Isabelle 2 Ma femme se soumet aussi
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Isabelle 2 Ma femme se soumet aussi
Isabelle et Rose
***
Depuis quelques temps donc, Isabelle m’a pris sous sa coupe. Cette femme a un charisme si fort, que, quelques instants suffisent avec certaines personnes, pour que celles-ci acceptent ses désirs. C’est ainsi qu’elle a agit avec moi. Je n’étais pas attiré par elle, mais il lui a suffit de deux minutes, peut-être moins, pour me transformer en « petit chien » dévoué et docile.
Certes, quelques séances supplémentaires ont été nécessaires pour que je devienne parfaitement soumis à ses désirs, mais, dès le premier jour, ou plutôt la première nuit, elle dirigeait ma vie. Tout en se gardant d’empiéter sur la partie « publique ».
Je devais la prévenir par « sms » lorsque j’étais disponible, sans possibilité de mentir, car elle avait quelques moyens de surveillance. J’ai dû lui communiquer un véritable planning avec les dates de congés et les week-end de disponibilité.
Depuis plus de trois mois, je rejoins sa maison, soit avant d’arriver chez mon amie, soit après mon départ, que, sous prétexte de l’hiver, j’avance régulièrement, à la demande bien sûr de celle qui m’a désormais pris en main.
Un dimanche matin, je ne sais pourquoi, mais n’avais-je pas promis de signaler ma disponibilité - c’est du moins le prétexte que je me suis octroyé - je lui signale être libre pendant une heure. Aussitôt je reçois un message laconique « arrive »
Cinq minutes plus tard je me présente à sa porte. Elle m’ouvre entièrement nue, elle ne porte que ses mules à talon, me fais entrer et repart vers l’intérieur sans un mot, me permettant d’admirer sa démarche chaloupée et sa silhouette sculpturale.
J’ai maintenant l’habitude, lorsque j’arrive chez elle, d’accrocher mes clés, premier signe de ma soumission, puis de me déshabiller dans l’entrée. Il m’est arrivé plusieurs fois, en arrivant au salon entièrement nu, de me retrouver face à un, ou une inconnue. Aujourd’hui, personne n’est là.
• «Je ne suis pas encore lavée, alors, c’est toi qui va me nettoyer. Suis-moi à la salle de bains. » Elle entre dans la baignoire et me demande de la rejoindre. « Commençons par ta douche. Viens me boire ! » J’ai eu droit, plusieurs fois à servir d’urinoir à ma maîtresse. Je sais aussi que, lorsque cela se passe dans la baignoire, je ne dois pas avaler, mais laisser couler sa pisse sur mon visage et mon corps. Lorsque, à la fin, je lèche sa chatte, elle jouit très vite, sûrement l’excitation de pisser sur un homme à sa dévotion. Aujourd’hui, ce doit être particulièrement le cas, car elle m’arrose de son foutre, dès que ma bouche entre en contact avec son clitoris. Je crois même au début qu’elle continue sa miction, mais reconnaît le goût de sa cyprine dont je me délecte.
• Tu as bien travaillé. J’ai passé la nuit seule et j’avais vraiment très envie de me faire plaisir. Tu as appelé au bon moment. Maintenant rince-toi et lave moi bien partout. »
Je ne me fais pas prier. C’est pour moi l’occasion de caresser ce corps adoré en le couvrant de mousse, ses seins bien sûr, mais ses jambes, son dos, ses fesses et son entrejambes ont droit à tous mes égards. Elle se détend, sans être dupe des mes caresses, me laissant tout loisir d’admirer et toucher sa peau dans les moindres recoins. Je la rince enfin, prenant plaisir à diriger le jet sur ses tétons dardés, lui provoquant manifestement un plaisir supplémentaire. Je la sèche enfin, l’enveloppant d’un long peignoir, qui me cache malheureusement son corps, essuyant ses cheveux, qu’elle porte courts ainsi que ses jambes et ses pieds, pour lesquels j’ai plaisir à me mettre à genoux devant elle, ne résistant pas au plaisir de les embrasser.
Nous nous retrouvons ensuite au salon, après que je me sois rapidement séché à mon tour. Je veux prendre la position d’attente lorsqu’elle me demande de venir me coucher à ses pieds. Elle caresse ma tête comme elle caresserait un petit chien, ce qui m’enchante car c’est vraiment ce que je ressens pour elle.
• « C’est une bonne surprise que tu m’a faite ce matin, qu’arrive-t-il ?
• Mon amie, est partie faire des courses, comme tous les dimanches matins, alors j’ai pensé à vous avertir.
• Tu dis tous les dimanches ? Donc les autres fois c’était le cas aussi ?
• Oui ! pardon Madame, je n’y avais pas pensé avant, mais ce matin, j’ai eu envie de vous le dire.
• Je devrais te punir pour ne m’avoir rien dit, mais ton « envie » d’aujourd’hui me fait plaisir, même si ce n’est pas TON envie qui compte, mais la mienne.
• Oui ! Pardon Madame, je ne suis pas encore bien dressé, punissez-moi !
• Je punis quand j’en ai envie. Je ne dis pas que je n’en aurais pas envie d’ici ton départ, cela dépendra de mon bon vouloir.
• Bien sûr Madame ! C’est vous qui commandez !
• Donc, si je comprends bien tous les dimanches matins, Rose Marie part seule faire des courses ?
• Oui, vers neuf ou dix heures, mais parfois je l’accompagne.
• Très bien ! La prochaine fois, tu me préviendras et me diras où vous allez.
• Oh c’est simple, c’est toujours au Leader Price. Il y a moins de monde ce jour là. » Sans m’en rendre compte j’ai donné les clés à Isabelle pour mener à bien son projet, que je découvrirai plus tard.
• Bien, lorsque vous vous préparerez, tu m’avertiras »
Je ne comprends pas encore pourquoi, mais n’ose poser aucune question. Je dois repartir, je le signale à Isabelle qui me dit « à ce soir, je t’attends »
• Oui Madame, bien sûr »
Le soir venu, j’ai retrouvé ma maîtresse que j’ai dû lécher longuement. Elle avait fait un jogging en fin d’après midi et n’avais pas pris de douche, car il a fallu bien sûr que ma langue s’attarde sur toutes les parties de son corps et spécialement sous les aisselles, sous les seins et bien sûr sur son entrejambes et entre ses fesses où son odeur était particulièrement forte. J’ai adoré ce moment, ce dont elle s’est rendu compte, me promettant de nouvelles séances odorantes. Pour me remercier, elle a utilisé son gode-ceinture, pour m’enculer, couché sur le dos sur la table, dans la position où elle sait dorénavant que je prends le plus de plaisir, ce qui m’a valu une jouissance énorme du cul. Je dois dire que le trajet de retour a été difficile, la séance m’ayant totalement « vidé », mon anus endolori me rappelant la longue sodomie prodiguée.
Deux semaines plus tard, j’arrive tôt dans l’après-midi chez Isabelle, l’ayant bien sûr prévenue. Après une séance de léchage, devenue habituelle, elle entreprend de me « féminiser » comme elle dit. Dans sa chambre, que je découvre pour la première fois, elle m’enfile des bas, tenus par un porte-jarretelles, enfile un string, un soutien-gorge rembourré par des prothèses en silicone, me pose une perruque longue en me maquillant les yeux et les lèvres. Pour finir, elle m’enfile des chaussures à talon, pas trop hauts, afin que je m’habitue, ce qui se révèle difficile pour marcher avec. Enfin, me faisant pencher en avant, elle écarte la ficelle du string pour m’enfoncer un plug dans le cul.
Je dois déambuler dans la chambre, manquant de me tordre les chevilles. Alors que je me trouve face à l’armoire, elle ouvre une porte et dans la glace intérieure, je me découvre. Les poils et la barbe ne laissent aucun doute sur le sexe. Celui-ci d’ailleurs pointe au dessus du minuscule string. Mais l’image renvoyée montre une femelle, un peu bizarre. J’en suis retourné.
• « Voilà une petit pute qui s’ignore ! Lance Isabelle. Je crois que tu va plaire à mes invités, je jour où j’en aurais !
• Oh non ! Pas çà, s’il vous plait !
• Tu sais que tu n’as rien à dire, espèce de salope. Puisque c’est ainsi, j’ai été trop gentille avec toi. Ce coup-ci tu va recevoir une punition !
• Oui Madame, mais je vous en prie, pas devant d’autres personnes !
• Ah c’est çà qui te dérange ! Tu n’étais pas gêné quand tu as sucé mon amant et qu’il t’a enculé !
• C’est vrai, mais je ne sais si …
• Nous verrons bien, en attendant va au salon et penche toi sur la table, je vais chercher de quoi te punir »
Penaud, je rejoins le salon, perché sur mes chaussures à talon, vêtu de ces dessous sexy. J’ai l’impression que ma démarche se fait plus chaloupée. En me déplaçant, je passe devant un grand miroir où je peux me voir déambuler. Je peux voir aussi que la situation m’excite et que je bande. Je me positionne, penché sur la table basse, jambes écartées et fesses en arrière. J’espère être assez docile pour attendrir Isabelle. Ma position est impudique. Je vois dans le reflet de la grande glace, que je m’offre. Mon excitation augmente encore si c’est possible. C’est alors qu’Isabelle revient. A la main, un martinet et une cravache. Je tremble, de peur, d’excitation. L’attente ne fait rien pour arranger la chose.
J’ai cru que ma docilité me vaudrait de la mansuétude, mais les paroles d’Isabelle me glacent.
• « Je vois que tu as bien pris position et que cela t’excite ! Enlève ta culotte, il faut que ta raie soit bien dégagée ! »
J’obéis aussitôt et me repositionne, attendant la correction. Je ne sais quel instrument elle va utiliser. J’ai peur que ce ne soit la cravache ? J’ai chaud, mais j’ai la chair de poule.
• « Tu vas avoir une leçon de punition. L’inconvénient pour toi, c’est que tu seras aux premières loges. Tu en sentiras immédiatement les effets. Je commence avec la main, car il faut bien échauffer la peau. » Les coups tombent régulièrement, alternés sur chaque fesse, ma peau commencer à brûler au fur et à mesure. Je ne sais combien j’en reçois, lorsqu’elle passe sa main pour constater l’état de mes fesses. « C’est bien ! la température est bonne ! On va passer à la deuxième étape ! » C’est le martinet, qu’elle a choisi. Après deux ou trois coups elle dit « Regarde la télé ! » Tournant la tête, je vois qu’elle a branché un caméscope et je me contemple dans cette position obscène, ma maîtresse derrière moi me frappant régulièrement
• Oh non !
• Encore tu rechignes ! Ne t’inquiète pas, c’est pour ma vidéothèque personnelle ! De toute façon on ne peut te reconnaître. Mais puisque tu n’as pas encore compris, on va passer à la 3ème étape et j’exige que tu regardes l’écran pendant tout le temps. Tu verras comme tu couines sous la cravache ! »
Je suis à la limite de réagir, mais je me retiens à temps. Je fais connaissance avec la cravache. Ma maîtresse manipule son instrument avec efficacité, je parviens non sans mal à ne pas crier. Je pleure en regardant l’écran à travers les larmes. Je vois une femme en bas porte jarretelles noirs, penchée en avant avec derrière elle une autre femme, vêtue de la même manière, lui administrant une volée de coups. Je vois aussi que cette deuxième femme présente au bas de son ventre, une excroissance qui laisse à penser que la femelle punie va bientôt recevoir autre chose que des coups.
