J'aime que des femmes se moquent de moi
Récit érotique écrit par Renrod [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'aime que des femmes se moquent de moi
Quand un homme croise une femme qui lui plaît, au point de le troubler, son rêve est, je pense, pour la plupart, de l'attirer à lui, de faire en sorte qu'elle l'admire, et pas seulement de se sentir attiré par elle et de l'admirer. Moi, quand je me sens fortement attiré par une femme, j'éprouve une envie bizarre : j'ai envie de me ridiculiser pour qu'elle se moque beaucoup de moi. Et l'idée de m'offrir à ses moqueries provoque alors l'érection de mon (tout petit) pénis.
Dans quelles conditions éprouve-je l'envie de me faire moquer de moi par une ou des femmes ? Je trouve ces femmes belles, d'une part et, d'autre part, leur manière de s'habiller et leur attitude provoquent mon trouble : elles sont habillées de pantalons sombres, ou de jupes longues très sombres (noir, bleu marine, marron...), sont parfumées de façon un rien provoquante, leurs regards trahissent une propension à la dérision, un sourire fleurit sur leur visage, quand elles sont plusieurs elles rient en plaisantant sur des hommes.
Qu'ai-je envie de faire, lorsque je croise des femmes aux moqueries desquelles j'ai envie de m'offrir ? A vrai dire, étant d'une grande timidité, et craignant autant que j'en ai envie, de subir les moqueries des femmes, j'aurais envie, car cela non plus, je n'ai pas encore osé le faire, de leur remettre une lettre dans laquelle j'exposerai mon offrande à leurs moqueries. Et elles auraient le droit de se moquer ENORMEMENT de moi, tous mes sens étant sollicités.
- la vue, de leurs pantalons et jupes, de leurs chemisiers et débardeurs, les vestes et pulls étant enlevés dans la pièce chaude où elles se moqueraient de moi. La vue, aussi, de leurs mouvements ironiques, de leurs fous rires, de leurs doigts pointés sur moi.
- l'audition, bien entendu, avec les éclats de rire des moqueuses, leurs plaisanteries bien humiliantes sur mon compte, les ordres de faire certains gestes qui me rendront chaque fois un peu plus ridicule
- le toucher, à travers le contact physique avec leurs pantalons et jupes, qu'elles s'amuseront, par provocation, à approcher des parties découvertes de mon corps pour le frôler , à travers aussi mes embrassades de leurs chaussures, imposées comme une marque de ma réduction à l'état de soumis.
- le goût, dans la mesure où il me sera exigé de nettoyer, avec la langue, leurs chaussures.
- l'odorat, élément très érogène chez moi lorsque j'imagine être moqué par des femmes. Elles s'amusent, outre à me faire sentir les parfums puissants qu'elles portent sur elles, à harceler mes narines du parfum de fleurs particulièrement odorantes, ou de fromages puants comme la France sait en produire. J'aurais envie de fuir, mais je ne peux pas, je suis leur prisonnier, et se moquer énormément de moi est leur divertissement de la journée, ou au moins de la demi-journée.
Toute cette sollicitation des sens par les moqueries féminines se passent dans un contexte où, tourné en ridicule dès le début de la rencontre avec cette ou ces femmes, je me vois imposer des épreuves, évidemment perdues, mon échec suscitant les quolibets et les applaudissements. En sanction, je perds peu à peu mes habits, jusqu'à me retrouver en slip. Je perds ma dernière épreuve, obligé, du coup, de dévoiler ma nudité.
Mon pénis étant très petit, et ayant déjà lu des histoires dans lesquelles des femmes se moquaient d'hommes aux petits pénis, j'imagine comme normal que, surprises, ces femmes aient une réaction de stupéfaction, avant de partir d'un fou rire collectif, avant de faire "sentir", à mon sexe, pour se moquer de lui, les fleurs ou les fromages qui allaient désormais harceler alternativement mes narines et mon pénis.
Bien sûr, pour profiter de moi nu, les femmes présentes rivalisent de plaisanteries et d'ordres donnés à moi, voire d'actes destinés à marquer extérieurement la moquerie subie (rasage du crâne, par exemple), destinés à ma faire comprendre combien profond est le mépris qu'elles me portent. Moi, définitivement troublé par ces belles moqueuses, j'en viens à bander devant elles.
Ayant d'autres centres d'intérêt dans leurs vies que se moquer de moi,les femmes qui m'auront harcelé pendant des heures finissent par me quitter, après avoir joué avec mes habits, ne me les rendant qu'après s'être amusées à les cacher, et à se les lancer de l'une à l'autre.
