Initiation en vacances (1968)
Récit érotique écrit par Nounours-53 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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Initiation en vacances (1968)
C’était en 1968. Je venais juste d’avoir quinze ans.
Mes parents et moi passions nos vacances dans un petit hôtel dans les Pyrénées.
Il faisait chaud et je profitais d’être seul dans ma chambre pour dormir nu, ce qui était impossible à la maison. La sexualité était un sujet tabou dans ma famille et ce que j’en connaissais provenait de lectures en cachette et de renseignements transmis par les copains de classe. Cela ne m’empêchait pas de me masturber et parfois la nuit m’apportait des rêves très agréables qui se terminaient par un pyjama collant.
Ce matin-là, une belle « carte géographique » maculait les draps. Impossible à faire disparaître. Les femmes de chambre allaient devoir les changer. Mais qu’en penseraient-elles ? Après tout, c’est leur boulot et elles ont dû en voir d’autres …
Le soir, en rentrant d’excursion, le lit était impeccable. J’ai cru remarquer un petit sourire complice chez les deux femmes de chambres croisées dans le couloir. Elles devaient avoir une vingtaine d’années, toutes deux les cheveux noirs. L’une était menue et fine, l’autre par contre arborait une poitrine opulente et des hanches larges. Mais de belles filles du Midi.
La nuit était chaude et le sommeil tardait à venir.
On grattait à la porte. J’enfilai le pantalon de pyjama et vais ouvrir. Les deux femmes de chambre ! Elles entrèrent…
- Alors… on laisse des traces sur ses draps (la plus petite des deux, avec un accent méridional tout à fait charmant).
Je rougis.
- Vous ne pouvez pas rester ici. Mes parents dorment en face. S’ils voient de la lumière, ils vont venir …
- Mais toi tu peux monter chez nous, dans notre chambre.
J’hésitai… elles m’expliquèrent rapidement où je devais aller puis sortirent sans bruit.
Quelle aventure … mais je décidai de la tenter. Je mis ma veste de pyjama et sortit en silence. Je montai au dernier étage où se trouvait la chambre qu’elles partagaient pendant la saison touristique. Deux lits, mobilier réduit mais coquette quand même.
J’entrai. Elles m’attendaient en souriant. Elles étaient vêtues de leur « uniforme » de travail. Chemiser blanc. Jupe noire.
- Curieux, le jeune homme …Moi, c’est Josette (la petite) et elle Martine. Envie de t’amuser un peu ?
- Euh… (je rougis de nouveau)
- Ca ne t’est jamais arrivé ? avec une fille ?
- Non. Mais j’aimerais bien.
Elles raient…
- D’abord, tu vas nous déshabiller. Commence par moi.
Josette me prit la main et la posa sur le haut de son buste. Je déboutonnai maladroitement son chemisier. Elle portait dessous un petit soutien-gorge blanc. Elle se retourna pour me présenter la fermeture-éclair de jupe qui tomba bien vite à ses pieds. Ses fesses étaient moulées dans un slip blanc aussi, tout fait classique (nous étions en 1968 !). Avec difficulté je dégrafai le soutien- gorge d’où émergaient de petits seins, pointes érigées.
- Descend ma culotte.
Je la fis glisser mais suis obligé de mettre un genou à terre. Elle avait un petit popotin tout mignon mais quand elle s’est retournée je me suis trouvé face à une toison noire et abondante. La mode n’était pas au rasage intégral (que je déteste d’ailleurs toujours). J’étais fasciné. En me relevant devant cette femme nue (c’était la première fois), mon pantalon de pyjama s’était considérablement tendu.
Ce fut le tour de Martine. Ses seins étaient gros mais fermes. Une merveille. Sa toison était plus claire mais ne laissait rien voir. Autre époque.
Josette était devant moi et Martine derrière.
Elles ont entrepris de me déshabiller. Ma veste fut vite enlevée. Martine s’est collée à moi. Je sentais sa peau, ses seins contre mon dos. Ma virilité libérée se dressait face à Josette. Je n’ai pas un pénis exceptionnel. Très dans la « moyenne » mais personne ne s’en est jamais plaint… Martine s’en empara et me masturba doucement. Mais la grande révélation fut la bouche de Josette qui enserrait mon gland. Cette première fellation a été pour moi le bonheur absolu, inconnu. Elles m’ont couché sur un lit et me suçaient à tour de rôle. Sentant l’explosion proche, elles me finirent à la main dans un plaisir sans égal. J’étais aux anges.
Elles me nettoyèrent le corps.
J’étais là au milieu de deux superbes filles nues qui me bichonnaient.
- Tu vas t’occuper de nous maintenant…
J’étais novice en la matière. Que faire ? Je n’avais jamais touché une femme, nue de surcroit.
Martine me prit la main et la porta sur sa poitrine. Quelle sensation !
- Vas-y doucement, c’est fragile.