La volée me semble durer une éternité. J’ai l’impression que mes fesses sont déchirées, lorsque enfin ma tortionnaire cesse de frapper je transpire, je tremble, je pleure, mais je bande. Je m’en rends compte en baissant la tête et en regardant entre mes jambes. Maintenant que les frappes sont finies, la tension douloureuse de mon sexe se fait sentir. A son habitude, Isabelle passe sa main sur ma peau endolorie. Connaissant sûrement les effets de la cravache, elle tâte mes couilles et ma bite.
• « Tu as mal ?
• O… Oui Madame. Dis-je en sanglotant
• Mais tu bandes Je sens ton clito tout dûr !
• O.. Oui.
• Maintenant je vais te prendre la chatte, mais ne compte pas que je lubrifie. Je veux que tu la sente bien passer ! »
J’essaie malgré tout de me décontracter car je suis maté et ne cherche pas à attendrir mon bourreau, qui de toute façon ne tiendra pas compte de ma demande. L’attente est peut-être pire car je ne sais pas quand elle décidera. Je regarde l’écran où je me « voies » en fait, les cheveux de la perruque cachent mon visage c’est la femme en soutien gorge et porte-jarretelles penchée sur la table. Derrière, l’épée redoutable est proche des fesses. Ma maîtresse se rend compte que je regarde la télévision.
• « Ah tu veux voir comment je vais te prendre ! Tu es une sacrée salope ma belle ! Puisque tu en a envie de te faire baiser, demande-le !
• Oui, Madame, baisez-moi ! Baisez votre salope que vous avez bien punie ! Ma chatte est à vous ! Prenez-moi !
• Tu es une pute !
• Oui, je suis une pute ! Votre putain Madame ! Je ferai tout ce que vous voudrez, mais s’il vous plaît, baisez votre salope, votre putain ! » C’est presque en criant que je prononce ma dernière phrase. Lorsque je reverrai plus tard cette cassette et ne me reconnaîtrai pas. J’aurai honte de m’être comporté comme çà !
• Tiens salope !» Elle ne prend aucune précaution et me pénètre d’un coup, m’arrachant un cri de douleur, ce qu’elle cherchait à faire. Je hurle à nouveau, mais elle n’en tient pas compte « Puisque tu aimes souffrir, je vais te péter la rondelle, mais salope comme tu es tu en redemanderas ! » Effectivement, alors qu’Isabelle ne m’épargne pas, la douleur fait place à une douce chaleur, qui augmente rapidement. Ma « tortionnaire » se rend compte du changement, mes gémissements ayant changé de gamme et surtout, mes fesses vont maintenant à la rencontre de son sexe factice. « Déjà tu y prends goût ! Tu es vraiment une salope qui aime la bite ! Allez ! Dis-le !
• Oui, Madame, j’aime la bite ! J’aime que vous me baisiez ! J'aime que vous m'enculiez ! Mon cul est à vous ! Baisez-moi fort ! » Elle accélère alors et nous partons ensemble pour un plaisir partagé, qui me laisse complètement groggy pendant de longues minutes.
Isabelle s’est débarrassé de son appendice et avachie sur le canapé, se donne du plaisir en frottant son bouton. Elle a face à elle le spectacle de cette femelle qu’elle vient de baiser et la télévision où le caméscope filme toujours l’ensemble de la scène où on la voit se caresser, somptueuse dans sa tenue. Elle me renvoie à la salle de bain pour quitter ma tenue de pute, comme elle dit. Je découvre, dans la glace, mon visage dont le maquillage est ravagé par les larmes, la perruque de travers. En me tournant je vois les traces laissées par la cravache et celles des mains d’Isabelle lorsqu’elle se cramponnait à mes hanches en me baisant.
Je me débarrasse de ces dessous, enlève la perruque et file sous la douche, me demandant comme me débarrasser ou cacher les marques sur mon corps. Je profite encore de l’eau qui coule sur mon corps, lorsque Isabelle entre dans la cabine.
-« Ma chérie, dit-elle, tu as été magnifique. J’ai adoré te fesser et te baiser. Il va falloir soigner tout çà maintenant. Ta peau et ton cul, en attendant lave moi bien partout. » Je profite de ce moment pour savonner le corps ferme et sculptural de ma maîtresse. Elle me domine d’une tête, m’impressionne, mais c’est avec grand plaisir que j’accomplis ma tâche.
C’est elle qui alors s’occupe de moi, elle me passe une crème spéciale, d’après elle, qui va gommer toutes les marques. Je n’y crois pas trop, mais après un long moment, très agréable d’ailleurs, je peux constater dans la glace que plus rien ne paraît. Mon anus endolori ayant subit le même traitement, m’occasionnant une nouvelle érection, plus aucun stigmate de mon après midi n’est visible. Avant de la quitter, je lui demande une faveur.
• « Puis-je vous demander quelque chose, Madame ?
• Que veux-tu ?
• Je voudrais vous remercier de cet après midi, à la fois douloureuse et agréable. J’aimerais vous lécher et si vous le désirez aussi, vous boire.
• Il me semble que ce remerciement est aussi un plaisir pour toi. Mais, tu as été un bon soumis, ou une bonne soumise et tu mérites aussi une récompense et puisque c’est ton désir, tu peux t’occuper de moi. N’attends rien en retour.
• Ce n’est pas ce que je veux, je ne désire que vous apporter du plaisir. »
Nous rentrons dans la douche, qui sera donc dorée pour moi. A genoux je me glisse entre les jambes d’Isabelle qui m’offre sa vulve déjà humide. Je me régale de sa fragrance. Son jus intime coule dans ma bouche. Isabelle gémit et m’encourage, prenant son pied en se tenant aux parois de la cabine. Ses jambes tremblent. Je ne relâche pas mon effort car je veux lui donner un maximum de plaisir. Trois fois, quatre fois elle se lâche en criant. Ma bouche est alors remplie de son foutre que j’avale avec gourmandise. Finalement elle se relève un peu, le temps de récupérer et elle m’annonce la suite. Tout doucement, elle se laisse aller. Le goût du liquide est plus âcre, mais j’y suis habitué. Isabelle laisse son urine s’écouler lentement en maîtrisant son jet, autant pour que je puisse l’absorber au fur et à mesure, que pour son propre plaisir, car en contrôlant ses muscles elle prolonge sa jouissance d’une manière douce.
La miction dure ainsi longtemps, mais je ne laisse rien échapper, finissant même par un nettoyage en règle de sa vulve. Enfin, elle se dégage, sort de la douche, enfile un peignoir et me donne congé.
• « J’attends ton message dimanche matin, lance-t-elle avant mon départ
• Bien Madame »
Le soir même, ma chérie a droit à mes ardeurs, d’autant plus qu’elle a eu la bonne idée de mettre des bas et d’avoir rasé sa chatte.
Le dimanche matin, au réveil, je suis anxieux car il faut que j’envoie le message à Isabelle. Alors que Rose Marie se prépare j’envoie rapidement « nous partons dans dix minutes » Pendant le trajet, je roule assez lentement et mon estomac se noue au fur et à mesure que nous approchons du magasin. Dès l’entrée, j’essaye de repérer Isabelle au milieu des clients. Après quelques minutes je l’aperçois entre les rayons. Mon cœur s’accélère. Je m’arrange pour ne pas regarder vers elle. Faisant semblant de me concentrer sur les produits. Après tout ce n’est pas à moi de faire quelque chose.
Notre caddy se rempli. Au détour d’une gondole, Isabelle est là, en train de regarder les produits. Heureusement, Rose Marie est devant moi et ne peut voir mon trouble. Il faut que ce soit elle qui la découvre. Elle est à côté d’elle sans s’en rendre compte, Isabelle est obligée de bouger pour que leurs bras se touchent.
• « Pardon ! Oh ! Bonjour Isabelle quelle surprise !
• Pardon… Tiens ! Bonjour Rose Marie – comédienne – elles se font la bise. Que fais-tu là ?
• Eh bien comme toi. Il faut bien se ravitailler ! Tu connais Jean ?
• Oui, bien sûr, elle s’avance pour m’embrasser. Je dois être rouge tomate. Le contact de son corps m’électrise.
• Tu es venue depuis chez toi jusqu’ici ?
• Oui. Mais en fait, j’ai trouvé une maison pas loin depuis deux semaines et je viens ici le dimanche matin car c’est calme et pas cher. Ce qui est rigolo c’est que j’habite en face d’un Leclerc.
• Ah bon ? Lequel ?
• Léognan
• Mais tu es à côté de chez moi !
• C’est vrai que tu es du côté de Chambéry, c’est çà ?
• Oui. Mais, il y a des maisons en face de Leclerc ?
• Il y a la mienne, on ne la voit pas depuis la route. Il faut prendre un chemin. Mais, venez boire le café tout à l’heure, vous verrez comment je suis installé.
• D’accord ! » Elle nous indique alors l’itinéraire. Je fais semblant de réfléchir
• « Tu vas t’en rappeler ? Me dit-elle mutine.
• Je pense que oui » Nous continuons les courses ensemble. Les deux femmes discutent entre-elles alors que volontairement je reste à l’écart. Je vois Isabelle prenant peu à peu l’ascendant sur ma chérie, la frôlant, la faisant rire. Une véritable drague sous mes yeux. Nous nous séparons sur le parking par un « à tout à l’heure » !
• C’est marrant qu’elle ait trouvé une maison à côté. Çà lui change la vie, plus de long trajet ! Dire que l’an dernier je ne la trouvais pas sympa, finalement, elle gagne à être connue. »
De retour à la maison, contrairement à l’habitude, nous déjeunons tôt, nous avons tout de même notre petite « sieste » à faire, celle-ci d’ailleurs est bien coquine.
Nous avions rendez-vous vers quinze heures et peu avant nous partons. Je fais semblant de chercher un peu l’entrée du chemin, m’y engage.
• « Je ne sais pas si çà mène quelque part, si ce n’est dans la forêt. Çà doit être lugubre la nuit, dis-je.
• Çà doit être par-là je n’ai pas vu d’autre chemin avant. Il faut dire que je n’avais jamais fais attention à celui-ci non plus.
• Tiens ! Une maison !
• C’est la grange qu’elle a signalé. J’en rajoute un peu, car je sais qu’après nous découvrirons celle d’Isabelle.
• Ah la voilà ! C’est mignon ! On ne penserait pas trouver çà ici. »
Je m’arrête à côté de la voiture d’Isabelle, qui apparaît aussitôt sur sa porte. Elle a changé de tenue, pour une robe assez courte qui la moule. Fendue sur le côté elle laisse apparaître une jambe. Elle est super sexy, d’autant que je pense qu’elle n’a rien dessous. Elle nous reçoit avec des bises, prétexte à sentir son parfum, son corps déjà chaud qui pour moi au moins, me provoque une poussée de désir. Un bref instant elle a plongé son regard dans le mien, y voyant mon émotion. Elle nous invite à rentrer, faisant passer Rose Marie devant, me repoussant derrière elle, première marque de ma condition de soumis, mais discrète, pour que ma compagne ne le voit pas.
Pour une fois, je ne dépose pas mes clés et ne me déshabille pas dans l’entrée ce qui bizarrement me paraît incongru. Nous arrivons au salon, où Isabelle commente la visite. La cuisine – que je ne connaissais pas – les chambres, la salle de bain où la vue de la douche me mets en transes, puis les autres pièces, cellier, garage …
Rose Marie se déclare enchantée de la maison, surtout devant la grande baie du salon qui donne sur le bois. Celle-ci est ouverte laissant passer le chant des oiseaux.
Isabelle nous invite à nous asseoir, ou plutôt, invite ma compagne à prendre place sur le canapé et me désigne d’un geste, le fauteuil en face. Elle nous laisse pour aller chercher le café tout frais. Connaissant le goût de ma chérie pour ce breuvage, elle savait que l’invitation serait bien acceptée. Elle sert Rose Marie et néglige de me demander. Cette dernière, déjà prise dans les filets ne fait plus attention à moi qui me retrouve isolé des deux femmes assises côte à côte dans le profond canapé que je connais bien.
