Isa Chapitre 1/2
Récit érotique écrit par Isa13450 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2016 dans la catégorie Plus on est
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Isa Chapitre 1/2
Chapitre 1/2
Sans préméditation.
Je m’appelle Isabelle, à l’heure où j’écris ce texte j’ai 43 ans, je mesure 1m60 et à ce que l’on dit, j’ai un physique agréable malgré les petites formes généreuses qui accompagnent ma silhouette. A chaque fois que j’en ai l’occasion, sans pour autant basculer dans la vulgarité, j’aime m’habiller de façon à me mettre en valeur, ce n’est pas que je cherche à provoquer du désir chez le sexe opposé pour me trouver une occasion de débauche, c’est simplement pour me rassurer, j’ai besoin de savoir que je plais toujours autant qu’à mes vingt ans et les regards qui se tournent vers moi m’aident à confirmer que je suis toujours désirable. Je vie avec Jean, mon mari depuis 22 ans. Jean a 44 ans, il est assez sportif, passionné de VTT, il s’attache à ne pas manquer ses sorties matinales du weekend pour parcourir tous les recoins des collines environnantes qu’il connait désormais par cœur. Sa passion lui permet d’entretenir sans difficulté son physique musclé qui m’a toujours fait craquer. Nous avons un garçon de 20 ans, Batiste qui a quitté le domicile familial depuis peu pour s’installer avec sa compagne.
Nous habitons une petite villa avec piscine dans le sud de la France. Le jardin n’étant pas très grand, les voisins sont assez proches, de ce fait pour optimiser notre intimité, nous avons planté des haies d’arbustes bien feuillus le long de chacune des clôtures, ce qui nous permet de limiter considérablement les vis-à-vis. Jean a toujours pris soin de bien entretenir ces haies de façon à ce qu’elles soient bien touffus, car il sait que sans cela, je ne m’autorise pas à me faire bronzer torse nue ou entièrement nue au bord de la piscine. Certes, j’aime attirer le regard des inconnus que je croise, mais en aucun cas je n’oserai m’exhiber de la sorte devant un voisin que je côtoie tous les jours, je sais garder certaines limites qui ne doivent pas être franchis.
Pour finir les présentations, j’ai gardé le meilleur pour la fin, si vous êtes en cours de lecture de ce texte, c’est bien que vous vous attendez à en savoir plus sur ma sexualité :
Plus jeune, à mon adolescence, j’ai eu plusieurs petits copains avec lesquels j’ai fleurté sans pour autant les autoriser à aller au-delà de la découverte de ma poitrine déjà volumineuse. Ce n’est qu’à 18 ans que j’ai perdu ma virginité avec Romain. A cette époque j’étais folle amoureuse de ce garçon que toutes les filles s’arrachaient, mais tout le problème était là, et bel et bien là, à mon tour, on me l’a arraché plus vite que ce que j’avais pu l’imaginer. Très déçue d’avoir donné ce que j’avais de plus cher à un garçon qui finalement n’en valait pas la peine, j’ai ensuite été très hésitante à me donner à nouveau malgré le désir de profiter de ces plaisirs de la vie que je venais de découvrir. Puis, à tout juste vingt an, j’ai rencontré Jean, au-delà du fait que son physique musclé me faisait craquer, je me sentais bien avec lui, notre relation est rapidement devenue fusionnelle, il était évident que nous étions fait l’un pour l’autre, preuve en est aujourd’hui que nous étions dans le vrai. Je me souviens encore de notre première nuit que je peux largement qualifier de torride. Petit à petit nous nous sommes découverts, nos rapports étaient de plus en plus intenses, nos jeux sexuels de plus en plus coquins. D’autant plus qu’après la naissance de Batiste, ma libido s’est amplifiée au plus grand plaisir de Jean. Puis au fil des années suivantes, nous nous sommes installés sans nous en rendre compte dans une sorte de routine sexuelle, et sans nous l’avouer, nous avions le sentiment d’avoir fait le tour de notre sexualité.
Nous avons dû nous rendre à l’évidence de cette réalité lorsqu’un dimanche soir, confortablement installés, nous découvrions pour la première fois le film intitulé : « 7 ans de mariage ». Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, nous y retrouvons un couple qui réalise qu’après sept ans de mariage, leur sexualité qui s’endort a de toute évidence besoin de piment. Ce film ne nous laissait pas indifférent car il décrivait parfaitement ce que nous, nous vivions au bout de nos huit années de vie commune. Ce soir-là, devant ces images visionnées, une certaine excitation nous a envahie, une excitation différente de celle que nous procuraient les films x que nous prenions plaisirs à regarder de temps en temps et par effet induit, nous n’avons pu attendre le générique de fin pour nous faire plaisir.
Après cette soirée, durant les jours suivants, pour la première fois, nous avons osé nous avouer certains de nos fantasmes, jusqu’ici, je n’avais pas imaginé un seul instant que Jean pouvait avoir les désirs qu’il me décrivait. J’étais à la fois stupéfaite et excitée. De mon côté, je restais sur mes gardes, j’avais moi aussi des fantasmes mais il m’était difficile de lui avouer tout ce qui pouvait me traverser l’esprit, d’autant plus que parfois, il n’était pas acteur de mes scénarios les plus extravagants. J’ai alors appris qu’il fantasmait sur une relation échangiste, il aimait également m’imaginer dans les bras d’un autre devant lui, à mon tour je lui ai avoué que l’idée d’un triolisme m’émoustillait. Nous en sommes venus à la conclusion que nous ne dérogions pas à la règle, nous avions les même envies que tous les couples qui sont restés fidèles de nombreuses années, nous avions besoin de piment pour éveiller notre sexualité, mais nous avons également convenu que nous ne franchirions jamais ce pas, tous ces scénarios que l’on s’amusait à se décrire ne devaient en aucun cas basculer du fantasme vers la réalité pour ne pas risquer de détruire ce que l’on a construit durant toutes ces années.
Suite à cela, de façon à amplifier notre excitation, nous avons régulièrement introduit un ou plusieurs partenaires imaginaires durant nos ébats. Pour m’exciter, en guise de préliminaires, allongés sur le lit, Jean me demandait de fermer les yeux et il me chuchotait à l’oreille ce qu’il aimerait me voir faire avec tel ou tel de nos amis ou connaissance proche, il s’amusait à me raconter la façon dont il imaginait notre éventuelle relation échangiste avec encore une fois des personnes de notre entourage qu’il ne se privait pas de citer. Chacun de ces scénarios me mettaient dans un état d’excitation qui me procurait une jouissance intense une fois les préliminaires passés. Nous avons joué de la sorte de nombreuses années jusqu’à ce que les effets de ces jeux ne nous procurent plus autant de plaisirs qu’à leurs débuts. Une nouvelle fois, nous avions besoin de trouver autre chose pour maintenir notre sexualité en éveil. Pour cela je faisais confiance à Jean, je savais qu’il trouverait des nouveautés pour nous maintenir actif, sans pour autant avoir imaginé ce qui m’attendait lorsque un dimanche après-midi d’été, on sonne à notre porte.
