INITIATION À L’EXIBITION - Dévergondages 10
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2015 dans la catégorie Plus on est
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INITIATION À L’EXIBITION - Dévergondages 10
INITIATION À L’EXIBITION - Dévergondages 10Alors que je réside hors de France, Michel B., m’a contacté lors d’un déplacement dans mon Pays. Lui-même, demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années à Paris. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
***************************************************************************************« Montrer les cuisses, oui... mais les genoux, jamais ! ». (Coco Chanel)
***************************************************************************************Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain, lui précisant ses instructions ; il la veut sans sous-vêtements lors de leur rendez-vous, pas de soutien-gorge ni de culotte. Donc le vendredi, elle l’accompagne dans des boutiques, où Edmond lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il lui annonce ensuite qu’il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ces tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans l’anus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud d’une taille supérieur dans l’anus. Puis, le couple se prépare à aller déjeuner.
***************************************************************************************
Edmond explique à Odile qu’ils vont tout simplement aller déjeuner à l’Orangerie, un très beau bâtiment du XVIIIe siècle, jouxtant le Jardin Public de Bordeaux. Lorsqu’Odile s’est habillée des vêtements qu’Edmond lui a imposé, c’est à dire, la jupe légère très ample et le débardeur à fines bretelles qu’elle a choisi dans les achats de la semaine précédente, ils sortent du loft et se dirigent à pied par la rue Ernest Godard, rejoignant ainsi la rue d’Aviau.
Puis, le couple suit en diagonale les allées arborées de plus de cent cinquante espèces de végétaux plantées sur plus de dix hectares de ce jardin magnifique, traversant les deux passerelles métalliques qui enjambent un immense plan d’eau au milieu duquel se trouve une île, destinée aux enfants, avec un théâtre de marionnettes, des aires de jeux, et un manège à l'ancienne. Sous la forme serpentine de cette rivière, glissent majestueusement sur l’eau calme, cygnes, canards et oies, tandis que des hérons cendrés viennent pêcher les nombreux poissons qui s’y reproduisent. Enfin, le couple arrive sur l’immense terrasse parsemée de nombreuses statues, pour s’installer confortablement sous les parasols du salon de thé qui a pour nom l’Orangerie.
Odile n’est jamais venu dans cet établissement, ni dans ce jardin que la municipalité choie particulièrement. Edmond lui explique qu’il a été créé en 1746, conçu par l'architecte paysagiste Ange Jacques Gabriel ; c'est le premier jardin de France pensé dès sa création pour sa vocation d'ouverture au public. Il a d’abord été dessiné « à la française » à la façon de Le Nôtre, l'illustre jardinier versaillais. A la fin du XVIIIe siècle, des bâtiments sont apparus le long de la rue d'Aviau, tels qu’on peut les voir aujourd’hui. Il explique à sa compagne que cet ensemble homogène de façades contribue à donner au Jardin Public son cadre exceptionnel. Puis, il lui précise qu’une première réhabilitation a lieu en 1858, c’est à ce moment que le jardin public prend son style anglais actuel sous l'impulsion du paysagiste bordelais L.B Fischer. Il devient tel que vous le voyez aujourd'hui, un lieu de balade où la nature prime, agrémenté de découvertes botaniques et d'attractions pour les enfants. 1858, c’est aussi l'année où le vieux Jardin Botanique de la ville s'y installe. Sa création a une visée pédagogique pour la formation des futurs apothicaires et médecins. Depuis 1862 l'ancien Hôtel Lisleferme, construit par l'architecte Bonfin accueille le Muséum d’Histoire naturelle.
Mais Edmond interrompt son discours, car depuis un certain temps il faisait signe à un des serveurs, sans que cela serve à le faire se déplacer pour prendre une commande, se lève, et va à l’intérieur pour protester contre cette attente trop longue. Il est enfin écouté et la commande est prise.