Je ne sais pas si j'oserais vivre une telle humiliation, mais j'ai déjà éprouvé du plaisir à provoquer quelques moqueries chez des femmes, et mon fantasme est né après que j'ai vu une femme en jupe longue bleu marine plaisanter d'un élève ayant fait une bêtise en classe.
Dans quelles conditions éprouve-je l'envie de me faire moquer de moi par une ou des femmes ? Je trouve ces femmes belles, d'une part et, d'autre part, leur manière de s'habiller et leur attitude provoquent mon trouble : elles sont habillées de pantalons sombres, ou de jupes longues très sombres (noir, bleu marine, marron...), sont parfumées de façon un rien provoquante, leurs regards trahissent une propension à la dérision, un sourire fleurit sur leur visage, quand elles sont plusieurs elles rient en plaisantant sur des hommes.
Qu'ai-je envie de faire, lorsque je croise des femmes aux moqueries desquelles j'ai envie de m'offrir ? A vrai dire, étant d'une grande timidité, et craignant autant que j'en ai envie, de subir les moqueries des femmes, j'aurais envie, car cela non plus, je n'ai pas encore osé le faire, de leur remettre une lettre dans laquelle j'exposerai mon offrande à leurs moqueries. Et elles auraient le droit de se moquer ENORMEMENT de moi, tous mes sens étant sollicités.
- la vue, de leurs pantalons et jupes, de leurs chemisiers et débardeurs, les vestes et pulls étant enlevés dans la pièce chaude où elles se moqueraient de moi. La vue, aussi, de leurs mouvements ironiques, de leurs fous rires, de leurs doigts pointés sur moi.
- l'audition, bien entendu, avec les éclats de rire des moqueuses, leurs plaisanteries bien humiliantes sur mon compte, les ordres de faire certains gestes qui me rendront chaque fois un peu plus ridicule
- le toucher, à travers le contact physique avec leurs pantalons et jupes, qu'elles s'amuseront, par provocation, à approcher des parties découvertes de mon corps pour le frôler , à travers aussi mes embrassades de leurs chaussures, imposées comme une marque de ma réduction à l'état de soumis.
- le goût, dans la mesure où il me sera exigé de nettoyer, avec la langue, leurs chaussures.
- l'odorat, élément très érogène chez moi lorsque j'imagine être moqué par des femmes. Elles s'amusent, outre à me faire sentir les parfums puissants qu'elles portent sur elles, à harceler mes narines du parfum de fleurs particulièrement odorantes, ou de fromages puants comme la France sait en produire. J'aurais envie de fuir, mais je ne peux pas, je suis leur prisonnier, et se moquer énormément de moi est leur divertissement de la journée, ou au moins de la demi-journée.
Toute cette sollicitation des sens par les moqueries féminines se passent dans un contexte où, tourné en ridicule dès le début de la rencontre avec cette ou ces femmes, je me vois imposer des épreuves, évidemment perdues, mon échec suscitant les quolibets et les applaudissements. En sanction, je perds peu à peu mes habits, jusqu'à me retrouver en slip. Je perds ma dernière épreuve, obligé, du coup, de dévoiler ma nudité.
Mon pénis étant très petit, et ayant déjà lu des histoires dans lesquelles des femmes se moquaient d'hommes aux petits pénis, j'imagine comme normal que, surprises, ces femmes aient une réaction de stupéfaction, avant de partir d'un fou rire collectif, avant de faire "sentir", à mon sexe, pour se moquer de lui, les fleurs ou les fromages qui allaient désormais harceler alternativement mes narines et mon pénis.
Bien sûr, pour profiter de moi nu, les femmes présentes rivalisent de plaisanteries et d'ordres donnés à moi, voire d'actes destinés à marquer extérieurement la moquerie subie (rasage du crâne, par exemple), destinés à ma faire comprendre combien profond est le mépris qu'elles me portent. Moi, définitivement troublé par ces belles moqueuses, j'en viens à bander devant elles.
Ayant d'autres centres d'intérêt dans leurs vies que se moquer de moi,les femmes qui m'auront harcelé pendant des heures finissent par me quitter, après avoir joué avec mes habits, ne me les rendant qu'après s'être amusées à les cacher, et à se les lancer de l'une à l'autre.
Je ne sais pas si j'oserais vivre une telle humiliation, mais j'ai déjà éprouvé du plaisir à provoquer quelques moqueries chez des femmes, et mon fantasme est né après que j'ai vu une femme en jupe longue bleu marine plaisanter d'un élève ayant fait une bêtise en classe.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire surprenante ,mais qui peut-etre réelle car moi aussi j'aime que l'on se moque de ma petite bite,et parfois il arrive qu'elle plaise a certaines femmes qui jouent aux protéctrises.