Isabelle déploie tous ses talents pour subjuguer ma chérie. Un spectateur la connaissant peu, ne verrait rien, mais, en observateur avisé, je remarque les détails qui font que peu à peu, elle « prend possession » de sa voisine, comme une araignée tisse sa toile autour de sa proie. Je suis à la fois, effrayé et excité de sa conduite. Je ressens très bien où elle veut en venir, je le redoute, mais, conditionné, je ne dis rien. Isabelle va soumettre ma chérie, comme elle m’a soumis. En même temps, mon excitation augmente et je suis à l’étroit dans mon pantalon. Je ne peux détacher mes yeux du couple sur le canapé.
Petit à petit, Isabelle s’est rapprochée de Rose Marie. Sa voix a mué et est devenue plus grave, plus chaude, mais moins forte. Sa main, commence à toucher, un bras, une main sans aucune réaction de sa voisine, déjà sous le charme sans s’en rendre compte. De son bras, sous prétexte de prendre la tasse de café, Isabelle frôle un sein qui ne se dérobe pas. Elle ne s’y attarde pas, mais maintenant sa hanche est collée à celle de Rose Marie. La main qui tout à l’heure touchait le bras, se pose sur un genou. Là non plus, pas de réaction.
Les têtes sont très proches, Isabelle murmure, plus qu’elle ne parle, j’ai du mal à suivre une conversation qui est en fait à sens unique. C’est toute la jambe maintenant qui est collée à celle de sa voisine. Les yeux d’Isabelle plongent dans ceux de Rose Marie. La main quitte le genou pour remonter lentement sur la cuisse tout en relevant le bas de la robe.
Les visages sont tout proches. Isabelle ne lâche plus sa proie. Elle sait déjà qu’elle a gagné, mais fait durer le plaisir. Elle joui déjà de la victime qu’elle va déguster et ces moments-là, pour elle, sont magiques à vivre.
Enfin, elle pose ses lèvres sur celles de Rose Marie qui ne fait rien pour se dégager. Dans mon fauteuil, je bande comme un fou de voir ma chérie embrasser une femme. Je n’aurais pas cru cela possible, mais rien ne résiste à Isabelle. Sa langue pénètre les lèvres de ma compagne qui peu à peu, répond au baiser profond. De son côté, Isabelle ne reste pas inactive, maintenant qu’elle a pris possession de la bouche, sa main remonte sur la cuisse jusqu’à la fourche, qu’elle atteint sans réaction hostile. Elle l’abandonne un moment pour finir de déboutonner sa robe, prendre la main de Rose Marie et la poser sur ses seins. Elle repart aussitôt entre les cuisses et masse maintenant par-dessus la culotte, qui sûrement doit être bien humide.
La main de Rose Marie un moment immobile, masse le sein d’Isabelle soupèse la masse et titille le bout érigé. Je suis serré dans mon slip mais ne fais rien. J’attends les ordres de « notre » maîtresse. Pour l’instant, elle se consacre toute entière à son travail de sape envers celle qui normalement est sa supérieure. Ceci doit être aussi pour elle une jubilation supplémentaire. Sa main a pris possession de la chatte de Rose Marie et, experte en la matière la branle doucement. Cachée par la culotte je ne peux voir ses doigts à l’œuvre, mais les soupirs de ma compagne prouvent que le travail d’Isabelle est efficace. Le bassin se soulève pour aller à la rencontre de cette main qui la fouille, puis elle se cambre et joui, son cri étouffé par les lèvres de sa complice. Celle-ci reprend aussitôt la caresse malgré la main de Rose Marie qui trente de la dégager. La lutte est inégale. Isabelle est plus forte et rapidement, elle reprend le contrôle pour amener Rose Marie vers un deuxième, puis un troisième orgasme.
Là elle est anéantie. Etalée sur le canapé elle n’a plus la force d’échanger de baisers ni de caresses. Isabelle, elle, continue les siennes, mais doucement, pour ramener lentement le calme dans ce corps qu’elle a véritablement possédé durant quelques minutes.
Rose Marie est abandonnée aux caresses de sa maîtresse. Lorsqu’elle ouvre les yeux, c’est pour lui sourire, l’embrasser et la caresser en remerciement. Plus rien n’existe autour d’elle et surtout pas moi. Elle est dans la bulle qu’a formé Isabelle qui a maintenant le contrôle total sur sa complice. Elle se lève, entraînant Rose Marie avec elle. Dans le mouvement elle fait glisser sa robe et se retrouve nue, juchée sur ses mules à talon qui lui donnent une supériorité supplémentaire. Ma compagne n’est pas très grande et sa tête se trouve au niveau de la poitrine d’Isabelle. Celle-ci lui plaque le visage contre son sein et entreprend de la déshabiller. Rapidement Rose Marie se retrouve nue contre cette femme qui la dépasse de deux bonnes têtes, qui la caresse alors qu’elle-même suce alternativement les deux seins de sa collaboratrice.
Je suis tétanisé dans mon fauteuil, lorsque Isabelle me fait signe de prendre la position « d’inspection » en la prenant elle-même, les mains derrière la tête, elle offre sa poitrine en se cambrant. Je ne discute même pas, tellement notre maîtresse domine la situation, pour ma part de façon consciente, pour ma compagne, pas encore.
Je me déshabille rapidement et face aux deux femmes qui échangent des caresses, je ne peux cacher l’érection qui pointe en avant. Isabelle reprend les baisers sur les lèvres, les mains parcourent les corps, se glissant entre creux et rondeurs, ce qui ne fait rien pour me calmer, quand Isabelle, prenant Rose Marie par les épaules, la retourne face à moi, lui enveloppant la poitrine dans ses bras. Celle-ci me découvre alors, ouvrant de grands yeux et la bouche de surprise.
• « Tu vois, dit Isabelle, ton homme semble bien excité, le tableau à l’air de lui plaire !
• Oui, c’est un vicieux ! Mais que fait-t-il dans cette position ?
• Çà, ma jolie, c’est moi qui lui ai demandé de se mettre en inspection !
• En inspection ?
• Eh oui ! Ton chéri est un soumis que j’ai dressé ! Il est à moi ! Ne t’inquiètes pas, je ne veux pas te le prendre. Simplement, il est à mes ordres, parfois à mes pieds, dans tous les cas, à ma botte ! »
Rose Marie est abasourdie. Surtout que je ne bouge pas, si ce n’est ma queue qui baisse inexorablement. Isabelle continue de caresser le corps et les seins de sa complice, toujours nichée entre ses bras. Elle lui embrasse le cou, derrière l’oreille, la faisant frémir.
• « Vois-tu, ma chérie, ton homme m’est complètement dévoué ! Çà ne te dérange pas au moins ?
• Non ! Pas du tout ! Je trouve qu’il en a besoin répond ma chérie en me fixant. Je serais même heureuse de voir comment tu t’y prends » Je suis estomaqué ! Rose Marie est rentrée immédiatement dans le jeu d’Isabelle et je n’ai plus rien à dire. Maintenant que ma situation est connue, je deviens l’objet de ces deux femmes.
• « Puisque nous sommes d’accord, je vais t’enseigner comment le prendre en main et en faire ton soumis. En revanche, lorsqu’il est avec moi, il est mon soumis à moi! D’accord ?
• Oui, d’accord !
• Bien ! Et toi aussi !
• Co… Comment ?
• Avec lui, tu es la maîtresse, mais avec moi, tu obéis, en fin, VOUS obéissez ! Ou tu es d’accord, ou vous partez. D’ailleurs vous partez quand vous voulez, ce sera le signe que vous renoncez à me revoir. Il va te montrer comment il fait d’habitude » Je repars vers l’entrée pour y déposer mes vêtements et accrocher la clé, puis je reviens prendre ma place et ma position « Pour ta gouverne, je peux te dire que lui restera. Il ne peut déjà plus se passer d’être à mon service personnel !
• M… Mais, c’est quoi, être à ton service ?
• Tu le découvriras, si tu restes. Tu apprendras beaucoup de choses. Tu subiras beaucoup de choses, dans le respect de ta vie privée et professionnelle bien sûr. En dehors d’ici, tu ne me connais que comme une collègue tout à fait normalement. Mais lorsque tu es ici avec moi tu es comme lui. Tu vas accrocher tes habits et éventuellement tes clés de voiture. Ce n’est qu’ensuite que tu viens prendre ta position ici. Allez ! A toi de choisir ! »
Rose Marie semble hésiter. Toujours dans les bras d’Isabelle elle me regarde intensément. Partagée entre l’envie de fuir et le besoin de poursuivre cette expérience. Je vois ses tétons se dresser. De mon côté, ma verge reprend de la vigueur. Ma chérie respire un grand coup, se dégage d’entre les bras d’Isabelle, se retourne, l’embrasse sur les lèvres et se hissant sur la pointe des pieds. Dit « d’accord », vient vers moi et m’embrasse, puis ramassant ses affaires, va les suspendre dans l’entrée. Elle revient rapidement et se positionne à mes côtés, prenant la position d’inspection en frissonnant.
• « Bien ! Déclare alors notre « maîtresse » A partir de cet instant et jusqu’à que je ne veuille plus de toi où que tu reprennes un jour tes clés sans ma permission, tu es à moi ! Est-ce que tu es toujours partante ?
• Oui !
• Oui qui ?
• Oui Isabelle !
• Il n’y a plus d’Isabelle ici, tu m’appelle Madame !
• Oui… Madame !
• Précise un peu !
• Oui Madame, je suis à vous !
• Très bien, j’ai maintenant un couple de soumis. C’est la première fois que j’ai un vrai couple et je compte bien en profiter. Toi, me dit-elle, tourne-toi et penche-toi sur la table tu n’a pas le droit de voir. Toi ma belle, à genoux et viens me bouffer la chatte. »
Je ne peux qu’entendre les clapotis de la langue dans la vulve que je connais juteuse. Ma chérie m’avait pourtant dit qu’elle n’avait pas de goût pour les lesbiennes, mais elle doit bien se débrouiller car Isabelle ne tarde pas à gémir. Dans le reflet de la télévision, je devine plus que je ne vois, la tête de Rose Marie entre les cuisses de notre maîtresse qui lui tient la tête. Va-t-elle aller aussi loin qu’avec moi ? Pas pour cette première, mais nul doute qu’elle lui fera aussi goûter son urine comme elle aime à le faire avec moi.
Isabelle pousse deux ou trois petits cris, symptôme de son plaisir, puis retire la tête de sa soumise.
• « C’est bien salope ! Maintenant, va t’occuper de ton homme. Non ! A genoux ! Intervient-elle alors que ma chérie se relevait. Tu es une chienne. Tu auras bientôt ton collier et ta laisse, en attendant reste à quatre pattes. Et comme tu es une chienne tu vas lécher le cul de ce chien
• Mais… Elle prend une gifle sonore.
• Tu discutes déjà ?
• Non mais ! Deuxième gifle.
• Non qui ?
• Non Madame ! Pardon Madame !
• Voilà qui est mieux ! écarte bien ses fesses et enfonce bien ta langue dans son cul. Graisse-le bien car il va servir
• Oh oui !
• Tu as envie de le voir se faire enculer ?
• Oh oui !
• Tu lui mets un doigt quelques fois ?
• Oui, je l’ai même pris une fois, à sa demande !
• Mais ils sont coquins ces deux là ! Et bien tu vas voir comment je m’en occupe ! »
Isabelle récupère le gode-ceinture qui n’est jamais très loin, s’harnache avec, puis demande à Rose Marie de venir le sucer. Celle-ci se rend compte alors que le calibre de l’engin n’est pas anodin. Une fois fait, Isabelle lui dit de se mettre à mes côtés et de m’écarter les fesses. Elle positionne le gland sur mon trou et s’enfonce d’un trait au fond de mes entrailles.
