J'aime être moqué par des femmes - Comment cela a-t-il commencé ?
Récit érotique écrit par Renrod [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2008 dans la catégorie Fétichisme
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J'aime être moqué par des femmes - Comment cela a-t-il commencé ?
Le 6 décembre 2006, je voyais publié par HDS l'exposé de mon goût, fantasmatique, pour les moqueries que des femmes me feraient subir, dans un scénario dans lequel je serais un véritable soumis. Dans cette histoire, je n'avais jamais été humilié, sexuellement en particulier, aussi fortement. Mais j'ai bel et bien eu des occasions de me faire moquer de moi. Je vais essayer de vous raconter comment des femmes ont pu se moquer de moi, et peuvent encore le faire.
Et pour commencer, comment ai-je fini par prendre goût aux moqueries féminines ?
Je n'ai pas de nombreux souvenirs de moqueries subies durant l'enfance, mais me faire moquer de moi me faisait pleurer, je n'aimais pas cela. Prendre goût aux moqueries, féminines tout particulièrement, a-t-il été un moyen de sublimer quelque chose que j'aurais subi sans pouvoir m'en défendre ? Il faudrait sans doute passer par un psy pour le savoir. Un souvenir que j'ai, néanmoins ? En CP, l'institutrice avait voulu nous faire faire un exercice de montée suivi d'un saut d'une hauteur de quelques dizaines de centimètres. Eh bien, je n'ai pas osé sauter (j'ai toujours peur de sauter, même d'une faible hauteur), mes petits et petites camarades se sont moqués de moi. Non, je ne me souviens pas que l'institutrice, devenue une amie de mes parents, se soit elle-même moquée de moi, mais j'étais bien ridicule, et bien honteux.
Transition pour expliquer que c'est la moquerie d'une enseignante, plus tard, qui a révélé mon trouble amoureux envers les femmes moqueuses. En fait, ce n'est pas en 6è, où ma jolie prof d'allemand, presque toujours en tailleur pantalon bleu-marine, se moquait régulièrement de mon écriture "Je ne suis pas Champollion", que je me suis senti sexuellement troublé par des moqueries féminines. Peut-être étais-je encore trop jeune ? Un tout petit peu plus tard, j'aurais sans doute été très troublé. La preuve, je l'évoque après coup.
Un peu plus tard, c'est en cinquième. Ma prof de français n'est pas belle, mais elle se met très souvent en jupe longue bleu-marine à plis creux. Je la trouvais très seyante, cette jupe, et j'aimais voir la prof se déplacer dans la salle de classe. Et la révélation se fit : un jour, un élève avait cassé sa règle en classe, alors que cette prof était en jupe bleu-marine. Et la prof s'est moquée de lui, en faisant de sa bêtise un sujet d'exemple grammatical. Ce n'est pas de moi qu'elle se moquait, mais je me suis senti troublé.
Du coup, ayant un âge où un garçon commence à rêver aux filles de son âge ou aux jeunes femmes un peu plus âgées, déjà pleinement femmes, j'imaginais me faire aborder par des groupes de femmes portant la même jupe que la prof dont l'attitude moqueuse m'avait troublé. Elles riaient de moi, plaisantaient en dansant autour de moi. Pour bien se moquer de moi, elles s'amusaient à me faire sentir des fleurs puissamment, je dirais même désagréablement, parfumées, et du fromage puissamment odorant, comme du munster. En imaginant être ainsi ridiculisé, je me masturbais, plaisir que je découvrais à 13 ans, devenant fertile peu après mon 15è anniversaire.
Dans le même temps, je commençais à ressentir un réel trouble à voir ma mère porter certaines jupes et pantalons, et à apprécier particulièrement le contact de ces habits sur mes genoux ou sur le dos de mes mains, lorsqu'elle me séchait les cheveux. Longtemps, le fait même de demander à ma mère de porter telle ou telle jupe m'intimidait, mais j'adorais voir naître un sourire amusé chez elle lorsqu'elle se montrait à moi ainsi vêtue.
Un jour, alors qu'elle portait une jupe particulièrement seyante à mes yeux, et au contact très agréable à mon goût, je décide de suivre ma mère dans la salle de bains, où elle allait s'apprêter pour la nuit. Le coeur battant et rempli d'émotions, je lui dis que j'aimais qu'elle me frôle avec sa jupe. Et la réaction de ma mère, spontanée, a été de se moquer de moi. Eclatant de rire, elle s'est approchée de moi, au point de pouvoir, de mouvements ironiques imprimés par son corps à sa jupe, caresser les mains pendantes, légèrement tendues en avant. Le lendemain, comme elle était vêtue de la même jupe, je remonte avec elle et lui dis que j'aimais qu'elle se moque de moi.
Depuis, et ce pendant plusieurs années, la voir porter certaines jupes et pantalons signifiait pour moi ressentir un trouble certain, et des moments de moqueries, au cours desquels ma mère se foutait de moi en me souriant ou rigolant au nez tout en me frôlant de sa jupe ou de son pantalon. Mention particulière pour certaines situations d'orage, où je m'étais bien ridiculisé.