Installée sur mon transat au bord de la piscine avec la ferme intention de capter un maximum de rayons du soleil pour améliorer mon bronzage intégral, j’étais seule à avoir entendu le carillon qui provenait de l’intérieur de la maison. J’ai appelé Jean qui se trouvait vers l’autre extrémité du jardin pour lui indiquer que nous avions un visiteur au portail :
- Jean, n’oublie pas de me prévenir si tu fais rentrer notre visiteur, si tu ne veux pas qu’il voit ta femme toute nue….
- Ne t’inquiète pas, je vais voir de qui il s’agit, si je dois le faire rentrer, je te préviens avant.
- Ok merci
J’ai poursuivi ma détente en toute sérénité, espérant ne pas avoir à me revêtir car je venais tout juste de me passer la crème solaire. Quelques minutes plus tard, les portes de notre séjour qui donnent sur le coin piscine étant grandes ouvertes, j’entendais Jean discuter avec une autre personne, mon cœur s’est mis battre plus rapidement, j’étais prise d’angoisse, avait-il oublié ?, peut être allaient-ils rester dans la maison, dans ce cas ils ne pouvaient pas me voir, de cet angle je savais que nos haies masquaient la partie basse du pourtour de la piscine, mais je ne pouvais pas me redresser sinon, je me serai donnée en spectacle. Ouah, il va m’entendre une fois notre visiteur parti !
Lorsque j’ai entendu Jean dire à notre visiteur : « Allez viens, j’en ai un dans mon abris de jardin, je vais te le prêter », j’ai compris qu’ils allaient tous les deux passer devant moi pour aller jusqu’au fond du jardin, j’étais tellement stupéfaite de l’attitude de Jean que je suis restée sans réaction lorsque notre visiteur c’est retrouvé debout devant moi, sans trop savoir si il devait me saluer ou détourner le regard. N’ayant discuté que très rarement avec lui, je n’avais pas reconnu sa voix, c’est en le voyant que j’ai pu constater que c’était notre jeune voisin, Léo. Malgré son trouble, Il a choisi la première option, il m’a tendu la main pour me dire bonjour, puis ils se sont dirigés vers notre abri de jardin avant d’en ressortir quasiment immédiatement. Sur leur retour, toujours accompagné de Léo, Jean a stoppé leur marche devant moi pour m’expliquer que le père de Léo avait besoin d’un sécateur pour couper les branches de notre haie qui poussent au travers du grillage de notre clôture commune vers chez eux. Jean prenait volontairement son temps pour m’expliquer cela, ce qui permettait au jeune Léo de profiter de la vue qu’il ne se privait pas d’observer.
Après qu’il ait raccompagné notre jeune voisin, je me suis empressée de demander une explication à Jean :
- Tu peux m’expliquer ce qui t’a pris ? je t’avais pourtant bien demandé de me prévenir !
- Je sais, je sais… des filles nues il y en a plein les plages en été, et puis tu as vu la même chose que moi non ?
- Non, quoi, j’aurai du voir quoi ?
- Il bandait en te regardant, son short ne pouvait même pas masquer son état !
- Oui, j’ai vu la bosse, le pauvre, tu crois qu’il était bien à l’aise dans cette situation ? et moi, tu y as pensé, j’avais peut être pas envie de me donner en spectacle !
- Je pense surtout qu’il a bien aimé voir les nichons et le minou de sa voisine et que toi tu as pu apprécier de voir l’effet que tu procures à un jeune homme !
- C’est pas faux, mais j’aurai préféré que tu m’en parles d’abord !
- Si je t’en avais parlé tu n’aurais jamais accepté !
- Pas faux non plus, mais ne t’avise jamais de recommencer ce genre de chose !
Pour éviter d’envenimer la situation et stopper cette discussion, il s’est esquivé dans son abri de jardin pour poursuivre son occupation du moment. Nous n’avons plus parlé de cet écart jusqu’au jeudi soir suivant ou, allongés nus dans le lit conjugal, mon cher époux me murmure dans le creux de l’oreille :
- Tu as repensé à l’état dans lequel tu as mis Léo dimanche dernier ?
- Oui, le pauvre tout en ayant apprécié la chose, il devait vraiment être mal à l’aise.
- Comment se fait-il que Léo n’a jamais eu sa place dans un de nos fantasmes ?, c’est vrai quoi, dans l’imaginaire tu as baisé avec la plupart des hommes de notre entourage mais jamais avec lui !
- C’est encore un bébé, il a tout juste vingt ans, ça pourrait être notre fil !
- Justement, l’idée de te taper un jeunot, ça ne t’émoustille pas un petit peu ?
En même temps que cette question, Jean a fait glisser ses doigts sur mon sexe pour vérifier mon degré d’humidité, j’ai compris où il voulait en venir. Il aime constater l’état dans lequel me mettent ses petits fantasmes qu’il me raconte dans le creux de l’oreille.
- Je te vois venir, tu as envie de me raconter de quelle façon tu aimerais voir ce gamin me prendre, c’est ça ?
- Tout autant que toi ma chérie…….
Suite à cet épisode imaginaire merveilleusement bien raconté, nous avons enchainé une partie de jambes en l’air des plus torrides avant que Jean s’exclame :
- Et bien ma chérie, ça faisait longtemps que tu n’avais pas été autant excitée ! je vois que le jeune Léo te fait autant d’effet que toi sur lui, si ce n’est plus !
- J’avoue !
- Tu aimerais aller plus loin ?
- Non, pas du tout, nous avons été très clair à ce sujet, nous ne dépassons pas le stade de l’imaginaire.
- Je ne te dis pas d’aller jusqu’au bout, mais on pourrait s’amuser un peu tout de même !
- Que veux-tu dire ? à quoi penses-tu ?
- Tu pourrais l’allumer un peu pour voir sa réaction - Et ensuite je le laisse en plan c’est ça ? tu n’es car même pas sérieux là ?
- Pas forcément, tu pourrais lui faire un petit plaisir sympa- Fais attention, si je te prends au mot, tu risques d’être surpris- Pas cap !
- Ok, tu l’auras voulu, la prochaine occasion sera la bonne !
Il savait aussi bien que moi que je n’en ferai rien, il était clair que tout cela n’était qu’un jeu entre nous de façon à entretenir un certain piment source d’excitation sexuelle dans nos relations.
Les puissants rayons de soleil du dimanche après-midi suivant m’ont incité une nouvelle fois à entretenir mon bronzage intégral. Installée sur mon transat, les yeux fermés appréciant pleinement ce moment de détente, je percevais de petits bruits de feuillages bousculés les uns contre les autres. Lorsque mon regard s’est naturellement dirigé vers ses bruits à peine perceptibles, j’ai pu apercevoir notre jeune Léo en train d’essayer d’écarter discrètement des branchages de notre clôture afin de pouvoir améliorer son champ de vision en ma direction. Faisant mine de ne pas l’avoir remarqué, je suis restée un instant allongée avant de me lever pour me revêtir et me diriger vers l’abri de jardin ou Jean bricolait afin de le prévenir de la présence de ce jeune voyeur.
