Les aventures de Séverine (03) - histoire érotique

Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.

Je me lève à regret, prends du linge propre et me dirige vers la douche en disant à Laeticia de se servir et de prendre la douche de la chambre d’amis. Je laisse l’eau chaude me débarrasser des sensations passées. Je sors me sèche et m’habille prête à aborder le fond du problème avec Laeticia. Ce qui vient de se passer, même si j’avoue avoir adorer, en fait justement partie. En attendant Laeticia, panique, il est 16H30 et ma copine ne pas tarder à rentrer. Lorsqu’elle sort de la douche je presse Laeticia pour qu’elle parte, nous discuterons lundi, je vais poser ma journée. J’ai juste le temps de me démaquiller, de me changer et de refaire la chambre avant l’arrivée de ma copine. Lorsqu’elle rentre, tout est nickel mais en entrant dans la chambre elle plisse le nez « ça sent le foutre, t’as encore maté du porno et t’es masturbé sur notre lit ? T’es dégueulasse, si t’as besoin de te vider les couilles tu peux faire ça dans ton bureau ou me demander ». Que répondre ?

Redevenu Franck, je passe un week-end magique avec ma future femme. Nous avons fait l’amour 4 fois dont une dans notre nouveau jacuzzi où elle portait son nouveau maillot de bain une pièce rose très très échancré.

Nous sommes lundi et Laeticia doit venir vers 10H00, je redeviens Séverine. La discussion sera sérieuse, il s’agira de notre rupture. Il me faut une tenue de circonstance mais qui puisse lui donner des regrets. Je ne trouve rien dans mon armoire secrète. Et le tailleur noir de ma copine ? Il serait parfait mais est-ce que je rentre dedans ? Je le sors et je l’essaie, la jupe est serrée à la taille mais, à force de contorsions, ça rentre. Pour la veste, impossible. Tant pis j’en ai une noire et même si ce n’est pas tout à fait coordonné, ça fera l’affaire. Avec ça, un chemisier blanc. Pour les dessous, j’opte pour un ensemble noir, tanga, soutien-gorge et bas. Séance maquillage et je suis prête juste à temps, on sonne à la porte et j’ouvre à Laeticia qui est superbe, comme toujours. Elle porte un pull à col roulé noir et une jupe courte en cuir marron clair. A peine ai-je ouvert la porte qu’elle se jette sur moi et cherche mes lèvres. Je la repousse doucement.

- Non, s’il te plait, il faut qu’on parle cette fois ci.
- Même pas un bisou ? Me répond-elle les yeux pétillants
- Ok pour un petit bisou.

Je n’ai pas fini ma phrase que ces lèvres touchent les miennes pour un petit bisou. Je ressens une décharge électrique à ce contact et passe ma langue sur mes lèvres pour tenter d’éteindre la sensation. Elle fait de même, son regard me semble pétiller un peu plus.

- Toujours aussi électrique ma chérie.
- Pour le coup je crois que c’est toi.

Nous rigolons bêtement et je la précède au salon. Je m’installe sur un fauteuil et elle me fait face dans le canapé. Un silence s’installe, je cherche mes mots, mais elle me précède.

