J'ai touché le fond !
Récit érotique écrit par Petit carré rose [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J'ai touché le fond !
Il y a des femmes qui entrent dans nos vies et qui nous laissent des traces indélébiles.
J'avais rencontré Inès à l'époque de mes 30 ans dans le cadre d'un déplacement professionnel, elle était Manager d'une équipe d'artistes et je devais superviser le bon déroulement de la journée de travail. Inès était une petite brune d'un mètre soixante-deux et plutôt chétive, plus jeune que moi de 6 ans mais déjà maman célibataire d'une petite fille et très dévouée dans son travail. Le contact était bien passé entre nous et sans attirance physique ou jeux de séduction d'aucune sorte, nous sommes resté en contact sur les réseaux sociaux. Ils nous arrivaient parfois de s'envoyer des messages pour prendre de nos nouvelles, sur la vie, nos enfants, nos passions respectives mais toujours dans un cadre amical. Bien que charmante, Il faut dire qu'Ines n'était pas trop mon style de fille à l'époque.
La vie a voulu que je me sépare à 32 ans de la mère de mon enfant après 15 ans de vie commune, comme beaucoup de couple de longue date, la raison étant souvent l'infidélité. J'ai découvert sur le tard que la femme avec qui je projetais de finir mes jours avait comme hobby de manger le plus d'homme possible et se donnait à cœur joies lors de ses fréquentes sorties en boîte de nuit. Un jour par curiosité, bien qu'ayant une totale confiance en elle, j'ai vérifié ses appels téléphoniques et découvert qu'elle entretenait une relation extra conjugale depuis plus d'un an déjà, le ciel m'étant tombé sur la tête, j'ai préféré mettre un terme à cette mascarade qui n'avait plus de sens pour moi.
C'est comme cela que j'ai été éjecté de force de ma bulle de bisounours dans lequel j'étais immergé depuis des années. J'ai dû réapprendre à draguer, à séduire pour finalement finir sur des sites de rencontres comme tout ceux qui ont un emploi du temps trop chargé pour pouvoir sortir fréquemment dans des bars.
Un soir, pendant que je naviguais sur le réseaux sociaux le plus célèbre du monde, je suis tombé sur un post d'Inès que j'ai commenté, delà c'est suivi des messages en privé pour reprendre le contact car cela fessait déjà quelques mois où nous n'avions plus échangé. Je lui appris la nouvelle que j'étais à nouveau un homme libre et elle aussi m'avoua être célibataire depuis un bon moment sans réussir à trouver l'âme sœur. Le feeling étant toujours bien passé entre nous et ayant plusieurs points en commun, très vite nous échangions nos numéros de téléphone et décidâmes de nous voir.
Le 08.08.2018, nous nous rencontrions après plus de 6 ans sans s'être vue. Inès vivant à une heure et demie de la capitale, j'étais parti la récupérer à la gare SNCF. Bien que n'ayant jamais été mon style de fille à l'époque, mes goûts en matière de femme ayant changé, j'ai flashé directement en la voyant. Elle était radieuse, le teint du début de bronzage, un sourire magnifique orné son visage, elle avait ce look cool que j'affectionne, petites paires de baskets, un jean et une longue chemise cintrée qui lui arrivait jusqu'au genou. Cela fessait déjà 2 semaines que nous discutions du matin au soir au téléphone et nous avions largement eu le temps d'approfondir ce que nous recherchions chez notre partenaire idéal. Elle était mon âme sœur et ce rendez-vous n'était qu'une formalité pour moi car je la désirais déjà.
Sans plus attendre, en sortant de la voiture, je l'ai embrassé ni résistant plus, elle a répondu favorablement à mon intention par un long baiser et nous sommes allés prendre un verre en terrasse, suivit d'une balade dans le grand parc d'à côté. Allongés sur l'herbe en ce mois d'août, nous étions comme des jeunes adolescents à se bécoter. Nous sommes partie au restaurant puis l'heure arrivant de son dernier train, je l'ai déposé à la gare, un peu frustré de ne pas pouvoir rester plus longtemps avec elle.