- Et bien ma chérie, ça veut dire que tu lui plais beaucoup, il apprécie de te voir nue pour ensuite très certainement fantasmer sur une relation avec toi.
- C’est tout ce que tu trouves à me répondre ? je n’ai plus qu’à retourner m’allonger en écartant mes cuisses au maximum alors ?
- Pas cap !
Me répondit-il en souriant.
Il savait très bien que je n’en ferai rien, même si l’idée de faire fantasmer ce jeune homme me procurait une sensation agréable entre mes cuisses, il était hors de question que je me donne en spectacle. J’ai gardé mon maillot deux pièces sur moi et je suis retournée à mes occupations à l’intérieur de ma maison. Plus tard dans l’après-midi, alors que Jean était toujours dans son abri de jardin ou devrai-je plutôt dire dans son atelier, une visite sonne à notre porte. Je ne peux pas dire que j’étais surprise de voir que c’était notre jeune voisin qui venait de sonner à notre porte.
- Bonjour Madame, je vous rapporte votre outil.
- Très bien, entre, Jean est au fond du jardin, tu connais le chemin, je te laisse le rejoindre.
- Merci madame.
Deux minutes plus tard, Jean est apparu dans la maison avec Léo pour me dire :
- Isa, j’ai proposé à Léo de boire un verre avec nous pour le remercier d’avoir coupé les branches de nos arbustes qui poussent chez eux.
Il ne croyait tout de même pas que j’allais faire la conversation à Léo du temps qu’il prépare les boisons, je me suis empressée de répondre :
- Très bien, installez-vous sur la terrasse, je vais chercher à boire et je vous rejoins.
J’étais troublée, j’avais le sentiment que l’on pouvait basculer d’un instant à l’autre vers des évènements irréversibles que Jean s’amusait à provoquer. Pour être honnête, l’idée de me retrouver assise face à ce jeune homme qui ne pense qu’à m’observer nue pour pouvoir fantasmer me mettait dans un état d’excitation difficilement contrôlable. A cet instant, je me demandais si finalement, je n’avais pas moi aussi tout comme Jean le désir d’aller au-delà de l’imaginaire. Lorsque je les ai rejoints, le clin d’œil discret de Jean à mon égard ne laissait plus de doute sur ses intentions.
- Voilà messieurs, Jean pour toi ça sera une bière je suppose ?
- Oui s’il te plait, - Tiens, voilà- Merci- Et pour toi Léo ?
- Une bière également, s’il vous plait- Léo tu peux me tutoyer, d’ailleurs je préfère car sinon j’ai l’impression d’être une mamie à tes yeux- Oh non, pas du tout madame, c’est juste par resp ….
- S’il te plait arrête aussi les « Madame », tu peux m’appeler, Isa, ça ira très bien !
- Ok Isa,- Allez approches ton verre que je puisse te servir ta bière.
Il m’a tendu son verre que j’ai servi au-delà de ce qu’il fallait ce qui a eu pour effet de faire déborder la mousse sur ses doigts. Sur cet évènement, je ne sais quel diable m’a envahie le corps pour que je réagisse tel que je l’ai fait :
- Ah, désolée, attends, pose ton verre sur la table et donnes-moi ta main je vais te nettoyer tout ça !
D’une main j’ai attrapé son poignet pour pouvoir diriger ses doigts vers mon visage. Tout en le fixant droit dans les yeux, j’ai aspiré totalement son index jusqu’à ce que son ongle soit en buté contre le fond de ma gorge pour ensuite le faire ressortir lentement entre mes lèvres serrées. Jean est resté scotché devant ce spectacle, certainement très surpris de me voir faire une telle chose à notre jeune voisin qui lui s’est retrouvé complètement paralysé par les évènements. Nous aurions pu entendre les mouches volées jusqu’à ce que Jean intervienne une fois le doigt de Léo entièrement sortie de ma bouche :
- Isa, je vois de la mousse sur son autre doigt, tu devrais aussi lui nettoyer !
A ces mots, Léo et moi venions d’avoir l’approbation de mon cher et tendre pour poursuivre l’action engagée. Je ne me suis pas privé de dégager son majeur pour le faire coulisser à son tour dans ma bouche comme l’on sucerait un sucre d’orge. Pour ce qui est de la partie non visible, sachez que j’ai pris soin également de bien presser ma langue sur ce doigt qui faisait un aller-retour vers mes amygdales. Léo restait toujours sans voix, son visage était rougit, nous percevions nettement sa respiration qui s’accélérait. C’est Jean qui est intervenu le premier :
- Ça va Léo ?,- Oui, ça va, j’ai juste un peu chaud !
- Ça t’excite qu’Isa te suce les doigts ?
- Non, c’est juste que je pensais qu’elle allait me nettoyer avec du papier essuies tout- Elle te fait bander ?
- Oui…… non, non pas du tout- Ne soit pas gêné, ça fait plaisir à Isa de savoir qu’elle fait de l’effet à un petit jeune, et moi ça me plait de savoir que ma femme est désirable. Je suis sûr que tu rêves qu’Isa reproduise sur ton sexe ce qu’elle vient de faire sur tes doigts, je me trompe ?
Son visage était de plus en plus rouge, il a hésité un instant avant de répondre :
- Oui, j’adorerai ça.
Sur cette réponse, mon excitation a évolué vers un niveau encore supérieur, Jean s’est tourné vers moi pour me fixer droit dans les yeux, il attendait ma réponse à sa question qui ne posait pas mais qui était largement sous-entendu et ils m’ont entendu dire :
- Oui, moi aussi !
- Dans ce cas ma chérie, qu’attends-tu pour mener notre invité au septième ciel ?
