Isa : je remet le couvert - histoire érotique

Depuis que nous avons découverts les plaisirs que l’on peut apprécier lors d’une relation échangiste, Jean et moi entretenons une sexualité des plus épanouie. Avant d’y avoir gouté, nous ne pouvions pas imaginer que ces moments partagés avec des personnes étrangères à notre couple pouvaient-nous transporter vers un tel niveau d’excitation. Jusqu’ici nous avons profité essentiellement de relations à trois, ou nous avons fait intervenir à deux reprises, un jeune homme pour accompagner nos ébats. Pour son plus grand bonheur, mon mari Jean a pu assouvir certains de ses fantasmes bisexuels lors de ces rencontres et pour ma part, lorsque je me suis retrouvée avec ces deux hommes rien que pour moi, j’ai pris énormément de plaisir en profitant d’un moment tant rêver jusqu’ici. J’ai également eu la chance de pouvoir réaliser un autre de mes fantasmes lorsque j’ai eu l’occasion de faire l’amour avec une femme, en toute intimité, et pour être honnête, parmi mes aventures échangistes, c’est bel et bien cette relation que j’ai le plus apprécié. Peut –être parce que je l’ai souvent souhaité, souvent rêvé, ou peut-être parce que je me suis retrouvée seule avec Corine ce jour-là, ou bien, tout simplement pour toutes ces raisons à la fois… Corine, si tu savais à quel point je rêve de pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi, mais depuis que je t’ai proposé de passer un moment de plaisir en trio avec Jean et moi, ce que tu as refusé, je n’ai plus de tes nouvelles, et je n’ose plus te contacter. De son coté, sous mon approbation, Jean navigue régulièrement sur des sites de rencontres échangistes dans l’espoir de trouver une fille qui accepte de bien vouloir passer un moment de plaisirs charnels avec nous, mais malheureusement, la plupart du temps ceux sont des hommes seuls qui se proposent de nous rencontrer. Il y a également quelques couples qui ont pris contact avec nous et avec qui nous avons entamé des dialogues Skype. L’idée d’en rencontrer un, fait tout de même son chemin, malgré que nous aurions préféré dans ce cas que cette rencontre ne provienne pas d’un contact virtuel mais plutôt d’une connaissance déjà établie. Quoi qu’il en soit malgré les ‘Cam’ chaudes et discussions coquines très excitantes que nous entretenons, nous n’avons pas encore décidé d’une rencontre avec l’un de ces différents contacts.
Un soir, lors de préliminaires ou Jean usait de tous ses atouts pour me faire monter en tension, j’étais bien en condition pour lui avouer mon souhait de renouveler une relation sexuelle avec une femme, plus précisément, avec Corine et à mon grand bonheur, il m’a répondu que si tel était mon désir, je n’avais qu’à me faire plaisir, qu’il était évident qu’il me suffisait de proposer une rencontre exclusivement entre fille à cette Corine pour qu’elle accepte. Durant les deux jours suivants, j’ai hésité à me lancer, puis le désir ayant pris le dessus sur toute crainte ou retenu, j’ai pris mon portable pour envoyer un message à Corine : « Bonjour Corine, j’ai bien compris que tu ne souhaites pas vivre une relation sexuelle en trio avec la présence de mon mari, mais peut être accepterais-tu que l’on se rencontre à nouveau uniquement entre fille ? Je pense souvent à toi, avec envie, me remémorant notre après-midi de plaisir intime. Bises, Isa » 24 heures après l’envoie de ce texto, je n’avais toujours pas obtenu de réponse, je devais me rendre à l’évidence, Corine ne souhaitait pas me revoir, peut-être n’avait-elle pas apprécié autant que moi notre rencontre. Je m’imaginais déjà devoir rester sur le seul souvenir de cette après-midi magique qu’elle m’avait fait vivre mais vous vous en doutez, nous n’en sommes pas resté là, pour mon plus grand bonheur… J’ai dû attendre 4 jours avant d’avoir de ses nouvelles, j’avais bien compris qu’elle était du genre à faire durer l’envie avant l’extase pour que le plaisir en soit que meilleur, mais là, me faire attendre aussi longtemps avant de me répondre, ça devenait de la torture !
« Bonjour Isa, Heureuse d’avoir de tes nouvelles ! Il me semble que le lundi c’est ton jour de libre ? Lundi prochain je le suis aussi, tu peux passer à la maison me faire un petit coucou en début d’après-midi si tu veux. J’attends ta confirmation, Bises Corine » Génial ! Je suis toute tremblante à la lecture de ce message, bien sûr que je vais lui confirmer et sans perdre de temps.
« Bonjour Corine, c’est avec plaisir que je viendrais te rendre visite lundi après-midi. A bientôt, Isa » Encore trois jours à attendre, je crois que je vais devenir folle !