• « Regarde-le ton chéri, comme il se fait enculer ! Et il aime çà en plus. Tu vas voir ! » Isabelle me ramone un bon moment ? Je suis honteux d’être ainsi exposé à ma chérie, mais aussi fier de montrer à notre maîtresse toute ma dévotion. Connaissant mon goût pour la position du missionnaire, Isabelle me retourne et me couche sur la table, les jambes en l’air. « Tu vas voir comment il joui ce chien ! dit-elle en relevant mes jambes et en me pilonnant. Suce-le ! tu vas tout avaler !» J’avais un jour dit à Isabelle que Rose Marie n’aimais pas le sperme. Il faut dire que je ne jute pas vite ni souvent, mais lorsque j’ai voulu qu’elle me boive elle a refusé. Là elle ne peut se soustraire à la volonté de notre maîtresse d’autant que celle-ci a empoigné ses cheveux et lui maintient la tête, tout en continuant à me défoncer le cul. A ce rythme, je sais qu’Isabelle doit prendre son pied avant que je ne puisse me lâcher. Aujourd’hui elle doit être particulièrement excitée car elle joui en quelques minutes, m’ordonnant alors de me laisser aller. Heureusement car dans cette position et pompé par ma compagne, je n’en pouvais plus et j’explose aussitôt. Par l’action conjuguée du sexe factice et de la bouche de Rose Marie, j’ai l’impression que mes couilles éclatent et je joui autant du cul que du sexe. C’est énorme ! Ma chérie reçoit tout dans la bouche, ne laissant rien tomber. Je perds un peu les pédales mais dans une sorte de brouillard je distingue Isabelle qui relève la tête de Rose Marie et l’embrasse sur la bouche, partageant mon sperme.
Les deux femmes m’abandonnent et se dirigent vers le canapé pendant que je récupère. Malheureusement pour elle, Rose Marie qui croyait se retrouver dans les bras d’Isabelle, à la demande de celle-ci, doit s’agenouiller et sucer le sexe qui sort de mon cul. Elle ne doit pas le faire suffisamment vite au gré de notre maîtresse, car Isabelle gifle sa poitrine à toute volée. En fureur qu’on lui résiste, puis, la tirant par les cheveux ordonne :
• « Suce salope, et nettoie bien ma bite. Dis-toi que tu as de la chance car ton chéri a dû se laver le cul, il pensait bien en venant ici que je m’en occuperais, comme souvent ! »
Lorsque Rose Marie a terminé son ouvrage, Isabelle reprend un ton plus cajoleur prenant sa complice par les épaules, elle l’embrasse sur la bouche et la caresse comme on félicite un animal pour le remercier. Elle nous donne ensuite congé. Nous nous rhabillons en silence, évitant de nous regarder et quittons la maison.
Au bout du chemin, avant de reprendre la route, Rose Marie m’interpelle
• « Tu ne crois pas que tu me dois des explications ?
• Je …
• Depuis combien de temps çà dure cette histoire ? Et moi je suis une conne qui ne voit rien !
• Pas du tout ! Mais tu as vu comment elle prenait l’ascendant sur les gens ? Je te rappelle que toi aussi tu viens d’être « prise en main » comme moi je l’ai été
• Je … Oui… Bon… Mais répond-moi, depuis quand ?
• Le soir de l’anniversaire. Je n’ai rien vu venir. Je croyais vraiment qu’elle voulait que je la ramène. Ce que je ne savais pas c’est que c’était ici. Cette femme fait faire ce qu’elle veut, tu ne t’en rends pas compte, et tu te retrouve dans ses filets. Elle en impose.
• M… Mais comment as-tu pu participer à ce piège d’aujourd’hui ?
• J’ai laissé échapper un jour que tu allais dans ce magasin et elle m’a demandé de l’avertir. Tu as vu que l’on ne peut rien lui refuser. D’ailleurs toi, tu es vite tombée dans ses filets, je ne t’en blâme pas, je sais de quoi elle est capable. Je l’ai vue faire, mais en parallèle je n’ai rien fait pour l’arrêter.
• Mais que va-t-on devenir ? Qu’est qui nous attend ?
• C’est à nous de décider, nous pouvons choisir de ne plus venir. Je suivrais ce que tu me diras
• C’est vrai qu’elle doit m’apprendre à te dominer ! Dit-elle d’un ton malicieux
• Oui ! Et çà à l’air de te plaire. Donc c’est toi qui décideras et tu verras que ce n’est pas le plus facile.
• D’accord, mais puisqu’il y a trois mois que tu es son … comment on dit ?
• Son soumis
• Puisqu’il y a trois mois que tu es son soumis donc, qu’a-t-elle exigé de toi ?
• Je propose que l’on rentre à la maison et qu’on en discute, on sera mieux qu’ici.
• D’accord »
Après un bref parcours sans parole, je raconte tout à ma chérie qui m’écoute intensément. Le récit dure longtemps, mais, au fur et à mesure, ses yeux brillent, parfois de tristesse, mais, plus j’avance, plus ils brillent d’excitation. Je suis presque à la fin de mon récit lorsque mon téléphone sonne. Me tournant vers Rose Marie je dis :
• « C’est elle
• Que veut-elle
• Que je passe en partant
• Passe-moi ton téléphone »
Rose Marie rappelle le numéro et échange avec Isabelle, lui disant, que, étant chez elle je suis pour le moment, son soumis. Que ce soir elle désire me garder un peu pour mettre les choses au point et pour profiter de ce nouvel état. La discussion change de ton sans que je sache pourquoi. Rose Marie semble plus détendue et écoute en approuvant ce que lui dit Isabelle à l’autre bout du fil. Tout à coup, elle s’adresse à moi en disant :
• « Monte dans la chambre et en position d’inspection, j’arrive ! »
Sans attendre, elle reprend la conversation avec Isabelle. Une conversation qui dure. Mon forfait va en prend un coup, mais je n’ai plus rien à dire, ma vie a encore basculée en peu de temps. Lorsque je l’entends monter je reprends la pose que j’avais un peu abandonnée. Passant devant moi, elle flatte ma queue dressée, me regardant d’un œil gourmand, se déshabille et me demande de me coucher sur le dos. Elle m’enjambe et pose son sexe sur ma bouche pour que je lèche, ce qu’elle sait que j’adore. Son sexe est trempé et de plus elle le frotte bien sur mes lèvres, preuve de son excitation. Alors que je pense qu’elle va se mettre en soixante neuf, elle attrape mes jambes et les relève. Une sensation de froid entre mes fesses précède l’introduction d’un doigt dans mon anus.
• « Puisque tu aimes te faire travailler le cul, tu vas être servi ! » Je sens alors le contact plus large d’un gode qu’elle m’enfonce sans hésiter. Après plusieurs allers et retours, elle met en marche le vibreur et les sensations augmentent. Elle coule maintenant dans ma bouche et je me régale de son jus. Elle a repris ses mouvements avec le gode qui, couplés avec les vibrations, me font atteindre des sommets. Ma prostate est sollicitée. Je gémis et me contracte mais continue mon léchage. Nous partons tous les deux vers des sommets. Sa mouille est de plus en plus abondante. A un moment, elle cesse tout mouvement et son vagin se contracte, puis elle reprend. Par trois fois, chose extraordinaire, elle va se lâcher. Je n’en peux plus de la position et du besoin de jouir. Ma bite est douloureuse. Lorsque enfin elle retire l’engin de mon fondement et me relâche. Je suis anéanti.
• Eh bien mon salaud ! Je crois que j’ai trouvé le moyen de te faire jouir comme il faut. En effet, après qu’elle se soit couchée sur le côté pour elle aussi récupérer, je me rends compte que mon ventre est couvert de sperme. J’ai joui du cul, sans m’en rendre compte, sans être touché, mon sexe à lâché sa semence. Une fois de plus, la position sur le dos, comme avec Isabelle, m’a apporté une jouissance extrême.
• A partir de maintenant, tu auras ton cul régulièrement occupé, mon petit pédé. Isabelle a raison. Il te faut quelqu’un qui te domine. Maintenant, c’est moi qui commanderai !
• Oh oui, ma chérie ! Je t’aime ! Demande moi tout ce que tu veux, je suis à toi !
• C’est bien ! Je veux tout savoir de ce que tu fais. Tu vas aller chez Isabelle en partant, puisqu’elle veut que tu passes, et une fois rentré chez toi tu m’appelleras pour me raconter, en attendant, tu t’habilles et tu me laisses me reposer. » Alors que je vais vers la salle d’eau pour me nettoyer, elle me retient. « Je ne t’ai pas dis d’aller te laver, tu restes comme çà, enfile tes habits et va-t-en »
Penaud, je rassemble mes affaires, dépose un baiser sur ses lèvres et reprends la voiture pour arriver quelques minutes plus tard chez Isabelle. Celle-ci, contrairement à l’habitude prise, m’accueille sur le pas de la porte. Je m’attends à ce qu’elle me demande de la lécher sur place mais elle me demande de rentrer.
• « Inutile de te déshabiller aujourd’hui, il n’y en a pas pour très longtemps. Suis-moi ! Sur le canapé du salon un homme noir, entièrement nu, est allongé. – Mon amant vient de me baiser, alors tu vas le remettre en forme, j’ai envie qu’il me la remette, alors suce et fait en sorte qu’il soit vite opérationnel ! »
Je ne me le fait pas répéter et m’agenouillant j’embouche le sexe, mon premier noir, couvert de la mouille d’Isabelle et de sperme de l’homme. Même flapi, l’engin est déjà imposant. L’homme pose une main sur ma tête commentant « le bien que lui fait cette salope de blanc » Rapidement, preuve que mon travail est bien fait, la colonne de chair s’agrandit entre mes lèvres, pour prendre des proportions imposantes. Ma main parvient à peine à en faire le tour et qui dire de ma bouche distendue. Je ne relâche pas malgré tout mes efforts m’attardant sur le gland rose que je cajole de la langue.
Quand le sceptre atteint sa taille maximum, Isabelle m’interrompt, enjambe l’homme et me demande de guider la verge dans sa chatte ruisselante. Je suis aux premières loges pour admirer son sexe s’élargir sur la puissante colonne ébène et l’absorber entièrement. Elle doit faire presque vingt cinq centimètres de long et bien cinq ou six de diamètre. Après plusieurs aller et retours, Isabelle me congédie sans plus de forme et je quitte la maison alors que ces gémissements emplissent le salon, preuve du plaisir que lui apporte le terrible engin.
De retour à la maison j’appelle ma chérie comme promis pour lui raconter mon passage chez Isabelle. Elle est stupéfaite que j’ai sucé l’amant d’Isabelle. »
• « Et tu suces souvent les mecs ?
• Isabelle m’a forcé plusieurs fois à sucer ses amants !
• Et c’est tout ?
• N… Non ils m’ont aussi …
• Enculé ?
• O… Oui
• Et bien sûr tu aimes çà !
• Quelques fois … Oui, mais…
• Mais quoi ?
• Ne crois pas y échapper si tu continues avec elle
• C’est pas vrai ?
• Si tu lui es soumise, c’est pour tout. Elle dispose de toi et de ton corps comme il lui plaît
• Jamais !
• Tu verras ! »
La discussion s’arrête ensuite et lorsque plus tard, après quelques séances chez Isabelle, parfois en ma présence, Rose Marie subira l’assaut d’amants ou de maîtresses de notre dominatrice commune, elle saura ce que soumission veut dire. Lorsque cela se produira devant moi, au retour entre nous, elle me fera payer l’humiliation.
