Infiltration (2) - histoire érotique

[Entre nous les hommes] [travesti]

[Si vous n’avez pas lu les épisodes précédents, je vous le conseille fortement. Bonne lecture]

C’est ainsi qu’Elodie se retrouva le lendemain matin, vers 10H00 sur le trottoir qu’elle avait quitté la veille à bord de sa camionnette. Pour l’occasion elle avait été particulièrement pomponnée et elle portait un ensemble soutien-gorge, string et porte-jarretelles en dentelle noire. Sa jupe noire, courte et moulante, arrivait juste au-dessous des jarretières de ses bas noirs. Un caraco en satin noir lassait apparaitre une bande de peau au-dessus de sa jupe. Des escarpins à talons hauts venait compléter sa tenue. Elle n’eut pas très longtemps à attendre, une Audi A6 s’arrêta à sa hauteur, la porte passager s’ouvrit et le mac de la veille lui demanda de monter, ce qu’elle fit.
La voiture traversa Lyon et s’arrêta dans la cour privée d’un hôtel particulier, non loin du parc de la Tête-d’Or.

- T’as intérêt à être sage avec le boss si tu tiens à ton p’tit cul. Aller on y va.
Il fait pénétrer Elodie dans la demeure et l’installe dans un petit salon pendant qu’il s’absente. Il revient une dizaine de minutes plus tard.
- Bon, le boss est content, je lui ai venté tes charmes mais là il est occupé sur un gros coup, il te verra plus tard ou demain. En attendant tu restes là et Pavlo va s’occuper de toi pour que tu sois au top pour le boss.

Le mac s’en va et un mec d’une quarantaine d’année, mesurant pas loin d’1m90, bâti comme un rugbyman avec une tête de boxer entre dans la pièce.

- Je suis Pavlo et je vais m’occuper de toi pour le boss, je sais ce qu’il aime. Suis-moi. Lui dit-il avec un accent à couper au couteau.

Ils descendent au sous-sol et pénètre dans ce qui semble être une salle de relaxation. Il y a un sauna, un jacuzzi, des douches et une table de massage trône au centre de la pièce. Elle est très design, elle est grande et large et il n’y a qu’un pied excentré.

- Va prendre une douche et vient t’allonger sur la table.

Elodie obtempère et dévêtue, sans perruque, redevient Stéphane tandis que le jet d’eau chaude et le savon lui ôte son maquillage. Stéphane est excité à l’idée d’être tombé juste au moment ou un coup se prépare mais ne peut pas s’empêcher d’être inquiet pour ces fesses. Même s’il est prêt à reprendre une bite dans la bouche, il l’espère même un peu, il n’est pas prêt pour aller plus loin. La douche terminée il s’enveloppe dans un peignoir et sort. Pavlo lui demande alors de le quitter et de s’allonger sur la table de massage, sur le ventre. Stéphane obtempère en se demandant à quoi cela rimait.
Une fois installé, Pavlo lui enduit le dos et commence un massage très agréable. Stéphane se détend complètement sous la qualité du massage qui lui est prodigué, comme si les mains qui lui parcourent le dos l’hypnotisaient. Aussi ne réagit-il pas quand les massages, devenant de plus en plus amples atteignirent ses fesses, les franchir et descendirent sur ses cuisses. Il ne pensait qu’au plaisir du massage en se disant qu’il était décidément très agréable d’être imberbe car cela augmentait les sensations procurées par les mains qui le parcouraient.

Il ne réagit pas plus quand, au passage sur ces fesses, les pouces progressaient un peu plus entre ses fesses à chaque passage. Toutefois, quand ils passèrent et parcoururent le fond de la vallée il eut un frisson mais qui ne le tira pas de la douce torpeur dans laquelle il se trouvait. Lorsque les mains remontèrent de ses cuisses et s’engagèrent une nouvelle fois dans la vallée elles firent une pause à hauteur de son œillet que les pouces caressèrent tandis que les mains continuaient à lui caresser les fesses. Stéphane eut un nouveau frisson et inconsciemment il écarta un peu les cuisses. Les mains remontèrent sur son dos, s’attardèrent sur sa nuque et ses trapèzes puis redescendirent vers les cuisses, empruntant une nouvelle fois la vallée entre ses fesses. Le frisson de Stéphane fut un peu plus fort et sa respiration se faisait plus rapide sans qu’il ne quitte l’état vaporeux dans lequel il se trouvait.