En attendant, Edmond a bien l’intention de s’amuser de la pudeur de sa « maîtresse ». Doucement, il lui murmure qu’il voudrait bien voir sa chatte et que pour cela, il faut qu’elle retrousse sur ses genoux la jupe et qu’elle écarte les cuisses. Odile ne sait plus où se mettre. Il y a un nombre important de convives sur cette terrasse où les tables et les parasols sont légions. D’abord hésitante, regardant en tous sens si elle se sait observée, elle se décide à tirer sa jupe jusqu’au ras de ses genoux, puis, contemplant la végétation d’un regard brumeux, elle ouvre le compas de ses jambes très doucement, mais sans interrompre la progression de la découverte de ses cuisses ni de son abricot surmonté de sa toison admirablement peignée. Edmond la tenant sous sa domination, assure sa volonté.
- C’est bien ma chérie, vous nous offrez une magnifique exposition de vos cuisses et de votre vulve, pour notre plus grand plaisir, et j’espère pour celui de quelques admirateurs qui vont pouvoir se régaler de vos appas. Surtout ma chère, je vous recommande de ne pas bouger. Discutons, comme si de rien n’était.
Odile est tétanisée de se savoir ainsi exposée à la vue de toutes les personnes qui passeront ayant dans leur champ de vision son entrecuisse grande ouverte ou même, au regard des consommateurs qui sont autour de leur table. Déjà, deux promeneurs d’un certain âge ont ralenti lors de leur passage devant leur table ; leur regard goguenard ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’ils avaient à contempler les appas de la belle bourgeoise. Mais ce sont les mines réjouies d’un couple de trentenaire qui la fixe intensément, qui trouble surtout Odile. En effet, l’homme et la femme se trouvent à une table juste en face, à quelques mètres. L’homme qui porte un blazer sur un jean’s délavé, sa main glissée entre les cuisses de sa compagne, ne laisse aucun doute sur ce qu’il est en train de lui faire. La femme porte une mini-jupe blanche qui est retroussée jusqu’en haut des cuisses, son « Top » échancré, de même couleur, baillant jusqu’à laisser voir une poitrine opulente qui déborde largement. La femme, une blonde un peu grassouillette, lui sourit carrément alors que, se soulevant légèrement, elle remonte sa jupe sur ses hanches, laissant voir quelque peu ses fesses nues, mais surtout, son pubis complètement épilé lorsqu’elle écarte les cuisses pour faire comme sa voisine. Odile est rouge pivoine, surtout que le garçon, ne se gène pas pour introduire ses doigts dans la chatte qui luit de son humidité apparente. Edmond a bien vu le manège du couple, et, pour se mettre au diapason, il projette sa main sur la vulve de sa compagne. Celle-ci, surprise par cette attaque soudaine sur son intimité, referme ses cuisses sur la main audacieuse, mais Edmond réagit aussitôt.
- Tsitt ! Tsitt ! Petite Salope. Voulez-vous bien ouvrir vos jambes immédiatement !
Sous l’insulte et l’ordre impératif de son suborneur, Odile réagit comme une soumise devant son maître, elle ouvre les cuisses sur-le-champ, alors qu’un sanglot s’échappe de sa gorge, humilié d’obéir ainsi, éprouvant un dégoût d’elle-même à se comporter comme une moins que rien. Pourtant, elle tressaille aux doigts qui parcourent sa vulve, éprouvant, malgré sa pudeur mise à rude épreuve, un plaisir diffus. Sa chair réagit aux doigts diaboliques qui l’amènent à chaque fois à jouir encore plus. Son regard accroche celui de la blonde plantureuse. Celle-ci jouit manifestement sous la main de son amoureux et les deux femmes, se contemplant, les yeux dans les yeux, jouissent ensemble, sans aucun scrupule.