***
***
Depuis quelques temps donc, Isabelle m’a pris sous sa coupe. Cette femme a un charisme si fort, que, quelques instants suffisent avec certaines personnes, pour que celles-ci acceptent ses désirs. C’est ainsi qu’elle a agit avec moi. Je n’étais pas attiré par elle, mais il lui a suffit de deux minutes, peut-être moins, pour me transformer en « petit chien » dévoué et docile.
Certes, quelques séances supplémentaires ont été nécessaires pour que je devienne parfaitement soumis à ses désirs, mais, dès le premier jour, ou plutôt la première nuit, elle dirigeait ma vie. Tout en se gardant d’empiéter sur la partie « publique ».
Je devais la prévenir par « sms » lorsque j’étais disponible, sans possibilité de mentir, car elle avait quelques moyens de surveillance. J’ai dû lui communiquer un véritable planning avec les dates de congés et les week-end de disponibilité.
Depuis plus de trois mois, je rejoins sa maison, soit avant d’arriver chez mon amie, soit après mon départ, que, sous prétexte de l’hiver, j’avance régulièrement, à la demande bien sûr de celle qui m’a désormais pris en main.
Un dimanche matin, je ne sais pourquoi, mais n’avais-je pas promis de signaler ma disponibilité - c’est du moins le prétexte que je me suis octroyé - je lui signale être libre pendant une heure. Aussitôt je reçois un message laconique « arrive »
Cinq minutes plus tard je me présente à sa porte. Elle m’ouvre entièrement nue, elle ne porte que ses mules à talon, me fais entrer et repart vers l’intérieur sans un mot, me permettant d’admirer sa démarche chaloupée et sa silhouette sculpturale.
J’ai maintenant l’habitude, lorsque j’arrive chez elle, d’accrocher mes clés, premier signe de ma soumission, puis de me déshabiller dans l’entrée. Il m’est arrivé plusieurs fois, en arrivant au salon entièrement nu, de me retrouver face à un, ou une inconnue. Aujourd’hui, personne n’est là.
• «Je ne suis pas encore lavée, alors, c’est toi qui va me nettoyer. Suis-moi à la salle de bains. » Elle entre dans la baignoire et me demande de la rejoindre. « Commençons par ta douche. Viens me boire ! » J’ai eu droit, plusieurs fois à servir d’urinoir à ma maîtresse. Je sais aussi que, lorsque cela se passe dans la baignoire, je ne dois pas avaler, mais laisser couler sa pisse sur mon visage et mon corps. Lorsque, à la fin, je lèche sa chatte, elle jouit très vite, sûrement l’excitation de pisser sur un homme à sa dévotion. Aujourd’hui, ce doit être particulièrement le cas, car elle m’arrose de son foutre, dès que ma bouche entre en contact avec son clitoris. Je crois même au début qu’elle continue sa miction, mais reconnaît le goût de sa cyprine dont je me délecte.
• Tu as bien travaillé. J’ai passé la nuit seule et j’avais vraiment très envie de me faire plaisir. Tu as appelé au bon moment. Maintenant rince-toi et lave moi bien partout. »
Je ne me fais pas prier. C’est pour moi l’occasion de caresser ce corps adoré en le couvrant de mousse, ses seins bien sûr, mais ses jambes, son dos, ses fesses et son entrejambes ont droit à tous mes égards. Elle se détend, sans être dupe des mes caresses, me laissant tout loisir d’admirer et toucher sa peau dans les moindres recoins. Je la rince enfin, prenant plaisir à diriger le jet sur ses tétons dardés, lui provoquant manifestement un plaisir supplémentaire. Je la sèche enfin, l’enveloppant d’un long peignoir, qui me cache malheureusement son corps, essuyant ses cheveux, qu’elle porte courts ainsi que ses jambes et ses pieds, pour lesquels j’ai plaisir à me mettre à genoux devant elle, ne résistant pas au plaisir de les embrasser.
Nous nous retrouvons ensuite au salon, après que je me sois rapidement séché à mon tour. Je veux prendre la position d’attente lorsqu’elle me demande de venir me coucher à ses pieds. Elle caresse ma tête comme elle caresserait un petit chien, ce qui m’enchante car c’est vraiment ce que je ressens pour elle.
• « C’est une bonne surprise que tu m’a faite ce matin, qu’arrive-t-il ?
• Mon amie, est partie faire des courses, comme tous les dimanches matins, alors j’ai pensé à vous avertir.
• Tu dis tous les dimanches ? Donc les autres fois c’était le cas aussi ?
• Oui ! pardon Madame, je n’y avais pas pensé avant, mais ce matin, j’ai eu envie de vous le dire.
• Je devrais te punir pour ne m’avoir rien dit, mais ton « envie » d’aujourd’hui me fait plaisir, même si ce n’est pas TON envie qui compte, mais la mienne.
• Oui ! Pardon Madame, je ne suis pas encore bien dressé, punissez-moi !
• Je punis quand j’en ai envie. Je ne dis pas que je n’en aurais pas envie d’ici ton départ, cela dépendra de mon bon vouloir.
• Bien sûr Madame ! C’est vous qui commandez !
• Donc, si je comprends bien tous les dimanches matins, Rose Marie part seule faire des courses ?
• Oui, vers neuf ou dix heures, mais parfois je l’accompagne.
• Très bien ! La prochaine fois, tu me préviendras et me diras où vous allez.
• Oh c’est simple, c’est toujours au Leader Price. Il y a moins de monde ce jour là. » Sans m’en rendre compte j’ai donné les clés à Isabelle pour mener à bien son projet, que je découvrirai plus tard.
• Bien, lorsque vous vous préparerez, tu m’avertiras »
Je ne comprends pas encore pourquoi, mais n’ose poser aucune question. Je dois repartir, je le signale à Isabelle qui me dit « à ce soir, je t’attends »
• Oui Madame, bien sûr »
Le soir venu, j’ai retrouvé ma maîtresse que j’ai dû lécher longuement. Elle avait fait un jogging en fin d’après midi et n’avais pas pris de douche, car il a fallu bien sûr que ma langue s’attarde sur toutes les parties de son corps et spécialement sous les aisselles, sous les seins et bien sûr sur son entrejambes et entre ses fesses où son odeur était particulièrement forte. J’ai adoré ce moment, ce dont elle s’est rendu compte, me promettant de nouvelles séances odorantes. Pour me remercier, elle a utilisé son gode-ceinture, pour m’enculer, couché sur le dos sur la table, dans la position où elle sait dorénavant que je prends le plus de plaisir, ce qui m’a valu une jouissance énorme du cul. Je dois dire que le trajet de retour a été difficile, la séance m’ayant totalement « vidé », mon anus endolori me rappelant la longue sodomie prodiguée.
Deux semaines plus tard, j’arrive tôt dans l’après-midi chez Isabelle, l’ayant bien sûr prévenue. Après une séance de léchage, devenue habituelle, elle entreprend de me « féminiser » comme elle dit. Dans sa chambre, que je découvre pour la première fois, elle m’enfile des bas, tenus par un porte-jarretelles, enfile un string, un soutien-gorge rembourré par des prothèses en silicone, me pose une perruque longue en me maquillant les yeux et les lèvres. Pour finir, elle m’enfile des chaussures à talon, pas trop hauts, afin que je m’habitue, ce qui se révèle difficile pour marcher avec. Enfin, me faisant pencher en avant, elle écarte la ficelle du string pour m’enfoncer un plug dans le cul.
Je dois déambuler dans la chambre, manquant de me tordre les chevilles. Alors que je me trouve face à l’armoire, elle ouvre une porte et dans la glace intérieure, je me découvre. Les poils et la barbe ne laissent aucun doute sur le sexe. Celui-ci d’ailleurs pointe au dessus du minuscule string. Mais l’image renvoyée montre une femelle, un peu bizarre. J’en suis retourné.
• « Voilà une petit pute qui s’ignore ! Lance Isabelle. Je crois que tu va plaire à mes invités, je jour où j’en aurais !
• Oh non ! Pas çà, s’il vous plait !
• Tu sais que tu n’as rien à dire, espèce de salope. Puisque c’est ainsi, j’ai été trop gentille avec toi. Ce coup-ci tu va recevoir une punition !
• Oui Madame, mais je vous en prie, pas devant d’autres personnes !
• Ah c’est çà qui te dérange ! Tu n’étais pas gêné quand tu as sucé mon amant et qu’il t’a enculé !
• C’est vrai, mais je ne sais si …
• Nous verrons bien, en attendant va au salon et penche toi sur la table, je vais chercher de quoi te punir »
Penaud, je rejoins le salon, perché sur mes chaussures à talon, vêtu de ces dessous sexy. J’ai l’impression que ma démarche se fait plus chaloupée. En me déplaçant, je passe devant un grand miroir où je peux me voir déambuler. Je peux voir aussi que la situation m’excite et que je bande. Je me positionne, penché sur la table basse, jambes écartées et fesses en arrière. J’espère être assez docile pour attendrir Isabelle. Ma position est impudique. Je vois dans le reflet de la grande glace, que je m’offre. Mon excitation augmente encore si c’est possible. C’est alors qu’Isabelle revient. A la main, un martinet et une cravache. Je tremble, de peur, d’excitation. L’attente ne fait rien pour arranger la chose.
J’ai cru que ma docilité me vaudrait de la mansuétude, mais les paroles d’Isabelle me glacent.
• « Je vois que tu as bien pris position et que cela t’excite ! Enlève ta culotte, il faut que ta raie soit bien dégagée ! »
J’obéis aussitôt et me repositionne, attendant la correction. Je ne sais quel instrument elle va utiliser. J’ai peur que ce ne soit la cravache ? J’ai chaud, mais j’ai la chair de poule.
• « Tu vas avoir une leçon de punition. L’inconvénient pour toi, c’est que tu seras aux premières loges. Tu en sentiras immédiatement les effets. Je commence avec la main, car il faut bien échauffer la peau. » Les coups tombent régulièrement, alternés sur chaque fesse, ma peau commencer à brûler au fur et à mesure. Je ne sais combien j’en reçois, lorsqu’elle passe sa main pour constater l’état de mes fesses. « C’est bien ! la température est bonne ! On va passer à la deuxième étape ! » C’est le martinet, qu’elle a choisi. Après deux ou trois coups elle dit « Regarde la télé ! » Tournant la tête, je vois qu’elle a branché un caméscope et je me contemple dans cette position obscène, ma maîtresse derrière moi me frappant régulièrement
• Oh non !
• Encore tu rechignes ! Ne t’inquiète pas, c’est pour ma vidéothèque personnelle ! De toute façon on ne peut te reconnaître. Mais puisque tu n’as pas encore compris, on va passer à la 3ème étape et j’exige que tu regardes l’écran pendant tout le temps. Tu verras comme tu couines sous la cravache ! »
Je suis à la limite de réagir, mais je me retiens à temps. Je fais connaissance avec la cravache. Ma maîtresse manipule son instrument avec efficacité, je parviens non sans mal à ne pas crier. Je pleure en regardant l’écran à travers les larmes. Je vois une femme en bas porte jarretelles noirs, penchée en avant avec derrière elle une autre femme, vêtue de la même manière, lui administrant une volée de coups. Je vois aussi que cette deuxième femme présente au bas de son ventre, une excroissance qui laisse à penser que la femelle punie va bientôt recevoir autre chose que des coups.
La volée me semble durer une éternité. J’ai l’impression que mes fesses sont déchirées, lorsque enfin ma tortionnaire cesse de frapper je transpire, je tremble, je pleure, mais je bande. Je m’en rends compte en baissant la tête et en regardant entre mes jambes. Maintenant que les frappes sont finies, la tension douloureuse de mon sexe se fait sentir. A son habitude, Isabelle passe sa main sur ma peau endolorie. Connaissant sûrement les effets de la cravache, elle tâte mes couilles et ma bite.
