Initiation au strip poker - Les talons rouges (épisode N°12)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-10-2013 dans la catégorie Plus on est
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Initiation au strip poker - Les talons rouges (épisode N°12)
INITIATION AU STRIP POKER
Agathe, Gaëlle et Jacques vivent une sexualité débridée au château de Garralda depuis
plusieurs mois. Agathe a fait une croisière en Méditerranée avec Gilles, le notaire
de la famille et son épouse Virginie. Ils sont attendus ce soir avec une vingtaine
d’invités pour une soirée avec le comte Adrien de Santesteban.
Initiation au Strip Poker - série Les talons rouges (épisode N°12)
Gilles, le notaire dont Agathe a fait la connaissance durant sa croisière se trouve
très fortuitement en affaires avec Adrien son beau-frère. Un achat de terres les ont
fait se rencontrer récemment, et, lors du pont de la Toussaint, le comte l’invite avec
son épouse pour un week-end prolongé au domaine familial. Alors qu’il commence à faire
froid dans cette région montagneuse du pays Basque, le chauffage a du être allumé
depuis déjà quelques semaines, tandis que les invités, chaudement emmitouflés,
parviennent au château par une pluie glaciale. Lorsque le notaire et son épouse se
présentent au château, c’est Gaëlle qui les accueille. Elle observe attentivement ce
couple qui a côtoyé Agathe sur un bateau de croisière durant trois semaines, alors que
Gilles, le mari, s’est complu à faire la conquête de sa jeune sœur, tout du moins il a
essayé. L’homme est séduisant certes, la quarantaine environ, très brun, son teint est
très clair, presque trop pâle. Ses mains sont soignées, faisant appel sans aucun doute
à une manucure régulière. Il est assez grand avec un peu d’embonpoint et une calvitie
naissante ; malgré tout, il se dégage de sa personnalité une sympathie spontanée. Son
épouse, prénommée Virginie est d’une taille moyenne, ses cheveux blonds sont coupés à
la garçonne, elle possède un visage assez rond, un peu empâté et légèrement trop
maquillé. Son âge avoisine une bonne trentaine à première vue, alors que son corps
bien en chair et potelé, laisse apparaître une poitrine très généreuse. Elle possède
d’autre part de fortes cuisses et des jambes un peu épaisses et nerveuses se terminant
par une cheville assez fine. Bien qu’elle paraisse très réservée, elle dégage dans sa
personne une curiosité étrange, scrutant, malgré son apparente timidité, jusqu’à
l’indiscrétion les personnes qui l’entourent.
Gaëlle les précédant, les installe dans la chambre qui leur est réservée au second
étage, puis, d’autres invités accaparent son attention. Lorsque la vingtaine de
personnes conviées au château ce soir-là se trouvent réunies dans les salons de
réception, les présentations sont faites parmi les personnages qui ne se connaissent
pas, dont font partie Gilles et Virginie. Agathe retrouve sans aucune gêne son
séducteur et sa charmante épouse. Cette dernière, arrête son regard sur Agathe,
examinant son visage et ses formes avec un brin d’étonnement dans son regard. Elle
doit se demander comment cette femme, beaucoup plus âgée qu’elle a pu plaire à son
époux, car de toute évidence, elle n’a pu ne pas se rendre compte de la cour effrénée
à laquelle s’est consacré son « Gilles » pendant les trois semaines passées à bord du
navire. Pourtant aucun sentiment de jalousie ne semble apparaître sur son visage
souriant envers son hôtesse. Tout cela fait partie des réflexions que s’est faite
Jacques et, ils se le diront plus tard avec Agathe, qui se demande si son amant
parviendra à entraîner ce couple dans leurs perversions devenues à présent
coutumières.