Je caressais les seins d’une femme pour la première fois. Josette, pendant ce temps, malaxait doucement mes testicules. Je ne tardai pas à bander de nouveau.
- Embrasse mes tétons.
Je m’empressais de le faire. Puis Martine me repoussa. Elle était étendue, nue, sur le lit et moi devant elle. Elle écarta lentement les jambes.
Ce n’était pas la première fois que je voyais une vulve mais quelle différence entre la fente glabre de mes petites copines d’enfance et ce sexe de femme recouvert de sa toison naturelle. Ses lèvres, bien jointes, étaient épaisses, sans doute gonflées par l’excitation. J’y portais la main. Mes doigts sentaient la douceur des poils légèrement frisés qui recouvraient son pubis. Je descendis vers les lèvres, parcourut la fente. Elle gémit. Je m’enhardis à y introduire l’index. Je fus surpris de la moiteur qui y régnait. Je distinguais bien vite l’odeur de la cyprine, jusque là inconnue à mes narines.
Elle porta ses mains à son sexe et ouvrit ses lèvres, me découvrant son clitoris qui émergeait de son petit capuchon.
- Regarde mon petit bouton. Suce-le…
Le nez dans sa toison, dans cette odeur si prenante, je pris le clitoris entre mes lèvres et l’aspirai doucement. Elle gémissait de plus en plus. Josette continuais de caresser ma verge qui était de nouveau très tendue.
- Viens en moi maintenant.
Le moment était venu de perdre mon « pucelage ». Je plaçai mon gland décalotté à l’entrée de son vagin et Josette me guida à l’intérieur. Ma verge glissait en elle. Josette, les mains sur mes fesses, me donnait le rythme. Au bout d’un petit moment je sentis le vagin de Martine se contracter. Elle gémissait de plus en plus. Elle eut un orgasme qui me surprit par son intensité.
- J’en veux aussi !
Josette m’invita à la pénétrer. Je me retirai de Martine qui savourait son plaisir et me plaçai derrière son amie qui s’était mise à genou. Elle m’offrait la vue de sa vulve poilue (plus que Martine), ouverte pour moi. Elle m’aida à entrer en elle et c’est en « levrette » que j’éjaculais pour la première fois dans le vagin d’une femme. Cela déclencha chez Josette une jouissance profonde.
Je suis resté dans leur chambre une partie de la nuit, couché entre elles, profitant de leurs corps si doux qu’elles m’avaient offerts.
Au petit matin je regagnais ma chambre.
Quand mon père me réveilla il m’a trouvé une petite mine… S’il avait su…
Mes parents et moi passions nos vacances dans un petit hôtel dans les Pyrénées.
Il faisait chaud et je profitais d’être seul dans ma chambre pour dormir nu, ce qui était impossible à la maison. La sexualité était un sujet tabou dans ma famille et ce que j’en connaissais provenait de lectures en cachette et de renseignements transmis par les copains de classe. Cela ne m’empêchait pas de me masturber et parfois la nuit m’apportait des rêves très agréables qui se terminaient par un pyjama collant.
Ce matin-là, une belle « carte géographique » maculait les draps. Impossible à faire disparaître. Les femmes de chambre allaient devoir les changer. Mais qu’en penseraient-elles ? Après tout, c’est leur boulot et elles ont dû en voir d’autres …
Le soir, en rentrant d’excursion, le lit était impeccable. J’ai cru remarquer un petit sourire complice chez les deux femmes de chambres croisées dans le couloir. Elles devaient avoir une vingtaine d’années, toutes deux les cheveux noirs. L’une était menue et fine, l’autre par contre arborait une poitrine opulente et des hanches larges. Mais de belles filles du Midi.
La nuit était chaude et le sommeil tardait à venir.
On grattait à la porte. J’enfilai le pantalon de pyjama et vais ouvrir. Les deux femmes de chambre ! Elles entrèrent…
- Alors… on laisse des traces sur ses draps (la plus petite des deux, avec un accent méridional tout à fait charmant).
Je rougis.
- Vous ne pouvez pas rester ici. Mes parents dorment en face. S’ils voient de la lumière, ils vont venir …
- Mais toi tu peux monter chez nous, dans notre chambre.
J’hésitai… elles m’expliquèrent rapidement où je devais aller puis sortirent sans bruit.
Quelle aventure … mais je décidai de la tenter. Je mis ma veste de pyjama et sortit en silence. Je montai au dernier étage où se trouvait la chambre qu’elles partagaient pendant la saison touristique. Deux lits, mobilier réduit mais coquette quand même.
J’entrai. Elles m’attendaient en souriant. Elles étaient vêtues de leur « uniforme » de travail. Chemiser blanc. Jupe noire.
- Curieux, le jeune homme …Moi, c’est Josette (la petite) et elle Martine. Envie de t’amuser un peu ?
- Euh… (je rougis de nouveau)
- Ca ne t’est jamais arrivé ? avec une fille ?