Lorsqu’elle reprend ses esprits, Odile remet de l’ordre dans sa tenue. D’ailleurs sa voisine en a fait autant. Edmond, leur demande s’ils veulent venir à leur table pour prendre le café. Le couple accepte aussitôt, et vient s’installer sur les sièges qu’un serveur déplace à la table de leurs hôtes. La jeune femme aux gros seins dit s’appeler Myriam, en s’asseyant auprès d’Odile, et le garçon qui se prénomme Rémi, à côté d’Edmond. Ils sont de passage, leur lieu de résidence étant la ville de Saintes, en Saintonge à un peu plus de cent kilomètres de Bordeaux. Ils travaillent tous les deux dans l’immobilier et sont mariés depuis cinq ans. Les deux couples sympathisent et rient de leurs exhibitions respectives. Odile se sent détendue et, après un bref moment de gêne, elle bavarde avec sa compagne sans éprouver d’embarras. Cette jeune femme bien en chair, est agréable à regarder et possède une certaine culture, assortie d’une bonne éducation, mais comme beaucoup de jeunes femmes de son âge, elle est très libérée sexuellement et n’a aucune pudeur à se livrer à des exhibitions occasionnelles.
Les deux femmes vont dans les toilettes pour assouvir leurs petits besoins, mais aussi pour se refaire une beauté. Elles en profitent pour échanger quelques confidences, appréciant leur complicité à l’idée d’avoir fait connaissance dans une situation aussi équivoque. À leur retour, leurs deux hommes les entrainent dans les allées arborées du parc, s’engageant par de toutes petites allées, au plus profond des bosquets touffus, près d’un plan d’eau marécageux à l’écart de la rivière artificielle. Les deux femmes demandent à leurs compagnons ce qu’ils veulent bien faire dans ce genre de fourrés. Ceux-ci, en arrivant dans une minuscule clairière, le leurs font vite savoir, en les embrassant, les lutinant et les déshabillant, malgré leurs protestations.
Déjà, Rémi s’est mis entièrement nu alors qu’il a enlevé les vêtements succincts de Myriam. Sans hésiter celle-ci prend la verge de son mari en bouche, et le pompe avec application. Malgré la résistance d’Odile, Edmond a réussi à lui enlever son débardeur. Celle-ci qui cherche à cacher sa poitrine, se laisse arracher sa jupe trop facilement. Elle ne peut s’empêcher de contempler le jeune couple, admirant le jeune homme à la carrure impressionnante, ainsi que son épouse, qui bien que rondelette, possède des formes généreuses avec des proportions des plus avantageuses et rebondies qui ne sont pas du tout désagréables. Elle donne plutôt envie cette plantureuse blonde ! Odile ressent un désir inavouable de pétrir les rondeurs, depuis les fesses callipyges jusqu’aux nichons lourds, qui s’affaissent légèrement sous leur poids.
Soudain, Odile est consterné par ses pensées impures, elle qui s’est surprise à dévorer des yeux les corps nus du couple qui désormais coïte avec conviction. Mais elle aussi, masturbée dans un premier temps par Edmond, vient d’être prise en levrette par celui-ci. Elle sent le sexe envahir sa matrice, alors qu’elle est à quatre pattes sur l’herbe de la clairière. Elle pousse des soupirs rauques en sentant la verge de son amant lui pilonner le vagin avec une vigueur décuplée par l’excitation commune aux deux couples. La verge de son amant lui paraît exagérément gonflée, car le rosebud de bonne taille enfoncé dans son rectum, comprime fortement ses organes intimes. Dans cette position humiliante elle a une impression d’être remplie au-delà de ce qu’elle peut supporter. Pourtant sa jouissance est décuplée par l’effet conjugué de l’olisbos et de ce mandrin qui envahissent ses chairs.
