Partouze... une activité périscolaire. - histoire érotique

Cette histoire vraie remonte à l'époque de mes 20 ans, cela fessait déjà un petit moment que j'avais commencé ma vie sexuelle sans pour autant vivre des expériences extraordinaires. J'étais dans le schéma classique comme beaucoup de jeunes de mon âge, trouver une petite amie ou de préférence débusquer la fille légère prête à finir régulièrement les jambes en l'air à mon bon vouloir. Mais malheureusement, je n'avais pas le don pour repérer ce genre d'oiseau volage contrairement à certains de mes potes qui s'en délectaient. J'avais bien eu l'occasion d'en rencontrer deux ou trois d'entre elles avec qui j'aurais pu en profiter à ma guise, mais mon côté trop gentil et respectueux des femmes m'avait empêché d'aller plus loin que du doitage de fente pendant qu'elles me faisaient des branlettes finissant en jet de sperme sur leurs ventres ou dans leurs mains. Je n'avais même pas eu l'opportunité de jouir d'une petite pipe au passage, ne sachant sûrement pas m'y prendre . J'avais entendu qu'elles jouaient les chiennes dans des locales à vélo ou dans des voitures la nuit avec mes autres camarades et pourtant voulaient toutes installer une relation sérieuse avec moi. J'aurais sûrement dû faire semblant d'accepter pour pouvoir profiter à mon gré de leurs jolis petits culs et seins encore bien fermes à cet âge-là. Certainement que les autres mecs adoptaient la stratégie du petit ami aimant... mes principes et sûrement le faite d'avoir plusieurs sœurs m'a empêché de traiter les femmes de la sorte, à mon plus grand regret en y pensant encore aujourd'hui..

À 20 ans, j'étais en couple avec une fille depuis 3 ans déjà, nos relations se résumaient plus à la position du missionnaire et à quelques levrettes selon son humeur du jour, hors de question pour la fellation qu'elle trouvait sale au début mais cela à radicalement changer quelques années plus tard, sans raison particulière, elle s'est mise à vouloir me sucer la bite pendant des demi-heures entières, le matin au réveil, le soir au couché, j'avais droit à des mises en bouche magnifique de sa part. Des séances de pipe où elle me bouffait des couilles jusqu'au gland sans interruption, j'avais même de temps en temps, lorsqu'elle était très excitée le droit de lui envoyer tout mon jus dans la bouche, jamais elle n'a avalé mais j'étais aux anges. Je me suis parfois posé la question de pourquoi ce changement radical de comportement, sûrement un amant caché dans les placards ou un fantasme refoulé qui surgissait soudainement.

J'avais obtenu mon bac avec mention et à cette époque je trainais souvent avec un de mes bons potes rencontrés sur les bancs du lycée. Nino était un noir d'origine congolaise et très porté sur le cul, son seul objectif était de baisser toutes les petites chattes blanches qu'il pouvait et son compteur en la matière était plutôt déjà très élevé pour son âge. Il collectionnait trois ou quatre relations en simultané et je me demandais bien comment pouvait-il et où trouvait-il
le temps pour tout ça, je trouvais sa libido extrême plutôt maladive.

Pendant un break que j'avais pris avec ma copine car je la soupçonnais fortement d'aller se faire fourrer ailleurs dès que j'avais le dos tourné, Nino m'appela pour me proposer un plan que personne de sain d'esprit aurait pu refuser. Il avait rencontré une fille, je ne sais où , qui lui proposait de réaliser son fantasme, c'est-à-dire de se faire baiser par plusieurs blacks. Nino au cœur très généreux s'était proposé favorable pour cette mission avec une extrême bienveillance. Il avait déjà tout organisé, l'heure du rendez-vous et avait réussi à avoir un appartement prêté par un de ses potes, il m'avait donc appelé, son copilote de tous les jours, sachant que je serais partant pour ce genre de débauche sexuelle.

Je me méfiais par contre de la fille qu'il allait amener, il faut dire qu'en matière de femme, Nino préférait plutôt la quantité à la beauté et dans la majorité des cas, les filles qu'il se vantait de sauter n'étaient pas du tout de mon goût... mais j'ai appris qu'avec le temps, les goûts changent.

Le rendez-vous a été fixé un mercredi après-midi dans le hall d'un centre commercial non loin de chez nous. Apparemment, Nino n'avait également jamais vu cette fille et ne conversait que par téléphone, pendant 10 minutes nous vîmes passer quelques filles en croyant d'après le style habituel de Nino que cela pouvait être l'une d'entre elles, des blanches plutôt Skinny et avec des looks de baba cool, en bref, pas du tout mon style mais bon... quand il faut rendre un service à une jeune demoiselle à la croupe toute mouillée de fantasme inassouvi, comment refuser.