Une semaine plus tard d'attente insoutenable des deux côtés, je pris la route lors de quelques jours de disponibilité avec mon travail pour enfin aller la rejoindre, à une heure et demie de chez moi en voiture. Pendant le trajet, plein d'image érotique de nos deux corps qui s'entremêlent sous la chaleur de ce mois d'été me venait à l'esprit. Il faut dire que nos dernières conversations téléphoniques étaient sans équivoque, nous avions tous les deux le feu au cul et voulions clairement baiser. Elle me disait qu'elle voulait me sentir en elle et me prendre en bouche, fantasmant sur mon corps Ébène, je voulais la pénétrer et lui lécher le minou pendant des heures jusqu'à ce qu'elle en perde la tête. Cela fessait bien deux mois d'abstinence depuis mon dernier plan cul et je bandais comme un animal en rut à l'idée de pouvoir posséder bientôt cette petite chatte chaude qui m'attendait aussi excitée que moi.
Lorsqu'Inès m'ouvrit la porte, sans plus attendre, nous nous jetâmes l'un sur l'autre, se laissant aller dans de long baisser fougueux. Après plusieurs semaines à fantasmer sur ce fameux jour de la première fois, j'étais devenu complètement dingue de cette fille. Connaissant les lieux pour y être venu une fois lors de notre première rencontre professionnel , il y avait plus de 6 ans, je la dirigeais dans sa chambre à coucher, nos bouches et nos corps toujours entremêlés.
Je l'assis sur son lit et vins me coucher sur elle. Nous commencions à nous déshabiller rapidement comme si le temps nous manquait, nue sous cette chaleur pesante, nos corps transpirant s'emboitaient à merveille. Nos baissés étaient voluptueux et rempli d'amour, je commençais à l'embrasser sur le cou pour descendre sur un de ses petits seins, lui léchant et croquant langoureusement les tétons qui pointaient sous l'excitation. Inès me tenait la tête en lâchant de petit soupire, mes doigts caressaient d'abord ses jambes pour enfin trouver l'entrée de sa petite chatte fraîchement épilée. J'y introduisis un doigt, Inès pencha la tête en arrière comme pour mieux apprécier l'objet qui la pénétrait, tout en continuant à lui lécher les seins, un deuxième doigt rejoignit le premier, elle mouillait suffisamment et je commençais alors à lui faire des va-et-vient à l'intérieur de sa grotte, Inès me caressa plus fort le dos pour m'inciter à continuer le plaisir que je commençais à lui procurer.
Je ne comptais évidemment pas en rester là pour les préliminaires, je laissais sa poitrine pour continuer à l'embrasser sur son joli ventre ultra-plat, des petits bisous baveux un peu partout pour sentir sa peau, j’aimais son odeur corporelle, ma langue commença à lui lécher du nombril jusqu'au début du pubis, ma tête maintenant au niveau de son entre jambes, je lui écartai les cuisses pour enfin pouvoir y plonger goulûment ma bouche. Huuuum… quelle sensation magnifique de pouvoir lécher une bonne chatte bien entretenue, j'écartais ses grandes lèvres avec mes doigts pour pouvoir mieux lui bouffer le clitoris, avec la lumière du jour et le soleil qui pénétrait dans la chambre, je voulais tout voir de son anatomie, comme un gynécologue. Je voulais savourer chaque centimètre de son intimité, je lui suçais les grandes lèvres à pleine bouche, l'un après l'autre et même les deux à la fois, lui écartant le vagin pour mieux voir à l'intérieur afin de lui introduire plus profondément ma langue et mes doigts. Sucer, lécher, embrasser… Le goût de sa cyprine remplie d’excitation était tous juste enivrant… son corps se crispa, je pense qu'elle avait joui pour la première fois avec moi à ce moment-là.
Dans le sens inverse, je remontais à son visage en lui adressant des baisers sur chaque partie de son corps que je rencontrais. Inès me fit basculer sur le dos, commença à son tour à descendre, me léchant d'abord les tétons tout en continuant à me caresser de ses doigts fin aux alentours de mon sexe en érection, elle ne le prenait toujours pas en main mais le faite de me faire languir ainsi avait pour résultat de me faire bander encore plus fort. Son corps descendit sur mon ventre, mon nombril, la vue d'Ines à quatre pattes devant ma bite qui lui cachait une partie du visage, mis ma verge dans un état de tremblement.