Sa voisine, à moins d’un mètre est libérée de son homme qui vient d’éjaculer sur son ventre, elle se glisse sur le dos sous le visage d’Odile et vient l’embrasser tout en empoignant les seins à la portée de ses mains. Celle-ci, affolée par ce baiser féminin, alors qu’il y a quelques minutes, elle convoitait les rondeurs charnues de la belle Myriam, ne résiste pas et mêle sa langue à celle de la blonde pulpeuse. Edmond ayant déchargé son sperme au fond de la fente vulvaire se retire également. Odile se sentant libérée, se couche sur le côté, empoigne à son tour, les lourdes mamelles et pince avec délices les tétons turgescents. Les deux femmes se gouinent avec ardeur sous les yeux des deux mâles qui récupèrent leur force, admirant les formes féminines qui s’ébattent dans leur plus pure nudité.
Alors que les deux femelles n’en finissent pas de jouir, Edmond et Rémi se rhabillent et mettent fin à leurs ébats, ils leur tendent leurs vêtements et leur intiment de redevenir présentables. Rémi a un rendez-vous important chez un acheteur potentiel et Edmond veut ramener à l’appartement, celle qui devient de plus en plus soumise à lui. Lui aussi à fort à faire.
Alors que le jeune couple prend congé, promettant de se revoir, soit à Bordeaux, soit à Saintes, Edmond prend Odile dans ses bras et l’embrasse longuement. Il lui fait part de sa satisfaction de la sentir aussi disponible que se soit, en s’exhibant à présent selon sa volonté ou en acceptant de sauter le pas des amours féminines.
- Vous savez Edmond, j’ai une grande honte à m’être comportée ainsi avec cette délicieuse Myriam, devant vous et devant son mari. Pourtant, je ne peux vous cacher que j’y ai pris un très grand plaisir. Avez-vous conscience que vous m’entrainez dans une déchéance abjecte et que je ne serai bientôt plus qu’une putain aux yeux de tous ?
- Ma Chère Odile, ne vous méprenez pas sur ce que vous êtes en train de devenir. Vous allez être la plus belle salope que j’ai pu connaître et c’est dans le plus beau sens du terme que je vous dis cela. Je suis certain que dans votre for intérieur de femme trop sage, vous aspiriez sans aucun doute à ce qui vous arrive, même si c’est seulement dans votre subconscient. D’ailleurs, je vais vous mettre à l’épreuve tout de suite !
Se retournant et faisant quelques pas, Edmond découvre un jeune homme qui se branlait derrière un buisson, sa queue sortie de son pantalon. Il avait sûrement reluqué toute la scène depuis un bon moment. Le prenant par le bras fermement et amenant le voyeur devant Odile, il lui aboie.
- À genoux chienne, et pompe ce jeune voyeur qui n’a rien perdu de tes ébats.
Odile, le visage écarlate, éclate en sanglots tout en obéissant à l’ordre infâme du notaire. Elle prend dans ses mains tremblotantes le vit du garçon et le glisse entre ses lèvres, pompant délicatement la jeune verge qui ne tarde pas à tressauter dans la bouche féminine et à lâcher de grosses saccades du jus juvénile qui déborde bientôt des lèvres de la femme mature. Le jeune homme se reculotte rapidement et s’enfuit à travers les buissons. Edmond essuie avec son mouchoir le jus poisseux qui macule les lèvres d’Odile, tandis que celle-ci, déglutit le foutre qu’elle avait encore en bouche, ne voulant pas réfléchir à ce que lui fait subir son tortionnaire de notaire. Elle se complait à présent dans ce rôle de soumise qu’elle n’a jamais été prête à accepter en tant qu’épouse et de femme parfaite qu’elle avait assumée jusqu’à sa rencontre avec ce coquin de notaire.
Edmond, après avoir raccompagné Odile place Mitchell, reprend sa voiture et retourne à son propre appartement. Il charge deux cartes mémoires qu’il a retirées discrètement des caméras installées dans l’appartement sur son PC, puis, il y transpose également les photos et les vidéos prises avec son Smartphone à l’Orangerie puis, dans la clairière avec le jeune couple de Saintes. Il rédige un long mail à un correspondant, y adjoignant les pièces jointes qu’il vient de charger.