Magda arriva. Je peux vous garantir que j'étais à 2000 lieues de m'imaginer que ça serait ce genre de fille. Juste à la voir marcher en s'approchant de nous, mon cœur avait commencé à battre la chamade et je bandais déjà très fort dans mon caleçon. Magda était tout le contraire de ce que Nino soulevait habituellement, elle était extrêmement pulpeuse et uniquement au bon endroit, un cul rebondi qui se balançait à chaque déhanchement dans son jean gris qui l'a cambré à merveille, une poitrine généreuse mise en valeur dans un joli décolleté blanc pas trop provocateur, mais juste à deviner la taille de la poitrine qui se cachait en dessous, cela devait laisser pas mal d'idée coquine aux hommes et femmes qui la croissaient sur son chemin et à nous deux, Nino et moi, nous laisser penser les nombreuses délices grâce aux qu'elles, on pourrait jouir. Un très joli visage de pin-up maghrébine, elle ressemblait à ces filles super-bandantes qu'on peut voir aujourd'hui sur Instagram, elle aurait pu facturer des hautes prestations comme escorte girl si elle voulait, je ne pouvais que tirer mon chapeau à Nino, il avait visé très haut cette fois-ci.


Magda avait cet air timide en surface mais qui cache très souvent un tempérament de chaudasse au pieux, on la contempla de haut en bas avec un large sourire aux lèvres qui ne cachaient aucunement notre envie de la baiser dans toutes les positions et par tous les trous si c'était son souhait, on l'aurait même baisée sauvagement dans un coin discret du centre commercial si on n'avait pas eu d'endroit propice. L'excitation dans nos yeux l'a mise à l'aise et elle nous répondit par un sourire détendu également, sûr que son sex-appeal fonctionnait. Une fois que les présentations eurent été faites et que personne d'entre nous ne voulut subitement faire marche arrière face à cette après-midi de débauche qui se planifiait, nous prîmes le bus en direction de l'appartement.

« Ça t'arrive souvent de faire des plans à plusieurs ?» Lui demanda Nino dans le bus

« Oui… dès que je peux m'échapper à la surveillance très stricte de mes frères, j'en profite pour me faire défoncer de partout »

Nous répondit Magda avec un ton très naturel, comme si on lui parlait du beau temps, tout simplement. Cela eut pour effet de me décontracter aussi et de me dire qu'au final, il n'y avait rien de mal ni de pervers dans cette situation, cette fille était plus que consentante et ressentait même un besoin de le faire. Elle brisa cette barrière que je me fessais, c'est-à-dire que c'était les hommes qui poussaient les femmes à devenir des salopes, une femme pouvait bien être une chienne de nature sans l'aide de personne, mais juste par ce qu'elle aimait la bite. En gros, ça n'aurait pas été nous aujourd'hui, elle aurait trouvé d'autres queues donc je comptais bien en jouir de ce corps qui poussait ma verge noire et circoncise à se comprimer et à former une bosse visible dans mon jean.

« C’est plutôt quoi ton style de mecs »
lui demandais-je
« sans hésiter... Les blacks ! Vous avez des corps et des sexes magnifiques, vous savez bien vous en servir et vous me défoncez à chaque fois avec une intensité incroyable... voire une belle queue bien noire a le don de m'exciter au plus au point... plus elle est noire, plus elle m'excite... je ne sais pas pourquoi moi-même »
dit-elle simplement et avec habitude de la question.

À deux stations de l'arrivée, Nino rencontra le grand frère d'un de ses potes du quartier, Alain qui nous demanda directement où nous allions avec cette charmante créature, il avait du flair le coyote, on proposa donc à Magda qu'il nous rejoigne dans cette partie de jambes en l'air et elle accepta sans hésiter car il était noir, et une belle bite noire en plus à sucer et à se fourrer dans le minou ne lui déplaisait pas comme idée.

