Initiation d'une sainte Nitouche (3)
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initiation d'une sainte Nitouche (3)
Je vous préviens ce texte ne contient aucune scène de cul, il sert juste à faire avancer les choses donc pas la peine de m’engueuler dans vos commentaires.
Je ne sais pas combien de temps elle a passé sous la douche mais hormis le fait qu’il n’y aura bientôt plus d’eau chaude je pensais avec angoisse à ma prochaine facture d’eau .
Ces considérations domestiques mises à part je me disais que le week-end avait plutôt bien commencé,le bruit de la sonnette me tira de ma rêverie,- Qui vient encore m’emmerder ? (Quel sens du dialogue, quelle originalité)Je m’approchais à pas de loup de la porte (j’avais enlevé mes chaussons Bidochons, donc pas facile) et jetais un coup d’œil discret par l’œilleton (par certain de l’orthographe mais je ne sais plus où j’ai foutu mon Bescherelle).
Et là surprise !!! C’était le mari de la dame (je commençais à flipper grave comme disent les jeunes.
Qu’est ce qu’il fout là, il a du suivre sa chère et tendre (sa chaire est tendre) et je vais avoir droit à la grande scène du 2.
Comme je suis moyennement fan des vaudevilles je décide de faire le mort (Actor Studio) mais c’est sans compter sur madame qui se décide enfin à sortir de la salle de bain et qui ne trouve rien de mieux qu’à parler très fort sur le gel de douche qui visiblement l’a revigoré.
Du coup le mari sonne comme un taré et commence à s’énerver.
Prenant mon courage à deux mains (si vous le voulez bien) j’ouvre la porte bien décidé à..(à quoi au juste ?) Le mari entre comme une furie et referme derrière lui.
Je dois avouer que je n’en mène pas large vu le gabarit du Monsieur mais à ma grande surprise il est souriant.
Je regarde son épouse seulement vêtue de son sourire (car elle aussi elle sourit) je n’y comprend plus rien,Mon regard va de l’un à l’autre et je décide de m’asseoir et de me resservir un whisky.
Le monsieur fait comme chez lui et s’assoit en face de moi il se sert une grande rasade de ce nectar (je sais c’est un peu alambiqué comme vocabulaire, mais je connais votre niveau de culture et je suis sùr que vous arrivez à suivre et puis j’essaye d’éviter les répétitions).
Son épouse s’assoit elle aussi toujours en souriant (du coup je la trouve un peu niaise la banquière).
Bon on ne va pas rester là en faisant des faces de rat.
- Je crois que je ne saisis pas bien l’ambiance, ce serait sympa d’éclairer ma lanterne parce que là ?
- Bien sùr cher Monsieur je crois que l’on vous doit quelques explications.
Il est poli comme un banquier qui va me refuser un prêt (j’ai l’habitude) mais j’acquiesce.
- Mon épouse et moi même nous sommes bien amusés et je dois dire que vous avez répondu au delà de nos attentes.
- Ravi de l’entendre mais vous voulez dire que vous êtes au courant de tout ?
- He oui ! On peut même dire que tout cela était prévu, désolé de vous décevoir mais votre charme n’a rien à voir dans tout cela.
Bon ok, je suis pas Brad Pitt mais mon égo vient d’en prendre un coup, moi qui croyais que mon côté latin lover de banlieue était irrésistible.
- Si vous vous rappelez bien du diner où nous nous sommes rencontrés, notre hôtesse nous avait prévenu que vous étiez un incorrigible libertin et vous aurez sans doute aussi remarqué que je vous ai laissé très ou devrais je dire trop rapidement en tête à tête avec ma femme.
Je dois avoir l’air encore plus idiot que d’habitude et devant mon regard interloqué le mari continue son explication.
- Voyez vous, après plus de quinze ans de mariage une certaine lassitude s’est installée et nous avions envie de pimenter les choses, mon épouse a toujours eu des besoins de soumission et j’en ai bien profité mais il fallait franchir un cap et voir si elle était capable d’obéir et de jouer avec un autre.
- Je suppose qu’elle vous a tout raconté en détail et que vous êtes rassuré ?
- Oui avouez qu’elle est douée, vous un peu moins car vous ne vous êtes douté de rien quand elle vous a cédé si rapidement.
