Laurent et Sophie chez la tante Laure (Suite d'un précédent récit) - histoire érotique

Sophie et Laurent se promènent, main dans la main. De temps en temps, ils s’arrêtent et s’embrassent tendrement. Elle porte une petit jupe flottante et un T shirt moulant, lui un jeans et une chemise à manches courtes. Il fait chaud. Lourd même. Une journée à orage. D’ailleurs le ciel s’assombrit brusquement alors qu’ils sont assis sur un banc du parc public. Tout à leur amour, ils ne voient pas les nuages menaçants envahir le ciel. Les premières gouttes tombent.
- « Rentrons vite, on va être trempés »
- « Trop tard, on devrait plutôt se mettre à l’abri »
Mais rien dans les environs pour s’abriter de la pluie qui redouble d’intensité.
- « Courrons vite chez ma tante, elle habite non loin d’ici »
Les jeunes gens se précipitent le plus vite possible jusqu’au domicile de la tante Laure. Elle leur ouvre la porte.
- « Eh bien mes enfants, vous voilà dans un triste état. Pour une fois que vous me rendez visite. »
Elle les fait entrer dans la cuisine.
- « Je ne vous fait pas les honneurs du salon. La moquette en prendrait un coup » Elle rit. « Il va falloir vous sécher maintenant, je vais chercher des serviettes…»
Elle revient avec les bras chargés de serviettes. Laurent enlace Sophie qui grelotte un peu. Le T shirt humide laisse deviner ses belles formes.
- « Pas encore déshabillés ? »
- « Mais, ma tante … »
- « Ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais vu tous nus ? »
- « Si bien sûr… mais toi … »
- « Tu sais très bien que je te connais sous toute tes facettes (rire). Et Sophie est une fille, ca ne la gênera pas. Allez, enlevez moi tout ça»
Ils s’exécutent. Il faut dire qu’ils n’ont pas beaucoup à enlever. Laurent est le premier nu. Laure continuer d’apprécier ce corps jeune dont elle s’est occupée il y a peu. Il lui fait de nouveau envie mais Sophie est là. Elle a gardé ses sous-vêtements. Un soutien et une culotte simple, blancs. L’humidité révèle les tétons qui pointent et la toison un peu sombre sous le fin tissu. Laure l’enjoint à ôter le reste mais Sophie est gênée dans cette femme qu’elle connaît peu. Elle finit par tout enlever.
- « Tu es très belle Sophie. Laurent a de la chance »
Il sourit tout en s’essuyant méticuleusement. Son sexe est tout petit sous l’action de l’eau froide mais il sent que cela pourrait changer, d’autant plus que sa tante l’aide à s’éponger, effleurant la verge qui gonfle légèrement. Elle se tourne vers Sophie et lui frictionne le dos puis la retourne pour essuyer le devant. La gêne de Sophie la fait sourire.
A genou devant la jeune fille, elle admire la fine toison qui prend un peu de volume en séchant.
- « Tu as raison de garder tes poils. C’est beaucoup plus joli comme ça tu sais. Et puis plus mystérieux aussi. Je suis sûre que Laurent adore. Je vais vite aller mettre vos vêtements au sèche-linge.»
Sophie et Laurent se regardent en souriant, puis s’enlacent tendrement. Laure revient et sourit en les voyant ainsi …
- « Eh bien les enfants, vous ne perdez pas de temps. Vous ne pouvez pas rester comme ça»
Elle les enveloppe dans de grandes sorties de bain.
- « C’est l’affaire d’une petite heure… Si vous voulez, vous pouvez aller dans ma chambre. Tu sais où c’est Laurent, ce sera plus agréable pour vous…»
- « Merci ma tante tu es sympa »
Laurent emmène Sophie dans la chambre de sa tante. Le lit est ouvert et des sous vêtements traînent sur une chaise.
- « Elle porte ça ta tante ? C’est sexy non ? »
- « Elle aime ce genre de trucs. Elle se soigne »
- « Tu l’as déjà vue nue ? »
- « Oui, elle n’est pas très pudique et elle aime se montrer aussi je crois. Mais elle n’est pas aussi belle que toi».