L’apéritif et le dîner permettent de faire plus ample connaissance, surtout pour
Jacques qui est assis entre Agathe et Virginie, alors que Gilles se retrouve entre les
deux sœurs. Jacques, de toute évidence cherche à séduire sa voisine, qui répond
gentiment aux questions que son voisin de table lui pose. Gilles est affolé par le
décolleté des deux femmes qui l’encadrent, ne sachant quels seins admirer en priorité
: les minuscules nénés d’adolescente de Gaëlle qui a mis ce soir un soutien-gorge
pigeonnant où bien les nichons proéminents d’Agathe, qui apparemment elle, n’a pas mis
de soutien-gorge, les mamelons s’agitant librement dans le haut du corsage largement
échancré. Il sait à présent que ce sont deux sœurs et que, si celle qu’il a courtisée
est un peu plus âgée que lui, sa sœur frise la cinquantaine. Pourtant il sent sa verge
durcir dans son pantalon désirant se faire l’une ou l’autre, où, pourquoi pas, les
deux en même temps ne lui feraient pas peur, elles sont aussi désirables l’une que
l’autre. Le trio pervers a bien escompté sur l’effet produit par les appas offerts
ainsi sous le nez du notaire, aussi les deux aristocrates se montrent gaies et
empressées envers l’homme qu’elles sont en train de piéger. Pour sa part, Jacques fait
montre de la plus grande courtoisie envers sa compagne de table, qui se rend tout de
même compte avec une certaine inquiétude de la complicité qui s’établit entre son mari
et les deux sœurs.
À l’issue du repas, les femmes se sont retirées dans un salon qui leur est réservé,
tandis que les hommes passent au fumoir et devisent de politique et bien sûr de leurs
affaires ; certains fument des cigares alors que d’autres boivent des alcools. Jacques
candidement, propose à Gilles de venir vers 23 heures, accompagné de son épouse, dans
l’appartement d’Agathe, où une partie de cartes doit avoir lieu en petit comité. De
son côté, Gaëlle fait part de la même idée à Virginie, lui demandant si elle se
joindra avec son mari à cette fin de soirée. Cette dernière répond en rougissant que
cela dépend de son époux, mais qu’elle serait ravie de pouvoir poursuivre une soirée
si bien commencée. Alors que vers 22 heures 30, les invités commencent à prendre congé
pour regagner leurs chambres, Gaëlle, prenant sous ses bras, ceux de Gilles et de
Virginie, les entraînent au premier étage vers les appartements éloignés d’Agathe.
Elle avait auparavant prévenu son époux, qui, fatigué, avait déjà rejoint sa chambre
depuis presque une heure, lui annonçant que la soirée se poursuivrait pour quelques-
uns devant une partie de cartes. Celui-ci, faisant chambre à part, étant loin de se
douter que sa femme et sa sœur pourraient se livrer à une débauche éhontée, ne pouvait
qu’être ravi à ce que son épouse s’occupe aussi bien de leurs invités.
Lorsque Gaëlle et le couple de Bayonne, pénètrent dans les appartements d’Agathe,
celle-ci se sépare un peu trop précipitamment de Jacques qui l’enlaçait en
l’embrassant. La quadragénaire rajustant son corsage d’où un sein lourd s’était
échappé. Ce petit numéro avait été intentionnellement joué à l’attention du couple
pour les préparer à ce qui se mijotait, c’est-à-dire une partie à cinq. Si la femme
voulait bien se laisser entraîner dans leurs jeux, pour l’homme, ils ne pouvaient
douter de son refus, s’attendant à qu’il soit au contraire comblé. Après avoir joué
aux tarots pendant presque une heure, alors que le champagne coule à flot et que
Virginie commence à devenir un peu pompette, Jacques, à brûle-pourpoint propose pour
changer de faire une partie de strip-poker. Gilles devient un peu pâle, bien qu’excité
par cette situation où les deux femmes qu’il convoite risquent de se retrouver en
partie dénudées, mais qu’elle va être la réaction de son épouse ? Celle-ci, n’ayant
pas très bien compris de quoi il s’agissait, tape dans ses mains, applaudissant le
beau Jacques qui tout de même lui fait de l’effet, surtout que ce soir, elle s’en rend
bien compte, elle a un peu trop bu. C’est dans une atmosphère un peu tendue que la
partie commence, les hommes perdant un peu trop facilement se retrouvent d’abord sans
veste, sans cravate et sans chemise pour Gilles, Jacques lui perd en plus son
pantalon, ce qui permet aux femmes présentes d’admirer bien sûr sa musculature et son
corps presque parfait, mais aussi la déformation de son slip qui ne laisse aucunement
ignorer l’érection qui gonfle ainsi le tissu. Virginie est devenue un peu rouge,
n’osant pas regarder dans un premier temps, mais, à la dérobée, son regard finit tout
de même par être attiré par cet objet qui pointe orgueilleusement.