Les lecteurs de cette série ne peuvent ignorer que depuis le début, notre notaire livre les photos et les vidéos de la belle mature qu’il fait chanter, à un mystérieux correspondant !
À suivre…
***************************************************************************************« Montrer les cuisses, oui... mais les genoux, jamais ! ». (Coco Chanel)
***************************************************************************************Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Puis, après avoir cédé au notaire, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Celui-ci lui ayant laissé un billet lui donnant rendez-vous pour le lendemain, lui précisant ses instructions ; il la veut sans sous-vêtements lors de leur rendez-vous, pas de soutien-gorge ni de culotte. Donc le vendredi, elle l’accompagne dans des boutiques, où Edmond lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il lui annonce ensuite qu’il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ces tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans l’anus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud d’une taille supérieur dans l’anus. Puis, le couple se prépare à aller déjeuner.
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Edmond explique à Odile qu’ils vont tout simplement aller déjeuner à l’Orangerie, un très beau bâtiment du XVIIIe siècle, jouxtant le Jardin Public de Bordeaux. Lorsqu’Odile s’est habillée des vêtements qu’Edmond lui a imposé, c’est à dire, la jupe légère très ample et le débardeur à fines bretelles qu’elle a choisi dans les achats de la semaine précédente, ils sortent du loft et se dirigent à pied par la rue Ernest Godard, rejoignant ainsi la rue d’Aviau.
Puis, le couple suit en diagonale les allées arborées de plus de cent cinquante espèces de végétaux plantées sur plus de dix hectares de ce jardin magnifique, traversant les deux passerelles métalliques qui enjambent un immense plan d’eau au milieu duquel se trouve une île, destinée aux enfants, avec un théâtre de marionnettes, des aires de jeux, et un manège à l'ancienne. Sous la forme serpentine de cette rivière, glissent majestueusement sur l’eau calme, cygnes, canards et oies, tandis que des hérons cendrés viennent pêcher les nombreux poissons qui s’y reproduisent. Enfin, le couple arrive sur l’immense terrasse parsemée de nombreuses statues, pour s’installer confortablement sous les parasols du salon de thé qui a pour nom l’Orangerie.
Odile n’est jamais venu dans cet établissement, ni dans ce jardin que la municipalité choie particulièrement. Edmond lui explique qu’il a été créé en 1746, conçu par l'architecte paysagiste Ange Jacques Gabriel ; c'est le premier jardin de France pensé dès sa création pour sa vocation d'ouverture au public. Il a d’abord été dessiné « à la française » à la façon de Le Nôtre, l'illustre jardinier versaillais. A la fin du XVIIIe siècle, des bâtiments sont apparus le long de la rue d'Aviau, tels qu’on peut les voir aujourd’hui. Il explique à sa compagne que cet ensemble homogène de façades contribue à donner au Jardin Public son cadre exceptionnel. Puis, il lui précise qu’une première réhabilitation a lieu en 1858, c’est à ce moment que le jardin public prend son style anglais actuel sous l'impulsion du paysagiste bordelais L.B Fischer. Il devient tel que vous le voyez aujourd'hui, un lieu de balade où la nature prime, agrémenté de découvertes botaniques et d'attractions pour les enfants. 1858, c’est aussi l'année où le vieux Jardin Botanique de la ville s'y installe. Sa création a une visée pédagogique pour la formation des futurs apothicaires et médecins. Depuis 1862 l'ancien Hôtel Lisleferme, construit par l'architecte Bonfin accueille le Muséum d’Histoire naturelle.
Mais Edmond interrompt son discours, car depuis un certain temps il faisait signe à un des serveurs, sans que cela serve à le faire se déplacer pour prendre une commande, se lève, et va à l’intérieur pour protester contre cette attente trop longue. Il est enfin écouté et la commande est prise.