- Bien, tu voulais qu’on parle. Alors dis-moi, de quoi ? Tu veux que l’on arrête de se voir ?
- Oui. Il faut que nous nous quittions. Je t’aime mais nous sommes allées trop loin. Tu nous as amenées trop loin.
- Moi ?
- Oui, toi ! C’est toi qui a accepté les deux mecs. Nous devions passer une soirée entre copines, c’était ça le deal.
- Mais tu étais consentante, tu es une grande fille, tu pouvais dire non.
- Oui mais non, je ne pouvais pas te laisser.
- Tu ne pouvais pas ou ne voulais pas ?
- Peu importe la sémantique, je me sens trahie et j’ai peur de toi.
- Peur de moi ? N’importe quoi !
- Oui parce que je ne sais pas où tu pourrais nous emmener, je n’ai pas envie de ça.
- Pourtant tu as eu l’air d’aimer, non ?
- Là n’est pas la question, je n’ai pas envie de ça.
- Ça quoi ?
- De sexe.
- Mais si tu as aimé, pourquoi ?
- J’ai peut-être eu un orgasme mais je n’ai pas aimé, j’ai perdu le contrôle et ce n’est pas possible. Mais ce n’est pas le sujet que j’aime ou pas, le sujet est que je ne veux pas, point barre.
- Ok, il suffit de me le dire et on ne le refera plus. Enfin, moi je le referai parce que j’ai vraiment aimé mais sans toi. Promis. Pas besoin de se fâcher et de se séparer.
- Si parce que nos relations ne seront plus les mêmes et que je n’ai plus confiance.
- Plus confiance ? J’ai cru que tu voulais, si c’est pas le cas, désolée, je le sais maintenant et on ne le fera plus. Plus confiance alors que nous partageons tout depuis des mois ? Je t’aime ma chérie et je ne veux pas te perdre juste pour une erreur de jugement de ma part.
- Cette erreur est pour moi impardonnable, désolée.

Elle se lève alors, vient vers moi et me prend la main. Elle s’agenouille et, les yeux gonflés, me demande de m’excuser, de ne pas la quitter et de lui donner une chance. J’ai une boule au ventre, je ne veux pas céder mais son regard est si sincère que je craque et acquiesce incapable de parler. Elle se jette dans mes bras et me fait un gros bisou. Elle s’assied sur mes genoux et me serre fort contre elle. Nous restons enlacées, sans parler, profitant de l’instant et laissant échapper les tensions de notre discussion. J’ai bien conscience d’avoir été faible mais je suis heureuse de ne pas l’avoir perdue.

- Et ce que nous avons fait vendredi ? Me demande-t-elle tout à coup.
- Et bien ?
- Tu as aimé ?
- Oui. Après une hésitation et d’une petite voix.
- Moi aussi.

Un nouveau silence s’installe. Elle est calée contre moi, sa tête sur mon épaule et sa main vient se poser sur mon épaule libre. Elle la caresse un moment au travers de ma veste puis avance jusqu’à mon cou. Elle remonte sur ma joue et me parcourt le visage du bout des doigts comme pour l’apprendre par le toucher. Je ferme les yeux, concentrée sur les sensations qu’ils me procurent. Ils effleurent mes lèvres, si attardent. « J’aime bien ta bouche » me susurre-t-elle à l’oreille. Je lui réponds « Moi aussi j’aime bien tes lèvres ». Je sens sa tête quitter mon épaule et je sens sa langue remplacer ses doigts sur mes lèvres me provoquant une nouvelle petite décharge électrique. J’écarte un peu les lèvres et sa langue en découvre l’intérieur. Ma langue part à sa rencontre et la trouve. Elles jouent ensemble un moment. Les petites étoiles dans mon ventre s’allument tandis que nous échangeons un baiser passionné.

Elle se lève soudain, prends ma main et m’entraine dans ma chambre. Là elle me prend le visage entre ses mains et nos yeux se verrouillent avant qu’elle ne s’approche de moi pour reprendre notre baiser. Ses mains quittent mon visage, descendent sur mes épaules et font glisser ma veste. Elles reviennent sur mes joues avant de descendre à nouveau pour déboutonner mon chemisier qui ne tarde pas à rejoindre la veste au sol. Je sors alors de ma rêverie, je pose mes mains sur son cou et les descends dans son dos. Je tente de lui ôter son pull mais il est pris dans sa jupe et l’opération n’est pas simple et ça nous fait un peu rire sans que nos bouches ne se lâchent. Je défais alors le bouton de sa jupe, descend la fermeture éclair et je la fais glisser au sol. Remontant mes mains sur ses fesses bien lisses, laissées libres par ce que je pense être un string, je découvre des jarretelles, la coquine. Je ne m’y attarde pas et je lui enlève son pull. Pendant ce temps elle avait fait glisser ma jupe et ses mains me caressent les fesses et que les miennes viennent faire de même.