Une fois dans l'appartement, un F1 qui nous avait été généreusement prêté, pendant que Magda rejoignait la salle de bain pour se préparer, nous installions le lit clic-clac au milieu d'un salon qui devait bien mesurer 25m², la lumière du Soleil y était abondante et on aurait donc le plaisir des yeux de ne rien louper à cette partouze qui se préparait. Nino et Alain ne pouvant plus attendre et ayant apparemment beaucoup plus d'expérience en la matière que moi, se déshabillèrent très rapidement. Tous deux assis sur le lit clic-clac, branlant lentement leur grosse bite noire , le regard excité en direction de la salle de bain, on aurait dit deux chiens attendant derrière la porte l'heure d'arrivée de leurs maîtresses. J'étais un peu mal aa l'aise car c'est la première fois que je me retrouvais dans cette situation avec deux autres hommes, la bite en érection. Nino, bien qu'étant plus petit que moi en taille avait un phallus plus que respectable qui devait avoisiner les 18cm, Alain n'était pas à plaindre non plus, un peu plus longue que Nino et plus grosse aussi, la mienne devait se trouver entre les deux, Magda n'allait sûrement pas être déçue par sa journée sex organisée.

Lorsqu'elle arriva, j'étais encore en caleçon, n'osant pas trop, en vrai, me mettre nu devant mes deux amis. Elle était sublime, et avait enfilé des sous-vêtements noirs en dentelle qui mettait encore plus son corps pulpeux en volupté, elle avait enfilé des porte-jarretelles sur ses belles jambes naturellement dorées de par ses origines maghrébines, je bandais comme un fou à la vue de ce cul large qui nous était offert gracieusement. Ma bite avait soulevé mon caleçon à carreau rouge qui pointait maintenant en sa direction comme un enfant qui montre un objet à sa maman du doigt. Elle avança lentement vers nous et s'installa à quatre pattes sur le lit, tout juste entre Nino et Alain, de mon angle de vue, debout, j'avais une vue magnifique sur son string en dentelle qui délimitait bien les deux fesses et cachait à peine sa croupe, en avançant juste de trois ou quatre pas, ma bite aurait pu directement lui glisser dans sa fente que j'imaginais déjà humide de cyprine pour la prendre en levrette.

Magda attendait immobile à quatre pattes sur le lit, elle avait posé sa tête sur l'oreiller en fessant en sorte de se cambrer au maximum pour que son cul pulpeux reste bien en l'air, puis commença à glisser une main entre son entrejambe pour commencer à se caresser le clitoris à travers le tissu de son string. Elle était magnifique et expérimentée, je pense qu'on se trompait dès le départ sur notre position de force et que c'est elle qui allait abuser de nous, elle allait nous vider les couilles jusqu'à la dernière goutte de sperme qu'un homme peut produire en 24h. Alain débuta les hostilités en premier en lui caressant délicatement les fesses, il fessait des allers avec sa main sur toute la surface de peau qui n'était pas cachée par la fine ficelle de string noir, malaxant parfois la chair de ses gros doigts ou en lui mettant des petites fessées comme pour vérifier la solidité de la marchandise avant utilisation. Nino attaqua par le dos, en essayant de dégrafer le soutien-gorge, un exercice toujours difficile pour un homme même expérimenté, le bout de tissu céda et il releva légèrement Magda pour le lui enlever complètement, d'où j'étais placé, je pouvais voir deux gros seins enfin libres qui retombaient maintenant sur la couverture du lit, Nino commença à les soupeser comme pour bien se rendre compte de leur volume. Ne pouvant plus résister, j'enlevais mon caleçon, libérant enfin ma bite durcie que je pris en main, me dirigea vers le lit des plaisirs tout en me branlant lentement pour la maintenir dans un état maximum d'excitation.

Je me positionnai juste devant le visage de Magda qui releva instantanément la tête, mon sexe gonflé en direction de ses lèvres , elle n'eut plus qu'à ouvrir la bouche pour me gober. Je ne pouvais fermer les yeux comme habituellement pour mieux apprécier la sensation de cette bouche experte qui était en train d'astiquer à merveille mon membre, je voulais voir, sans louper une miette, le film porno que j'étais en train de vivre en Live. Elle enleva la main avec laquelle elle se branlait le clitoris pour venir la positionner sur ma verge gonflée, je pus voir que ses doigts étaient déjà luisants de mouille, puis commença à me branler en même temps qu'elle me suçait la bite. Au début sa bouche s'amusait juste à m'aspirer le gland en fessant un petit bruit de "plop" à chaque fois qu'elle la perdait de sa bouche, elle commença petit à petit à se l'enfoncer plus loin dans la gorge, jouant avec sa langue à en faire le tour... mais quelle sensation de bien-être, elle jouait à sa guise avec mon état d'excitation et aurait pu me faire jouir à la seconde si elle l'avait souhaitée mais Magda en femme experte n'était pas pressée de me voir jouir trop vite, elle voulait profiter au maximum, elle aussi de la situation. En relevant la tête, Alain avait déjà enlevé le string en dentelle noir de Magda, un préservatif fixé sur sa longue queue noire, il était entrain de saliver sur ses doigts afin de mieux faciliter l'accès de son membre dans cette croupe chaude qui l'attendait. Il poussa lentement et sans effort apparent, signe que Magda mouillait comme une bonne petite chienne qu'elle était, il l'agrippait par les hanches et commença à la pilonner dans un rythme soutenu. Nino était maintenant allongé au niveau de la poitrine de Magda et essayait de lui bouffer les tétons aussi bien qu'il pouvait, vu sa position qui n'était pas la plus idéale pour cette opération. La vue de tous ces corps nue en mouvement, de ce métissage de couleur me donnaient des frissons de plaisir. Je vivais un fantasme. L'idée de pouvoir soumettre une aussi jolie femme au visage de poupée fantasmagorique décuplait encore plus nos ardeurs bestiales. Nous étions entrain de baiser comme une salope la "princesse Shéhérazade" des mille et une nuits, et ça dès la première rencontre.

