Isabelle 3 fin : notre maîtresse va trop loin

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Isabelle 3 fin : notre maîtresse va trop loin Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Tags : Soumission
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Isabelle 3 fin : notre maîtresse va trop loin
Isabelle va trop loin
Notre relation avec Isabelle va s’arrêter de façon brutale lorsque au cours d’un week-end où nous étions « convoqués » tous les deux et subissions les désirs de notre maîtresse, un incident est venu « perturber » la réunion.
Ce jour-là, Isabelle recevait un couple d’amis. La femme était aussi une dominatrice, son mari n’était pas soumis et les deux femmes (qui étaient aussi amantes) avaient décidées de lui faire découvrir les joies de la domination.
Depuis le matin, nous étions Rose Marie et moi, à la disposition du trio. Les deux femmes avaient abusé de nous. Fessés, godés avec ou sans ceinture, nous étions passés successivement ou parfois ensemble sous la coupe des deux femelles en chaleur, qui avaient même utilisé ma chérie ensemble.
L’homme s’était contenté d’utiliser Rose Marie sous mes yeux après que je l’ai sucé, pendant ce temps là, face à eux, sa femme m’embrochait de son gode ceinture. Isabelle tournant autour des couples pour donner des conseils ou se faire lécher par l’un ou l’autre des quatre acteurs.
Après cette séance, nous étions, Rose Marie et moi en position d’inspection et les trois autres discutaient tranquillement en buvant, lorsqu’une femme d’environ soixante cinq- soixante dix ans fait irruption dans la maison. Elle est nue, se met en position d’inspection à nos côtés. Isabelle se déchaîne alors sur elle
• «  Que fais-tu là espèce de raclure ? Tu sais bien que tu es partie et que donc tout est fini entre nous !
• S’il vous plaît, maîtresse ! Reprenez-moi ! Je n’en peux plus de ne pas vous voir ! Je vous jure que je ne repartirai pas, tatouez-moi à votre nom! Je vous appartiens corps et âme ! Faites ce que vous voulez de moi mais ne me laissez pas !
• Je ne vois pas pourquoi je te croirais plus aujourd’hui qu’avant. Tu es partie de ton plein gré et on ne revient pas comme çà chez moi ! Isabelle est en rage, elle ne se contrôle plus. Galvanisée peut-être par les spectateurs elle déclare alors : Tu vas passer un dernier test. Je t’assure que tu vas en baver plus que jamais. Après çà, si tu as encore envie de rester, j’accepterai peut-être de te reprendre !
• Merci maîtresse ! »
Commence alors une séance d’une sauvagerie extrême. La femme subit tour à tour, le martinet, puis la cravache, celle-ci de façon violente, qui laisse des traces profondes sur son corps. La femme tente de ne pas crier mais n’y parvient plus lorsque les coups atteignent son entrejambes. Isabelle transmet le martinet à l’autre femme qui semble encore plus féroce. La vieille couine maintenant sous les coups. Les deux femelles excitées la prennent sous les bras et l’attachent à un poteau. Isabelle se saisi d’un fouet et s’acharne sur le dos de la malheureuse qui, n’en pouvant plus se relâche et urine sous elle, déclenchant les moqueries et les insultes.
Rose Marie ne peut se retenir de manifester son désaccord. Le regard que lui jette alors Isabelle fait peur, mais, se retenant, elle nous ordonne de partir « à la niche », qui est en fait une petite pièce noire sans ouverture avec juste un tapis par terre.
Là, blottis l’un contre l’autre nous entendrons longtemps les plaintes de la femme avant que la porte de notre réduit ne s’ouvre et qu’elle soit jetée au sol. Nous l’entourons pour la réchauffer et la réconforter. La pauvre est brûlante, son corps couvert de traces dues au fouet, ses lèvres intimes et son anus boursouflés, elle est couverte d’urine et même d’excréments !