- Ok c’est bien beau tout ça vous vous êtes bien foutu de moi donc merci pour tout et salut.
Je sais c’est un peu lapidaire mais ils commencent à me gonfler et puis autant le dire, je me sens un peu con.
- On se calme, comme vous le savez j’occupe un poste important dans une grande banque et je peux être très arrangeant ou pas.
Là il me cloue le bec, je m’enfonce un peu plus dans mon fauteuil.
- Ce n’est un secret pour personne que vous connaissez quelques soucis financiers et vous allez écouter attentivement ce que je vais vous dire.
Pour un peu c’est moi qui vais dire oui Maitre.
- L’expérience avec Clara a été plus que concluante et nous voudrions la poursuivre, mais nous ne connaissons personne dans ce milieu et vous allez donc nous aider, bien sur vous pourrez continuer à vous servir de Clara en échange de quoi je m’occupe de régler vos petits soucis.
Là il faut que me resserve un verre, c’est bien la première fois qu’on va me payer (ou c’est tout comme) pour m’occuper d’une soumise (et par le mari en plus)- Qu’en dites vous ?
- C’est tentant mais et vous là dedans ?
Moi parfois j’assisterai parfois non mais Clara me racontera tout et je suis certain que vous ne nous décevrez pas.
Je résume la situation dans mon cerveau un peu cotonneux et j’arrive à la conclusion que je n’ai pas trop le choix, en plus je me dis que la petite garce va morfler parce que j’ai horreur que l’on me prenne pour une buse.
- D’accord et vous avez une idée pour la suite ?
- Juste une suggestion, il existe des lieux spécialisés pour ce genre de pratique et je sais qu’il faut être recommandé pour y pénétrer donc je vous serez infiniment reconnaissant d’y amener mon épouse.
- Bien sur, (il n’a pas remarqué mon petit rictus, mais je sais que la semaine prochaine un club organise une vente aux esclaves et je me frais une joie d’y amener la petite et néanmoins salope Clara)Mes deux nouveaux associés ont l’air ravis (Shankar), jeu de mot pourri mais comme ce texte est chiant et qu’il n’y a pas de scène de sexe, il faut bien s’amuser) et ils quittent mon appartement me laissant songeur.
(Ouf c’est fini, la suite devrait être plus croustillante…)
Je ne sais pas combien de temps elle a passé sous la douche mais hormis le fait qu’il n’y aura bientôt plus d’eau chaude je pensais avec angoisse à ma prochaine facture d’eau .
Ces considérations domestiques mises à part je me disais que le week-end avait plutôt bien commencé,le bruit de la sonnette me tira de ma rêverie,- Qui vient encore m’emmerder ? (Quel sens du dialogue, quelle originalité)Je m’approchais à pas de loup de la porte (j’avais enlevé mes chaussons Bidochons, donc pas facile) et jetais un coup d’œil discret par l’œilleton (par certain de l’orthographe mais je ne sais plus où j’ai foutu mon Bescherelle).
Et là surprise !!! C’était le mari de la dame (je commençais à flipper grave comme disent les jeunes.
Qu’est ce qu’il fout là, il a du suivre sa chère et tendre (sa chaire est tendre) et je vais avoir droit à la grande scène du 2.
Comme je suis moyennement fan des vaudevilles je décide de faire le mort (Actor Studio) mais c’est sans compter sur madame qui se décide enfin à sortir de la salle de bain et qui ne trouve rien de mieux qu’à parler très fort sur le gel de douche qui visiblement l’a revigoré.
Du coup le mari sonne comme un taré et commence à s’énerver.
Prenant mon courage à deux mains (si vous le voulez bien) j’ouvre la porte bien décidé à..(à quoi au juste ?) Le mari entre comme une furie et referme derrière lui.
Je dois avouer que je n’en mène pas large vu le gabarit du Monsieur mais à ma grande surprise il est souriant.
Je regarde son épouse seulement vêtue de son sourire (car elle aussi elle sourit) je n’y comprend plus rien,Mon regard va de l’un à l’autre et je décide de m’asseoir et de me resservir un whisky.
Le monsieur fait comme chez lui et s’assoit en face de moi il se sert une grande rasade de ce nectar (je sais c’est un peu alambiqué comme vocabulaire, mais je connais votre niveau de culture et je suis sùr que vous arrivez à suivre et puis j’essaye d’éviter les répétitions).
