Je livre la jeune Lola à un vieux monsieur - histoire érotique

La petite Lola
Jérémie est un jeune pote qui aimerait faire mater et plus je crois sa petite copine à des mecs. La jeune fille voudrait bien mais devant des inconnus. Elle adore le cul pour ses 21 ans. Ils se font tous les deux des cinémas pas possibles mais pas trop d’action réelle.
Il me la présente. Elle est sublime. Type méditerranéen marqué, des cheveux mi longs, elle est très bandante. Un petit nez aquilin avec des yeux noir que s’ils vous regardent, vous vous sentez une fièvre d’amour.
Il m’a fait lire des échanges de msm plutôt corsés avec elle. Bien sûr elle se lâche sans risques. Pourtant, elle s’est laissée aller à baiser avec son cousin et un autre type en Tunisie. Jérémie me dit qu’elle s’est même faite tringler dans les chiottes.
Il m’a passé quelques photos d’elle, très sages mais super bandantes. Sur certaines d’entres elles elle vous regarde et vous bandez. J’avoue que je suis amoureux de sa nana, ce qui n’a pas l’air de déplaire à mon pote. Je pense souvent à son petit cul simplement habillé d’un string, qu’elle mouille si vous lui parlez sexe. Ses hanches juste en dessous de sa taille fine annoncent un cul bien rebondit.
Dans un de ses msm, elle fantasme qu’elle se fait draguer par un vieux moche et bedonnant.
Comme je suis maintenant obsédé de la voir à poil, j’ai proposé à Jérémie de monter un coup avec le père d’un pote que je sais aimer les petites jeunes filles.
J’en parle à Jérémie qui est d’accord mais c’est moins sûr pour Lola. Passer du fantasme à la réalité c’est parfois difficile voire impossible.
J’en parle au père de mon pote qui m’assure que ce n’est pas un problème et qu’il s’occupe de tout, même de la petite.
Je lui dis qu’elle est super mignonne et qu’elle a tout juste 21 ans.
- Je les aime fines et racées avec de petits seins bien fermes et des tétons encore neufs à la peau bien marquée. Les Méditerranéennes ont souvent un fin duvet noir qui relie le pubis au nombril. Ce sont les plus chaudes, et quand elles sont excitées, elles mouillent, de vraies fontaines. Elles ont une forte odeur de sexe à rendre fou un régiment de sénégalais. Je les adore. Elles ont une raie du cul bien longue qui s’enfonce entre des cuisses fines et nerveuses. Dès qu’on leur touche le petit trou, elles se renferment d’abord pour finir par s’ouvrir au doigt ou à la queue qui va la violer. Amenez la moi et je vais me régaler.
En disant cela, le gros cochon libidineux a les yeux qui lui sortent de la tête. Son visage tout rouge est bouffi par l’alcool ; j’ai bien peur que la petite Lola foute le camp dès qu’elle le verra.
On organise un RDV chez lui un samedi soir. Lola est superbe. Jérémie lui a fait mettre une mini-jupe qui dépasse à peine le haut des cuisses. C’est la première fois que je la vois en vrai. Mon sang se glace tant elle est excitante. En haut un débardeur noir avec de fines bretelles sur les épaules doublées par les bretelles d’un soutien gorge de même couleur. L’ensemble laisse deviner une paire de lolos bien dessinés et bien fermes, de la taille d’une main d’un honnête homme.
Elle a maquillé ses lèvres et porte des grosses boucles d’oreilles, un fin collier et un bracelet au poignet. Une star. Comment résister. Jérémie ne cesse de la regarder et je le comprends bien car moi aussi je la détaille des pieds à la tête.
Elle me sourit quand je me présente. Apparemment, cela colle. Tant mieux pour moi.
Elle monte à mes côtés dans l’auto et bien sûr sa jupe remonte jusqu’à laisser voir un bout de son string entre les cuisses. Parlons-en de ses cuisses ! Car le plus excitant ce sont ses cuisses, longues, fines et fermes. Sa peau est lisse et bien bronzée. Pas un défaut. Putain, je n’arrive pas à détacher mon regard de ses cuisses.
On se dit des banalités mais je vois bien qu’elle aime plaire et n’est pas insensible à l’effet qu’elle me fait. Je bafouille, je suis nerveux, je me sens con devant une gamine superbe et qui, je le sens m’allume un max.