Longtemps elle va pleurer dans nos bras. Nus les uns contre les autres, nous sommes solidaires de cette pauvre femme, qui vers le matin alors qu’une pâle lueur éclaire notre « niche » va nous raconter à travers des sanglots, les affres qu’elle a subit de la part de ses trois bourreaux et particulièrement des femmes.
Elle nous supplie de partir tant qu’il est temps.
• « Si vous attendez trop, vous finirez comme moi. J’ai cru pouvoir m’en détacher. Je suis partie il y a trois mois, après deux ans de soumission, mais voilà, je ne peux plus me passer d’elle. Je me croyais forte, je ne le suis plus, mais vous, vous pouvez encore vous en libérer, il y a combien de temps qu’elle vous tient ?
• Trois mois, dis-je et quinze jours pour mon amie mais pour moi cela n’a lieu que toutes les deux semaines, mon amie est venue plusieurs fois
• Alors il est encore temps pour vous de choisir, si vous ne voulez pas finir en épave comme moi, sauvez-vous ! »
Nous discutons longtemps entre nous, nous serrant pour ne pas avoir froid, nous chuchotons. Rose Marie a été choquée par la violence d’Isabelle et de la femme vis-à-vis de notre compagne soumise. Jusque là le jeu lui paraissait plutôt agréable mais la limite a été franchie. Un ressort est cassé.
La porte s’ouvre d’un coup et nous recevons une bassine d’eau froide.
• « Allez, les chiens, debout ! Nettoyez-vous un peu çà pue là dedans ! Oh et puis, on va faire mieux, sortez de là ! Allez, dehors ! »
Trempés et penauds, nous soutenons notre compagne et suivons Isabelle à l’extérieur de la maison. En passant le couple se gondole et nous suit.
Là, Isabelle se saisi du tuyau d’arrosage et nous asperge de l’eau froide, insistant malgré nos cris. Le couple et notre dominatrice commentent en rigolant nos efforts désespérés. Satisfaite de sa farce, elle nous jette une serviette pour les trois, et rejoint le couple à l’intérieur. Avec notre infortunée amie, nous nous essuyons mutuellement. C’est au cours de l’opération de Rose Marie annonce qu’elle arrête, que c’en est trop, me demandant ce que je compte faire. Je suis d’accord avec elle et, en rentrant, nous prenons nos habits, les enfilons rapidement, récupérons les clés de voiture et quittons la maison.
En démarrant je vois Isabelle à la porte qui gesticule et vocifère, mais, nous rentrons chez nous.
Sous la douche réparatrice et mutuelle, nous réapprenons la tendresse, même si Rose Marie m’indique que à l’avenir, rien ne sera pareil, qu’elle compte me « prendre en main » sans atteindre les débordements de notre ancienne maîtresse. Je l’assure de ma docilité et nous faisons l’amour tendrement durant une bonne partie de la journée. Retrouvant les instants du début de notre relation.
L’épisode pourrait s’arrêter ici, mais la conclusion surprenante mérite d’être narrée.
Le lundi suivant ce week-end particulier, Rose Marie convoque Isabelle dans son bureau. Elle lui confirme notre décision, lui interdit de l’approcher en dehors de ses fonctions, la menace de la dénoncer pour violence si elle s’avise de parler de notre expérience et la congédie en la remerciant toutefois de lui avoir fait découvrir le plaisir entre femmes et lui collant un baiser passionné sur la bouche.
Quelques temps plus tard, alors que j’étais en week-end chez ma chérie, nous voyons débarquer Isabelle qui avait bien sûr attendu que je sois là. Elle nous apparaît fatiguée, l’air las, négligée dans sa tenue. Elle ne ressemble plus à la femme distinguée qui prend l’ascendant sur ses interlocuteurs. Elle supplie Rose Marie de la recevoir une dernière fois. De concert nous lui refusons l’entrée et la recevons sur la terrasse. Nous sommes assis et elle reste debout, penaude.