• « Tu as mal ?
• O… Oui Madame. Dis-je en sanglotant
• Mais tu bandes Je sens ton clito tout dûr !
• O.. Oui.
• Maintenant je vais te prendre la chatte, mais ne compte pas que je lubrifie. Je veux que tu la sente bien passer ! »
J’essaie malgré tout de me décontracter car je suis maté et ne cherche pas à attendrir mon bourreau, qui de toute façon ne tiendra pas compte de ma demande. L’attente est peut-être pire car je ne sais pas quand elle décidera. Je regarde l’écran où je me « voies » en fait, les cheveux de la perruque cachent mon visage c’est la femme en soutien gorge et porte-jarretelles penchée sur la table. Derrière, l’épée redoutable est proche des fesses. Ma maîtresse se rend compte que je regarde la télévision.
• « Ah tu veux voir comment je vais te prendre ! Tu es une sacrée salope ma belle ! Puisque tu en a envie de te faire baiser, demande-le !
• Oui, Madame, baisez-moi ! Baisez votre salope que vous avez bien punie ! Ma chatte est à vous ! Prenez-moi !
• Tu es une pute !
• Oui, je suis une pute ! Votre putain Madame ! Je ferai tout ce que vous voudrez, mais s’il vous plaît, baisez votre salope, votre putain ! » C’est presque en criant que je prononce ma dernière phrase. Lorsque je reverrai plus tard cette cassette et ne me reconnaîtrai pas. J’aurai honte de m’être comporté comme çà !
• Tiens salope !» Elle ne prend aucune précaution et me pénètre d’un coup, m’arrachant un cri de douleur, ce qu’elle cherchait à faire. Je hurle à nouveau, mais elle n’en tient pas compte « Puisque tu aimes souffrir, je vais te péter la rondelle, mais salope comme tu es tu en redemanderas ! » Effectivement, alors qu’Isabelle ne m’épargne pas, la douleur fait place à une douce chaleur, qui augmente rapidement. Ma « tortionnaire » se rend compte du changement, mes gémissements ayant changé de gamme et surtout, mes fesses vont maintenant à la rencontre de son sexe factice. « Déjà tu y prends goût ! Tu es vraiment une salope qui aime la bite ! Allez ! Dis-le !
• Oui, Madame, j’aime la bite ! J’aime que vous me baisiez ! J'aime que vous m'enculiez ! Mon cul est à vous ! Baisez-moi fort ! » Elle accélère alors et nous partons ensemble pour un plaisir partagé, qui me laisse complètement groggy pendant de longues minutes.
Isabelle s’est débarrassé de son appendice et avachie sur le canapé, se donne du plaisir en frottant son bouton. Elle a face à elle le spectacle de cette femelle qu’elle vient de baiser et la télévision où le caméscope filme toujours l’ensemble de la scène où on la voit se caresser, somptueuse dans sa tenue. Elle me renvoie à la salle de bain pour quitter ma tenue de pute, comme elle dit. Je découvre, dans la glace, mon visage dont le maquillage est ravagé par les larmes, la perruque de travers. En me tournant je vois les traces laissées par la cravache et celles des mains d’Isabelle lorsqu’elle se cramponnait à mes hanches en me baisant.
Je me débarrasse de ces dessous, enlève la perruque et file sous la douche, me demandant comme me débarrasser ou cacher les marques sur mon corps. Je profite encore de l’eau qui coule sur mon corps, lorsque Isabelle entre dans la cabine.
-« Ma chérie, dit-elle, tu as été magnifique. J’ai adoré te fesser et te baiser. Il va falloir soigner tout çà maintenant. Ta peau et ton cul, en attendant lave moi bien partout. » Je profite de ce moment pour savonner le corps ferme et sculptural de ma maîtresse. Elle me domine d’une tête, m’impressionne, mais c’est avec grand plaisir que j’accomplis ma tâche.
C’est elle qui alors s’occupe de moi, elle me passe une crème spéciale, d’après elle, qui va gommer toutes les marques. Je n’y crois pas trop, mais après un long moment, très agréable d’ailleurs, je peux constater dans la glace que plus rien ne paraît. Mon anus endolori ayant subit le même traitement, m’occasionnant une nouvelle érection, plus aucun stigmate de mon après midi n’est visible. Avant de la quitter, je lui demande une faveur.
• « Puis-je vous demander quelque chose, Madame ?
• Que veux-tu ?
• Je voudrais vous remercier de cet après midi, à la fois douloureuse et agréable. J’aimerais vous lécher et si vous le désirez aussi, vous boire.
• Il me semble que ce remerciement est aussi un plaisir pour toi. Mais, tu as été un bon soumis, ou une bonne soumise et tu mérites aussi une récompense et puisque c’est ton désir, tu peux t’occuper de moi. N’attends rien en retour.
• Ce n’est pas ce que je veux, je ne désire que vous apporter du plaisir. »
Nous rentrons dans la douche, qui sera donc dorée pour moi. A genoux je me glisse entre les jambes d’Isabelle qui m’offre sa vulve déjà humide. Je me régale de sa fragrance. Son jus intime coule dans ma bouche. Isabelle gémit et m’encourage, prenant son pied en se tenant aux parois de la cabine. Ses jambes tremblent. Je ne relâche pas mon effort car je veux lui donner un maximum de plaisir. Trois fois, quatre fois elle se lâche en criant. Ma bouche est alors remplie de son foutre que j’avale avec gourmandise. Finalement elle se relève un peu, le temps de récupérer et elle m’annonce la suite. Tout doucement, elle se laisse aller. Le goût du liquide est plus âcre, mais j’y suis habitué. Isabelle laisse son urine s’écouler lentement en maîtrisant son jet, autant pour que je puisse l’absorber au fur et à mesure, que pour son propre plaisir, car en contrôlant ses muscles elle prolonge sa jouissance d’une manière douce.
La miction dure ainsi longtemps, mais je ne laisse rien échapper, finissant même par un nettoyage en règle de sa vulve. Enfin, elle se dégage, sort de la douche, enfile un peignoir et me donne congé.
• « J’attends ton message dimanche matin, lance-t-elle avant mon départ
• Bien Madame »
Le soir même, ma chérie a droit à mes ardeurs, d’autant plus qu’elle a eu la bonne idée de mettre des bas et d’avoir rasé sa chatte.
Le dimanche matin, au réveil, je suis anxieux car il faut que j’envoie le message à Isabelle. Alors que Rose Marie se prépare j’envoie rapidement « nous partons dans dix minutes » Pendant le trajet, je roule assez lentement et mon estomac se noue au fur et à mesure que nous approchons du magasin. Dès l’entrée, j’essaye de repérer Isabelle au milieu des clients. Après quelques minutes je l’aperçois entre les rayons. Mon cœur s’accélère. Je m’arrange pour ne pas regarder vers elle. Faisant semblant de me concentrer sur les produits. Après tout ce n’est pas à moi de faire quelque chose.
Notre caddy se rempli. Au détour d’une gondole, Isabelle est là, en train de regarder les produits. Heureusement, Rose Marie est devant moi et ne peut voir mon trouble. Il faut que ce soit elle qui la découvre. Elle est à côté d’elle sans s’en rendre compte, Isabelle est obligée de bouger pour que leurs bras se touchent.
• « Pardon ! Oh ! Bonjour Isabelle quelle surprise !
• Pardon… Tiens ! Bonjour Rose Marie – comédienne – elles se font la bise. Que fais-tu là ?
• Eh bien comme toi. Il faut bien se ravitailler ! Tu connais Jean ?
• Oui, bien sûr, elle s’avance pour m’embrasser. Je dois être rouge tomate. Le contact de son corps m’électrise.
• Tu es venue depuis chez toi jusqu’ici ?
• Oui. Mais en fait, j’ai trouvé une maison pas loin depuis deux semaines et je viens ici le dimanche matin car c’est calme et pas cher. Ce qui est rigolo c’est que j’habite en face d’un Leclerc.
• Ah bon ? Lequel ?
• Léognan
• Mais tu es à côté de chez moi !
• C’est vrai que tu es du côté de Chambéry, c’est çà ?
• Oui. Mais, il y a des maisons en face de Leclerc ?
• Il y a la mienne, on ne la voit pas depuis la route. Il faut prendre un chemin. Mais, venez boire le café tout à l’heure, vous verrez comment je suis installé.
• D’accord ! » Elle nous indique alors l’itinéraire. Je fais semblant de réfléchir
• « Tu vas t’en rappeler ? Me dit-elle mutine.
• Je pense que oui » Nous continuons les courses ensemble. Les deux femmes discutent entre-elles alors que volontairement je reste à l’écart. Je vois Isabelle prenant peu à peu l’ascendant sur ma chérie, la frôlant, la faisant rire. Une véritable drague sous mes yeux. Nous nous séparons sur le parking par un « à tout à l’heure » !
• C’est marrant qu’elle ait trouvé une maison à côté. Çà lui change la vie, plus de long trajet ! Dire que l’an dernier je ne la trouvais pas sympa, finalement, elle gagne à être connue. »
De retour à la maison, contrairement à l’habitude, nous déjeunons tôt, nous avons tout de même notre petite « sieste » à faire, celle-ci d’ailleurs est bien coquine.
Nous avions rendez-vous vers quinze heures et peu avant nous partons. Je fais semblant de chercher un peu l’entrée du chemin, m’y engage.
• « Je ne sais pas si çà mène quelque part, si ce n’est dans la forêt. Çà doit être lugubre la nuit, dis-je.
• Çà doit être par-là je n’ai pas vu d’autre chemin avant. Il faut dire que je n’avais jamais fais attention à celui-ci non plus.
• Tiens ! Une maison !
• C’est la grange qu’elle a signalé. J’en rajoute un peu, car je sais qu’après nous découvrirons celle d’Isabelle.
• Ah la voilà ! C’est mignon ! On ne penserait pas trouver çà ici. »
Je m’arrête à côté de la voiture d’Isabelle, qui apparaît aussitôt sur sa porte. Elle a changé de tenue, pour une robe assez courte qui la moule. Fendue sur le côté elle laisse apparaître une jambe. Elle est super sexy, d’autant que je pense qu’elle n’a rien dessous. Elle nous reçoit avec des bises, prétexte à sentir son parfum, son corps déjà chaud qui pour moi au moins, me provoque une poussée de désir. Un bref instant elle a plongé son regard dans le mien, y voyant mon émotion. Elle nous invite à rentrer, faisant passer Rose Marie devant, me repoussant derrière elle, première marque de ma condition de soumis, mais discrète, pour que ma compagne ne le voit pas.
Pour une fois, je ne dépose pas mes clés et ne me déshabille pas dans l’entrée ce qui bizarrement me paraît incongru. Nous arrivons au salon, où Isabelle commente la visite. La cuisine – que je ne connaissais pas – les chambres, la salle de bain où la vue de la douche me mets en transes, puis les autres pièces, cellier, garage …
Rose Marie se déclare enchantée de la maison, surtout devant la grande baie du salon qui donne sur le bois. Celle-ci est ouverte laissant passer le chant des oiseaux.
Isabelle nous invite à nous asseoir, ou plutôt, invite ma compagne à prendre place sur le canapé et me désigne d’un geste, le fauteuil en face. Elle nous laisse pour aller chercher le café tout frais. Connaissant le goût de ma chérie pour ce breuvage, elle savait que l’invitation serait bien acceptée. Elle sert Rose Marie et néglige de me demander. Cette dernière, déjà prise dans les filets ne fait plus attention à moi qui me retrouve isolé des deux femmes assises côte à côte dans le profond canapé que je connais bien.