En attendant, Edmond a bien l’intention de s’amuser de la pudeur de sa « maîtresse ». Doucement, il lui murmure qu’il voudrait bien voir sa chatte et que pour cela, il faut qu’elle retrousse sur ses genoux la jupe et qu’elle écarte les cuisses. Odile ne sait plus où se mettre. Il y a un nombre important de convives sur cette terrasse où les tables et les parasols sont légions. D’abord hésitante, regardant en tous sens si elle se sait observée, elle se décide à tirer sa jupe jusqu’au ras de ses genoux, puis, contemplant la végétation d’un regard brumeux, elle ouvre le compas de ses jambes très doucement, mais sans interrompre la progression de la découverte de ses cuisses ni de son abricot surmonté de sa toison admirablement peignée. Edmond la tenant sous sa domination, assure sa volonté.
- C’est bien ma chérie, vous nous offrez une magnifique exposition de vos cuisses et de votre vulve, pour notre plus grand plaisir, et j’espère pour celui de quelques admirateurs qui vont pouvoir se régaler de vos appas. Surtout ma chère, je vous recommande de ne pas bouger. Discutons, comme si de rien n’était.
Odile est tétanisée de se savoir ainsi exposée à la vue de toutes les personnes qui passeront ayant dans leur champ de vision son entrecuisse grande ouverte ou même, au regard des consommateurs qui sont autour de leur table. Déjà, deux promeneurs d’un certain âge ont ralenti lors de leur passage devant leur table ; leur regard goguenard ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’ils avaient à contempler les appas de la belle bourgeoise. Mais ce sont les mines réjouies d’un couple de trentenaire qui la fixe intensément, qui trouble surtout Odile. En effet, l’homme et la femme se trouvent à une table juste en face, à quelques mètres. L’homme qui porte un blazer sur un jean’s délavé, sa main glissée entre les cuisses de sa compagne, ne laisse aucun doute sur ce qu’il est en train de lui faire. La femme porte une mini-jupe blanche qui est retroussée jusqu’en haut des cuisses, son « Top » échancré, de même couleur, baillant jusqu’à laisser voir une poitrine opulente qui déborde largement. La femme, une blonde un peu grassouillette, lui sourit carrément alors que, se soulevant légèrement, elle remonte sa jupe sur ses hanches, laissant voir quelque peu ses fesses nues, mais surtout, son pubis complètement épilé lorsqu’elle écarte les cuisses pour faire comme sa voisine. Odile est rouge pivoine, surtout que le garçon, ne se gène pas pour introduire ses doigts dans la chatte qui luit de son humidité apparente. Edmond a bien vu le manège du couple, et, pour se mettre au diapason, il projette sa main sur la vulve de sa compagne. Celle-ci, surprise par cette attaque soudaine sur son intimité, referme ses cuisses sur la main audacieuse, mais Edmond réagit aussitôt.
- Tsitt ! Tsitt ! Petite Salope. Voulez-vous bien ouvrir vos jambes immédiatement !
Sous l’insulte et l’ordre impératif de son suborneur, Odile réagit comme une soumise devant son maître, elle ouvre les cuisses sur-le-champ, alors qu’un sanglot s’échappe de sa gorge, humilié d’obéir ainsi, éprouvant un dégoût d’elle-même à se comporter comme une moins que rien. Pourtant, elle tressaille aux doigts qui parcourent sa vulve, éprouvant, malgré sa pudeur mise à rude épreuve, un plaisir diffus. Sa chair réagit aux doigts diaboliques qui l’amènent à chaque fois à jouir encore plus. Son regard accroche celui de la blonde plantureuse. Celle-ci jouit manifestement sous la main de son amoureux et les deux femmes, se contemplant, les yeux dans les yeux, jouissent ensemble, sans aucun scrupule.