C’est alors qu’en continuant la partie, Gaëlle doit se débarrasser de sa robe, elle se
retrouve donc en soutien-gorge et petite culotte, puis ce fut au tour d’Agathe,
d’enlever d’abord sa jupe, puis sur un autre coup qu’elle perd, elle doit retirer son
corsage. Comme elle est nue dessous, ses seins orgueilleux se retrouvent sous le nez
des joueurs. L’atmosphère devient lourde et Virginie se met à respirer fort tout en
perdant ses couleurs. Aussi, lorsqu’elle se trouve dans l’obligation d’ôter sa robe,
elle veut d’abord refuser. Mais son mari la gronde, lui rappelant que ce n’est qu’un
jeu et qu’ils l’ont tous acceptés librement. Ses joues ayant repris une teinte
cramoisie, elle se décide à retirer sa robe, se retrouvant comme Gaëlle avec seulement
ses sous-vêtements, des bas de couleur crème et un porte-jarretelles d’une nuance
tabac. Son soutien-gorge en dentelle couleur chair, dont la transparence ne peut
laisser ignorer sa plantureuse poitrine ; il laisse apparaître également des mamelons
larges et bruns dont les bouts érigés ont transpercés les mailles de la dentelle. Sa
culotte boxer en dentelle extensible est suffisamment transparente elle aussi, pour
laisser deviner sa toison pubienne d’un beau blond cendré, ainsi que le renflement du
pubis qui cache tout de même sa vulve, au grand désappointement des spectateurs qui
l’examinent avec concupiscence. Virginie est terriblement gênée de sa tenue aussi
indécente pense t-elle et des regards qui détaillent avidement son corps plantureux.
Mais, une fois rassise à sa place, elle se rassure, pensant qu’elle n’en montre pas
beaucoup plus lorsqu’elle est à la plage.
Pourtant, le jeu recommence et les gages, prévus sur un carton imprimé, spécifient
pour le prochain gage, une danse langoureuse et un baiser entre deux partenaires
opposés. C’est Agathe qui est désignée par le sort en compagnie de Gilles, qui s’est
retrouvé lui aussi en slip peu avant. Le couple s’enlace, s’emboîtant l’un dans
l’autre pour une danse qui se révèle très lascive. Aucun spectateur ne peut ignorer
que le sexe de Gilles bande à l’extrême dans l’entrecuisse de sa cavalière, alors que
celle-ci frotte ses seins contre la poitrine velue de l’homme qui la serre fortement
contre lui. Virginie regarde avec des yeux écarquillés son mari qui devant elle se
conduit comme un goujat.
Mais Jacques lui demande soudain si elle accepte de danser avec lui. Un peu furieuse,
de voir son époux frayer avec tant d’impudence avec cette quadragénaire impudique,
elle se laisse emporter par son cavalier. Se retrouvant dans ses bras, elle sent
aussitôt la verge de l’homme qui se frotte entre ses cuisses, alors que ses mains lui
caressent le dos. D’abord très embarrassée de sentir à travers la dentelle de sa
culotte l’érection de l’homme qui s’est plaqué contrer son pubis, elle se laisse aller
dans ses bras, plutôt flattée de l’effet qu’elle fait à ce joli garçon. Sa légère
griserie due au Champagne ne la fait même pas protester lorsqu’il dégrafe son soutien-
gorge et que, le retirant, il flatte un de ses seins, tout en glissant sa main dans le
creux de ses reins, l’attirant encore plus vers lui. Lorsqu’il prend délicatement sa
bouche entre ses lèvres, elle défaille en découvrant d’un œil à demi ouvert que son
mari embrasse également Agathe. La danse lui fait tourner la tête, s’ajoutant à son
début d’ivresse, alors que son cavalier la faisant tourner vivement, lui fait perdre
ses repères. Tout de même, elle s’aperçoit avec stupeur que son mari et sa cavalière
sont à présent complètement nus et que leur danse s’est transformée en une copulation
ondulatoire, car il ne peut faire de doute que le sexe de son époux entre et sort du
sexe de la femme qu’il tient entre ses bras.