- Non. Mais j’aimerais bien.
Elles raient…
- D’abord, tu vas nous déshabiller. Commence par moi.
Josette me prit la main et la posa sur le haut de son buste. Je déboutonnai maladroitement son chemisier. Elle portait dessous un petit soutien-gorge blanc. Elle se retourna pour me présenter la fermeture-éclair de jupe qui tomba bien vite à ses pieds. Ses fesses étaient moulées dans un slip blanc aussi, tout fait classique (nous étions en 1968 !). Avec difficulté je dégrafai le soutien- gorge d’où émergaient de petits seins, pointes érigées.
- Descend ma culotte.
Je la fis glisser mais suis obligé de mettre un genou à terre. Elle avait un petit popotin tout mignon mais quand elle s’est retournée je me suis trouvé face à une toison noire et abondante. La mode n’était pas au rasage intégral (que je déteste d’ailleurs toujours). J’étais fasciné. En me relevant devant cette femme nue (c’était la première fois), mon pantalon de pyjama s’était considérablement tendu.
Ce fut le tour de Martine. Ses seins étaient gros mais fermes. Une merveille. Sa toison était plus claire mais ne laissait rien voir. Autre époque.
Josette était devant moi et Martine derrière.
Elles ont entrepris de me déshabiller. Ma veste fut vite enlevée. Martine s’est collée à moi. Je sentais sa peau, ses seins contre mon dos. Ma virilité libérée se dressait face à Josette. Je n’ai pas un pénis exceptionnel. Très dans la « moyenne » mais personne ne s’en est jamais plaint… Martine s’en empara et me masturba doucement. Mais la grande révélation fut la bouche de Josette qui enserrait mon gland. Cette première fellation a été pour moi le bonheur absolu, inconnu. Elles m’ont couché sur un lit et me suçaient à tour de rôle. Sentant l’explosion proche, elles me finirent à la main dans un plaisir sans égal. J’étais aux anges.
Elles me nettoyèrent le corps.
J’étais là au milieu de deux superbes filles nues qui me bichonnaient.
- Tu vas t’occuper de nous maintenant…
J’étais novice en la matière. Que faire ? Je n’avais jamais touché une femme, nue de surcroit.
Martine me prit la main et la porta sur sa poitrine. Quelle sensation !
- Vas-y doucement, c’est fragile.
Je caressais les seins d’une femme pour la première fois. Josette, pendant ce temps, malaxait doucement mes testicules. Je ne tardai pas à bander de nouveau.
- Embrasse mes tétons.
Je m’empressais de le faire. Puis Martine me repoussa. Elle était étendue, nue, sur le lit et moi devant elle. Elle écarta lentement les jambes.
Ce n’était pas la première fois que je voyais une vulve mais quelle différence entre la fente glabre de mes petites copines d’enfance et ce sexe de femme recouvert de sa toison naturelle. Ses lèvres, bien jointes, étaient épaisses, sans doute gonflées par l’excitation. J’y portais la main. Mes doigts sentaient la douceur des poils légèrement frisés qui recouvraient son pubis. Je descendis vers les lèvres, parcourut la fente. Elle gémit. Je m’enhardis à y introduire l’index. Je fus surpris de la moiteur qui y régnait. Je distinguais bien vite l’odeur de la cyprine, jusque là inconnue à mes narines.
Elle porta ses mains à son sexe et ouvrit ses lèvres, me découvrant son clitoris qui émergeait de son petit capuchon.
- Regarde mon petit bouton. Suce-le…
Le nez dans sa toison, dans cette odeur si prenante, je pris le clitoris entre mes lèvres et l’aspirai doucement. Elle gémissait de plus en plus. Josette continuais de caresser ma verge qui était de nouveau très tendue.
- Viens en moi maintenant.
Le moment était venu de perdre mon « pucelage ». Je plaçai mon gland décalotté à l’entrée de son vagin et Josette me guida à l’intérieur. Ma verge glissait en elle. Josette, les mains sur mes fesses, me donnait le rythme. Au bout d’un petit moment je sentis le vagin de Martine se contracter. Elle gémissait de plus en plus. Elle eut un orgasme qui me surprit par son intensité.
- J’en veux aussi !
Josette m’invita à la pénétrer. Je me retirai de Martine qui savourait son plaisir et me plaçai derrière son amie qui s’était mise à genou. Elle m’offrait la vue de sa vulve poilue (plus que Martine), ouverte pour moi. Elle m’aida à entrer en elle et c’est en « levrette » que j’éjaculais pour la première fois dans le vagin d’une femme. Cela déclencha chez Josette une jouissance profonde.
Je suis resté dans leur chambre une partie de la nuit, couché entre elles, profitant de leurs corps si doux qu’elles m’avaient offerts.
Au petit matin je regagnais ma chambre.
Quand mon père me réveilla il m’a trouvé une petite mine… S’il avait su…
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