Je me suis tournée face à Léo, je lui ai demandé de s’écarter de la table tout en restant assis de façon à me laisser le champ libre. Il a fait pivoter son siège pour dégager ses jambes du dessous de la table. Je me suis mise à genoux devant lui, j’ai attrapé son maillot short de chaque côté de ses hanches pour le faire glisser jusqu’en bas de ses chevilles de façon à le retirer entièrement. Sa verge était dressée face à moi, d’une parfaite linéarité, son gland luisait d’envie, mes lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètre de ce bâton tout excité. Lorsque j’ai posé ma main droite sur cette tige pour entamer une masturbation, j’ai aperçu Jean qui envoyait sa main dans son short très certainement pour pouvoir soulager son sexe très excité par la vision d’un scénario fantasmé qui pour la première fois se transformait en acte réel. Après quelque aller-retours de mes doigts sur cette jeune tige, j’ai approché le bout de ma langue pour la mettre en contact avec son frein, juste à la base de son gland. A cet impact, Léo a mordu sa lèvre inférieure avec ses dents, pour ensuite, basculer sa tête en arrière en fermant les yeux lorsque j’ai pris son sexe entièrement en bouche le plus profondément possible. J’ai fait glisser plusieurs fois sa queue au fond de ma gorge en faisant ressortir son gland de ma bouche à chaque aller-retour, il semblait résistant face à son éjaculation, ses couilles remplies de sperme prêt à sortir semblaient de plus en plus fermes. Bien décidée à le faire monter au septième ciel, une fois son gland repositionné dans ma bouche, j’ai serré mes lèvres autour de sa tige pour le maintenir bien à l’intérieur pour ensuite masturber sa queue avec ma main, d’abord lentement puis de plus en plus énergiquement jusqu’à ce que j’obtienne satisfaction. Après avoir entendu un « Ah…. C’est trop bon… » Son sperme chaud est venu s’étaler au fond de ma gorge par petits jets successifs que j’ai pris soin d’avaler de façon à ce que son sexe ressorte tout propre de ma bouche. Pour ma part, je ne me souviens pas avoir déjà été autant excitée, même lors de ma première nuit avec Jean, mon sexe n’avait pas réagi de la sorte, aujourd’hui j’étais trempée entre les cuisses et je ressentais une sorte de douleur d’excitation dans mon bas ventre, phénomène encore inconnue jusqu’ici, désormais je ne souhaitais qu’une seule chose ; que ce jeune homme s’introduise dans mon vagin pour me soulager.
Je me suis redressée, je me suis tournée vers Jean, j’ai pu le voir avec son sexe raide à la main qui lui aussi avait joui sous l’effet de sa propre masturbation. Son sperme était étalé sur le sol, devant sa chaise, je lisais dans son regard son souhait de voir la suite…. Sans mots, j’ai retiré mon maillot deux pièces que j’ai posé sur la table, je me suis rapprochée de Léo toujours assit sur son siège. Tout en restant debout devant lui, j’ai posé mes fesses sur le bord de la table en écartant au mieux mes cuisses. Je ne pouvais plus attendre, ayant bien compris que ce jeune homme ne prendrait aucune initiative, j’ai saisi sa main droite pour venir la positionner sur mon sexe. Je sentais sa main trembler sur le haut de mes cuisses, il regardait Jean, je devinais son malaise.
- S’il te plait, caresse-moi, j’en ai très envie et Jean ne demande qu’à voir !
Ses doigts se sont noyés entre mes lèvres intimes, la caresse n’était pas experte mais tout de même très agréable, rapidement, sa main ne tremblait plus, son index décrivait des cercles autour de mon bouton, je savais que mon passage au septième ciel était tout proche. Lorsque ses doigts sont venus pénétrés mon vagin, une chaleur intense m’a envahie le bas ventre, contrairement aux premières caresses sur mes lèvres, cette pénétration paraissait plus agile, les allers-retours au fond de ma grotte étaient correctement rythmés, je gérais au mieux ma résistance à l’extase de façon à faire durer ces plaisirs le plus longtemps possible, mais lorsque il a approché son visage de mon sexe pour passer sa langue sur mon clitoris, seulement trois rotations de ce bout de cher humide sur mon bouton ont été nécessaire pour me faire craquer.
Je me suis écartée pour venir m’assoir sur un siège prêt de la table le temps de retrouver tous mes esprits. J’étais soulagée mais pas complètement satisfaite, un rapide coup d’œil vers les deux bâtons m’a permis de constater leur vigueur persistante. Jean a rompu le silence :
- Alors, on se la boit cette bière maintenant que la mousse est retombée ! Et toi ma chérie, que bois-tu ?
- Je vais me servir un jus.
Juste après avoir pris le temps de boire une gorgée, Jean s’est exclamé :
- Ma chérie, je vois que Léo est toujours en forme, c'est peut être l'occasion d'aller au bout de nos envies, qu'en penses-tu ?
Je n'attendais que ce feu vert, pour me l'avoir souvent murmuré au creux de l'oreille lors de nos préliminaires, je savais très bien ou Jean rêvait d'en venir. J'ai pris le temps de finir mon verre de jus avant de me lever pour aller m'empaler sur cette jeune tige toujours au garde à vous. Assise à cheval sur mon amant, j'ai commencé par onduler lentement mon bassin sur cette queue qui me remplissait parfaitement. Mon clitoris était très réceptif aux frottements générés sur la base de ce bâton, de son côté, Léo restait immobile, son visage se crispait, son sexe émettait des secousses contre mes parois vaginales, signe qu’il tentait de retenir son éjaculation. Je ne voyais pas ce que faisait Jean qui se trouvait dans mon dos jusqu'à ce qu'il se rapproche de nous, pour nous présenter sa bite tendu à hauteur de nos visages. Sans attendre, j'ai attrapé sa queue pour la faire glisser le plus profondément possible au fond de ma gorge. Léo pouvait profiter de ce spectacle pornographique qui se déroulait à seulement quelques centimètres de son visage, j'ai ralentis mes mouvements du bassin pour mieux me concentrer sur la fellation que j'administrais à mon amour, ses couilles étaient de plus en plus tendus, je devais stopper mes succions avant qu'il n'atteigne son point de non-retour. J'ai dégagé sa bite de ma bouche, je l'ai attrapé fermement dans ma main pour la positionner à quelques centimètres du visage de notre jeune voisin. En regardant Léo droit dans les yeux tout en poursuivant de lents mouvements de mon bassin sur sa tige je lui ai dit :
- Léo, montre-moi sur cette queue ce qui serait pour toi la pipe idéale !
Une nouvelle fois, son visage a pris des couleurs très vives, il a lancé un regard vers Jean pour s'assurer de sa réaction devant ma demande, pour réponse, Jean a posé sa main derrière la nuque de notre invité pour provoquer le contact de son gland sur ses lèvres. Léo a commencé par lécher ce sexe droit en posant sa langue sur le milieu de la tige pour la faire glisser jusqu'en haut du gland. A plusieurs reprises, il l'a léché comme si il dégustait une glace à l'italienne en plein été, comme si il voulait ne pas perdre une goutte de crème glacé qui coule le long du cornet. Devant ce spectacle, j'ai accéléré mes mouvements du bassin, pour aboutir à mon extase, sur ce rythme, Léo a joui quelques secondes avant moi, sa semence chaude s'échappait de mon sexe en mouvement pour venir couler sur ses couilles, de son côté, Jean a lui aussi libéré son sperme lorsque Léo l'a pris profondément en bouche. A quelques secondes prêt, nous avons jouie tous les trois simultanément.
Durant les jours qui ont suivis, toujours sous l'effet de l'excitation de ce que nous avons vécu ce dimanche après-midi, Jean et moi avons multiplié les rapports sexuels dans une intensité qui nous rappelait notre jeunesse. Vendredi, je me suis empressée de regarder la météo au journal télévisé du matin dans l'espoir d'y voir un soleil radieux sur notre région pour le weekend : J’avais dans l’idée d’entretenir mon bronzage intégral le dimanche suivant sous les regards indiscrets de notre cher voisin !