Tout d’abord elle s’excuse de son attitude outrancière. Jure qu’elle ne cherchera plus à nous dominer, qu’elle a conscience d’avoir été trop loin et même avec notre compagne d’infortune entrevue chez elle, il n’y a plus de violence. Elle arrive enfin au vrai but de sa visite et sa révélation ne se fait pas sans mal. Elle se tortille, baisse les yeux, marmonne, des larmes, même perlent dans ses yeux au fur et à mesure de son discours.
• « Je suis venue, car je n’en peux plus d’être séparée et fâchée avec toi, dit-elle en s’adressant plus particulièrement à Rose Marie. Depuis ton départ et ce que tu m’as dis dans ton bureau, je n’ai plus d’appétit, je dors mal, même ma soumise ne me reconnaît plus car je ne la frappe plus.
Je t’aime Rose Marie j’ai mis du temps à m’en rendre compte, mais aujourd’hui je le sais, alors si tu veux bien de moi, ne serait-ce que pour faire tes taches ménagères, ta lessive, la vaisselle. Tu économiseras la femme de ménage et pour tes filles je serai la nouvelle.
J'interviens alors.
• Tu penses que ses filles ne seront pas surprises de voir la nouvelle femme de ménage travailler nue  avec les fesses rouges ?
• Tu es fou me dis Rose Marie
• Non ! Mais, puisque qu’elle le demande, pourquoi ne pas s’amuser avec elle ?
• Mais je ne suis pas du tout comme çà ! Et puis tu as vu où cela mène ? Non je ne suis pas d’accord !
• Je n’ai pas non plus envie d'être violent, mais nous avons un week-end pour nous amuser et puisque tes filles ne sont pas là, çà tombe bien.
• Je ne sais pas si ….
• Juste ce week-end. En contre partie, tu l’autoriseras à te parler, sans jamais aborder ce sujet ni celui de son amour, à moins que tu n’en ais envie ?
• N… Non mais je …
• Juste une fois et on arrête… Si tu le veux.
• Tu crois qu’on peut faire çà ?
• On peut essayer et si ce n’est vraiment pas notre truc on arrête tout de suite. Est-ce que tu es d’accord pour avoir des relations … normales avec elle ?
• Oui, je veux bien lui pardonner.
• Bien, alors on va voir si elle est sérieuse. Toi, dis-je à Isabelle, tu as bien entendu, tu as un week-end pour prouver ta bonne foi. Tu as jusqu’à dimanche soir pour faire tes preuves. A ce moment, si elle est convaincue, tu auras le droit de lui parler pour autre chose que le travail. Tout peut s’arrêter dimanche ou même avant.
• Je suis d’accord.
• Sur tout ?
• Sur tout !
• Bien, alors à poil !
• I… Ici ?
• Pourquoi pas ? Après tout, tu ne t’es pas gênée avec nous.
• Oui bien sûr.
• Ensuite tu rentres et tu nous attends »
Isabelle retire très vite ses vêtements, les abandonne et court se réfugier dans la maison. Je sens que ma chérie est à la limite d’abandonner, aussi je la convainc que c’est une leçon à lui donner, que cela ne nous engage à rien, que cela va mettre un peu de piquant, que … çà m’excite et que j’ai envie d’elle.
Je ne sais lequel de ces arguments porte le plus, mais elle accepte. On s’embrasse tendrement et rentrons, non sans ramasser les effets d’Isabelle restés sur la terrasse.
Nous la trouvons dans l’entrée, immobile. Elle a même pris la pose d’inspection que Rose Marie lui demande de quitter. Je lui trouve un tablier de devant et une paire de sandales. Nous lui indiquons alors les travaux qu’elle a à faire. La vaisselle, nettoyer la cuisine et la salle de bains, ranger les différentes pièces, toutes, sauf, pour l’instant notre chambre dans laquelle nous avons « à faire »
Nous avons fait l’amour pendant deux heures, ma chérie trouvant que j’étais particulièrement excité, mais elle aussi, la situation la stimulait. Elle a même accepté de laisser la porte de la chambre ouverte afin qu’Isabelle puisse nous voir sans pouvoir bien sûr intervenir, ce qui lui causera beaucoup de tourments lorsqu’elle nous trouvera. Elle va rester sur le pas de la porte à nous regarder jusqu'à que nous la chassions. Rose Marie qui est d'habitude peu causante, a exagéré ses gémissements et ses cris afin de tourmenter notre spectatrice.