Malgré son trouble et sa révolte, elle se laisse encore embrasser par le beau Jacques,
qui ayant sortit son pénis de son slip sans qu’elle s’en rende compte, écarte le tissu
de sa large culotte, et, sans attendre enfouit sa bite qui vient se loger à l’entrée
de son pertuis. Réalisant ce qui lui arrive elle veut se dégager, de débattant
inutilement dans les bras musclés de l’homme, qui d’une violente poussée vient de
forcer la porte de son intimité, s’engageant jusqu’aux couilles dans sa chatte qui
mouille depuis déjà un certain temps. Alors, fermant les yeux et perdant toute
retenue, elle se soude encore plus contre le ventre de l’homme qui la fouille de son
gros vit, l’embrassant maintenant goulûment, ayant perdue toute conscience de l’œuvre
de chair où elle se laisse entraîner devant son mari. Celui-ci a d’ailleurs allongé
Agathe sur un canapé, alors qu’elle n’a plus que ses bas et son porte-jarretelles
noirs. Gilles la baise sans aucune retenue, surtout que celle-ci entoure son torse de
ses jambes, laissant voir ainsi son entrecuisse et son bas-ventre complètement dégagés
et permettant à Virginie lorsqu’elle ouvre un œil de distinguer le pénis de son époux
entrant et sortant régulièrement de la vulve déployée. Alors la notairesse se venge
en perdant aussi toute pudeur ; elle se laisse aller dans les bras de son séducteur, à
aller au devant de la verge qui s’engloutit avec force dans son vagin, envoyant son
bassin à sa rencontre et nouant elle aussi ses jambes dans le dos de l’homme qui lui
fait l’amour devant son époux qui regarde de temps en temps sa femme se faire prendre
devant lui. La jouissance déferle soudain en elle la laissant toute languissante et à
moitié évanouie par la force d’un orgasme torrentiel qu’elle n’a jamais connu
jusqu’ici et qui pour elle est une révélation stupéfiante.
Agathe, Gaëlle et Jacques vivent une sexualité débridée au château de Garralda depuis
plusieurs mois. Agathe a fait une croisière en Méditerranée avec Gilles, le notaire
de la famille et son épouse Virginie. Ils sont attendus ce soir avec une vingtaine
d’invités pour une soirée avec le comte Adrien de Santesteban.
Initiation au Strip Poker - série Les talons rouges (épisode N°12)
Gilles, le notaire dont Agathe a fait la connaissance durant sa croisière se trouve
très fortuitement en affaires avec Adrien son beau-frère. Un achat de terres les ont
fait se rencontrer récemment, et, lors du pont de la Toussaint, le comte l’invite avec
son épouse pour un week-end prolongé au domaine familial. Alors qu’il commence à faire
froid dans cette région montagneuse du pays Basque, le chauffage a du être allumé
depuis déjà quelques semaines, tandis que les invités, chaudement emmitouflés,
parviennent au château par une pluie glaciale. Lorsque le notaire et son épouse se
présentent au château, c’est Gaëlle qui les accueille. Elle observe attentivement ce
couple qui a côtoyé Agathe sur un bateau de croisière durant trois semaines, alors que
Gilles, le mari, s’est complu à faire la conquête de sa jeune sœur, tout du moins il a
essayé. L’homme est séduisant certes, la quarantaine environ, très brun, son teint est
très clair, presque trop pâle. Ses mains sont soignées, faisant appel sans aucun doute
à une manucure régulière. Il est assez grand avec un peu d’embonpoint et une calvitie
naissante ; malgré tout, il se dégage de sa personnalité une sympathie spontanée. Son
épouse, prénommée Virginie est d’une taille moyenne, ses cheveux blonds sont coupés à
la garçonne, elle possède un visage assez rond, un peu empâté et légèrement trop
maquillé. Son âge avoisine une bonne trentaine à première vue, alors que son corps
bien en chair et potelé, laisse apparaître une poitrine très généreuse. Elle possède
d’autre part de fortes cuisses et des jambes un peu épaisses et nerveuses se terminant
par une cheville assez fine. Bien qu’elle paraisse très réservée, elle dégage dans sa
personne une curiosité étrange, scrutant, malgré son apparente timidité, jusqu’à
l’indiscrétion les personnes qui l’entourent.