Sans préméditation.
Je m’appelle Isabelle, à l’heure où j’écris ce texte j’ai 43 ans, je mesure 1m60 et à ce que l’on dit, j’ai un physique agréable malgré les petites formes généreuses qui accompagnent ma silhouette. A chaque fois que j’en ai l’occasion, sans pour autant basculer dans la vulgarité, j’aime m’habiller de façon à me mettre en valeur, ce n’est pas que je cherche à provoquer du désir chez le sexe opposé pour me trouver une occasion de débauche, c’est simplement pour me rassurer, j’ai besoin de savoir que je plais toujours autant qu’à mes vingt ans et les regards qui se tournent vers moi m’aident à confirmer que je suis toujours désirable. Je vie avec Jean, mon mari depuis 22 ans. Jean a 44 ans, il est assez sportif, passionné de VTT, il s’attache à ne pas manquer ses sorties matinales du weekend pour parcourir tous les recoins des collines environnantes qu’il connait désormais par cœur. Sa passion lui permet d’entretenir sans difficulté son physique musclé qui m’a toujours fait craquer. Nous avons un garçon de 20 ans, Batiste qui a quitté le domicile familial depuis peu pour s’installer avec sa compagne.
Nous habitons une petite villa avec piscine dans le sud de la France. Le jardin n’étant pas très grand, les voisins sont assez proches, de ce fait pour optimiser notre intimité, nous avons planté des haies d’arbustes bien feuillus le long de chacune des clôtures, ce qui nous permet de limiter considérablement les vis-à-vis. Jean a toujours pris soin de bien entretenir ces haies de façon à ce qu’elles soient bien touffus, car il sait que sans cela, je ne m’autorise pas à me faire bronzer torse nue ou entièrement nue au bord de la piscine. Certes, j’aime attirer le regard des inconnus que je croise, mais en aucun cas je n’oserai m’exhiber de la sorte devant un voisin que je côtoie tous les jours, je sais garder certaines limites qui ne doivent pas être franchis.
Pour finir les présentations, j’ai gardé le meilleur pour la fin, si vous êtes en cours de lecture de ce texte, c’est bien que vous vous attendez à en savoir plus sur ma sexualité :
Plus jeune, à mon adolescence, j’ai eu plusieurs petits copains avec lesquels j’ai fleurté sans pour autant les autoriser à aller au-delà de la découverte de ma poitrine déjà volumineuse. Ce n’est qu’à 18 ans que j’ai perdu ma virginité avec Romain. A cette époque j’étais folle amoureuse de ce garçon que toutes les filles s’arrachaient, mais tout le problème était là, et bel et bien là, à mon tour, on me l’a arraché plus vite que ce que j’avais pu l’imaginer. Très déçue d’avoir donné ce que j’avais de plus cher à un garçon qui finalement n’en valait pas la peine, j’ai ensuite été très hésitante à me donner à nouveau malgré le désir de profiter de ces plaisirs de la vie que je venais de découvrir. Puis, à tout juste vingt an, j’ai rencontré Jean, au-delà du fait que son physique musclé me faisait craquer, je me sentais bien avec lui, notre relation est rapidement devenue fusionnelle, il était évident que nous étions fait l’un pour l’autre, preuve en est aujourd’hui que nous étions dans le vrai. Je me souviens encore de notre première nuit que je peux largement qualifier de torride. Petit à petit nous nous sommes découverts, nos rapports étaient de plus en plus intenses, nos jeux sexuels de plus en plus coquins. D’autant plus qu’après la naissance de Batiste, ma libido s’est amplifiée au plus grand plaisir de Jean. Puis au fil des années suivantes, nous nous sommes installés sans nous en rendre compte dans une sorte de routine sexuelle, et sans nous l’avouer, nous avions le sentiment d’avoir fait le tour de notre sexualité.
Nous avons dû nous rendre à l’évidence de cette réalité lorsqu’un dimanche soir, confortablement installés, nous découvrions pour la première fois le film intitulé : « 7 ans de mariage ». Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, nous y retrouvons un couple qui réalise qu’après sept ans de mariage, leur sexualité qui s’endort a de toute évidence besoin de piment. Ce film ne nous laissait pas indifférent car il décrivait parfaitement ce que nous, nous vivions au bout de nos huit années de vie commune. Ce soir-là, devant ces images visionnées, une certaine excitation nous a envahie, une excitation différente de celle que nous procuraient les films x que nous prenions plaisirs à regarder de temps en temps et par effet induit, nous n’avons pu attendre le générique de fin pour nous faire plaisir.
Après cette soirée, durant les jours suivants, pour la première fois, nous avons osé nous avouer certains de nos fantasmes, jusqu’ici, je n’avais pas imaginé un seul instant que Jean pouvait avoir les désirs qu’il me décrivait. J’étais à la fois stupéfaite et excitée. De mon côté, je restais sur mes gardes, j’avais moi aussi des fantasmes mais il m’était difficile de lui avouer tout ce qui pouvait me traverser l’esprit, d’autant plus que parfois, il n’était pas acteur de mes scénarios les plus extravagants. J’ai alors appris qu’il fantasmait sur une relation échangiste, il aimait également m’imaginer dans les bras d’un autre devant lui, à mon tour je lui ai avoué que l’idée d’un triolisme m’émoustillait. Nous en sommes venus à la conclusion que nous ne dérogions pas à la règle, nous avions les même envies que tous les couples qui sont restés fidèles de nombreuses années, nous avions besoin de piment pour éveiller notre sexualité, mais nous avons également convenu que nous ne franchirions jamais ce pas, tous ces scénarios que l’on s’amusait à se décrire ne devaient en aucun cas basculer du fantasme vers la réalité pour ne pas risquer de détruire ce que l’on a construit durant toutes ces années.
Suite à cela, de façon à amplifier notre excitation, nous avons régulièrement introduit un ou plusieurs partenaires imaginaires durant nos ébats. Pour m’exciter, en guise de préliminaires, allongés sur le lit, Jean me demandait de fermer les yeux et il me chuchotait à l’oreille ce qu’il aimerait me voir faire avec tel ou tel de nos amis ou connaissance proche, il s’amusait à me raconter la façon dont il imaginait notre éventuelle relation échangiste avec encore une fois des personnes de notre entourage qu’il ne se privait pas de citer. Chacun de ces scénarios me mettaient dans un état d’excitation qui me procurait une jouissance intense une fois les préliminaires passés. Nous avons joué de la sorte de nombreuses années jusqu’à ce que les effets de ces jeux ne nous procurent plus autant de plaisirs qu’à leurs débuts. Une nouvelle fois, nous avions besoin de trouver autre chose pour maintenir notre sexualité en éveil. Pour cela je faisais confiance à Jean, je savais qu’il trouverait des nouveautés pour nous maintenir actif, sans pour autant avoir imaginé ce qui m’attendait lorsque un dimanche après-midi d’été, on sonne à notre porte.