Inès saisit mon sexe des deux mains, me fixa droit dans les yeux puis me demanda :
" tu veux que je te suce bébé ? "
Cette question avait une connotation tellement érotique que ma tête bascula en arrière de plaisir. Voir ma jolie Inès que je désirais depuis tellement de semaines, là à quatre patte, tenant ma bite noire trop grosse pour ses petits doigts blancs me mettait dans un état d'excitation immense. Elle dirigea ses petites lèvres roses vers ma verge noire et commença à me sucer le gland, d'abord timidement comme pour goûter une première bouchée d'un plat inconnu, ayant l'air d'apprécier, elle continua à jouer juste avec mon gland tout en me branlant avec de lents mouvements de va-et-vient. J'aimais comment cela commençait. Elle continua sa dégustation en essayant d'introduire plus loin ce phallus noir en bouche mais ne put aller plus loin que la moitié, elle commença alors à me sucer sur la longueur qu'elle pouvait atteindre, fessant attention de ne pas y mettre de dents, sa pipe était baveuse juste ce qu'il faut pour avoir cette sensation de glisse sans a-coup et de chaleur qui nous entoure, sa langue s'amusant à me caresser le phallus de temps à autre pour décupler mon plaisir.
Elle remonta, et je mis en place le préservatif que j'avais caché sous l'oreiller juste avant. Pour commencer, je la mis dans la position du missionnaire, lui écarta les cuisses, me colla à son corps trempé par la chaleur, pris ma bite en main et l'enfonça lentement dans sa chatte humide. Mon sexe glissait en elle, comme si le chemin lui était déjà connu, tout était parfait, l'étroitesse de son puits d'amour convenait parfaitement à la circonférence de ma verge, je ressentais pleinement cette sentions d'être serré que les hommes apprécient tant. Inès toujours calée au fond de mes bras, tout en lui fessant des baisers endiablés dans le cou, je commençais mes mouvements de va-et-vient en elle, j'entendais ses petits soupirs de satisfaction au creux de mon oreille.
Je me redressais, lui écarta les jambes pour les mettre sur mes épaules, sa chatte luisante de mouille et complètement offerte, son bassin légèrement relevé, je commençais à lui mettre des coups de bite un peu plus profondément et c'est à ce moment-là que je me rendis compte pour la première fois depuis le début de ma vie sexuelle... la première fois que j'eus cette sensation étrange et extrêmement jouissive. je touchais le fond ! Oui, l’impression étrange que ma bite allait jusqu'au fond de l'utérus d'Inès ! Cette sensation de cognée une extrémité à chaque coup de reins ! Mais quel plaisir, quelle sensation de virilité extrême, de mâle Alpha !
Ayant compris cela, j'enfonçais plus fort à chaque pénétration, ma fréquence de pilonnage accéléra, Inès sautillait sur place pour prendre encore plus de plaisir et mieux sentir cette verge qui avait su comprendre son corps. Nous étions en sueur, les draps étaient complètement trempés, Inès était sur le point de jouir pour la deuxième fois, nos corps entrelacés l'un à l'autre, on s'embrassait à grand coup de langue baveux... la tension était survolté... ses jambes largement écartées maintenant pour encore mieux me sentir commençaient à trembler convulsivement... Elle jouit.
Égoïstement, sans attendre qu'elle reprenne ses forces, je la mis en position de levrette, lui agrippa les hanches et commença à la baiser fougueusement, loin derrières moi l'image du prince charmant à ce moment-là, mes couilles remplies à ras bord frappaient violemment sa chatte rasé à blanc, ma bite lui touchait le fond à chaque pénétration, Inès criant des " oui " à répétition accélérer. La vue de son joli cul rebondi malgré sa taille fine décuplait mon excitation et je ne put m'empêcher de lui lâcher une grossièreté :
« putain ! Tu es trop bonne Inès ! Tu es vraiment trop bonne ! »
Mon rythme s'accéléra ... j'étais au bord de l'éjaculation.. mais je n'y arrivais pas.