Gaëlle les précédant, les installe dans la chambre qui leur est réservée au second
étage, puis, d’autres invités accaparent son attention. Lorsque la vingtaine de
personnes conviées au château ce soir-là se trouvent réunies dans les salons de
réception, les présentations sont faites parmi les personnages qui ne se connaissent
pas, dont font partie Gilles et Virginie. Agathe retrouve sans aucune gêne son
séducteur et sa charmante épouse. Cette dernière, arrête son regard sur Agathe,
examinant son visage et ses formes avec un brin d’étonnement dans son regard. Elle
doit se demander comment cette femme, beaucoup plus âgée qu’elle a pu plaire à son
époux, car de toute évidence, elle n’a pu ne pas se rendre compte de la cour effrénée
à laquelle s’est consacré son « Gilles » pendant les trois semaines passées à bord du
navire. Pourtant aucun sentiment de jalousie ne semble apparaître sur son visage
souriant envers son hôtesse. Tout cela fait partie des réflexions que s’est faite
Jacques et, ils se le diront plus tard avec Agathe, qui se demande si son amant
parviendra à entraîner ce couple dans leurs perversions devenues à présent
coutumières.
L’apéritif et le dîner permettent de faire plus ample connaissance, surtout pour
Jacques qui est assis entre Agathe et Virginie, alors que Gilles se retrouve entre les
deux sœurs. Jacques, de toute évidence cherche à séduire sa voisine, qui répond
gentiment aux questions que son voisin de table lui pose. Gilles est affolé par le
décolleté des deux femmes qui l’encadrent, ne sachant quels seins admirer en priorité
: les minuscules nénés d’adolescente de Gaëlle qui a mis ce soir un soutien-gorge
pigeonnant où bien les nichons proéminents d’Agathe, qui apparemment elle, n’a pas mis
de soutien-gorge, les mamelons s’agitant librement dans le haut du corsage largement
échancré. Il sait à présent que ce sont deux sœurs et que, si celle qu’il a courtisée
est un peu plus âgée que lui, sa sœur frise la cinquantaine. Pourtant il sent sa verge
durcir dans son pantalon désirant se faire l’une ou l’autre, où, pourquoi pas, les
deux en même temps ne lui feraient pas peur, elles sont aussi désirables l’une que
l’autre. Le trio pervers a bien escompté sur l’effet produit par les appas offerts
ainsi sous le nez du notaire, aussi les deux aristocrates se montrent gaies et
empressées envers l’homme qu’elles sont en train de piéger. Pour sa part, Jacques fait
montre de la plus grande courtoisie envers sa compagne de table, qui se rend tout de
même compte avec une certaine inquiétude de la complicité qui s’établit entre son mari
et les deux sœurs.
À l’issue du repas, les femmes se sont retirées dans un salon qui leur est réservé,
tandis que les hommes passent au fumoir et devisent de politique et bien sûr de leurs
affaires ; certains fument des cigares alors que d’autres boivent des alcools. Jacques
candidement, propose à Gilles de venir vers 23 heures, accompagné de son épouse, dans
l’appartement d’Agathe, où une partie de cartes doit avoir lieu en petit comité. De
son côté, Gaëlle fait part de la même idée à Virginie, lui demandant si elle se
joindra avec son mari à cette fin de soirée. Cette dernière répond en rougissant que
cela dépend de son époux, mais qu’elle serait ravie de pouvoir poursuivre une soirée
si bien commencée. Alors que vers 22 heures 30, les invités commencent à prendre congé
pour regagner leurs chambres, Gaëlle, prenant sous ses bras, ceux de Gilles et de
Virginie, les entraînent au premier étage vers les appartements éloignés d’Agathe.