Installée sur mon transat au bord de la piscine avec la ferme intention de capter un maximum de rayons du soleil pour améliorer mon bronzage intégral, j’étais seule à avoir entendu le carillon qui provenait de l’intérieur de la maison. J’ai appelé Jean qui se trouvait vers l’autre extrémité du jardin pour lui indiquer que nous avions un visiteur au portail :
- Jean, n’oublie pas de me prévenir si tu fais rentrer notre visiteur, si tu ne veux pas qu’il voit ta femme toute nue….
- Ne t’inquiète pas, je vais voir de qui il s’agit, si je dois le faire rentrer, je te préviens avant.
- Ok merci
J’ai poursuivi ma détente en toute sérénité, espérant ne pas avoir à me revêtir car je venais tout juste de me passer la crème solaire. Quelques minutes plus tard, les portes de notre séjour qui donnent sur le coin piscine étant grandes ouvertes, j’entendais Jean discuter avec une autre personne, mon cœur s’est mis battre plus rapidement, j’étais prise d’angoisse, avait-il oublié ?, peut être allaient-ils rester dans la maison, dans ce cas ils ne pouvaient pas me voir, de cet angle je savais que nos haies masquaient la partie basse du pourtour de la piscine, mais je ne pouvais pas me redresser sinon, je me serai donnée en spectacle. Ouah, il va m’entendre une fois notre visiteur parti !
Lorsque j’ai entendu Jean dire à notre visiteur : « Allez viens, j’en ai un dans mon abris de jardin, je vais te le prêter », j’ai compris qu’ils allaient tous les deux passer devant moi pour aller jusqu’au fond du jardin, j’étais tellement stupéfaite de l’attitude de Jean que je suis restée sans réaction lorsque notre visiteur c’est retrouvé debout devant moi, sans trop savoir si il devait me saluer ou détourner le regard. N’ayant discuté que très rarement avec lui, je n’avais pas reconnu sa voix, c’est en le voyant que j’ai pu constater que c’était notre jeune voisin, Léo. Malgré son trouble, Il a choisi la première option, il m’a tendu la main pour me dire bonjour, puis ils se sont dirigés vers notre abri de jardin avant d’en ressortir quasiment immédiatement. Sur leur retour, toujours accompagné de Léo, Jean a stoppé leur marche devant moi pour m’expliquer que le père de Léo avait besoin d’un sécateur pour couper les branches de notre haie qui poussent au travers du grillage de notre clôture commune vers chez eux. Jean prenait volontairement son temps pour m’expliquer cela, ce qui permettait au jeune Léo de profiter de la vue qu’il ne se privait pas d’observer.
Après qu’il ait raccompagné notre jeune voisin, je me suis empressée de demander une explication à Jean :
- Tu peux m’expliquer ce qui t’a pris ? je t’avais pourtant bien demandé de me prévenir !
- Je sais, je sais… des filles nues il y en a plein les plages en été, et puis tu as vu la même chose que moi non ?
- Non, quoi, j’aurai du voir quoi ?
- Il bandait en te regardant, son short ne pouvait même pas masquer son état !
- Oui, j’ai vu la bosse, le pauvre, tu crois qu’il était bien à l’aise dans cette situation ? et moi, tu y as pensé, j’avais peut être pas envie de me donner en spectacle !
- Je pense surtout qu’il a bien aimé voir les nichons et le minou de sa voisine et que toi tu as pu apprécier de voir l’effet que tu procures à un jeune homme !
- C’est pas faux, mais j’aurai préféré que tu m’en parles d’abord !
- Si je t’en avais parlé tu n’aurais jamais accepté !
- Pas faux non plus, mais ne t’avise jamais de recommencer ce genre de chose !
Pour éviter d’envenimer la situation et stopper cette discussion, il s’est esquivé dans son abri de jardin pour poursuivre son occupation du moment. Nous n’avons plus parlé de cet écart jusqu’au jeudi soir suivant ou, allongés nus dans le lit conjugal, mon cher époux me murmure dans le creux de l’oreille :
- Tu as repensé à l’état dans lequel tu as mis Léo dimanche dernier ?
- Oui, le pauvre tout en ayant apprécié la chose, il devait vraiment être mal à l’aise.
- Comment se fait-il que Léo n’a jamais eu sa place dans un de nos fantasmes ?, c’est vrai quoi, dans l’imaginaire tu as baisé avec la plupart des hommes de notre entourage mais jamais avec lui !
- C’est encore un bébé, il a tout juste vingt ans, ça pourrait être notre fil !
- Justement, l’idée de te taper un jeunot, ça ne t’émoustille pas un petit peu ?
En même temps que cette question, Jean a fait glisser ses doigts sur mon sexe pour vérifier mon degré d’humidité, j’ai compris où il voulait en venir. Il aime constater l’état dans lequel me mettent ses petits fantasmes qu’il me raconte dans le creux de l’oreille.
- Je te vois venir, tu as envie de me raconter de quelle façon tu aimerais voir ce gamin me prendre, c’est ça ?
- Tout autant que toi ma chérie…….
Suite à cet épisode imaginaire merveilleusement bien raconté, nous avons enchainé une partie de jambes en l’air des plus torrides avant que Jean s’exclame :
- Et bien ma chérie, ça faisait longtemps que tu n’avais pas été autant excitée ! je vois que le jeune Léo te fait autant d’effet que toi sur lui, si ce n’est plus !
- J’avoue !
- Tu aimerais aller plus loin ?
- Non, pas du tout, nous avons été très clair à ce sujet, nous ne dépassons pas le stade de l’imaginaire.
- Je ne te dis pas d’aller jusqu’au bout, mais on pourrait s’amuser un peu tout de même !
- Que veux-tu dire ? à quoi penses-tu ?
- Tu pourrais l’allumer un peu pour voir sa réaction - Et ensuite je le laisse en plan c’est ça ? tu n’es car même pas sérieux là ?
- Pas forcément, tu pourrais lui faire un petit plaisir sympa- Fais attention, si je te prends au mot, tu risques d’être surpris- Pas cap !
- Ok, tu l’auras voulu, la prochaine occasion sera la bonne !
Il savait aussi bien que moi que je n’en ferai rien, il était clair que tout cela n’était qu’un jeu entre nous de façon à entretenir un certain piment source d’excitation sexuelle dans nos relations.
Les puissants rayons de soleil du dimanche après-midi suivant m’ont incité une nouvelle fois à entretenir mon bronzage intégral. Installée sur mon transat, les yeux fermés appréciant pleinement ce moment de détente, je percevais de petits bruits de feuillages bousculés les uns contre les autres. Lorsque mon regard s’est naturellement dirigé vers ses bruits à peine perceptibles, j’ai pu apercevoir notre jeune Léo en train d’essayer d’écarter discrètement des branchages de notre clôture afin de pouvoir améliorer son champ de vision en ma direction. Faisant mine de ne pas l’avoir remarqué, je suis restée un instant allongée avant de me lever pour me revêtir et me diriger vers l’abri de jardin ou Jean bricolait afin de le prévenir de la présence de ce jeune voyeur.