Lorsqu’elle reprend ses esprits, Odile remet de l’ordre dans sa tenue. D’ailleurs sa voisine en a fait autant. Edmond, leur demande s’ils veulent venir à leur table pour prendre le café. Le couple accepte aussitôt, et vient s’installer sur les sièges qu’un serveur déplace à la table de leurs hôtes. La jeune femme aux gros seins dit s’appeler Myriam, en s’asseyant auprès d’Odile, et le garçon qui se prénomme Rémi, à côté d’Edmond. Ils sont de passage, leur lieu de résidence étant la ville de Saintes, en Saintonge à un peu plus de cent kilomètres de Bordeaux. Ils travaillent tous les deux dans l’immobilier et sont mariés depuis cinq ans. Les deux couples sympathisent et rient de leurs exhibitions respectives. Odile se sent détendue et, après un bref moment de gêne, elle bavarde avec sa compagne sans éprouver d’embarras. Cette jeune femme bien en chair, est agréable à regarder et possède une certaine culture, assortie d’une bonne éducation, mais comme beaucoup de jeunes femmes de son âge, elle est très libérée sexuellement et n’a aucune pudeur à se livrer à des exhibitions occasionnelles.
Les deux femmes vont dans les toilettes pour assouvir leurs petits besoins, mais aussi pour se refaire une beauté. Elles en profitent pour échanger quelques confidences, appréciant leur complicité à l’idée d’avoir fait connaissance dans une situation aussi équivoque. À leur retour, leurs deux hommes les entrainent dans les allées arborées du parc, s’engageant par de toutes petites allées, au plus profond des bosquets touffus, près d’un plan d’eau marécageux à l’écart de la rivière artificielle. Les deux femmes demandent à leurs compagnons ce qu’ils veulent bien faire dans ce genre de fourrés. Ceux-ci, en arrivant dans une minuscule clairière, le leurs font vite savoir, en les embrassant, les lutinant et les déshabillant, malgré leurs protestations.
Déjà, Rémi s’est mis entièrement nu alors qu’il a enlevé les vêtements succincts de Myriam. Sans hésiter celle-ci prend la verge de son mari en bouche, et le pompe avec application. Malgré la résistance d’Odile, Edmond a réussi à lui enlever son débardeur. Celle-ci qui cherche à cacher sa poitrine, se laisse arracher sa jupe trop facilement. Elle ne peut s’empêcher de contempler le jeune couple, admirant le jeune homme à la carrure impressionnante, ainsi que son épouse, qui bien que rondelette, possède des formes généreuses avec des proportions des plus avantageuses et rebondies qui ne sont pas du tout désagréables. Elle donne plutôt envie cette plantureuse blonde ! Odile ressent un désir inavouable de pétrir les rondeurs, depuis les fesses callipyges jusqu’aux nichons lourds, qui s’affaissent légèrement sous leur poids.
Soudain, Odile est consterné par ses pensées impures, elle qui s’est surprise à dévorer des yeux les corps nus du couple qui désormais coïte avec conviction. Mais elle aussi, masturbée dans un premier temps par Edmond, vient d’être prise en levrette par celui-ci. Elle sent le sexe envahir sa matrice, alors qu’elle est à quatre pattes sur l’herbe de la clairière. Elle pousse des soupirs rauques en sentant la verge de son amant lui pilonner le vagin avec une vigueur décuplée par l’excitation commune aux deux couples. La verge de son amant lui paraît exagérément gonflée, car le rosebud de bonne taille enfoncé dans son rectum, comprime fortement ses organes intimes. Dans cette position humiliante elle a une impression d’être remplie au-delà de ce qu’elle peut supporter. Pourtant sa jouissance est décuplée par l’effet conjugué de l’olisbos et de ce mandrin qui envahissent ses chairs.
Sa voisine, à moins d’un mètre est libérée de son homme qui vient d’éjaculer sur son ventre, elle se glisse sur le dos sous le visage d’Odile et vient l’embrasser tout en empoignant les seins à la portée de ses mains. Celle-ci, affolée par ce baiser féminin, alors qu’il y a quelques minutes, elle convoitait les rondeurs charnues de la belle Myriam, ne résiste pas et mêle sa langue à celle de la blonde pulpeuse. Edmond ayant déchargé son sperme au fond de la fente vulvaire se retire également. Odile se sentant libérée, se couche sur le côté, empoigne à son tour, les lourdes mamelles et pince avec délices les tétons turgescents. Les deux femmes se gouinent avec ardeur sous les yeux des deux mâles qui récupèrent leur force, admirant les formes féminines qui s’ébattent dans leur plus pure nudité.