Pourquoi ? Je ne comprends pas ! Cette fille me plaît sur tous les points de sa personnalité mais je n'arrive pas à jouir en elle... serait-ce un trop grand respect en vers elle qui m'y empêche ? la sensation du préservatif qui me bloque ? Je ne sais pas.
Frustré et épuisé , je m'effondrais à côté d'elle, le sexe toujours dressé vers le plafond.
Inès s'en rendit compte, tendrement et avec douceur, elle saisit ma verge dans sa main et me branla lentement.
"J'adore ta bite, elle a la taille parfaite, en plus elle est circoncise."
Ces mots eurent pour effet de continuer à me faire bander. Elle s’asseyait sur moi, me donnant une vision sur son dos et ses fesses puis plongea ma bite toute dure dans son vagin encore rempli de cyprine. Cette fois-ci, elle avait décidé de mener la cadence, fessant de lent mouvement de haut en bas puis collant sa chatte contre mon pubis en fessant des mouvements de droite à gauche avec son bassin, la sensation était agréable, je sentais mon sexe gonfler encore en elle. Elle se redressa pour mettre ses pieds à plat sur le matelas et s'agrippa sur mes genoux afin de pouvoir me pistonner à sa guise sur toute la longueur de ma bite, gonflé par la sensation. La vue qu'elle m’offrait sur ce spectacle était sublime, je voyais mon phallus noir entrer et sortir de ses grandes lèvres roses, son cul qui s'ouvrait à chaque mouvement du bassin augmentait ce côté voyeurisme... j’étais au bord.... je jouissais... oui enfin ... je jouissais de longs jets de sperme au fond de ma tendre et belle Inès en poussant un cri d'extase.
Nous sommes resté fou amoureux pendant quatre mois, baisant même sur le canapé du salon à chaque retrouvaille pendant que nos enfants jouaient dans leur chambre, impossible d'attendre la nuit venue comme de bons parents responsables. Mais la distance de nos lieux d'habitation a malheureusement eu raison de notre relation.
Je souhaite sincèrement à tous de connaître un jour un si grand coup de foudre.
J'avais rencontré Inès à l'époque de mes 30 ans dans le cadre d'un déplacement professionnel, elle était Manager d'une équipe d'artistes et je devais superviser le bon déroulement de la journée de travail. Inès était une petite brune d'un mètre soixante-deux et plutôt chétive, plus jeune que moi de 6 ans mais déjà maman célibataire d'une petite fille et très dévouée dans son travail. Le contact était bien passé entre nous et sans attirance physique ou jeux de séduction d'aucune sorte, nous sommes resté en contact sur les réseaux sociaux. Ils nous arrivaient parfois de s'envoyer des messages pour prendre de nos nouvelles, sur la vie, nos enfants, nos passions respectives mais toujours dans un cadre amical. Bien que charmante, Il faut dire qu'Ines n'était pas trop mon style de fille à l'époque.
La vie a voulu que je me sépare à 32 ans de la mère de mon enfant après 15 ans de vie commune, comme beaucoup de couple de longue date, la raison étant souvent l'infidélité. J'ai découvert sur le tard que la femme avec qui je projetais de finir mes jours avait comme hobby de manger le plus d'homme possible et se donnait à cœur joies lors de ses fréquentes sorties en boîte de nuit. Un jour par curiosité, bien qu'ayant une totale confiance en elle, j'ai vérifié ses appels téléphoniques et découvert qu'elle entretenait une relation extra conjugale depuis plus d'un an déjà, le ciel m'étant tombé sur la tête, j'ai préféré mettre un terme à cette mascarade qui n'avait plus de sens pour moi.
C'est comme cela que j'ai été éjecté de force de ma bulle de bisounours dans lequel j'étais immergé depuis des années. J'ai dû réapprendre à draguer, à séduire pour finalement finir sur des sites de rencontres comme tout ceux qui ont un emploi du temps trop chargé pour pouvoir sortir fréquemment dans des bars.