- Et bien ma chérie, ça veut dire que tu lui plais beaucoup, il apprécie de te voir nue pour ensuite très certainement fantasmer sur une relation avec toi.
- C’est tout ce que tu trouves à me répondre ? je n’ai plus qu’à retourner m’allonger en écartant mes cuisses au maximum alors ?
- Pas cap !
Me répondit-il en souriant.
Il savait très bien que je n’en ferai rien, même si l’idée de faire fantasmer ce jeune homme me procurait une sensation agréable entre mes cuisses, il était hors de question que je me donne en spectacle. J’ai gardé mon maillot deux pièces sur moi et je suis retournée à mes occupations à l’intérieur de ma maison. Plus tard dans l’après-midi, alors que Jean était toujours dans son abri de jardin ou devrai-je plutôt dire dans son atelier, une visite sonne à notre porte. Je ne peux pas dire que j’étais surprise de voir que c’était notre jeune voisin qui venait de sonner à notre porte.
- Bonjour Madame, je vous rapporte votre outil.
- Très bien, entre, Jean est au fond du jardin, tu connais le chemin, je te laisse le rejoindre.
- Merci madame.
Deux minutes plus tard, Jean est apparu dans la maison avec Léo pour me dire :
- Isa, j’ai proposé à Léo de boire un verre avec nous pour le remercier d’avoir coupé les branches de nos arbustes qui poussent chez eux.
Il ne croyait tout de même pas que j’allais faire la conversation à Léo du temps qu’il prépare les boisons, je me suis empressée de répondre :
- Très bien, installez-vous sur la terrasse, je vais chercher à boire et je vous rejoins.
J’étais troublée, j’avais le sentiment que l’on pouvait basculer d’un instant à l’autre vers des évènements irréversibles que Jean s’amusait à provoquer. Pour être honnête, l’idée de me retrouver assise face à ce jeune homme qui ne pense qu’à m’observer nue pour pouvoir fantasmer me mettait dans un état d’excitation difficilement contrôlable. A cet instant, je me demandais si finalement, je n’avais pas moi aussi tout comme Jean le désir d’aller au-delà de l’imaginaire. Lorsque je les ai rejoints, le clin d’œil discret de Jean à mon égard ne laissait plus de doute sur ses intentions.
- Voilà messieurs, Jean pour toi ça sera une bière je suppose ?
- Oui s’il te plait, - Tiens, voilà- Merci- Et pour toi Léo ?
- Une bière également, s’il vous plait- Léo tu peux me tutoyer, d’ailleurs je préfère car sinon j’ai l’impression d’être une mamie à tes yeux- Oh non, pas du tout madame, c’est juste par resp ….
- S’il te plait arrête aussi les « Madame », tu peux m’appeler, Isa, ça ira très bien !
- Ok Isa,- Allez approches ton verre que je puisse te servir ta bière.
Il m’a tendu son verre que j’ai servi au-delà de ce qu’il fallait ce qui a eu pour effet de faire déborder la mousse sur ses doigts. Sur cet évènement, je ne sais quel diable m’a envahie le corps pour que je réagisse tel que je l’ai fait :
- Ah, désolée, attends, pose ton verre sur la table et donnes-moi ta main je vais te nettoyer tout ça !
D’une main j’ai attrapé son poignet pour pouvoir diriger ses doigts vers mon visage. Tout en le fixant droit dans les yeux, j’ai aspiré totalement son index jusqu’à ce que son ongle soit en buté contre le fond de ma gorge pour ensuite le faire ressortir lentement entre mes lèvres serrées. Jean est resté scotché devant ce spectacle, certainement très surpris de me voir faire une telle chose à notre jeune voisin qui lui s’est retrouvé complètement paralysé par les évènements. Nous aurions pu entendre les mouches volées jusqu’à ce que Jean intervienne une fois le doigt de Léo entièrement sortie de ma bouche :
- Isa, je vois de la mousse sur son autre doigt, tu devrais aussi lui nettoyer !
A ces mots, Léo et moi venions d’avoir l’approbation de mon cher et tendre pour poursuivre l’action engagée. Je ne me suis pas privé de dégager son majeur pour le faire coulisser à son tour dans ma bouche comme l’on sucerait un sucre d’orge. Pour ce qui est de la partie non visible, sachez que j’ai pris soin également de bien presser ma langue sur ce doigt qui faisait un aller-retour vers mes amygdales. Léo restait toujours sans voix, son visage était rougit, nous percevions nettement sa respiration qui s’accélérait. C’est Jean qui est intervenu le premier :
- Ça va Léo ?,- Oui, ça va, j’ai juste un peu chaud !
- Ça t’excite qu’Isa te suce les doigts ?
- Non, c’est juste que je pensais qu’elle allait me nettoyer avec du papier essuies tout- Elle te fait bander ?
- Oui…… non, non pas du tout- Ne soit pas gêné, ça fait plaisir à Isa de savoir qu’elle fait de l’effet à un petit jeune, et moi ça me plait de savoir que ma femme est désirable. Je suis sûr que tu rêves qu’Isa reproduise sur ton sexe ce qu’elle vient de faire sur tes doigts, je me trompe ?
Son visage était de plus en plus rouge, il a hésité un instant avant de répondre :
- Oui, j’adorerai ça.
Sur cette réponse, mon excitation a évolué vers un niveau encore supérieur, Jean s’est tourné vers moi pour me fixer droit dans les yeux, il attendait ma réponse à sa question qui ne posait pas mais qui était largement sous-entendu et ils m’ont entendu dire :
- Oui, moi aussi !
- Dans ce cas ma chérie, qu’attends-tu pour mener notre invité au septième ciel ?