Nos bassins se rapprochent et nos sexes se frôlent, faisant briller plus fort les étoiles dans mon ventre. Ils se caressent et se retrouvent avec plaisir. Nos souffles se font plus forts les étoiles s’agitent. Ses mains sur mes fesses se font plus pressantes et poussent mon bassin plus fort contre le sien. Je sens un doigt passer dans mon sillon, effleurer mon anus et je me cambre contre elle. Il revient plusieurs fois et, à chaque passage, je me cambre involontairement tandis que les étoiles s’agacent dans mon bas ventre. Je le sens prendre une pose sur mon anus et le tiller au travers de la fine lanière de mon tanga. Je ressens une décharge électrique qui me fait frissonner.

Alors Laeticia me guide vers le lit où nous nous allongeons avec plus de délicatesse que la dernière fois. Nous nous allongeons l’une face à l’autre et nos bouches et nos sexes se retrouvent. Elle me fait replier une jambe sur sa hanche et me caresse la cuisse avant de repartir entre mes fesses et de reprendre le massage de mon anus ce qui me provoque les mêmes effets, décharge électrique et frissons. Cette fois ci c’est pourtant plus fort et je ne peux pas retenir un gémissement. Ne voulant pas être en reste je passe une main entre nous et trouve son sexe que je caresse au rythme de ses caresses sur mon œillet. A force je sens mon tanga s’écarter et ses doigts sur lui. L’un d’entre eux le titille et appui dessus. Je quitte sa bouche pour reprendre mon souffle et gémir tant l’onde de plaisir est forte. Le doigt, en appuyant plus fort, franchit la barrière libérant une nouvelle vague de plaisir. « Ça va ? » me demande Laeticia. Mon oui se perd dans un souffle et son doigt commence à jouer en moi, il sort, caresse ma corole et entre. C’est délicieusement électrique.

Soudain elle se recule et me met sur le ventre et descend dans mon dos en me faisant de petits bisous qui sont comme des braises sur ma peau. Elle fait de même sur mes fesses, écarte mes jambes et se place entre elles. Je sens son souffle dans mon sillon avant de sentir sa langue le parcourir passant sur mon anus et me faisant frissonner. Elle finit par s’y arrêter et la caresse est chaude et douce. Je gémis quand les étoiles clignotent dans mon bas ventre. Elles s’affolent quand un doigt rejoint la langue et me pénètre. Comme mu par une vie propre mon bassin commence à onduler au rythme de ses caresses. Toute à mon plaisir, je perds la notion du temps. Je suis momentanément ramené à moi quand elle me demande « Tu veux que je te fasse l’amour ? ». « Oui, viens » je lui réponds dans un souffle. Elle remonte dans mon dos, je sens son sexe entre mes fesses. J’ai envie d’elle. J’ai envie de la sentir en moi et qu’elle me fasse l’amour doucement. Je ne tarde pas à être comblée.

Son sexe trouve l’entrée de ma grotte de plaisir, en force doucement l’entrée et entre. Après une courte pause il progresse doucement. Je le sens progresser entre mes fesses centimètre par centimètre. Je souffle dans la couette et mes mains s’y agrippent tandis que c’est le chaos dans mon bas ventre. Arrivée au fond de la grotte elle entame un retour arrière. Chaque centimètre perdu me laisse un grand vide. Heureusement pour peu de temps car il revient le combler et affoler mon bas ventre me faisant gémir à chaque poussée. J’entends Laeticia gémir dans mon dos tandis que ses mouvements augmentent en cadence. Nous gémissons à l’unisson maintenant. Elle ralentit le mouvement mais les rend plus amples. Je la sens pousser contre mes fesses pour venir au plus profond de moi. Elle reprend un rythme plus soutenu, son ventre claque contre mes fesses tandis que mon bas ventre est en feu et que tout mon corps vibre du plaisir que me donne son membre qui va et vient. Dans une poussée plus vive et plus profonde je l’entends râler et se raidir. Mon bas ventre explose et je jouis dans un cri tandis que je suis prise de convulsions qui me font jouir et que je me sens mourir de plaisir. J’ai juste la sensation de sentir Laeticia s’allonger sur moi avant de tomber dans une douce torpeur.