Toute la journée, nous la passerons en peignoir, à parler, à regarder la télé ou Internet, laissant notre « servante » travailler. Elle prétextait souvent un renseignement pour nous parler. Nous trouvait quelques fois, en train de nous embrasser ou nous caresser, mais ne faisait aucune remarque, même si ses yeux brillaient un peu plus.
Isabelle n’a pas arrêté de nettoyer, astiquer, laver. Le spectacle de cette belle femme exposant son corps involontairement avait tendance à nous exciter et sans nous cacher nous nous sommes embrassés, sucés et caressés plusieurs fois jusqu’au soir.
Après avoir pris une douche dans une salle de bains rutilante, nous nous sommes habillés pour aller dîner au restaurant. Nous avons laissé Isabelle en luis disant de se nettoyer elle-même et lui montrant le canapé où elle pouvait dormir.
Pendant le repas, nous avons discuté de cette situation, certes amusante, mais que nous n’avons pas vraiment envie de poursuivre longtemps. Nous voulons surtout lui donner une bonne leçon et faire en sorte que cette histoire se termine.
Nous convenons néanmoins que cela nous excite bien tous les deux et que c’est finalement agréable alors …
Au retour, nous trouvons Isabelle endormie profondément. Nous la laissons et lui laissons un mot sur le tableau de la cuisine, de nous apporter le petit déjeuner à neuf heures, dans notre chambre.
Rose Marie se sent de nature mutine et la présence d’Isabelle lui donne des idées. Elle décide d’être ce soir la « maîtresse » et moi son serviteur ce que je m’empresse d’être. C’est elle qui commande les caresses et les positions. Je pense que nous avons fait un peu de bruit, car un moment, nous avons entendu du bruit dans l’escalier. Sûrement Isabelle que venait écouter, sans toutefois venir jusqu’à notre porte.
Le lendemain, à neuf heures précises, Isabelle entre dans la chambre. Ayant entendu ses pas dans l’escalier j’ai enlevé le drap qui nous couvrait et fais semblant de dormir. Tourné vers la porte, entre mes cils je vois Isabelle portant le plateau et vêtue du tablier, qui s’arrête et nous regarde silencieusement. Ses yeux brillent en regardant le corps de ma compagne endormie. Elle s’approche sans bruit, à toucher le lit. Je peux sentir son odeur de femme. Ne pouvant me voir à cause du plateau toujours à la main je glisse ma main sous le tablier et atteins aussitôt sa fourche moite. Surprise et se raidi, mais ne fait rien pour échapper à mes doigts. Je la branle rapidement et elle joui sans bruit, laissant échapper son flot de cyprine.
Je me redresse alors et déclare tout haut en réveillant Rose Marie
• « Regarde ma chérie ! Voilà notre petit déjeuner. N’est-ce pas charmant ?
• Mmmmhhh dit-elle un peu ensommeillée. Merci, Tu peux t’en aller maintenant. Continue ton travail»
Nous déjeunons tranquillement puis, ayant posé le plateau j’entreprends de lécher ma compagne, retrouvant entre ses jambes l’odeur forte de la nuit qui me ravit.
Après la douche, j’appelle notre servante afin qu’elle puisse voir le corps de ma compagne, l’empêchant de s’approcher. Elle est complètement tétanisée lorsque je caresse Rose Marie. Admirer ce corps auquel elle n’a pas droit, est une torture pour elle.
Alors que je reviens après être sorti chercher du pain et des huîtres, Rose Marie me fait part d’une demande d’Isabelle
• «  Elle voudrait être punie et recevoir une fessée. Je lui ai dit que je ne la toucherai pas car j’ai vu où ces pratiques menaient.