Je me suis tournée face à Léo, je lui ai demandé de s’écarter de la table tout en restant assis de façon à me laisser le champ libre. Il a fait pivoter son siège pour dégager ses jambes du dessous de la table. Je me suis mise à genoux devant lui, j’ai attrapé son maillot short de chaque côté de ses hanches pour le faire glisser jusqu’en bas de ses chevilles de façon à le retirer entièrement. Sa verge était dressée face à moi, d’une parfaite linéarité, son gland luisait d’envie, mes lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètre de ce bâton tout excité. Lorsque j’ai posé ma main droite sur cette tige pour entamer une masturbation, j’ai aperçu Jean qui envoyait sa main dans son short très certainement pour pouvoir soulager son sexe très excité par la vision d’un scénario fantasmé qui pour la première fois se transformait en acte réel. Après quelque aller-retours de mes doigts sur cette jeune tige, j’ai approché le bout de ma langue pour la mettre en contact avec son frein, juste à la base de son gland. A cet impact, Léo a mordu sa lèvre inférieure avec ses dents, pour ensuite, basculer sa tête en arrière en fermant les yeux lorsque j’ai pris son sexe entièrement en bouche le plus profondément possible. J’ai fait glisser plusieurs fois sa queue au fond de ma gorge en faisant ressortir son gland de ma bouche à chaque aller-retour, il semblait résistant face à son éjaculation, ses couilles remplies de sperme prêt à sortir semblaient de plus en plus fermes. Bien décidée à le faire monter au septième ciel, une fois son gland repositionné dans ma bouche, j’ai serré mes lèvres autour de sa tige pour le maintenir bien à l’intérieur pour ensuite masturber sa queue avec ma main, d’abord lentement puis de plus en plus énergiquement jusqu’à ce que j’obtienne satisfaction. Après avoir entendu un « Ah…. C’est trop bon… » Son sperme chaud est venu s’étaler au fond de ma gorge par petits jets successifs que j’ai pris soin d’avaler de façon à ce que son sexe ressorte tout propre de ma bouche. Pour ma part, je ne me souviens pas avoir déjà été autant excitée, même lors de ma première nuit avec Jean, mon sexe n’avait pas réagi de la sorte, aujourd’hui j’étais trempée entre les cuisses et je ressentais une sorte de douleur d’excitation dans mon bas ventre, phénomène encore inconnue jusqu’ici, désormais je ne souhaitais qu’une seule chose ; que ce jeune homme s’introduise dans mon vagin pour me soulager.
Je me suis redressée, je me suis tournée vers Jean, j’ai pu le voir avec son sexe raide à la main qui lui aussi avait joui sous l’effet de sa propre masturbation. Son sperme était étalé sur le sol, devant sa chaise, je lisais dans son regard son souhait de voir la suite…. Sans mots, j’ai retiré mon maillot deux pièces que j’ai posé sur la table, je me suis rapprochée de Léo toujours assit sur son siège. Tout en restant debout devant lui, j’ai posé mes fesses sur le bord de la table en écartant au mieux mes cuisses. Je ne pouvais plus attendre, ayant bien compris que ce jeune homme ne prendrait aucune initiative, j’ai saisi sa main droite pour venir la positionner sur mon sexe. Je sentais sa main trembler sur le haut de mes cuisses, il regardait Jean, je devinais son malaise.
- S’il te plait, caresse-moi, j’en ai très envie et Jean ne demande qu’à voir !
Ses doigts se sont noyés entre mes lèvres intimes, la caresse n’était pas experte mais tout de même très agréable, rapidement, sa main ne tremblait plus, son index décrivait des cercles autour de mon bouton, je savais que mon passage au septième ciel était tout proche. Lorsque ses doigts sont venus pénétrés mon vagin, une chaleur intense m’a envahie le bas ventre, contrairement aux premières caresses sur mes lèvres, cette pénétration paraissait plus agile, les allers-retours au fond de ma grotte étaient correctement rythmés, je gérais au mieux ma résistance à l’extase de façon à faire durer ces plaisirs le plus longtemps possible, mais lorsque il a approché son visage de mon sexe pour passer sa langue sur mon clitoris, seulement trois rotations de ce bout de cher humide sur mon bouton ont été nécessaire pour me faire craquer.
Je me suis écartée pour venir m’assoir sur un siège prêt de la table le temps de retrouver tous mes esprits. J’étais soulagée mais pas complètement satisfaite, un rapide coup d’œil vers les deux bâtons m’a permis de constater leur vigueur persistante. Jean a rompu le silence :
- Alors, on se la boit cette bière maintenant que la mousse est retombée ! Et toi ma chérie, que bois-tu ?
- Je vais me servir un jus.
Juste après avoir pris le temps de boire une gorgée, Jean s’est exclamé :
- Ma chérie, je vois que Léo est toujours en forme, c'est peut être l'occasion d'aller au bout de nos envies, qu'en penses-tu ?
Je n'attendais que ce feu vert, pour me l'avoir souvent murmuré au creux de l'oreille lors de nos préliminaires, je savais très bien ou Jean rêvait d'en venir. J'ai pris le temps de finir mon verre de jus avant de me lever pour aller m'empaler sur cette jeune tige toujours au garde à vous. Assise à cheval sur mon amant, j'ai commencé par onduler lentement mon bassin sur cette queue qui me remplissait parfaitement. Mon clitoris était très réceptif aux frottements générés sur la base de ce bâton, de son côté, Léo restait immobile, son visage se crispait, son sexe émettait des secousses contre mes parois vaginales, signe qu’il tentait de retenir son éjaculation. Je ne voyais pas ce que faisait Jean qui se trouvait dans mon dos jusqu'à ce qu'il se rapproche de nous, pour nous présenter sa bite tendu à hauteur de nos visages. Sans attendre, j'ai attrapé sa queue pour la faire glisser le plus profondément possible au fond de ma gorge. Léo pouvait profiter de ce spectacle pornographique qui se déroulait à seulement quelques centimètres de son visage, j'ai ralentis mes mouvements du bassin pour mieux me concentrer sur la fellation que j'administrais à mon amour, ses couilles étaient de plus en plus tendus, je devais stopper mes succions avant qu'il n'atteigne son point de non-retour. J'ai dégagé sa bite de ma bouche, je l'ai attrapé fermement dans ma main pour la positionner à quelques centimètres du visage de notre jeune voisin. En regardant Léo droit dans les yeux tout en poursuivant de lents mouvements de mon bassin sur sa tige je lui ai dit :
- Léo, montre-moi sur cette queue ce qui serait pour toi la pipe idéale !
Une nouvelle fois, son visage a pris des couleurs très vives, il a lancé un regard vers Jean pour s'assurer de sa réaction devant ma demande, pour réponse, Jean a posé sa main derrière la nuque de notre invité pour provoquer le contact de son gland sur ses lèvres. Léo a commencé par lécher ce sexe droit en posant sa langue sur le milieu de la tige pour la faire glisser jusqu'en haut du gland. A plusieurs reprises, il l'a léché comme si il dégustait une glace à l'italienne en plein été, comme si il voulait ne pas perdre une goutte de crème glacé qui coule le long du cornet. Devant ce spectacle, j'ai accéléré mes mouvements du bassin, pour aboutir à mon extase, sur ce rythme, Léo a joui quelques secondes avant moi, sa semence chaude s'échappait de mon sexe en mouvement pour venir couler sur ses couilles, de son côté, Jean a lui aussi libéré son sperme lorsque Léo l'a pris profondément en bouche. A quelques secondes prêt, nous avons jouie tous les trois simultanément.
Durant les jours qui ont suivis, toujours sous l'effet de l'excitation de ce que nous avons vécu ce dimanche après-midi, Jean et moi avons multiplié les rapports sexuels dans une intensité qui nous rappelait notre jeunesse. Vendredi, je me suis empressée de regarder la météo au journal télévisé du matin dans l'espoir d'y voir un soleil radieux sur notre région pour le weekend : J’avais dans l’idée d’entretenir mon bronzage intégral le dimanche suivant sous les regards indiscrets de notre cher voisin !
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