Un soir, pendant que je naviguais sur le réseaux sociaux le plus célèbre du monde, je suis tombé sur un post d'Inès que j'ai commenté, delà c'est suivi des messages en privé pour reprendre le contact car cela fessait déjà quelques mois où nous n'avions plus échangé. Je lui appris la nouvelle que j'étais à nouveau un homme libre et elle aussi m'avoua être célibataire depuis un bon moment sans réussir à trouver l'âme sœur. Le feeling étant toujours bien passé entre nous et ayant plusieurs points en commun, très vite nous échangions nos numéros de téléphone et décidâmes de nous voir.
Le 08.08.2018, nous nous rencontrions après plus de 6 ans sans s'être vue. Inès vivant à une heure et demie de la capitale, j'étais parti la récupérer à la gare SNCF. Bien que n'ayant jamais été mon style de fille à l'époque, mes goûts en matière de femme ayant changé, j'ai flashé directement en la voyant. Elle était radieuse, le teint du début de bronzage, un sourire magnifique orné son visage, elle avait ce look cool que j'affectionne, petites paires de baskets, un jean et une longue chemise cintrée qui lui arrivait jusqu'au genou. Cela fessait déjà 2 semaines que nous discutions du matin au soir au téléphone et nous avions largement eu le temps d'approfondir ce que nous recherchions chez notre partenaire idéal. Elle était mon âme sœur et ce rendez-vous n'était qu'une formalité pour moi car je la désirais déjà.
Sans plus attendre, en sortant de la voiture, je l'ai embrassé ni résistant plus, elle a répondu favorablement à mon intention par un long baiser et nous sommes allés prendre un verre en terrasse, suivit d'une balade dans le grand parc d'à côté. Allongés sur l'herbe en ce mois d'août, nous étions comme des jeunes adolescents à se bécoter. Nous sommes partie au restaurant puis l'heure arrivant de son dernier train, je l'ai déposé à la gare, un peu frustré de ne pas pouvoir rester plus longtemps avec elle.
Une semaine plus tard d'attente insoutenable des deux côtés, je pris la route lors de quelques jours de disponibilité avec mon travail pour enfin aller la rejoindre, à une heure et demie de chez moi en voiture. Pendant le trajet, plein d'image érotique de nos deux corps qui s'entremêlent sous la chaleur de ce mois d'été me venait à l'esprit. Il faut dire que nos dernières conversations téléphoniques étaient sans équivoque, nous avions tous les deux le feu au cul et voulions clairement baiser. Elle me disait qu'elle voulait me sentir en elle et me prendre en bouche, fantasmant sur mon corps Ébène, je voulais la pénétrer et lui lécher le minou pendant des heures jusqu'à ce qu'elle en perde la tête. Cela fessait bien deux mois d'abstinence depuis mon dernier plan cul et je bandais comme un animal en rut à l'idée de pouvoir posséder bientôt cette petite chatte chaude qui m'attendait aussi excitée que moi.
Lorsqu'Inès m'ouvrit la porte, sans plus attendre, nous nous jetâmes l'un sur l'autre, se laissant aller dans de long baisser fougueux. Après plusieurs semaines à fantasmer sur ce fameux jour de la première fois, j'étais devenu complètement dingue de cette fille. Connaissant les lieux pour y être venu une fois lors de notre première rencontre professionnel , il y avait plus de 6 ans, je la dirigeais dans sa chambre à coucher, nos bouches et nos corps toujours entremêlés.
Je l'assis sur son lit et vins me coucher sur elle. Nous commencions à nous déshabiller rapidement comme si le temps nous manquait, nue sous cette chaleur pesante, nos corps transpirant s'emboitaient à merveille. Nos baissés étaient voluptueux et rempli d'amour, je commençais à l'embrasser sur le cou pour descendre sur un de ses petits seins, lui léchant et croquant langoureusement les tétons qui pointaient sous l'excitation. Inès me tenait la tête en lâchant de petit soupire, mes doigts caressaient d'abord ses jambes pour enfin trouver l'entrée de sa petite chatte fraîchement épilée. J'y introduisis un doigt, Inès pencha la tête en arrière comme pour mieux apprécier l'objet qui la pénétrait, tout en continuant à lui lécher les seins, un deuxième doigt rejoignit le premier, elle mouillait suffisamment et je commençais alors à lui faire des va-et-vient à l'intérieur de sa grotte, Inès me caressa plus fort le dos pour m'inciter à continuer le plaisir que je commençais à lui procurer.