Elle avait auparavant prévenu son époux, qui, fatigué, avait déjà rejoint sa chambre
depuis presque une heure, lui annonçant que la soirée se poursuivrait pour quelques-
uns devant une partie de cartes. Celui-ci, faisant chambre à part, étant loin de se
douter que sa femme et sa sœur pourraient se livrer à une débauche éhontée, ne pouvait
qu’être ravi à ce que son épouse s’occupe aussi bien de leurs invités.
Lorsque Gaëlle et le couple de Bayonne, pénètrent dans les appartements d’Agathe,
celle-ci se sépare un peu trop précipitamment de Jacques qui l’enlaçait en
l’embrassant. La quadragénaire rajustant son corsage d’où un sein lourd s’était
échappé. Ce petit numéro avait été intentionnellement joué à l’attention du couple
pour les préparer à ce qui se mijotait, c’est-à-dire une partie à cinq. Si la femme
voulait bien se laisser entraîner dans leurs jeux, pour l’homme, ils ne pouvaient
douter de son refus, s’attendant à qu’il soit au contraire comblé. Après avoir joué
aux tarots pendant presque une heure, alors que le champagne coule à flot et que
Virginie commence à devenir un peu pompette, Jacques, à brûle-pourpoint propose pour
changer de faire une partie de strip-poker. Gilles devient un peu pâle, bien qu’excité
par cette situation où les deux femmes qu’il convoite risquent de se retrouver en
partie dénudées, mais qu’elle va être la réaction de son épouse ? Celle-ci, n’ayant
pas très bien compris de quoi il s’agissait, tape dans ses mains, applaudissant le
beau Jacques qui tout de même lui fait de l’effet, surtout que ce soir, elle s’en rend
bien compte, elle a un peu trop bu. C’est dans une atmosphère un peu tendue que la
partie commence, les hommes perdant un peu trop facilement se retrouvent d’abord sans
veste, sans cravate et sans chemise pour Gilles, Jacques lui perd en plus son
pantalon, ce qui permet aux femmes présentes d’admirer bien sûr sa musculature et son
corps presque parfait, mais aussi la déformation de son slip qui ne laisse aucunement
ignorer l’érection qui gonfle ainsi le tissu. Virginie est devenue un peu rouge,
n’osant pas regarder dans un premier temps, mais, à la dérobée, son regard finit tout
de même par être attiré par cet objet qui pointe orgueilleusement.
C’est alors qu’en continuant la partie, Gaëlle doit se débarrasser de sa robe, elle se
retrouve donc en soutien-gorge et petite culotte, puis ce fut au tour d’Agathe,
d’enlever d’abord sa jupe, puis sur un autre coup qu’elle perd, elle doit retirer son
corsage. Comme elle est nue dessous, ses seins orgueilleux se retrouvent sous le nez
des joueurs. L’atmosphère devient lourde et Virginie se met à respirer fort tout en
perdant ses couleurs. Aussi, lorsqu’elle se trouve dans l’obligation d’ôter sa robe,
elle veut d’abord refuser. Mais son mari la gronde, lui rappelant que ce n’est qu’un
jeu et qu’ils l’ont tous acceptés librement. Ses joues ayant repris une teinte
cramoisie, elle se décide à retirer sa robe, se retrouvant comme Gaëlle avec seulement
ses sous-vêtements, des bas de couleur crème et un porte-jarretelles d’une nuance
tabac. Son soutien-gorge en dentelle couleur chair, dont la transparence ne peut
laisser ignorer sa plantureuse poitrine ; il laisse apparaître également des mamelons
larges et bruns dont les bouts érigés ont transpercés les mailles de la dentelle. Sa
culotte boxer en dentelle extensible est suffisamment transparente elle aussi, pour
laisser deviner sa toison pubienne d’un beau blond cendré, ainsi que le renflement du
pubis qui cache tout de même sa vulve, au grand désappointement des spectateurs qui
l’examinent avec concupiscence. Virginie est terriblement gênée de sa tenue aussi
indécente pense t-elle et des regards qui détaillent avidement son corps plantureux.
Mais, une fois rassise à sa place, elle se rassure, pensant qu’elle n’en montre pas
beaucoup plus lorsqu’elle est à la plage.