• Tu as bien fait ! Par contre j’ai remarqué que voir ton corps sans pouvoir y toucher était une véritable torture pour elle, aussi, nous allons faire l’amour devant elle. Elle va voir comment tu prends du plaisir.
• Oh non pas comme çà !
• Elle nous a bien regardés hier. Attends, tu va voir ! » Je vais vers Isabelle, lui enlève son tablier, puis lui mettant les bras dans le dos, lui attache les poignets avec le tissu. « Tu restes debout et comme çà tu ne pourras pas te toucher ! Ecarte les jambes, tu ne pourras pas non plus te faire jouir. »
Nous prenons l’apéro, histoire de faire sauter quelques barrières de ma chérie. Sur le canapé, je commence à l’embrasser, la caresser, la déshabiller, et tendrement nous faisons l’amour. Après les premières hésitations, Rose Marie se laisse aller et peut-être par la présence de notre spectatrice prend du plaisir lorsque la prenant en levrette elle regarde Isabelle qui se tord sous la frustration.
Alors que nous récupérons, affalés sur la couche, j’appelle notre servante et lui commande de lécher ma chérie. Elle ne se le fait pas dire deux fois et se précipite à genoux, les mains toujours entravées. Ma chérie, curieusement, n’oppose aucune résistance et apprécie la caresse homosexuelle. Il faut dire qu’elle a appris à aimer cela.
Sous la langue experte d’Isabelle conjuguée à mes baisers et caresses, elle jouit en abondance, demandant grâce après deux ou trois orgasmes particulièrement intenses.
J’oblige Isabelle à se relever. Elle ne peut toujours pas s’essuyer mais de la langue elle récupère ce qu’elle peut du jus de Rose Marie, son visage reste malgré tout barbouillé ce qui augmente sa torture car l’odeur se son amour reste présente.
Le soir venu, avant que je ne parte, nous autorisons Isabelle à se rhabiller, d’autant que les filles de ma chérie vont rentrer.
Nous faisons le bilan de ce week-end. Isabelle a pu voir que l’on pouvait sans violence, entrer dans ce monde un peu spécial de la soumission/domination. Elle demande à pouvoir renouveler l’expérience, même si ce n’est pas souvent. Je lui dis que la décision ne m’incombe pas. Que cela devait être une occasion unique et que même si j’avais beaucoup pris de plaisir, je ne savais pas si j’étais prêt à continuer. Ma compagne abondait dans mon sens et c’est une Isabelle en pleurs qui nous quittait non sans nous remercier longuement.
Nous avions apprécié ce week-end ma chérie et moi. Quelques temps après je demandai à Rose Marie comment se comportait Isabelle avec elle.
• « Elle est très respectueuse, tout le monde trouve qu’elle est devenue plus agréable avec tout le monde. Je vois qu’elle me regarde sauvent à la dérobée, mais c’est tout. »
Après quelques semaines, Isabelle a demandé à ma chérie si elle la laisserait parfois la gouiner comme elle l’avait fait une fois. Rose Marie a résisté plusieurs fois. Elle m’a parlé un jour des demandes réitérées de sa collègue. Sentant bien qu’elle était tentée, je lui ai suggéré que cela pourrait être une récompense pour le bon comportement d’Isabelle et une source de plaisir pour elle-même. Je l’encourageais même à y répondre favorablement.
Ainsi, de temps en temps, Isabelle passait chez ma chérie et la léchait amoureusement, seule caresse autorisée. Rose Marie me l’avait « avoué » un soir où elle était émoustillée, je pense même qu’elle avait envie à ce moment-là, d’appeler Isabelle pour qu’elle le fasse en ma présence, mais ne l’a pas fait.
Trois jours plus tard, elle m’appelle au téléphone comme nous le faisions souvent. Sa voix est câline et après quelques instants, elle me déclare :
• « Mon chéri ! En ce moment, Isabelle est entre mes cuisses et me lèche divinement ! Je suis sûre que çà t’excite ! »
***
FIN

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