre sortie en boite, la mini-jupe gris/rose brodée de motifs floraux avec un ourlet volanté et le d’un top assorti à manches longues et épaules découvertes. Je frissonne tandis qu’elle dit « C’est joli ça, tu crois que ça m’irait ? ». Sans attendre ma réponse, elle enfile la jupe, quitte son tee-shirt et passe le top. Ça lui va super bien, elle est belle et sexy, je bande. Elle s’en aperçoit, son regard s’allume mais elle me lance « Pas de ça, on n’a pas fini », je débande et elle me lance « Va cherche les sacs poubelle, on va jeter tout ça ».
Quand je reviens, elle a fini de vider le dressing sur le lit et je remarque un petit tas composé de ma lingerie. Elle le tapote en me disant « Ben mon coquin, t’aime les dessous chics et sexys ». Je ne dis rien, ouvre un sac poubelle et m’apprête à y mettre la lingerie mais elle m’arrête. Elle me montre l’ensemble tanga rose pâle en tulle et dentelle aux motifs floraux avec le soutien-gorge et le porte-jarretelles assortis. Ceux de la soirée boite, je suis poursuivi, sait-elle quelque chose ?
- Je suis curieuse, tu voudrais les mettre que je me rende compte de l’effet sur toi ?
- Ben ! Heu ! Non ! On a dit que c’était fini tout ça.
- Juste une fois, il faut bien que je te vois au moins une fois en fille.
- …
- Allez ! S’il te plait, là c’est moi qui te le demande.
Vaincu j’attrape les dessous et me dirige vers la salle de bain. « Non habille toi ici que je vois ta transformation ». Un peu gêné, je quitte mon caleçon enfile le tanga, j’ôte mon tee-shirt, met le soutien-gorge et fini par le porte-jarretelles. Elle me tend alors une paire de bas noirs que j’enfile. Me voyant galérer pour les fixer elle s’agenouille devant moi et les fixe. Ses mains qui chatouillent le haut de mes cuisses me donnent des frissons et je bande à nouveau. « Dis à Popol de rester tranquille, on est toujours pas là pour ça ! », je débande.
Elle se redresse, se recule, me regarde me demande de me retourner. « Bon, t’es un peu plate mais t’as un beau p’tit cul, faut le reconnaitre, ça te va bien. Et puis t’es un peu poilue pour une fille. Finis de t’habiller et on jette tout. ». Elle me tend alors une mini-jupe en cuir bordeaux, un chemiser en soie blanc et mes escarpins. Je reste un moment sans comprendre puis je m’habille. Sur son initiative nous finissons de remplir les sacs poubelle avec le reste de mes affaires.
- Quand tu es habillé en fille, tu t’appelles toujours Franck ?
- Non, je suis Séverine.
- Bien. Séverine, avant d’aller manger il faudrait que tu te maquilles un peu et que tu mettes ça.
Elle me tend ma perruque. Je ne comprends rien mais j’obéis. Quand je sors de la salle de bain, je sens de bonnes odeurs en provenance de la cuisine. J’y trouve Sarah qui touille dans une marmite. Mon ensemble lui va très bien, elle est belle. « Je nous ai fait un poulet à la basquaise, ça te va ? » me dit-elle en m’entendant arrivé perché sur mes talons. Elle se retourne me découvre, reste la cuillère en bois en suspension, le regard interdit, avant de dire « Ben Franck, tu fais une très belle femme. ». Je lui réponds « Ben Sarah, tu es une très belle femme aussi » et me dirige vers les placards pour attraper les assiettes et les verres pour dresser la table dans la salle. Elle reste sans bouger un moment, la cuillère toujours en suspension puis reprend son touillage.
Nous mangeons et buvons une bouteille de vin en discutant comme si de rien n’était. Ce n’est qu’à la fin du repas que je me rends compte qu’elle ne m’appelle plus Franck mais Séverine. Le repas finit nous débarrassons et alors que je suis penché pour mettre des assiettes dans le lave-vaisselle, je la sens se coller contre mes fesses. Je me redresse, elle m’attrape la poitrine et se colle à moi et me murmure « Séverine, j’ai envie de toi ». Je me retourne, ses yeux pétillent alors je l’embrasse. Ma langue va chercher la sienne, la trouve et notre baiser devient passionné. Je descends mes mains dans son dos trouve ses fesses et les caresse tandis qu’elle fait de même. Je remonte sa jupe et trouve la peau de ses fesses que je continue à caresser, je passe sous sa culotte pour les prendre à pleine mains, elle frissonne et son bassin se colle contre le mien. Je bande et j’espère que cette fois-ci nous n’aurons que ça à faire. J’en suis convaincu maintenant que je la sens défaire le bouton et descendre la fermeture de ma jupe qui tombe au sol. Ses mains m’agrippent les fesses et me collent à elle.
Elle se frotte à moi, nos souffles sont cours et elle quitte mes lèvres, me prend la main et m’amène dans notre chambre. Elle quitte sa jupe et le top et s’alonge sur le lit en me faisant signe de la rejoindre. Qu’elle est belle en culotte ! Je quitte mon chemisier et la rejoins. Je m’allonge sur elle et nos lèvres se retrouvent pour un baiser plus tendre tandis que je bouge entre ses jambes, mon sexe frottant le sien. Elle plie les jambes et accompagne mes mouvements de ses hanches et de ses mains sur mes fesses. Je quitte ses lèvres et descends dans son cou un instant avent de poursuivre ma descente. Je passe dans la vallée de ses seins, me dirige vers le gauche, trouve le téton que je tille de la langue. Il se durcit tandis que sa respiration accélère. Je me dirige vers le droit que je soumets au même supplice pour le même résultat. Elle émet un petit gémissement. Encouragé je reprends ma descente, je léchouille son ventre jusqu’à arriver à la frontière de sa culote, je la suis du bout de la langue. Je traverse la frontière de coton et arrive sur sa cuisse. Alors, toujours à la frontière de la culotte, je descends jusqu’à la naissance de ses fesses. Je traverse un nouvelle fois la frontière et arrive sur son autre cuisse. Ses mains se posent sur ma tête tandis que je la sens frissonner et gémir doucement.