Isabelle déploie tous ses talents pour subjuguer ma chérie. Un spectateur la connaissant peu, ne verrait rien, mais, en observateur avisé, je remarque les détails qui font que peu à peu, elle « prend possession » de sa voisine, comme une araignée tisse sa toile autour de sa proie. Je suis à la fois, effrayé et excité de sa conduite. Je ressens très bien où elle veut en venir, je le redoute, mais, conditionné, je ne dis rien. Isabelle va soumettre ma chérie, comme elle m’a soumis. En même temps, mon excitation augmente et je suis à l’étroit dans mon pantalon. Je ne peux détacher mes yeux du couple sur le canapé.
Petit à petit, Isabelle s’est rapprochée de Rose Marie. Sa voix a mué et est devenue plus grave, plus chaude, mais moins forte. Sa main, commence à toucher, un bras, une main sans aucune réaction de sa voisine, déjà sous le charme sans s’en rendre compte. De son bras, sous prétexte de prendre la tasse de café, Isabelle frôle un sein qui ne se dérobe pas. Elle ne s’y attarde pas, mais maintenant sa hanche est collée à celle de Rose Marie. La main qui tout à l’heure touchait le bras, se pose sur un genou. Là non plus, pas de réaction.
Les têtes sont très proches, Isabelle murmure, plus qu’elle ne parle, j’ai du mal à suivre une conversation qui est en fait à sens unique. C’est toute la jambe maintenant qui est collée à celle de sa voisine. Les yeux d’Isabelle plongent dans ceux de Rose Marie. La main quitte le genou pour remonter lentement sur la cuisse tout en relevant le bas de la robe.
Les visages sont tout proches. Isabelle ne lâche plus sa proie. Elle sait déjà qu’elle a gagné, mais fait durer le plaisir. Elle joui déjà de la victime qu’elle va déguster et ces moments-là, pour elle, sont magiques à vivre.
Enfin, elle pose ses lèvres sur celles de Rose Marie qui ne fait rien pour se dégager. Dans mon fauteuil, je bande comme un fou de voir ma chérie embrasser une femme. Je n’aurais pas cru cela possible, mais rien ne résiste à Isabelle. Sa langue pénètre les lèvres de ma compagne qui peu à peu, répond au baiser profond. De son côté, Isabelle ne reste pas inactive, maintenant qu’elle a pris possession de la bouche, sa main remonte sur la cuisse jusqu’à la fourche, qu’elle atteint sans réaction hostile. Elle l’abandonne un moment pour finir de déboutonner sa robe, prendre la main de Rose Marie et la poser sur ses seins. Elle repart aussitôt entre les cuisses et masse maintenant par-dessus la culotte, qui sûrement doit être bien humide.
La main de Rose Marie un moment immobile, masse le sein d’Isabelle soupèse la masse et titille le bout érigé. Je suis serré dans mon slip mais ne fais rien. J’attends les ordres de « notre » maîtresse. Pour l’instant, elle se consacre toute entière à son travail de sape envers celle qui normalement est sa supérieure. Ceci doit être aussi pour elle une jubilation supplémentaire. Sa main a pris possession de la chatte de Rose Marie et, experte en la matière la branle doucement. Cachée par la culotte je ne peux voir ses doigts à l’œuvre, mais les soupirs de ma compagne prouvent que le travail d’Isabelle est efficace. Le bassin se soulève pour aller à la rencontre de cette main qui la fouille, puis elle se cambre et joui, son cri étouffé par les lèvres de sa complice. Celle-ci reprend aussitôt la caresse malgré la main de Rose Marie qui trente de la dégager. La lutte est inégale. Isabelle est plus forte et rapidement, elle reprend le contrôle pour amener Rose Marie vers un deuxième, puis un troisième orgasme.
Là elle est anéantie. Etalée sur le canapé elle n’a plus la force d’échanger de baisers ni de caresses. Isabelle, elle, continue les siennes, mais doucement, pour ramener lentement le calme dans ce corps qu’elle a véritablement possédé durant quelques minutes.
Rose Marie est abandonnée aux caresses de sa maîtresse. Lorsqu’elle ouvre les yeux, c’est pour lui sourire, l’embrasser et la caresser en remerciement. Plus rien n’existe autour d’elle et surtout pas moi. Elle est dans la bulle qu’a formé Isabelle qui a maintenant le contrôle total sur sa complice. Elle se lève, entraînant Rose Marie avec elle. Dans le mouvement elle fait glisser sa robe et se retrouve nue, juchée sur ses mules à talon qui lui donnent une supériorité supplémentaire. Ma compagne n’est pas très grande et sa tête se trouve au niveau de la poitrine d’Isabelle. Celle-ci lui plaque le visage contre son sein et entreprend de la déshabiller. Rapidement Rose Marie se retrouve nue contre cette femme qui la dépasse de deux bonnes têtes, qui la caresse alors qu’elle-même suce alternativement les deux seins de sa collaboratrice.
Je suis tétanisé dans mon fauteuil, lorsque Isabelle me fait signe de prendre la position « d’inspection » en la prenant elle-même, les mains derrière la tête, elle offre sa poitrine en se cambrant. Je ne discute même pas, tellement notre maîtresse domine la situation, pour ma part de façon consciente, pour ma compagne, pas encore.
Je me déshabille rapidement et face aux deux femmes qui échangent des caresses, je ne peux cacher l’érection qui pointe en avant. Isabelle reprend les baisers sur les lèvres, les mains parcourent les corps, se glissant entre creux et rondeurs, ce qui ne fait rien pour me calmer, quand Isabelle, prenant Rose Marie par les épaules, la retourne face à moi, lui enveloppant la poitrine dans ses bras. Celle-ci me découvre alors, ouvrant de grands yeux et la bouche de surprise.
• « Tu vois, dit Isabelle, ton homme semble bien excité, le tableau à l’air de lui plaire !
• Oui, c’est un vicieux ! Mais que fait-t-il dans cette position ?
• Çà, ma jolie, c’est moi qui lui ai demandé de se mettre en inspection !
• En inspection ?
• Eh oui ! Ton chéri est un soumis que j’ai dressé ! Il est à moi ! Ne t’inquiètes pas, je ne veux pas te le prendre. Simplement, il est à mes ordres, parfois à mes pieds, dans tous les cas, à ma botte ! »
Rose Marie est abasourdie. Surtout que je ne bouge pas, si ce n’est ma queue qui baisse inexorablement. Isabelle continue de caresser le corps et les seins de sa complice, toujours nichée entre ses bras. Elle lui embrasse le cou, derrière l’oreille, la faisant frémir.
• « Vois-tu, ma chérie, ton homme m’est complètement dévoué ! Çà ne te dérange pas au moins ?
• Non ! Pas du tout ! Je trouve qu’il en a besoin répond ma chérie en me fixant. Je serais même heureuse de voir comment tu t’y prends » Je suis estomaqué ! Rose Marie est rentrée immédiatement dans le jeu d’Isabelle et je n’ai plus rien à dire. Maintenant que ma situation est connue, je deviens l’objet de ces deux femmes.
• « Puisque nous sommes d’accord, je vais t’enseigner comment le prendre en main et en faire ton soumis. En revanche, lorsqu’il est avec moi, il est mon soumis à moi! D’accord ?
• Oui, d’accord !
• Bien ! Et toi aussi !
• Co… Comment ?
• Avec lui, tu es la maîtresse, mais avec moi, tu obéis, en fin, VOUS obéissez ! Ou tu es d’accord, ou vous partez. D’ailleurs vous partez quand vous voulez, ce sera le signe que vous renoncez à me revoir. Il va te montrer comment il fait d’habitude » Je repars vers l’entrée pour y déposer mes vêtements et accrocher la clé, puis je reviens prendre ma place et ma position « Pour ta gouverne, je peux te dire que lui restera. Il ne peut déjà plus se passer d’être à mon service personnel !
• M… Mais, c’est quoi, être à ton service ?
• Tu le découvriras, si tu restes. Tu apprendras beaucoup de choses. Tu subiras beaucoup de choses, dans le respect de ta vie privée et professionnelle bien sûr. En dehors d’ici, tu ne me connais que comme une collègue tout à fait normalement. Mais lorsque tu es ici avec moi tu es comme lui. Tu vas accrocher tes habits et éventuellement tes clés de voiture. Ce n’est qu’ensuite que tu viens prendre ta position ici. Allez ! A toi de choisir ! »
Rose Marie semble hésiter. Toujours dans les bras d’Isabelle elle me regarde intensément. Partagée entre l’envie de fuir et le besoin de poursuivre cette expérience. Je vois ses tétons se dresser. De mon côté, ma verge reprend de la vigueur. Ma chérie respire un grand coup, se dégage d’entre les bras d’Isabelle, se retourne, l’embrasse sur les lèvres et se hissant sur la pointe des pieds. Dit « d’accord », vient vers moi et m’embrasse, puis ramassant ses affaires, va les suspendre dans l’entrée. Elle revient rapidement et se positionne à mes côtés, prenant la position d’inspection en frissonnant.
• « Bien ! Déclare alors notre « maîtresse » A partir de cet instant et jusqu’à que je ne veuille plus de toi où que tu reprennes un jour tes clés sans ma permission, tu es à moi ! Est-ce que tu es toujours partante ?
• Oui !
• Oui qui ?
• Oui Isabelle !
• Il n’y a plus d’Isabelle ici, tu m’appelle Madame !
• Oui… Madame !
• Précise un peu !
• Oui Madame, je suis à vous !
• Très bien, j’ai maintenant un couple de soumis. C’est la première fois que j’ai un vrai couple et je compte bien en profiter. Toi, me dit-elle, tourne-toi et penche-toi sur la table tu n’a pas le droit de voir. Toi ma belle, à genoux et viens me bouffer la chatte. »
Je ne peux qu’entendre les clapotis de la langue dans la vulve que je connais juteuse. Ma chérie m’avait pourtant dit qu’elle n’avait pas de goût pour les lesbiennes, mais elle doit bien se débrouiller car Isabelle ne tarde pas à gémir. Dans le reflet de la télévision, je devine plus que je ne vois, la tête de Rose Marie entre les cuisses de notre maîtresse qui lui tient la tête. Va-t-elle aller aussi loin qu’avec moi ? Pas pour cette première, mais nul doute qu’elle lui fera aussi goûter son urine comme elle aime à le faire avec moi.
Isabelle pousse deux ou trois petits cris, symptôme de son plaisir, puis retire la tête de sa soumise.
• « C’est bien salope ! Maintenant, va t’occuper de ton homme. Non ! A genoux ! Intervient-elle alors que ma chérie se relevait. Tu es une chienne. Tu auras bientôt ton collier et ta laisse, en attendant reste à quatre pattes. Et comme tu es une chienne tu vas lécher le cul de ce chien
• Mais… Elle prend une gifle sonore.
• Tu discutes déjà ?
• Non mais ! Deuxième gifle.
• Non qui ?
• Non Madame ! Pardon Madame !
• Voilà qui est mieux ! écarte bien ses fesses et enfonce bien ta langue dans son cul. Graisse-le bien car il va servir
• Oh oui !
• Tu as envie de le voir se faire enculer ?
• Oh oui !
• Tu lui mets un doigt quelques fois ?
• Oui, je l’ai même pris une fois, à sa demande !
• Mais ils sont coquins ces deux là ! Et bien tu vas voir comment je m’en occupe ! »
Isabelle récupère le gode-ceinture qui n’est jamais très loin, s’harnache avec, puis demande à Rose Marie de venir le sucer. Celle-ci se rend compte alors que le calibre de l’engin n’est pas anodin. Une fois fait, Isabelle lui dit de se mettre à mes côtés et de m’écarter les fesses. Elle positionne le gland sur mon trou et s’enfonce d’un trait au fond de mes entrailles.