Durant cette attente, j’étais excitée comme une puce, Jean a pu profiter d’un weekend ou je me suis abandonnée à chacun de ses désirs, nos rapports étaient tous plus intenses les uns que les autres. La matinée du lundi matin fut interminable, je cherchais toute occupation possible qui pouvait me permettre de détacher mon esprit de l’après-midi à venir. Pour l’occasion, j’ai choisi une tenue vestimentaire assez sobre, classique, composé d’un petit chemisier assortie à une jupe style tailleur et talon haut. 13 heures, je m’apprête à partir pour me rendre chez mon hôte lorsque je reçois un texto : « Bonjour Isa, je sais que tu aimes porter de jolie dessous, tout comme moi d’ailleurs, mais aujourd’hui j’aimerai que tu ne portes pas de culotte. L’idée de te savoir en train de venir à ma rencontre sans dessous attiserait mon excitation. Je compte sur toi pour me faire ce petit plaisir. Bises, à tout à l’heure, Corine ».
Ouhaou… le ton est donné. Je tremble à nouveau à lecture de son message. Bien évidemment, j’ai retiré mon string que j’ai déposé chez moi avant de prendre le départ.
13h50, je suis devant sa porte, je peux ressentir les battements de mon cœur, je prends mon souffle et je toque avant d’être accueillit : - Bonjour ma chérie ! comment vas –tu ? entre je t’en prie - Je vais bien et toi ?
- Bien, bien, je suis heureuse de te voir, suis moi, allons-nous installer dans le séjour Je marchais au pas derrière Corine, et je vous laisse imaginer ma surprise lorsque j’ai vu cet homme, installé confortablement dans le grand fauteuil du séjour. Observant ma stupeur, Corine lance les présentations : - Isa, je te présente Marc, mon compagnon, Marc, voici Isabelle.
En lui collant chacune de mes joues contre les siennes pour le bonjour de rigueur j’ai lâché : - Enchantée Pour l’entendre me répondre : - Pas autant que moi !
Les interrogations fusaient dans mon esprit : Que faisait-il ici ?, il n’était pas prévu que l’on soit trois, à moins que, contrairement à ce que je me suis imaginée, il ne va rien se passer entre Corine et moi aujourd’hui, peut-être qu’elle avait accepté de me revoir uniquement pour discuter, mais alors, pourquoi m’avoir demandé de ne pas porter de culotte, non en fait…., certainement que son compagnon doit partir, il va nous quitter, nous serons alors seules.
- Installes toi Isa, je t’en prie, je vais nous chercher un café. Marc, je te confie Isa un instant, n’en profites pas pour faire des bêtises !
Oulala…, les évènements prennent une tournure que je n’avais pas prévue. J’espère que Corine sera rapidement de retour.
- Corine m’a beaucoup parler de toi, elle t’apprécie énormément, en fait je ne sais pas si elle te l’a avoué, mais elle a bien aimé votre dernière après-midi coquine entre fille.
Ah, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il va droit au but celui-là. Je ne pouvais cacher ma gène, mes joues rougissaient, une chaleur inconfortable envahissait mon visage.
- Ne sois pas gênée Isa, ici toutes les discussions sont ouvertes, nous parlons de tout sans tabous.
- Je vois ça, je suis tout de même un peu surprise, Corine ne m’avait pas dit qu’elle avait un compagnon - Oui, c’est très certainement parce que nous ne vivons pas ensemble, je n’habite pas ici avec elle, nous avons chacun notre chez nous, nous nous voyons pour les sorties, les vacances et le sexe. Et toi tu es mariée, c’est ça ?
- Oui, depuis plus de vingt ans - Eh bien, j’imagine que c’est pour ça que vous cherchez des partenaires extérieurs à votre couple….., pour obtenir un peu de piment sexuel !, ça ne doit pas être évident de toujours jouer avec la même zigounette toutes ces années , n’est-ce pas ?
- On peut dire ça comme ça… Au fil des échanges avec Marc, je sentais la chaleur jusqu’ici installée sur mon visage s’apaiser, j’étais de plus en plus détendu. Malgré ses discussions toutes dirigées vers la sexualité, j’appréciais la douceur de sa voix, la façon de me parler, de me regarder… D’autant plus que je le trouvais assez charmant, je pourrai même dire : attirant !
Ah la voilà de retour avec son plateau à la main pour supporter nos trois cafés.
- Isa, il ne t’a pas incommodé ? je le connais bien mon grand charmeur, dès qu’il y a une jolie fille devant lui, il ne sait plus se tenir !
- Non, non ça va.
- Ah ça m’étonne, car depuis que je lui ai parlé de toi en lui disant que tu souhaitais vivre un trio avec moi, du moins, entre autre, il n’a pas arrêté d’insister pour que je te propose de venir nous rendre visite !
