JE ME DONNE - DEPENDANCE 1 - histoire érotique

Ce dimanche matin-là, Milo ne me demande pas de descendre. Avec Anthony, nous décidons d’aller nous faire un petit resto, pas très loin de là ou nous habitons. Lorsque nous rentrons, Milo nous voit et nous fait un petit coucou de la main. A peine dix minutes plus tard, je reçois un sms « tu descends, je t’attends ». Je décide donc de le retrouver à sa loge.
-je te présente Séverine, c’est une amie qui va me remplacer quelques jours, je dois m’absenter, elle aura certainement besoin de toi, alors essais d’être dispo pour elle.
Sévérine est une femme rouquine à la peau blanche, un physique mignon. Elle semble assez cool, elle doit avoir dans les 30,35 ans maxi, assez grande et pas trop grosse, enfin de ce que je peux voir. Milo, lui donne mon numéro au cas ou elle aurait besoin d’aide. Bon, moi, je suis prête à rendre service.
Le lundi soir, 20h30, je reçois un sms, « peux-tu venir, j’ai besoin de toi ». Vu l’heure, j’estime que cela peut attendre le mardi. « si ça peut attendre demain, ça m’arrangerait », « non descends vite ». Bon j’enfile un jogging et descend à la loge.
-oh merci d’être venue, j’ai besoin que tu m’aides pour remplir ce document que Milo m’a laissé, une enquête que je dois compléter.
-ok, fais voir.
Je regarde et ne comprends pas ou est la difficulté, mais nous remplissons l’imprimé pour qu’il soit expédié dés le lendemain. Une fois terminé, je m’apprête à partir quand Séverine me prend la main.
-viens, je vais te faire voir quelque chose.
Elle m’emmène dans la chambre et claque la porte derrière moi.
-alors Maeva Milo m’a dit que tu étais une bonne petite salope, alors tu vas me faire voir ça.
-pas ce soir si tu veux bien, un autre jour.
-ah mais non, pas d’excuse possible.
Séverine me prend le bras et me jette sur le lit. Rapidement, elle me retire le bas du jogging et vient s’assoir sur mon bassin. Elle lève mon haut et découvre mes seins, seins qu’elles empoigne de ses mains pour les caresser. Au début, je tente de me sortir de là, mais salope comme je suis, mon entrejambe commence à mouiller, mes seins sont tellement maltraités que ça m’excite. Séverine se retire, se met nue. Je découvre ce corps blanc, avec un pubis poilu, roux, et un entrejambe imberbe. Le contraste de ce roux sur la peau blanche est surprenant. Elle vient de nouveau se placer sur moi, en 69 avec en main un vibromasseur-stimulateur. Ses poils viennent me chatouiller le nez, ma langue commence à explorer cette intimité. Séverine à mit le vibro en fonctionnement et commence à le passer sur mon entre-jambe. Je ressens les vibrations sur mes petites lèvres intimes et elles remontent sur mon clitoris, ou là elle s’active avec ferveur. Mon bouton est trituré par les vibrations que je subis, la pression est plus ou moins intense selon le désir de Séverine. Moi, je tente tant bien que mal de lécher son sexe, mais ce n’est pas facile, tellement elle me travail l’intimité. Les vibrations s’accélèrent par moment, puis ralentissent. Mon intimité est martyrisée pendant de longues minutes par cette machine qui ne cesse de me donner une excitation. Je sens mon entrejambe se mouiller de ma cyprine qui coule. Pour ma part, j’ai beaucoup de mal à m’occuper du sexe de Séverine, ce qui ne semble pas la déranger. Séverine, par moment arrête le vibromasseur pour s’occuper de mon sexe avec sa langue, elle lèche mon jus qui coule, me pénètre de sa langue et reprend la masturbation au vibromasseur. Elle empêche toute expression verbale de mon plaisir, dés que je commence à émettre un son, elle plaque son pubis sur ma bouche et je me retrouve avec sa touffe de poils dans la bouche, elle me torture. A un moment elle se lève.
-voilà, c’est tout pour aujourd’hui, tu peux rentrer.
-ah non, tu ne me laisses pas maintenant, pas comme ça.
-et si, tu reviendras demain soir, tu verras je te finirai, promis.
Séverine me donne mes vêtements et me fiche quasiment à la porte de la loge. Avant de fermer la porte, elle dépose ses lèvres sur les miennes.