Je ne comptais évidemment pas en rester là pour les préliminaires, je laissais sa poitrine pour continuer à l'embrasser sur son joli ventre ultra-plat, des petits bisous baveux un peu partout pour sentir sa peau, j’aimais son odeur corporelle, ma langue commença à lui lécher du nombril jusqu'au début du pubis, ma tête maintenant au niveau de son entre jambes, je lui écartai les cuisses pour enfin pouvoir y plonger goulûment ma bouche. Huuuum… quelle sensation magnifique de pouvoir lécher une bonne chatte bien entretenue, j'écartais ses grandes lèvres avec mes doigts pour pouvoir mieux lui bouffer le clitoris, avec la lumière du jour et le soleil qui pénétrait dans la chambre, je voulais tout voir de son anatomie, comme un gynécologue. Je voulais savourer chaque centimètre de son intimité, je lui suçais les grandes lèvres à pleine bouche, l'un après l'autre et même les deux à la fois, lui écartant le vagin pour mieux voir à l'intérieur afin de lui introduire plus profondément ma langue et mes doigts. Sucer, lécher, embrasser… Le goût de sa cyprine remplie d’excitation était tous juste enivrant… son corps se crispa, je pense qu'elle avait joui pour la première fois avec moi à ce moment-là.
Dans le sens inverse, je remontais à son visage en lui adressant des baisers sur chaque partie de son corps que je rencontrais. Inès me fit basculer sur le dos, commença à son tour à descendre, me léchant d'abord les tétons tout en continuant à me caresser de ses doigts fin aux alentours de mon sexe en érection, elle ne le prenait toujours pas en main mais le faite de me faire languir ainsi avait pour résultat de me faire bander encore plus fort. Son corps descendit sur mon ventre, mon nombril, la vue d'Ines à quatre pattes devant ma bite qui lui cachait une partie du visage, mis ma verge dans un état de tremblement.
Inès saisit mon sexe des deux mains, me fixa droit dans les yeux puis me demanda :
" tu veux que je te suce bébé ? "
Cette question avait une connotation tellement érotique que ma tête bascula en arrière de plaisir. Voir ma jolie Inès que je désirais depuis tellement de semaines, là à quatre patte, tenant ma bite noire trop grosse pour ses petits doigts blancs me mettait dans un état d'excitation immense. Elle dirigea ses petites lèvres roses vers ma verge noire et commença à me sucer le gland, d'abord timidement comme pour goûter une première bouchée d'un plat inconnu, ayant l'air d'apprécier, elle continua à jouer juste avec mon gland tout en me branlant avec de lents mouvements de va-et-vient. J'aimais comment cela commençait. Elle continua sa dégustation en essayant d'introduire plus loin ce phallus noir en bouche mais ne put aller plus loin que la moitié, elle commença alors à me sucer sur la longueur qu'elle pouvait atteindre, fessant attention de ne pas y mettre de dents, sa pipe était baveuse juste ce qu'il faut pour avoir cette sensation de glisse sans a-coup et de chaleur qui nous entoure, sa langue s'amusant à me caresser le phallus de temps à autre pour décupler mon plaisir.
Elle remonta, et je mis en place le préservatif que j'avais caché sous l'oreiller juste avant. Pour commencer, je la mis dans la position du missionnaire, lui écarta les cuisses, me colla à son corps trempé par la chaleur, pris ma bite en main et l'enfonça lentement dans sa chatte humide. Mon sexe glissait en elle, comme si le chemin lui était déjà connu, tout était parfait, l'étroitesse de son puits d'amour convenait parfaitement à la circonférence de ma verge, je ressentais pleinement cette sentions d'être serré que les hommes apprécient tant. Inès toujours calée au fond de mes bras, tout en lui fessant des baisers endiablés dans le cou, je commençais mes mouvements de va-et-vient en elle, j'entendais ses petits soupirs de satisfaction au creux de mon oreille.