Au moins maintenant c’était très clair, je n’avais plus de doutes, j’ai été piégée, mais le ressenti de mon excitation qui venait de prendre une nouvelle hauteur traduisait le plaisir inconscient vers lequel cette situation me transportait. Machinalement, des images de ce que pouvait devenir cette après-midi me traversaient l’esprit, une sensation agréable prenait de plus en plus de place entre mes cuisses que j’ai resserré de façon à soulager un minimum cette montée vers l’envie. Mais lorsque Corine s’est adressée à Marc, ces images agréables se sont échappées pour me laisser reprendre pied dans le monde réel ou je me trouvais : - Marc, peux-tu s’il te plait vérifier qu’Isa ait obéit à ma demande ?
Isa, tu n’es pas contre n’est-ce pas ?
Mais de quoi parle-t-elle ? ….. Mon dieu ! Mon string ?
Je suis restée sans réponse, sans voix, une nouvelle chaleur envahissante a parcouru mon visage pour colorer encore une fois mes joues.
- Bien sur ma chérie, avec grand plaisir, si Isa n’y voit aucun inconvénient.
Lorsqu’il s’est approché de moi pour s’assoir au plus près, je n’ai eu qu’une seule réaction que je qualifierai d’incontrôlable, inconsciente : j’ai écarté largement mes cuisses. Corine et Marc ont accueilli ce geste avec un grand sourire. Alors que Marc a posé sa main sur ma cuisse juste au-dessus de mon genou, Corine est restée assise sur le fauteuil en face de nous. Marc me fixait droit dans les yeux pour observer chacune de mes réactions lorsqu’il faisait glisser ses doigts vers le haut de mon entrejambe. Des frissons de plaisir mélangé à l’excitation se sont installés sur mes cuisses, au contact de son majeur sur mes deux lèvres, je n’ai pu retenir une secousse de plaisir avant de basculer ma tête en arrière pour pouvoir apprécier cette caresse les yeux fermés. Ses doigts se sont noyés un à un dans mon intimité, avant qu’il ne fasse glisser deux d’entre eux au fond de mon conduit. A plusieurs reprises, il s’amusait à faire glisser son index et son majeur le plus profondément possible avant de les ressortir pour venir écraser mon clitoris. Mon envie de jouir faisait déjà une petite apparition, je me serais volontiers abandonnée jusqu’à l’extase sur cette caresse, mais Corine est intervenu : - Alors mon chérie, elle a obéit ?
- Oui, je confirme, elle ne porte pas de culotte !
Corine s’est alors dirigée vers moi, elle m’a attrapé par la main de façon à ce que je l’a suive. C’est sans résistance que je me suis laissé guider. Marc nous suivait de près, au pas et lorsque nous sommes arrivées dans sa chambre, elle a pris soin de fermer la porte derrière nous. Marc s’est immédiatement assit sur un siège à proximité du lit. Corine s’est placée dans mon dos, me positionnant de façon à ce que je sois face à Marc. Debout, collée à moi, dans mon dos, elle déboutonnait un à un les boutons de mon chemisier qu’elle a ensuite retiré entièrement pour le jeter sur Marc. Puis elle a mis mes seins à l’air, en jetant encore une fois mon soutien-gorge dans la même direction que mon chemisier. Elle a posé son menton sur mon épaule, et tout en fixant du regard son compagnon, elle malaxait mes seins qu’elle avait emprisonnés dans chacune de ses mains. Devant ce spectacle, Marc a serré son sexe entre ses doigts par-dessus son pantalon. Corine a poursuivi cette mise en scène en écrasant chacun de mes tétons entre son index et son pouce pour ensuite tirer dessus. Pour compenser cette douleur malgré tout quelque peu agréable, elle laissait glisser ses lèvres le long de mon coup en direction de mon oreille pour me chuchoter : - Regardes, il meurt d’envie de se branler, ça l’excite de me voir torturer tes tétons.
Puis encore plus doucement, dans le creux de mon oreille de façon à ce que je sois seule à l’entendre : - Demandes lui de se mettre nu, dis-lui que tu veux le voir se branler.
Devant mon silence, elle insiste : - Dépêches-toi si tu ne veux pas que je comprime encore plus fort tes tétons entre mes doigts.
L’excitation du moment faisait passer outre cette douleur sur mes seins, douleur que j’aurai ressentis différemment en d’autres circonstances, mais je n’ai pas voulu résister plus longtemps : - Marc, S’il te plait, déshabilles-toi et caresses-toi devant moi.