Quand les mains remontèrent sur ses fesses et s’y posèrent, les pouces reprirent leurs massages et l’un d’eux, un peu plus insistant pénétra l’entrée de sa grotte secrète. Stéphane laissa échapper un « Ohhh ! » de surprise et de plaisir se disant qu’il était dans un rêve très érotique et priant pour ne pas en sortir. Le pouce commença à bouger en lui et sa respiration s’accéléra. Une main lui caressait maintenant le dos et les fesses tandis que le pouce jouait en lui, sortant parfois pour le pénétrer à nouveau. Le pouce fut bientôt remplacé par deux doigts qui le pénétrèrent profondément, un gémissement sortit de la bouche entrouverte de Stéphane tandis que son sexe gonflait, prisonnier entre son ventre et la table de massage.

Les doigts le massaient de l’intérieur lui procurant des frissons de plaisir. Il sentit ses jambes descendre, comme en apesanteur et il eut bientôt l’impression que son buste était sur la table tandis que ses jambes pendaient dans le vide. C’est bizarre ce que peuvent nous faire croire les rêves se dit-il. Mais cette pensée fut bien vite balayée par une nouvelle onde de plaisir provoquée par une insertion plus profonde des doigts. Il était parti tellement loin à la découverte de son plaisir et des nouvelles sensations qui inondaient son corps qu’il ne se rendit compte que les doigts l’aveint quitté que lorsque quelque chose de plus gros les remplaça. Il s’en rendit compte car cela lui fit mal mais cette douleur fut vite oubliée lorsque deux mains reprirent les massages sur son dos. La chose le quitta mais revient rapidement prendre sa place, sans douleur cette fois, bien au contraire et il laissa échapper un léger gémissement. L’objet recommença ainsi plusieurs fois, s’enfonçant plus loin et lui arrachant un gémissement à chaque pénétration. Lorsque l’objet s’enfonça profondément en lui et qu’il senti une pression sur ses fesses il comprit vaguement qu’il était en train de se faire sodomiser et que l’objet était un sexe qui venait de prendre possession de sa virginité.

Mais le sexe commença à bouger et s’il avait failli sortir de son état de béatitude, il y replongeât bien vite. Le membre qui le pénétrait allait maintenant en lui lentement mais régulièrement. Le bas ventre de Stéphane n’était plus qu’une zone de plaisir que chaque aller et retour intensifiait. Même les mains qui continuaient à lui masser le dos l’électrisaient maintenant, propageant le feu de son bas ventre à l’ensemble de son corps. Quand le membre qui le labourait s’enfonça d’un coup au plus profond de lui et explosa, inondant ses entrailles brulantes, il cria de plaisir et jouit tandis que son corps était parcouru de spasmes.

Le membre se retira après quelques dernières allées et venues et une main lui claqua les fesses qui arracha un petit couinement à Stéphane qui semblait encore perdu dans les vapeurs du plaisir.

- C’est une bonne pute ! Elle a un cul beau et accueillant comme j’en ai rarement vu. Pavlo tu as fait un super boulot. Tu me la prépare comme je les aime. Je pense que j’aurais besoin de m’amuser avec elle après ma réunion de 10H00.

L’homme qui avait parlé avait une voix grave et autoritaire, il quitta la pièce tandis que Stéphane reprenait doucement ses esprits. Comprenant alors la situation il fut assailli de nombreuses pensées contradictoires. La honte d’abord puis le bonheur d’avoir vécu une telle expérience. Ces deux sentiments incompatibles le rendaient mal à l’aise mais il fut interrompu par Pavlo qui lui intima de passer le peignoir et de le suivre. Il le conduisit dans une belle chambre avec salle de bain et le laissa en plan. Il revint bientôt avec un plateau de nourriture qu’il déposa sur une table avant de sortir.

Stéphane se dirigea vers la porte, tenta de l’ouvrir, elle était fermée. Merde, pas facile d’espionner ainsi. Il frappa alors à la porte et demanda ses affaires et son sac. La porte s’ouvrit quelques instants plus tard et Pavlo lui tendit uniquement son sac. Il lui indiqua qu’il n’avait pas s’inquiéter, que des vêtements luis seraient donné demain et que son téléphone était surveillé. Stéphane fut rassurer de pouvoir récupérer son téléphone, il fallait qu’il donne des nouvelles à l’équipe de surveillance. Ainsi, tandis qu’il commençait il envoya un message à Angèle, l’équipe de couverture pour prévenir qu’il était accueil par un ami et qu’il allait y passer la nuit et peut être la journée du lendemain. Ceci fait il se senti très fatigué et il prit conscience que la nourriture devait être droguée. Il réussit tant bien que mal à se lever pour se trainer jusqu’au lit sur lequel il s’écroula.

[Je ne sais pas vous mais moi j’ai mouillé ma petite culotte]