On arrive chez Robert, c’est son prénom. On sonne et il vient lui même ouvrir. Le con n’a même pas pris la peine de s’habiller. Il nous reçoit en marcel blanc sale, pantalon de survêtement et chausson. Il reste interdit en voyant derrière nous la petite Lola. Il la mate sans aucune gêne. Il la dévisage et je panique à l’idée qu’elle se tire. Je lui adresse un sourire de soutien et complice. Ça l’air de la rassurer. On entre.
Directement dans la salle à manger. Sur la table il y a deux bouteilles de Whisky. Les bandes dessinées qu’on est cessé venir chercher sont là à côté des bouteilles. Ce ne sont que des BD de cul. Lola y jette un œil très intéressé.
- Dis-moi comment tu t’appelles jolie fille ? Les BD ont l’air de t’intéresser.
Lola ne répond pas, elle est manifestement écœurée par ce veux bonhomme sale et arrogant. C’est Jérémie qui lui répond, visiblement intimidé par le vieux :
- Elle s’appelle Lola.
- Dis-moi Lola, tu pourrais t’asseoir pour choisir les BD que vous voulez.
- Je ne suis plus sûre d’en vouloir dit-elle, rabougrie.
Visiblement le type ne lui plait pas. Elle finit quand même par s’asseoir et regarder les titres. Au bout de quelques secondes, elle se lève :
- Ya rien de bien, on se tire les copains. Et sans un regard pour le mec, elle se dirige vers la porte de sortie.
- Pas si vite ma belle dit le gros. Vous m’avez dérangé, ce n’est pas pour me plaquer comme cela. Et vous les gars cela vous intéresse ces BD ? Elles sont rares.
- Ecoute Lola, attend un peu qu’on se fasse nous aussi une idée.
Elle reste debout devant la porte. Je suis moi aussi nervé car il aurait pu faire un effort.
- En attendant, je vous offre un verre. C’est du Highland !
Nous on se pose et Lola après une hésitation nous rejoint autour de la table. Le mec lui sert un verre bien rempli. On trinque, l’atmosphère se détend. Au bout d’un quart d’heure de discussion, le verre de Lola est vide. Elle rit un peu en voyant certaines BD. Elle est détendue et quand le mec lui remplit à nouveau son verre, elle lui dit :
- Ola ! Mon bonhomme, il ne faudrait pas croire que tu vas me faire perdre les pédales. Je tiens bien. Et par bravade, elle porte son verre à ses lèvres et en avale la moitié. Je regarde Jérémie. Il est inquiet. Il m’a dit qu’au contraire elle ne tenait pas bien devant l’alcool. De fait, elle rigole de plus en plus. Elle se remue sur sa chaise sans voir que sa jupe est remontée et montre ses cuisses.
Son verre est à nouveau vide. Robert le remplit encore. Et en riant il l’invite à trinquer. Elle éclate de rire, visiblement saoule. Alors Robert se lève, la prends sous les bras, la soulève pour la mettre debout. Absente et riante, elle se laisse faire. Il la lâche et elle titube.
- Je crois qu’elle est cuite les gars.
- Pas du tout ricane-t-elle. Encore un verre Robert.
Celui-là elle le boit debout mais Robert est obligé de la maintenir. Elle est vraiment cuite.
Robert à ce moment là passe ses mains sous ses bras et lui prends la poitrine à pleines mains.
- Salaud. Tu me pelote les seins on dirait. Bas les pates ou bien je crie.
- Ta gueule ma belle, bois donc encore un petit coup. Et ce faisant il lui tend encore un verre qu’elle avale d’un trait.
Comme elle a du mal à marcher, Robert l’amène sur un divan dans le salon. Là, elle s’affale, jupe relevée jusqu’au haut des cuisses. Son minou apparaît sous le fin tissu de son string. Cette vision rend soudain fou le vieux. Il se jette à côté d’elle et se met à lui peloter les seins sur ses vêtements. Lola n’a plus la force ni l’esprit à se défendre. Le gros en profite. Jérémie, lui, voit son fantasme se réaliser. Tous les deux on regarde, on mate le viol de notre bien-aimée.
Maintenant Robert a glissé une main dan l’échancrure du débardeur et caresses les seins à même la peau.
- Putain, les mecs, c’est comme je vous l’avais dit. C’est du poulet cette nana. Elle a une peau d’une douceur comme jamais j’en ai touché. Il faut la mettre à poil. Aidez-moi car elle ne peur plus rien faire. Tous les trois, on la soulève. Robert s’adresse à nous :
- Vous ne voulez pas me la montrer doucement pendant que je me branle et me prépare à la baiser ?