• « Regarde-le ton chéri, comme il se fait enculer ! Et il aime çà en plus. Tu vas voir ! » Isabelle me ramone un bon moment ? Je suis honteux d’être ainsi exposé à ma chérie, mais aussi fier de montrer à notre maîtresse toute ma dévotion. Connaissant mon goût pour la position du missionnaire, Isabelle me retourne et me couche sur la table, les jambes en l’air. « Tu vas voir comment il joui ce chien ! dit-elle en relevant mes jambes et en me pilonnant. Suce-le ! tu vas tout avaler !» J’avais un jour dit à Isabelle que Rose Marie n’aimais pas le sperme. Il faut dire que je ne jute pas vite ni souvent, mais lorsque j’ai voulu qu’elle me boive elle a refusé. Là elle ne peut se soustraire à la volonté de notre maîtresse d’autant que celle-ci a empoigné ses cheveux et lui maintient la tête, tout en continuant à me défoncer le cul. A ce rythme, je sais qu’Isabelle doit prendre son pied avant que je ne puisse me lâcher. Aujourd’hui elle doit être particulièrement excitée car elle joui en quelques minutes, m’ordonnant alors de me laisser aller. Heureusement car dans cette position et pompé par ma compagne, je n’en pouvais plus et j’explose aussitôt. Par l’action conjuguée du sexe factice et de la bouche de Rose Marie, j’ai l’impression que mes couilles éclatent et je joui autant du cul que du sexe. C’est énorme ! Ma chérie reçoit tout dans la bouche, ne laissant rien tomber. Je perds un peu les pédales mais dans une sorte de brouillard je distingue Isabelle qui relève la tête de Rose Marie et l’embrasse sur la bouche, partageant mon sperme.
Les deux femmes m’abandonnent et se dirigent vers le canapé pendant que je récupère. Malheureusement pour elle, Rose Marie qui croyait se retrouver dans les bras d’Isabelle, à la demande de celle-ci, doit s’agenouiller et sucer le sexe qui sort de mon cul. Elle ne doit pas le faire suffisamment vite au gré de notre maîtresse, car Isabelle gifle sa poitrine à toute volée. En fureur qu’on lui résiste, puis, la tirant par les cheveux ordonne :
• « Suce salope, et nettoie bien ma bite. Dis-toi que tu as de la chance car ton chéri a dû se laver le cul, il pensait bien en venant ici que je m’en occuperais, comme souvent ! »
Lorsque Rose Marie a terminé son ouvrage, Isabelle reprend un ton plus cajoleur prenant sa complice par les épaules, elle l’embrasse sur la bouche et la caresse comme on félicite un animal pour le remercier. Elle nous donne ensuite congé. Nous nous rhabillons en silence, évitant de nous regarder et quittons la maison.
Au bout du chemin, avant de reprendre la route, Rose Marie m’interpelle
• « Tu ne crois pas que tu me dois des explications ?
• Je …
• Depuis combien de temps çà dure cette histoire ? Et moi je suis une conne qui ne voit rien !
• Pas du tout ! Mais tu as vu comment elle prenait l’ascendant sur les gens ? Je te rappelle que toi aussi tu viens d’être « prise en main » comme moi je l’ai été
• Je … Oui… Bon… Mais répond-moi, depuis quand ?
• Le soir de l’anniversaire. Je n’ai rien vu venir. Je croyais vraiment qu’elle voulait que je la ramène. Ce que je ne savais pas c’est que c’était ici. Cette femme fait faire ce qu’elle veut, tu ne t’en rends pas compte, et tu te retrouve dans ses filets. Elle en impose.
• M… Mais comment as-tu pu participer à ce piège d’aujourd’hui ?
• J’ai laissé échapper un jour que tu allais dans ce magasin et elle m’a demandé de l’avertir. Tu as vu que l’on ne peut rien lui refuser. D’ailleurs toi, tu es vite tombée dans ses filets, je ne t’en blâme pas, je sais de quoi elle est capable. Je l’ai vue faire, mais en parallèle je n’ai rien fait pour l’arrêter.
• Mais que va-t-on devenir ? Qu’est qui nous attend ?
• C’est à nous de décider, nous pouvons choisir de ne plus venir. Je suivrais ce que tu me diras
• C’est vrai qu’elle doit m’apprendre à te dominer ! Dit-elle d’un ton malicieux
• Oui ! Et çà à l’air de te plaire. Donc c’est toi qui décideras et tu verras que ce n’est pas le plus facile.
• D’accord, mais puisqu’il y a trois mois que tu es son … comment on dit ?
• Son soumis
• Puisqu’il y a trois mois que tu es son soumis donc, qu’a-t-elle exigé de toi ?
• Je propose que l’on rentre à la maison et qu’on en discute, on sera mieux qu’ici.
• D’accord »
Après un bref parcours sans parole, je raconte tout à ma chérie qui m’écoute intensément. Le récit dure longtemps, mais, au fur et à mesure, ses yeux brillent, parfois de tristesse, mais, plus j’avance, plus ils brillent d’excitation. Je suis presque à la fin de mon récit lorsque mon téléphone sonne. Me tournant vers Rose Marie je dis :
• « C’est elle
• Que veut-elle
• Que je passe en partant
• Passe-moi ton téléphone »
Rose Marie rappelle le numéro et échange avec Isabelle, lui disant, que, étant chez elle je suis pour le moment, son soumis. Que ce soir elle désire me garder un peu pour mettre les choses au point et pour profiter de ce nouvel état. La discussion change de ton sans que je sache pourquoi. Rose Marie semble plus détendue et écoute en approuvant ce que lui dit Isabelle à l’autre bout du fil. Tout à coup, elle s’adresse à moi en disant :
• « Monte dans la chambre et en position d’inspection, j’arrive ! »
Sans attendre, elle reprend la conversation avec Isabelle. Une conversation qui dure. Mon forfait va en prend un coup, mais je n’ai plus rien à dire, ma vie a encore basculée en peu de temps. Lorsque je l’entends monter je reprends la pose que j’avais un peu abandonnée. Passant devant moi, elle flatte ma queue dressée, me regardant d’un œil gourmand, se déshabille et me demande de me coucher sur le dos. Elle m’enjambe et pose son sexe sur ma bouche pour que je lèche, ce qu’elle sait que j’adore. Son sexe est trempé et de plus elle le frotte bien sur mes lèvres, preuve de son excitation. Alors que je pense qu’elle va se mettre en soixante neuf, elle attrape mes jambes et les relève. Une sensation de froid entre mes fesses précède l’introduction d’un doigt dans mon anus.
• « Puisque tu aimes te faire travailler le cul, tu vas être servi ! » Je sens alors le contact plus large d’un gode qu’elle m’enfonce sans hésiter. Après plusieurs allers et retours, elle met en marche le vibreur et les sensations augmentent. Elle coule maintenant dans ma bouche et je me régale de son jus. Elle a repris ses mouvements avec le gode qui, couplés avec les vibrations, me font atteindre des sommets. Ma prostate est sollicitée. Je gémis et me contracte mais continue mon léchage. Nous partons tous les deux vers des sommets. Sa mouille est de plus en plus abondante. A un moment, elle cesse tout mouvement et son vagin se contracte, puis elle reprend. Par trois fois, chose extraordinaire, elle va se lâcher. Je n’en peux plus de la position et du besoin de jouir. Ma bite est douloureuse. Lorsque enfin elle retire l’engin de mon fondement et me relâche. Je suis anéanti.
• Eh bien mon salaud ! Je crois que j’ai trouvé le moyen de te faire jouir comme il faut. En effet, après qu’elle se soit couchée sur le côté pour elle aussi récupérer, je me rends compte que mon ventre est couvert de sperme. J’ai joui du cul, sans m’en rendre compte, sans être touché, mon sexe à lâché sa semence. Une fois de plus, la position sur le dos, comme avec Isabelle, m’a apporté une jouissance extrême.
• A partir de maintenant, tu auras ton cul régulièrement occupé, mon petit pédé. Isabelle a raison. Il te faut quelqu’un qui te domine. Maintenant, c’est moi qui commanderai !
• Oh oui, ma chérie ! Je t’aime ! Demande moi tout ce que tu veux, je suis à toi !
• C’est bien ! Je veux tout savoir de ce que tu fais. Tu vas aller chez Isabelle en partant, puisqu’elle veut que tu passes, et une fois rentré chez toi tu m’appelleras pour me raconter, en attendant, tu t’habilles et tu me laisses me reposer. » Alors que je vais vers la salle d’eau pour me nettoyer, elle me retient. « Je ne t’ai pas dis d’aller te laver, tu restes comme çà, enfile tes habits et va-t-en »
Penaud, je rassemble mes affaires, dépose un baiser sur ses lèvres et reprends la voiture pour arriver quelques minutes plus tard chez Isabelle. Celle-ci, contrairement à l’habitude prise, m’accueille sur le pas de la porte. Je m’attends à ce qu’elle me demande de la lécher sur place mais elle me demande de rentrer.
• « Inutile de te déshabiller aujourd’hui, il n’y en a pas pour très longtemps. Suis-moi ! Sur le canapé du salon un homme noir, entièrement nu, est allongé. – Mon amant vient de me baiser, alors tu vas le remettre en forme, j’ai envie qu’il me la remette, alors suce et fait en sorte qu’il soit vite opérationnel ! »
Je ne me le fait pas répéter et m’agenouillant j’embouche le sexe, mon premier noir, couvert de la mouille d’Isabelle et de sperme de l’homme. Même flapi, l’engin est déjà imposant. L’homme pose une main sur ma tête commentant « le bien que lui fait cette salope de blanc » Rapidement, preuve que mon travail est bien fait, la colonne de chair s’agrandit entre mes lèvres, pour prendre des proportions imposantes. Ma main parvient à peine à en faire le tour et qui dire de ma bouche distendue. Je ne relâche pas malgré tout mes efforts m’attardant sur le gland rose que je cajole de la langue.
Quand le sceptre atteint sa taille maximum, Isabelle m’interrompt, enjambe l’homme et me demande de guider la verge dans sa chatte ruisselante. Je suis aux premières loges pour admirer son sexe s’élargir sur la puissante colonne ébène et l’absorber entièrement. Elle doit faire presque vingt cinq centimètres de long et bien cinq ou six de diamètre. Après plusieurs aller et retours, Isabelle me congédie sans plus de forme et je quitte la maison alors que ces gémissements emplissent le salon, preuve du plaisir que lui apporte le terrible engin.
De retour à la maison j’appelle ma chérie comme promis pour lui raconter mon passage chez Isabelle. Elle est stupéfaite que j’ai sucé l’amant d’Isabelle. »
• « Et tu suces souvent les mecs ?
• Isabelle m’a forcé plusieurs fois à sucer ses amants !
• Et c’est tout ?
• N… Non ils m’ont aussi …
• Enculé ?
• O… Oui
• Et bien sûr tu aimes çà !
• Quelques fois … Oui, mais…
• Mais quoi ?
• Ne crois pas y échapper si tu continues avec elle
• C’est pas vrai ?
• Si tu lui es soumise, c’est pour tout. Elle dispose de toi et de ton corps comme il lui plaît
• Jamais !
• Tu verras ! »
La discussion s’arrête ensuite et lorsque plus tard, après quelques séances chez Isabelle, parfois en ma présence, Rose Marie subira l’assaut d’amants ou de maîtresses de notre dominatrice commune, elle saura ce que soumission veut dire. Lorsque cela se produira devant moi, au retour entre nous, elle me fera payer l’humiliation.
***
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
étant adepte de la suprématie féminine cette histoire me convient trés bien et aimerais
trouver une MADAME de ce genre vite une suite
trouver une MADAME de ce genre vite une suite
Excellent !