Pourtant, le jeu recommence et les gages, prévus sur un carton imprimé, spécifient
pour le prochain gage, une danse langoureuse et un baiser entre deux partenaires
opposés. C’est Agathe qui est désignée par le sort en compagnie de Gilles, qui s’est
retrouvé lui aussi en slip peu avant. Le couple s’enlace, s’emboîtant l’un dans
l’autre pour une danse qui se révèle très lascive. Aucun spectateur ne peut ignorer
que le sexe de Gilles bande à l’extrême dans l’entrecuisse de sa cavalière, alors que
celle-ci frotte ses seins contre la poitrine velue de l’homme qui la serre fortement
contre lui. Virginie regarde avec des yeux écarquillés son mari qui devant elle se
conduit comme un goujat.
Mais Jacques lui demande soudain si elle accepte de danser avec lui. Un peu furieuse,
de voir son époux frayer avec tant d’impudence avec cette quadragénaire impudique,
elle se laisse emporter par son cavalier. Se retrouvant dans ses bras, elle sent
aussitôt la verge de l’homme qui se frotte entre ses cuisses, alors que ses mains lui
caressent le dos. D’abord très embarrassée de sentir à travers la dentelle de sa
culotte l’érection de l’homme qui s’est plaqué contrer son pubis, elle se laisse aller
dans ses bras, plutôt flattée de l’effet qu’elle fait à ce joli garçon. Sa légère
griserie due au Champagne ne la fait même pas protester lorsqu’il dégrafe son soutien-
gorge et que, le retirant, il flatte un de ses seins, tout en glissant sa main dans le
creux de ses reins, l’attirant encore plus vers lui. Lorsqu’il prend délicatement sa
bouche entre ses lèvres, elle défaille en découvrant d’un œil à demi ouvert que son
mari embrasse également Agathe. La danse lui fait tourner la tête, s’ajoutant à son
début d’ivresse, alors que son cavalier la faisant tourner vivement, lui fait perdre
ses repères. Tout de même, elle s’aperçoit avec stupeur que son mari et sa cavalière
sont à présent complètement nus et que leur danse s’est transformée en une copulation
ondulatoire, car il ne peut faire de doute que le sexe de son époux entre et sort du
sexe de la femme qu’il tient entre ses bras.
Malgré son trouble et sa révolte, elle se laisse encore embrasser par le beau Jacques,
qui ayant sortit son pénis de son slip sans qu’elle s’en rende compte, écarte le tissu
de sa large culotte, et, sans attendre enfouit sa bite qui vient se loger à l’entrée
de son pertuis. Réalisant ce qui lui arrive elle veut se dégager, de débattant
inutilement dans les bras musclés de l’homme, qui d’une violente poussée vient de
forcer la porte de son intimité, s’engageant jusqu’aux couilles dans sa chatte qui
mouille depuis déjà un certain temps. Alors, fermant les yeux et perdant toute
retenue, elle se soude encore plus contre le ventre de l’homme qui la fouille de son
gros vit, l’embrassant maintenant goulûment, ayant perdue toute conscience de l’œuvre
de chair où elle se laisse entraîner devant son mari. Celui-ci a d’ailleurs allongé
Agathe sur un canapé, alors qu’elle n’a plus que ses bas et son porte-jarretelles
noirs. Gilles la baise sans aucune retenue, surtout que celle-ci entoure son torse de
ses jambes, laissant voir ainsi son entrecuisse et son bas-ventre complètement dégagés
et permettant à Virginie lorsqu’elle ouvre un œil de distinguer le pénis de son époux
entrant et sortant régulièrement de la vulve déployée. Alors la notairesse se venge
en perdant aussi toute pudeur ; elle se laisse aller dans les bras de son séducteur, à
aller au devant de la verge qui s’engloutit avec force dans son vagin, envoyant son
bassin à sa rencontre et nouant elle aussi ses jambes dans le dos de l’homme qui lui
fait l’amour devant son époux qui regarde de temps en temps sa femme se faire prendre
devant lui. La jouissance déferle soudain en elle la laissant toute languissante et à
moitié évanouie par la force d’un orgasme torrentiel qu’elle n’a jamais connu
jusqu’ici et qui pour elle est une révélation stupéfiante.
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