Jérémie et moi on se regarde. Lola est vraiment cuite et elle ne se rend plus compte de rien. Alors moi, je passe derrière elle et je lui enlève son débardeur. Devant, Jérémie la retient. Je défais la fermeture éclair de sa jupe et le vêtement descend tout seul. On est obligés de lui lever les jambes pour la dégager complètement.
Le vieux s’est installé sur le fauteuil, a sorti sa bite et doucement il se caresse, les yeux braqués sur la jeune fille.
- Faites-la tourner sur elle-même que je puisse voir son petit cul enfermé à peine dans son string. Mais elle mouille la salope. Elle n’est pas si bloquée que cela ! Penche là en avant et fait là se cambrer.
A ce moment là moi aussi j’ai envie d’être voyeur. Je rejoins le type et je laisse Jérémie nous exhiber sa copine. Car maintenant, le salaud réalise son rêve : montrer sa nana à poil à des mecs et espère la faire monter.
En tremblant ; il lui dégrafe le soutien gorge libérant ses seins. Magnifiques. Fermes, bien dessinés, deux taches plus blanches au milieu d’une peau bronzée. Leur pointe est dressée signe que Lola est excitée. Il prend les bouts et les fait rouler entre ses doigts. Il descend une main, écarte le string pour nous montrer sa chatte à peine épilée. Il nous écarte les lèvres pour nous montrer que c’est une vraie fontaine quand elle jouit. C’est vrai car la mouille coule le long du sexe faisant une trace brillante à l’intérieur des cuisses. Par moment Lola tente de résister mais complètement bourrée, elle n’arrive plus à réagir.
Jérémie, tout à son plaisir la retourne pour nous montrer encore ses fesses. C’est à ce moment qu’il décide de descendre le string pour nous dévoiler le cul de sa copine. Il le fait lentement le salaud, il joue avec nos nerfs. Les deux fesses à peine marquées grâce au string apparaissent à la lumière de la pièce. On est scotchés !
- Penche-là et ouvre ses fesses qu’on voit son trou du cul. Il s’exécute. Une fois la petite rondelle découverte, il glisse un doigt dedans. Sous l’effet, Lola se cabre mais il la maintien.
- Pousse ma belle ; comme pour faire, cela va ouvrir ton petit trou du cul. Et Lola s’exécute. Elle ouvre son ventre.
- Amène la moi demande Robert, j’en ai assez vu. Je veux la baiser cette salope. Elle m’a bien excité. Jérémie la porte jusqu’à lui, affalé sur le canapé divan. Sa queue bandée est énorme.
- Fais la asseoir sur ma bite.
Il avance Lola vers la bite, lui fait écarter les jambes, l’avance et la force à s’asseoir sur la colonne de chair. Quand elle se laisse tomber, la queue pénètre d’un coup dans son ventre jusqu’aux couilles. Le vieux la prendre par la taille et la soulève au rythme de son plaisir. Il râle à chaque fois qu’il pénètre dans le vagin. Petit à petit la jeune Lola pousse des petits cris qui ressemblent à des cris de plaisir. La bite quand elle ressort est luisante de ses sécrétions. Une vraie fontaine.
D’un seul coup, Robert se cabre, accélère ses va et vient et on l’entend crier :
- Tient salope, tient prend mon foutre dans tes entrailles, sois salie par mon foutre. A ces mots Lola se met à crier car elle jouit à son tour accompagnant son violeur.
Repus, le vieux se retire du ventre de la jeunette. Il la lève :
- Je vous l’avais bien dit les gars, elles sont bonnes à baiser à cet âge là. Cette nana est une beauté. Vous pouvez me la ramener quand vous voulez. Quel salaud !
En disant cela, il prend Lola pas les cheveux et la force à se mettre à genoux devant lui. Il lui prend par la tête, attire son visage près de sa queue :
- Ouvre la bouche ma jolie, lèche et nettoie la grosse bite à Robert.
Lola, comme une automate, passe la langue sur le gland violet, tout sale de sperme et de ses sécrétions et délicatement fait la toilette de cette queue qui l’a baisée quelques instants plus tôt.
Moi devant ce spectacle, j’éjacule dans mon pantalon sans avoir besoin de me toucher.
Quand elle a fini de nettoyer la bite, elle se relève et tout doucement nous demande de rentrer car elle est crevée. On l’habille et on s’en retourne tout excités par cette soirée de folie. Elle ne remet ni son string, ni son soutien gorge.
Je la raccompagne chez elle puis Jérémie, car ils n’habitent pas ensemble. Jérémie est très heureux de cette soirée et il me demande de lui en préparer une autre car son fantasme d’exhiber sa copine est toujours aussi fort.
AL