Je me redressais, lui écarta les jambes pour les mettre sur mes épaules, sa chatte luisante de mouille et complètement offerte, son bassin légèrement relevé, je commençais à lui mettre des coups de bite un peu plus profondément et c'est à ce moment-là que je me rendis compte pour la première fois depuis le début de ma vie sexuelle... la première fois que j'eus cette sensation étrange et extrêmement jouissive. je touchais le fond ! Oui, l’impression étrange que ma bite allait jusqu'au fond de l'utérus d'Inès ! Cette sensation de cognée une extrémité à chaque coup de reins ! Mais quel plaisir, quelle sensation de virilité extrême, de mâle Alpha !
Ayant compris cela, j'enfonçais plus fort à chaque pénétration, ma fréquence de pilonnage accéléra, Inès sautillait sur place pour prendre encore plus de plaisir et mieux sentir cette verge qui avait su comprendre son corps. Nous étions en sueur, les draps étaient complètement trempés, Inès était sur le point de jouir pour la deuxième fois, nos corps entrelacés l'un à l'autre, on s'embrassait à grand coup de langue baveux... la tension était survolté... ses jambes largement écartées maintenant pour encore mieux me sentir commençaient à trembler convulsivement... Elle jouit.
Égoïstement, sans attendre qu'elle reprenne ses forces, je la mis en position de levrette, lui agrippa les hanches et commença à la baiser fougueusement, loin derrières moi l'image du prince charmant à ce moment-là, mes couilles remplies à ras bord frappaient violemment sa chatte rasé à blanc, ma bite lui touchait le fond à chaque pénétration, Inès criant des " oui " à répétition accélérer. La vue de son joli cul rebondi malgré sa taille fine décuplait mon excitation et je ne put m'empêcher de lui lâcher une grossièreté :
« putain ! Tu es trop bonne Inès ! Tu es vraiment trop bonne ! »
Mon rythme s'accéléra ... j'étais au bord de l'éjaculation.. mais je n'y arrivais pas.
Pourquoi ? Je ne comprends pas ! Cette fille me plaît sur tous les points de sa personnalité mais je n'arrive pas à jouir en elle... serait-ce un trop grand respect en vers elle qui m'y empêche ? la sensation du préservatif qui me bloque ? Je ne sais pas.
Frustré et épuisé , je m'effondrais à côté d'elle, le sexe toujours dressé vers le plafond.
Inès s'en rendit compte, tendrement et avec douceur, elle saisit ma verge dans sa main et me branla lentement.
"J'adore ta bite, elle a la taille parfaite, en plus elle est circoncise."
Ces mots eurent pour effet de continuer à me faire bander. Elle s’asseyait sur moi, me donnant une vision sur son dos et ses fesses puis plongea ma bite toute dure dans son vagin encore rempli de cyprine. Cette fois-ci, elle avait décidé de mener la cadence, fessant de lent mouvement de haut en bas puis collant sa chatte contre mon pubis en fessant des mouvements de droite à gauche avec son bassin, la sensation était agréable, je sentais mon sexe gonfler encore en elle. Elle se redressa pour mettre ses pieds à plat sur le matelas et s'agrippa sur mes genoux afin de pouvoir me pistonner à sa guise sur toute la longueur de ma bite, gonflé par la sensation. La vue qu'elle m’offrait sur ce spectacle était sublime, je voyais mon phallus noir entrer et sortir de ses grandes lèvres roses, son cul qui s'ouvrait à chaque mouvement du bassin augmentait ce côté voyeurisme... j’étais au bord.... je jouissais... oui enfin ... je jouissais de longs jets de sperme au fond de ma tendre et belle Inès en poussant un cri d'extase.
Nous sommes resté fou amoureux pendant quatre mois, baisant même sur le canapé du salon à chaque retrouvaille pendant que nos enfants jouaient dans leur chambre, impossible d'attendre la nuit venue comme de bons parents responsables. Mais la distance de nos lieux d'habitation a malheureusement eu raison de notre relation.
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