A un moment, ayant toujours mon fantasme de me faire moquer de moi par une femme s'amusant à me faire sentir du fromage, et alors que, les jours où elle se mettait en jupe longue sombre ou en pantalon sombre, ma mère ne se moquait presque plus de moi, je lui ai un jour lancé, elle était en jupe longue bleu marine plissée, qu'elle pouvait se moquer de moi en me faisant sentir du munster. Elle m'a invité à la suivre à la cuisine, a ouvert le frigo, ouvert un paquet en papier alu qu'elle a placé sous mon nez, lequel identifiait une puissante odeur de fromage. Elle s'est, outre ce geste, moquée de moi en me lançant : "Sens, sens comme ça sent bon" avant d'éclater de rire comme elle ne l'avait sans doute pas fait depuis des années.
Quelques semaines plus tard, ma mère s'était de nouveau mise en jupe longue bleu marine plissée. Comme souvent, elle avait mis un tablier à manches longues au-dessus, et j'attendais fébrilement le moment où, m'ayant lavé les cheveux comme au petit enfant que je n'étais plus (j'avais 22 ans cette année là). Comme toujours, elle arborait un sourire délicieusement moqueur en enlevant son tablier, laissant apparaître sa jupe et, ce jour là, non pas un maillot de corps à manche courte comme la dernière fois, mais un maillot de corps sans manche qui la rendait encore plus moqueuse, car ayant les bras et les épaules nus. Elle me sèche les cheveux, mes mains placées devant les genoux étant caressés par la jupe. Elle finit de me sécher les cheveux et je lui dit, d'une voix troublée : "Maman, j'aime que tu te moques de moi".
Elle n'a rien dit, mais j'ai compris qu'elle allait à la cuisine chercher le munster. Ayant envie, depuis longtemps, de ressentir le contact de la jupe de ma mère sur mes genoux, j'ai descendu mon pantalon, pensant que ma mère allait me trouver encore plus ridicule. Elle remonte, avec le munster, me le met sous le nez, et éclate de rire longuement. Plus tard, elle a encore eu des occasions de se foutre de moi, et cela sentait à chaque fois le munster.
Les circonstances ont fait que ma mère ne s'est jamais moquée de moi en s'amusant à me faire sentir des fleurs parfumées, mais elle s'est rendue compte que j'aimais vraiment être moqué, car elle a pu remarquer, à certains moments, que j'avais une érection lorsqu'elle souriait ironiquement en me frôlant. Mais je n'ai jamais rien éprouvé en la vue nue, car j'ai vu mes deux parents nus depuis l'enfance. Surtout, ma mère n'a jamais ri de mon sexe, alors que, de nombreuses années plus tard, j'allais éprouver l'envie d'être moqué sur mon intimité. Aucune femme ne s'est non plus, depuis, moquée de moi en me faisant subir des odeurs florales ou fromagères, mais j'aimerais bien être humilié olfactivement.
Et pour commencer, comment ai-je fini par prendre goût aux moqueries féminines ?
Je n'ai pas de nombreux souvenirs de moqueries subies durant l'enfance, mais me faire moquer de moi me faisait pleurer, je n'aimais pas cela. Prendre goût aux moqueries, féminines tout particulièrement, a-t-il été un moyen de sublimer quelque chose que j'aurais subi sans pouvoir m'en défendre ? Il faudrait sans doute passer par un psy pour le savoir. Un souvenir que j'ai, néanmoins ? En CP, l'institutrice avait voulu nous faire faire un exercice de montée suivi d'un saut d'une hauteur de quelques dizaines de centimètres. Eh bien, je n'ai pas osé sauter (j'ai toujours peur de sauter, même d'une faible hauteur), mes petits et petites camarades se sont moqués de moi. Non, je ne me souviens pas que l'institutrice, devenue une amie de mes parents, se soit elle-même moquée de moi, mais j'étais bien ridicule, et bien honteux.
Transition pour expliquer que c'est la moquerie d'une enseignante, plus tard, qui a révélé mon trouble amoureux envers les femmes moqueuses. En fait, ce n'est pas en 6è, où ma jolie prof d'allemand, presque toujours en tailleur pantalon bleu-marine, se moquait régulièrement de mon écriture "Je ne suis pas Champollion", que je me suis senti sexuellement troublé par des moqueries féminines. Peut-être étais-je encore trop jeune ? Un tout petit peu plus tard, j'aurais sans doute été très troublé. La preuve, je l'évoque après coup.
Un peu plus tard, c'est en cinquième. Ma prof de français n'est pas belle, mais elle se met très souvent en jupe longue bleu-marine à plis creux. Je la trouvais très seyante, cette jupe, et j'aimais voir la prof se déplacer dans la salle de classe. Et la révélation se fit : un jour, un élève avait cassé sa règle en classe, alors que cette prof était en jupe bleu-marine. Et la prof s'est moquée de lui, en faisant de sa bêtise un sujet d'exemple grammatical. Ce n'est pas de moi qu'elle se moquait, mais je me suis senti troublé.