Nino prit ma place pour une bonne fellation et je pris donc la place d'Alain qui ne voulait pas jouir trop vite, pendant que j'enfilais ma capote pour explorer à mon tour ce vagin qui était apparemment si accueillant,

« Fait attention frérot, elle est vraiment trop bonne, fait gaffe de ne pas tout lui cracher dedans trop vite »

J'allais me régaler, j'avais enfin la vue sur son énorme cul qui se tortillait devant moi, elle avait hâte qu'une autre bite vienne vite remplir le vide que la première avait laissé dans son con. Je l'agrippai par les hanches et y introduit ma bite gonflée à l'aide de la main droite, elle mouillait comme une dingue, la sensation de chaleur m'envahit directement le sexe, je du prendre un temps d'arrêt pour bien sentir l'environnement dans lequel mon phallus s'était plongé. Magda avait plutôt, si on peut dire, une grosse chatte, je nageais dedans, je ne parvenais pas à bien ressentir les bords, comme si Alain avant, avaient complètement élargi les parois de son gros anaconda noir, où bien que la petite salope se fessait tellement baiser de partout que son vagin n'arrivait même plus à récupérer entre deux débauches... eh bien merde... si ces frères savaient comment elle occupe ses mercredis après-midi censé être à la bibliothèque, à quatre pattes entrain de se faire bourrer dans tous les trous par des noires raffolant d'exotismes.

Cette idée perverse m'excita, et je commençais à la pilonner dans un rythme soutenu, fessant en sorte de lui donner des grands coups secs à chaque fois que mes couilles allaient toucher ses grandes lèvres, je me régalais de ses fesses pulpeuses fessant des ondulations à chaque coup de boutoir et du bruit sec que la collision de nos corps nus propageait dans la pièce. Nino et Alain de leur côté lui baisait la bouche à tour de rôle en la tenant la tête afin de dicter la cadence souhaitée. Au bord de la jouissance, on changea de position, Magda restant toujours à quatre pattes, Nino se glissa en-dessous d'elle pour accéder à sa croupe qui arborait une fine toison pendant qu'Alain lubrifiait son anus en se servant du trop-plein de mouille qui lui coulait encore de la chatte. Alain se positionna les deux pieds sur le lit afin de prendre de la hauteur et glissa lentement sa verge dans la rose de Magda qui s'ouvrît assez facilement. Nino et Alain prit un temps d'arrêt comme pour bien positionner leurs deux sexes qui se touchaient à l'intérieur de ce nid à sperme, puis commença avec synchronisation et harmonie leur va et vient. Magda pour laquelle depuis le début, il faut dire, je n'avais pas pris le temps d'observer son ressenti, pensant égoïstement à mon propre plaisir, jouissait comme nous de la situation, ses halètements de petites chiennes en chaleurs ne cessaient de s'accélérer, son corps et ses cheveux mouillés transpiraient de plaisir, ne pouvant s'empêcher de répéter des "oui oui oui" en essayant de suivre le mouvement que ces deux grosses bite noires lui imposaient au fond des entrailles.