Je recommence l’opération en sens inverse en posant mes doigts entre ses jambes, sur son sexe que je caresse tandis que ma langue fait son chemin. Elle se cambre parfois dans un gémissement et son bassin ondule doucement. Sa culotte se mouille et je la lui enlève. Si elle est belle en culotte, elle magnifique nue. Je passe un doigt entre ses lèvres et fait quelques allers-retours pour m’arrêter sur son clitoris que je titille. Elle gémit doucement et je me penche pour remplacer mon doigt par ma langue. Je parcours sa chatte, l’embrasse, la mets dans ma bouche tandis que ma langue virevolte. Ses mains sur ma tête semblent vouloir la guider, je laisse faire. Elle me guide sur son clitoris que je mange avant de le titiller. Lorsque je la pénètre d’un doigt elle se cambre et lorsqu’un deuxième le rejoint elle gémit. Je les fais alors aller et venir tandis que ma langue poursuit ses titillements et son bassin ondule. Mes doigts légèrement courbés accélèrent tandis que ses ondulations sont plus violentes et que ses gémissements sont discontinus. Soudain ses mains se crispent sur ma tête, son bassin se cambre avant d’être pris de spasmes alors qu’elle pousse un petit cri de plaisir. Elle me relâche la tête que je redresse tandis que mes doigts quittent son sexe trempé.
Je remonte sur elle tandis qu’elle reprend ses esprits et je l’embrasse doucement. S’écartant de ma bouche elle me dit « Je ne savais que gouiner est aussi bon ! ». « Tu vas voir comme c’est bon de gouiner avec moi » lui répondis-je. Et, ayant sorti mon sexe de mon tanga, la pénétrait d’une poussée. « Hooo ! » lâchât-elle. Sa chatte est douce et accueillante et je commence à aller et venir doucement. Elle met ses mains sur mes fesses et les caresses, jouant avec la mince lanière entre mes fesses. Ça m’excite et j’accélère le mouvement. Elle écarte d’avantage les jambes et repli les genoux, m’appuyant sur les fesses pour me faire pénétrer le plus profond possible en elle, gémissant à chaque poussée. Je trouve mon rythme et mon sexe profite de ce doux fourreau. Soudain ses mains m’agrippent les hanches et m’éloignent. Elle se dégage et se place à quatre pattes et me regarde avec un air gourmant. Je me place dernière elle, quelle vue magnifique ! je lui caresse la chatte, la lui lèche puis me positionne et la pénètre d’une poussée profonde. Elle pousse un petit cri et, l’attrapant par les hanches, commence mes mouvements. La vision est à la mesure des sensations, c’est beau, c’est bon. Je vais plus vite et mon ventre claque sur ses fesses. Je râle de plaisir et elle gémit.
Pris d’une envie subite je lui libère une hanche et ma main glisse sur sa fesse et descend tandis que mon pouce s’invite dans son sillon. Il y trouve son anus et elle frissonne tandis que son gémissement se fait plus guttural. Ne trouvant pas de réticence, il le caresse au rythme de mes pénétrations. Ça m’excite au plus haut point et je sens que je vais venir quand elle pousse les fesses en venant à ma rencontre, la pénétration est forte et mon pouce entre en elle. Elle émet un « Hooo ! » dans un soupir profond. Je n’ose plus bouger et c’est elle qui commence à le faire. Je laisse mon pouce qui la sodomise tandis qu’elle va et vient sur mon sexe. Mon plaisir qui était un peu tombé de peur de sa réaction remonte en flèche. Soudain elle fait quitter mon sexe de son écrin et me dit dans un râle « Prends moi ». Je n’hésite pas, je présente mon sexe devant son anus, je pouce un peu, elle se cambre et mon gland passe et elle gémit.
Après quelques instants je commence de petits mouvements m’enfonçant en elle un peu plus à chacun d’eux jusqu’à la pénétré jusqu’à la garde. Alors je commence à aller et venir en lui agrippant les hanches. C’est serré, c’est chaud, c’est bon. Lui lâchant une hanche je me dirige entre ses jambes, trouve sa chatte humide et la caresse par des aller-retours rapides. Le plaisir monte, mon sexe me transmets des ondes qui me traverse le corps. N’y tenant plus, accélérant le rythme de mes va et vient et de mes caresses sur sa chatte, je me cambre soudain, la pénètre fortement et explose tandis qu’elle cri et commence à trembler. Elle s’écroule et, toujours en elle, je l’accompagne et m’allonge sur elle. Mon sexe perdant son volume sort de son antre.
Nos souffles se calment et nous reprenons nos esprits. Je la libère, me place contre son côté et lui caresse le dos et les fesses. « Hummmm ! Gouiner avec une fille à bite c’est plutôt bon ! Dit Franck, tu veux bien qu’on garde Séverine avec nous ? » me demande-t-elle tout à coup. Je prends un temps et je lui réponds « Pourquoi pas ? Mais attention, je pourrais être jaloux. » lui répondis-je en lui donnant une petite tape sur les fesses.
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