Sur ma demande, Il s’est retrouvé entièrement nu en un temps record et Corine a profité de ce laps de temps pour retirer ma jupe. Toujours debout, je regardais les doigts de Marc glisser lentement sur sa tige, en observant ce male en érection, une main de ma maitresses s’est dirigée vers mon sexe pour ensuite laisser son majeur tourbillonner lentement sur mon clitoris. Une nouvelle fois, elle a approché ses lèvres de mon oreille pour me dire : - Maintenant, tu vas t’allonger sur le lit, je vais venir passer ma langue sur ton sexe, mais tu n’auras pas le droit de jouir, il faudra réserver à Marc le plaisir de te mener à l’extase.
Ces jeux, ces mises en scènes m’existaient au plus haut point, je ne suis pas une jouisseuse précoce, mais là, je n’étais sure de rien, au contraire, j’étais persuadé de ne pas pouvoir résister encore bien longtemps. Je me suis allongée, les fesses au bord du lit, Corine s’est mise à genoux, au sol, entre mes jambes, le contact de sa langue sur mon clitoris a confirmé mon incapacité à pouvoir résister à l’extase encore bien longtemps. Elle avait une façon très particulière de faire glisser sa langue, certainement parce que c’est une femme, certainement comme moi je l’aurai fait sachant ce qu’il est bon de faire pour mener sa partenaire à l’extase sans délais. Parfois entre mes lèvres, parfois autour de mon clitoris, son bout de chair humide multipliait ses rotations sur les parties les plus sensibles de mon corps. Mais lorsqu’elle a additionné à cette caresse une pénétration de deux ses doigts dans mon conduit, comme à mon habitude, je ne pouvais contrôler l’ondulation de mon bas ventre signe de ma jouissance proche, et comme je m’y attendais, Corine a cessé immédiatement ce cunnilingus pour me stopper dans mon élan.
- Je t’ai dit qu’il fallait garder ça pour Marc !
Elle a attrapé ma main pour me redressé. Marc est venu s’allonger sur le lit, le sexe dressé vers le plafond, Corine m’a souri et m’a proposé que l’on profite ensemble de ce sucre d’orge. Corine tenait fermement dans sa main la queue de son compagnon qu’elle a présenté devant ma bouche. Nous avons fait glisser son sexe entre nos lèvres à tour de rôle, Corine décidait des temps de sucions dédiés à chacune de nous, mais lorsque Marc a présenté des signes de faiblesses, elle s’est empressé de fixer son engin dans ma bouche afin de me faire profiter du feu d’artifice final. Son sperme était chaud et beaucoup plus salé que ceux que j’avais déjà pu gouter. Après avoir dégusté les moindres goutes, elle a rompu le silence : - Regardes comme il est excité, il toujours dur, on croirait le sexe d’un jeune homme, toujours d’attaque.
Et Marc à enchérie : - Isa, tu veux bien venir sur moi, j’ai très envie de te pénétrer !

Je me suis assise sur ce sexe qui me remplissait parfaitement, pour ensuite écraser mes seins contre son torse, mon amant a posé une de ses mains sur le creux de mes reins et son autre main sur ma nuque, contrairement à ce que je pensais, je n’allais pas mener la cadence, j’avais compris qu’il souhaitait contrôler nos mouvements. A chaque butée de son sexe au fond de mon vagin, mon clitoris pouvait profiter d’un contact percutant sur la base de sa verge, après plusieurs profonds vas et vient, ma jouissance était désormais inévitablement très proche, et lorsque Marc a ajusté quelques fessées sur mes fesses pour accompagner ses pénétrations rythmés, je n’ai pu retenir un cri percutant indiquant mon passage au septième ciel. De son côté, la rigidité du pénis qui m’emboitait me laissait deviner qu’il bénéficiait encore d’une certaine énergie avant la libération de son plaisir. Pour ma part, la sensibilité de mon sexe après ma jouissance me laisser échapper quelques cris provenant des sensations fortes que me procuraient ces frottements persistants sur ma paroi. A ma plus grande surprise, Corine s’est équipée d’un gode ceinture avant de s’installer dans mon dos entre les jambes de son compagnon qui a immédiatement stoppé ses mouvements pour la laisser s’installer. Tout en étalant du bout de son doigt un lubrifiant sur mon anus, elle m’adresse une interrogation à laquelle je ne m’attendais pas : - Isa, tu as déjà essayé la double pénétration ?
- Oui - Avec deux garçons, j’imagine ?
- Ouiiiii, doucement s’il te plait, il a l’air très gros !
Je n’ai su qu’après que sous cette action, Corine était en train de réaliser un de ses fantasmes. Nous avons fait l’amour à tour de rôle l’un avec l’autre, l’un devant l’autre, durant cette après-midi, Corine m’a fait profiter de certains de ses jouets. A mon tour, je me suis appliquée à caresser son clitoris avec ma langue, ce qui m’a également permis d’obtenir quelques félicitations. Puis accompagné du bisou d’au revoir, Corine m’a envoyé ironiquement : - Eh bien tu vois ma chérie, tu l’as eu ton trio, depuis le temps que tu me l’as demandé !