"Encule-moi, Encule-moi, Encule-moi... je vais jouir, je vais jouiiiiir... Ooooh je jouiiiiis ! "


Magda venait de crier bien haut le Gong du premier Round. Enfin croyait-elle, Alain fut encore plus déchaîné après les cris de plaisir de la princesse en pleine débauche sexuelle, il accéléra sa sodomie avec un rythme effréné, son long gland disparaissait maintenant entièrement au fond du cul de Magda, on pouvait entendre le bruit de ses grosses couilles résonner dans toute la pièce lorsqu'elles claquaient sur le fessier pulpeux de sa monture,

"Ah ah ah ah ah ...oh !!! putain elle est trop bonne... cette pute ! oh putain je vais jouir ... " haletait-il

Alain finit par jouir dans un râle rauque et bestial, vidant toute sa semence dans le fondement de Magda, heureusement qu'il portait un préservatif sinon je pense que vu l'engin du gaillard, elle aurait eu du sperme qui lui en coulerait encore une fois chez elle. une fois qu'Alain s'était retiré laissant un gros espace libre à l'endroit où il s'était planté. Nino s'étant mis en pause devant l'animosité de son binôme, repris lui aussi son pilonnage de façon énergique ayant la belle pour lui tout seul, Magda reprit quelque force et essaya de suivre la cadence de ce petit bonhomme qui montrait tant d'entrain pour la labourer correctement tel la petite salope qu'elle était, il l'a baisée de tout son être, lui bouffant les seins à pleine bouche, la soulevant carrément du lit tellement la passion et l'envie de jouir étaient à leur paroxysme

"Oh oh oh oh... je jouis... jouiiiiiiis !!!! "

Nino jouissant en tremblant frénétiquement comme une petite mort, puis finit le corps inerte et les bras allongés sur les deux côtés du lit clic-clac de ce F1 de la banlieue ouest, on pouvait encore voir sa bouche qui essayait de téter les gros mamelons de sa meurtrière, comme un boxeur qui ne voudrait pas s'avouer vaincue. Magda finit par l'achever en fessant des gestes circulaires du bassin tout en fessant bien attention de garder sa bite bien au chaud au fond de sa chatte trempée, jusqu'à la débandaison totale de ce soldat valeureux.

Il restait encore moi qui n'avais toujours pas joui et je ne comptais sûrement pas rentrer avec tout ce foutre stocker au fond de mes couilles. Alain et Nino étant parti à la salle de bain, sûrement pour jeter leurs capotes usagées, j'attrapai Magda et l'ai mise sur le dos en position du missionnaire, je lui écartai grandement les jambes pour les rabattre sur mes épaules, laissant ainsi sa croupe luisante bien ouverte et à hauteur de ma verge raide d'excitation, j'enfonçai ma bite toute droite sans avoir besoin de la guider de ma main, Magda lança un petit gémissement quand je commençai à lui embrasser le cou puis lui lécher les tétons. Mon bassin commença à effectuer des va-et-vient lents mais régulier pour finir par accélérer par la suite, étant au bord de l'excitation je cherchais à jouir aussi au fond de cette sirène maghrébine, mais rien ... mon sperme restait au bord de mon gland sans vouloir en sortir, après 5 bonnes minutes à la labourer comme un déchaîné, je finis par me résigner et à sortir ma bite de cette si bonne chatte chaude. Magda avec son expérience, je pense, compris la situation et me bascula sur le dos à son tour, ne voulant pas me laisser en reste, elle enleva ma capote, saisit mon sexe en main et commença à me sucer, elle me suça du gland aux couilles, passant sa bouche et sa langue sur toute la longueur de cette bite qui souffrait de ne pas pouvoir jouir, la goba et saliva plus pour que la sensation de glissement augmente , cela eut un effet incroyable, je sentais à nouveau la jouissance m'envahir... j'étais à 10 secondes de lâcher tout mon flux de sperme au fond de sa gorge chaude, par politesse je la prévenais de la main de se retirer pour ne pas lui imposer cette dégustation fortuite mais au contraire, elle repoussa ma main, me regarda droit dans les yeux en gobant ma bite encore plus loin... cela en était trop...

"Aaaaaaaaaaaah aaaaaaah"

Je jouissais, oui je jouissais sans retenue tout mon foutre au fond de la gorge de cette belle Orientale aux cheveux bruns et au visage si pur, mon ventre fessait des blocages tant la jouissance était puissante, Magda n'ouvrait toujours pas la bouche attendant que la dernière goute de foutre soit expulsée de mon gland en éruption. Quand j'eus fini, elle ouvra enfin la bouche et me montra tout le liquide blanc et onctueux qui restait stagner sur sa langue comme pour me prouver qu'elle était bien la bonne petite salope qu'elle prétendait être, puis elle se dépêcha d'aller dans la salle de bain pour tout recracher.

Après sa toilette, nous l'avons raccompagné au même endroit où nous l'avions pris, se promettant de remettre ça un de ces quatre mais malheureusement nous ne l'avons jamais revu. Ce fut me semble-t-il ma première et dernière partouze avec Nino, je précise bien avec Nino car de mon côté l'occasion de récidiver c'est représenter plus d'une fois pour mon plus grand bonheur.