Il l’enlace. Les serviettes tombent et leurs mains parcourent leurs jeunes corps, s’attardant sur les parties sensibles qui réagissent vite. Le pénis du jeune homme se dresse peu à peu et la vulve de Sophie s’emplit d’une douce moiteur. Il la fait se coucher sur le lit, lui écarte les jambes et admire ce sexe qui le fascine. Il a envie de lui rendre hommage en le caressant doucement. Puis il approche son visage, entrouvre les douces lèvres et dépose un baiser dessus. Sophie se met a gémir sous cette nouvelle caresse à laquelle elle ne résiste guère. Enhardi, Laurent y glisse la langue et effleure le clitoris qu’il sent gonfler légèrement. Elle se laisse aller à son plaisir qui atteint bien vite son paroxysme. Elle ne peut s’empêcher de pousser de petits cris que Laure entend distinctement.
Prise par sa curiosité, elle se dirige vers sa chambre dont la porte est restée légèrement entrebâillée. Elle s’attendrit devant se spectacle des deux jeunes gens tous à leur plaisir. Elle sent aussi une moiteur envahir son entrejambe. Elle a envie de se caresser. Elle remonte sa courte jupe et introduit la main dans son slip. Les doigts parcourent toute son intimité, éveillant des sensations bien connues. Son regard est fixé sur le sexe de son neveu et se prend à le désirer mais Laurent est bien occupé à donner du plaisir à son amie que la fulgurance de l’orgasme cloue sur le lit.
Laure accentue sa caresse et se déséquilibre. La porte s’ouvre un peu plus et attire l’attention de Laurent.
- « Ma tante ! que fais-tu là ? »
- « Tu le vois, je me caresse en vous regardant »
Sophie se cache le sexe en rougissant.
- « C’est tellement beau. Vous êtes tellement beaux. Vois Sophie comme la verge de Laurent te rend hommage, dressée pour toi. Tu as aimé la caresse de sa bouche ?»
- « Oh oui ! » Le cri lui échappe presque malgré elle.
- « Et toi il aime ta bouche sur son sexe ? »
- « On le l’a jamais fait… »
- « Pas vrai. Tous les hommes adorent ça. Et ce n’est pas sale tu sais. Laurent a beaucoup d’hygiène… Vas-y, prend-le »
Laurent se couche sur le dos, le sexe bien droit vers le plafond.
- « Décalotte-le. Voilà. Pose ta bouche dessus. Maintenant pense que c’est une crème glacée ou une sucette… »
Sophie s’exécute. La sensation est bizarre de cette chose chaude et vibrante dans sa bouche. Mais elle a vite trouvé les gestes et les attitudes pour donner du plaisir à son ami.
- « Surtout Laurent, retiens-toi »
- « Ca va être difficile. C’est génial »
- « Préviens que tu le sens venir »
Sophie s’est mise a genou et s’applique à la fellation du mieux qu’elle peut. La croupe s’est tendue et Laure peut voir la vulve de la jeune fille dans toute sa beauté. Les lèvres recouvertes d’un léger duvet sont jointes mais on y perçoit encore le suintement de la cyprine, preuve de son excitation et de sa jouissance à peine passée. Laure aimerait y goûter, n’ayant jamais dédaigné les amours saphiques même si elle préfère les hommes. Elle s’en garde bien et se contente de les regarder. Les gémissements de Laurent se font plus intense.
- « Ca va venir »
Laure écarte doucement Sophie et prend sa place. Ses lèvres entourent fermement le gland du jeune homme et la langue accentue encore la pression. L’éjaculation ne se fait pas attendre. Le sperme se répand dans la bouche sa tante. La sensation est unique.
- « Voilà le travail »
Sophie la regarde, interloquée et surprise.
- « Vous l’avez avalé ? C’est bon ? »
- « Question d’appréciation. Ici, c’est un peu salé. Vas-y, goûte un peu… »
Sophie prélève un peu de sperme sur le gland de son ami et le porte à ses lèvres, étonnée de la saveur acre et de fait, un peu salée du liquide. C’est différent de son liquide intime mais cela ne lui déplaît pas vraiment. Peut-être un jour…
- « C’était bien Laurent ? »
- « Tu es géniale ma tante et Sophie encore plus … »
- « Allons il va être temps de vous rhabiller. Vos parents vont s’inquiéter. Et … motus n’est-ce pas ? N’oubliez de me raconter la suite. Dépêchez-vous de partir… j’ai à terminer quelque chose moi … » Un clin d’œil complice en dit long sur l’activité qui suivra leur départ.