Du coup, ayant un âge où un garçon commence à rêver aux filles de son âge ou aux jeunes femmes un peu plus âgées, déjà pleinement femmes, j'imaginais me faire aborder par des groupes de femmes portant la même jupe que la prof dont l'attitude moqueuse m'avait troublé. Elles riaient de moi, plaisantaient en dansant autour de moi. Pour bien se moquer de moi, elles s'amusaient à me faire sentir des fleurs puissamment, je dirais même désagréablement, parfumées, et du fromage puissamment odorant, comme du munster. En imaginant être ainsi ridiculisé, je me masturbais, plaisir que je découvrais à 13 ans, devenant fertile peu après mon 15è anniversaire.
Dans le même temps, je commençais à ressentir un réel trouble à voir ma mère porter certaines jupes et pantalons, et à apprécier particulièrement le contact de ces habits sur mes genoux ou sur le dos de mes mains, lorsqu'elle me séchait les cheveux. Longtemps, le fait même de demander à ma mère de porter telle ou telle jupe m'intimidait, mais j'adorais voir naître un sourire amusé chez elle lorsqu'elle se montrait à moi ainsi vêtue.
Un jour, alors qu'elle portait une jupe particulièrement seyante à mes yeux, et au contact très agréable à mon goût, je décide de suivre ma mère dans la salle de bains, où elle allait s'apprêter pour la nuit. Le coeur battant et rempli d'émotions, je lui dis que j'aimais qu'elle me frôle avec sa jupe. Et la réaction de ma mère, spontanée, a été de se moquer de moi. Eclatant de rire, elle s'est approchée de moi, au point de pouvoir, de mouvements ironiques imprimés par son corps à sa jupe, caresser les mains pendantes, légèrement tendues en avant. Le lendemain, comme elle était vêtue de la même jupe, je remonte avec elle et lui dis que j'aimais qu'elle se moque de moi.
Depuis, et ce pendant plusieurs années, la voir porter certaines jupes et pantalons signifiait pour moi ressentir un trouble certain, et des moments de moqueries, au cours desquels ma mère se foutait de moi en me souriant ou rigolant au nez tout en me frôlant de sa jupe ou de son pantalon. Mention particulière pour certaines situations d'orage, où je m'étais bien ridiculisé.
A un moment, ayant toujours mon fantasme de me faire moquer de moi par une femme s'amusant à me faire sentir du fromage, et alors que, les jours où elle se mettait en jupe longue sombre ou en pantalon sombre, ma mère ne se moquait presque plus de moi, je lui ai un jour lancé, elle était en jupe longue bleu marine plissée, qu'elle pouvait se moquer de moi en me faisant sentir du munster. Elle m'a invité à la suivre à la cuisine, a ouvert le frigo, ouvert un paquet en papier alu qu'elle a placé sous mon nez, lequel identifiait une puissante odeur de fromage. Elle s'est, outre ce geste, moquée de moi en me lançant : "Sens, sens comme ça sent bon" avant d'éclater de rire comme elle ne l'avait sans doute pas fait depuis des années.
Quelques semaines plus tard, ma mère s'était de nouveau mise en jupe longue bleu marine plissée. Comme souvent, elle avait mis un tablier à manches longues au-dessus, et j'attendais fébrilement le moment où, m'ayant lavé les cheveux comme au petit enfant que je n'étais plus (j'avais 22 ans cette année là). Comme toujours, elle arborait un sourire délicieusement moqueur en enlevant son tablier, laissant apparaître sa jupe et, ce jour là, non pas un maillot de corps à manche courte comme la dernière fois, mais un maillot de corps sans manche qui la rendait encore plus moqueuse, car ayant les bras et les épaules nus. Elle me sèche les cheveux, mes mains placées devant les genoux étant caressés par la jupe. Elle finit de me sécher les cheveux et je lui dit, d'une voix troublée : "Maman, j'aime que tu te moques de moi".
Elle n'a rien dit, mais j'ai compris qu'elle allait à la cuisine chercher le munster. Ayant envie, depuis longtemps, de ressentir le contact de la jupe de ma mère sur mes genoux, j'ai descendu mon pantalon, pensant que ma mère allait me trouver encore plus ridicule. Elle remonte, avec le munster, me le met sous le nez, et éclate de rire longuement. Plus tard, elle a encore eu des occasions de se foutre de moi, et cela sentait à chaque fois le munster.
Les circonstances ont fait que ma mère ne s'est jamais moquée de moi en s'amusant à me faire sentir des fleurs parfumées, mais elle s'est rendue compte que j'aimais vraiment être moqué, car elle a pu remarquer, à certains moments, que j'avais une érection lorsqu'elle souriait ironiquement en me frôlant. Mais je n'ai jamais rien éprouvé en la vue nue, car j'ai vu mes deux parents nus depuis l'enfance. Surtout, ma mère n'a jamais ri de mon sexe, alors que, de nombreuses années plus tard, j'allais éprouver l'envie d'être moqué sur mon intimité. Aucune femme ne s'est non plus, depuis, moquée de moi en me faisant subir des odeurs florales ou fromagères, mais j'aimerais bien être humilié olfactivement.
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