Son épouse s’assoit elle aussi toujours en souriant (du coup je la trouve un peu niaise la banquière).
Bon on ne va pas rester là en faisant des faces de rat.
- Je crois que je ne saisis pas bien l’ambiance, ce serait sympa d’éclairer ma lanterne parce que là ?
- Bien sùr cher Monsieur je crois que l’on vous doit quelques explications.
Il est poli comme un banquier qui va me refuser un prêt (j’ai l’habitude) mais j’acquiesce.
- Mon épouse et moi même nous sommes bien amusés et je dois dire que vous avez répondu au delà de nos attentes.
- Ravi de l’entendre mais vous voulez dire que vous êtes au courant de tout ?
- He oui ! On peut même dire que tout cela était prévu, désolé de vous décevoir mais votre charme n’a rien à voir dans tout cela.
Bon ok, je suis pas Brad Pitt mais mon égo vient d’en prendre un coup, moi qui croyais que mon côté latin lover de banlieue était irrésistible.
- Si vous vous rappelez bien du diner où nous nous sommes rencontrés, notre hôtesse nous avait prévenu que vous étiez un incorrigible libertin et vous aurez sans doute aussi remarqué que je vous ai laissé très ou devrais je dire trop rapidement en tête à tête avec ma femme.
Je dois avoir l’air encore plus idiot que d’habitude et devant mon regard interloqué le mari continue son explication.
- Voyez vous, après plus de quinze ans de mariage une certaine lassitude s’est installée et nous avions envie de pimenter les choses, mon épouse a toujours eu des besoins de soumission et j’en ai bien profité mais il fallait franchir un cap et voir si elle était capable d’obéir et de jouer avec un autre.
- Je suppose qu’elle vous a tout raconté en détail et que vous êtes rassuré ?
- Oui avouez qu’elle est douée, vous un peu moins car vous ne vous êtes douté de rien quand elle vous a cédé si rapidement.
- Ok c’est bien beau tout ça vous vous êtes bien foutu de moi donc merci pour tout et salut.
Je sais c’est un peu lapidaire mais ils commencent à me gonfler et puis autant le dire, je me sens un peu con.
- On se calme, comme vous le savez j’occupe un poste important dans une grande banque et je peux être très arrangeant ou pas.
Là il me cloue le bec, je m’enfonce un peu plus dans mon fauteuil.
- Ce n’est un secret pour personne que vous connaissez quelques soucis financiers et vous allez écouter attentivement ce que je vais vous dire.
Pour un peu c’est moi qui vais dire oui Maitre.
- L’expérience avec Clara a été plus que concluante et nous voudrions la poursuivre, mais nous ne connaissons personne dans ce milieu et vous allez donc nous aider, bien sur vous pourrez continuer à vous servir de Clara en échange de quoi je m’occupe de régler vos petits soucis.
Là il faut que me resserve un verre, c’est bien la première fois qu’on va me payer (ou c’est tout comme) pour m’occuper d’une soumise (et par le mari en plus)- Qu’en dites vous ?
- C’est tentant mais et vous là dedans ?
Moi parfois j’assisterai parfois non mais Clara me racontera tout et je suis certain que vous ne nous décevrez pas.
Je résume la situation dans mon cerveau un peu cotonneux et j’arrive à la conclusion que je n’ai pas trop le choix, en plus je me dis que la petite garce va morfler parce que j’ai horreur que l’on me prenne pour une buse.
- D’accord et vous avez une idée pour la suite ?
- Juste une suggestion, il existe des lieux spécialisés pour ce genre de pratique et je sais qu’il faut être recommandé pour y pénétrer donc je vous serez infiniment reconnaissant d’y amener mon épouse.
- Bien sur, (il n’a pas remarqué mon petit rictus, mais je sais que la semaine prochaine un club organise une vente aux esclaves et je me frais une joie d’y amener la petite et néanmoins salope Clara)Mes deux nouveaux associés ont l’air ravis (Shankar), jeu de mot pourri mais comme ce texte est chiant et qu’il n’y a pas de scène de sexe, il faut bien s’amuser) et ils quittent mon appartement me laissant songeur.
(Ouf c’est fini, la suite devrait être plus croustillante…)
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