Alors que les deux femelles n’en finissent pas de jouir, Edmond et Rémi se rhabillent et mettent fin à leurs ébats, ils leur tendent leurs vêtements et leur intiment de redevenir présentables. Rémi a un rendez-vous important chez un acheteur potentiel et Edmond veut ramener à l’appartement, celle qui devient de plus en plus soumise à lui. Lui aussi à fort à faire.
Alors que le jeune couple prend congé, promettant de se revoir, soit à Bordeaux, soit à Saintes, Edmond prend Odile dans ses bras et l’embrasse longuement. Il lui fait part de sa satisfaction de la sentir aussi disponible que se soit, en s’exhibant à présent selon sa volonté ou en acceptant de sauter le pas des amours féminines.
- Vous savez Edmond, j’ai une grande honte à m’être comportée ainsi avec cette délicieuse Myriam, devant vous et devant son mari. Pourtant, je ne peux vous cacher que j’y ai pris un très grand plaisir. Avez-vous conscience que vous m’entrainez dans une déchéance abjecte et que je ne serai bientôt plus qu’une putain aux yeux de tous ?
- Ma Chère Odile, ne vous méprenez pas sur ce que vous êtes en train de devenir. Vous allez être la plus belle salope que j’ai pu connaître et c’est dans le plus beau sens du terme que je vous dis cela. Je suis certain que dans votre for intérieur de femme trop sage, vous aspiriez sans aucun doute à ce qui vous arrive, même si c’est seulement dans votre subconscient. D’ailleurs, je vais vous mettre à l’épreuve tout de suite !
Se retournant et faisant quelques pas, Edmond découvre un jeune homme qui se branlait derrière un buisson, sa queue sortie de son pantalon. Il avait sûrement reluqué toute la scène depuis un bon moment. Le prenant par le bras fermement et amenant le voyeur devant Odile, il lui aboie.
- À genoux chienne, et pompe ce jeune voyeur qui n’a rien perdu de tes ébats.
Odile, le visage écarlate, éclate en sanglots tout en obéissant à l’ordre infâme du notaire. Elle prend dans ses mains tremblotantes le vit du garçon et le glisse entre ses lèvres, pompant délicatement la jeune verge qui ne tarde pas à tressauter dans la bouche féminine et à lâcher de grosses saccades du jus juvénile qui déborde bientôt des lèvres de la femme mature. Le jeune homme se reculotte rapidement et s’enfuit à travers les buissons. Edmond essuie avec son mouchoir le jus poisseux qui macule les lèvres d’Odile, tandis que celle-ci, déglutit le foutre qu’elle avait encore en bouche, ne voulant pas réfléchir à ce que lui fait subir son tortionnaire de notaire. Elle se complait à présent dans ce rôle de soumise qu’elle n’a jamais été prête à accepter en tant qu’épouse et de femme parfaite qu’elle avait assumée jusqu’à sa rencontre avec ce coquin de notaire.
Edmond, après avoir raccompagné Odile place Mitchell, reprend sa voiture et retourne à son propre appartement. Il charge deux cartes mémoires qu’il a retirées discrètement des caméras installées dans l’appartement sur son PC, puis, il y transpose également les photos et les vidéos prises avec son Smartphone à l’Orangerie puis, dans la clairière avec le jeune couple de Saintes. Il rédige un long mail à un correspondant, y adjoignant les pièces jointes qu’il vient de charger.
Les lecteurs de cette série ne peuvent ignorer que depuis le début, notre notaire livre les photos et les vidéos de la belle mature qu’il fait chanter, à un mystérieux correspondant !
À suivre…
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