-a demain, ça sera encore mieux.
Je remonte, excitée et déçu. Anthony est devant la télévision. Je file aux toilettes et commence à me masturber, j’ai trop envie de jouir. En cinq minutes, je jouie en silence en me mordant les lèvres.
Le lendemain, à peine j’ai franchi le hall d’entrée, que je reçois un sms « dépose tes affaires et descends vite, je vais finir ton plaisir ». Comme une idiote que je suis, je fais ce qu’elle me dit, en plus Anthony va rentrer tard pour une réunion de travail. J’arrive à la loge.
-Alors Maeva comment tu vas ?, encore une trentaine de minute et je pourrais fermer la loge, mais dis-moi, hier soir tu t’es masturbé en rentrant ?
-euh, quoi, pardon, je ne…..
-bah oui tu t’es branlée hier soir, ça serait normal avec ce que je t’ai fait subir tu sais.
Je réfléchis avant de répondre.
-ton silence veut dire oui, n’est-ce pas ?
-en fait, je ne tenais plus c’est vrai, oui.
-ok je vois, pourtant je t’avais dit que je m’occuperais de toi ce soir.
Une résidente entre dans la loge pour prendre un colis, ce qui nous amène en discutant à l’heure de fermeture de la loge.
-je croyais ne jamais en finir, bon viens avec moi.
Je suis Séverine dans le coin cuisine. Elle me montre son téléphone sur lequel il y a un message de Milo. « Séverine m’a dit que tu n’avais pas respecté la règle du jeu, alors elle a tout autorité pour régler le problème qui j’en suis sûr te passera l’envie de recommencer, elle fera ce que je lui ai demandé, tu verras, j’ai vu ça dans la rue en Italie et j’adore ».
De quoi me parle-t-il ? Séverine me fait mettre nue, je dois m’assoir sur une chaise et je suis obligée d’avoir les cuisses écartées. Elle m’attache les jambes aux pieds de la chaise. Je ne suis pas vraiment fan, mais elle me dit de ne pas avoir peur. Là nous attendons de longues minutes. Ca frappe à la porte de la loge. Séverine ouvre et je vois arriver Anthony.
-mais je croyais que tu avais réunion ?
-oui, par chance elle est décalée à vendredi, alors comme Séverine m’a dit de passer, je suis là.
-bon les amoureux, vous parlerez après, Anthony tu t’occupes de ta femme.
-oui biensûr.
Anthony, sans perdre de temps prend le vibromasseur de la veille et vient titiller mon intimité. Là je me laisse faire, mon mari est là. Les mains de Séverine me caresse les seins, oh la la, je sens que je vais avoir du plaisir ce soir. J’oublie complètement le message de Milo. Le vibromasseur comment rapidement à faire son effet, plus les mains qui s’occupe de mes seins, hum ! Les mains parcourent mon corps, c’est agréable, puis viennent caresser ma chevelure.
-tu as des cheveux doux.
-oui, depuis qu’ils ont repoussés, je suis contente.
-ah bon repoussé, explique.
Je lui raconte les moments ou j’ai eu les cheveux courts, voir très court.
-alors justement, Milo m’a demandé de te trouver une nouvelle coupe de cheveux pour toi et il a accepté ma proposition il y a à peine 1heure.
-ah mais oui mais non, maintenant qu’ils ont repoussés…-désolé, mais ce sont les ordres.
Je proteste énergiquement, demande à Anthony de m’aider, mais il ne fait rien, si pardon, juste activer le vibromasseur sur mon intimité. Séverine pose quelque chose sur ma tête, ça ressemble à une sorte de casque, mais petit. J’entends une tondeuse démarrer et venir se poser sur cette espèce de casque. Là la tondeuse taille dans mes cheveux que je vois tomber sur mon corps et au sol. Séverine fait le tour de ce qui est posé sur ma tête, puis elle commence à raser la nuque et les côtés de ma tête. La tonte est faite sans sabot, ce qui veut dire que je suis tondue à ras. Anthony regarde se qui m’arrive tout en me masturbant. L’excitation est mélangée à ce que je subis. Plus d’une demie heure plus tard, tout s’arrête. Le casque est retiré et Séverine me nettoie les cheveux sur moi.
-ah ouais carrément, ça fait drôle, mais…. Il avait raison vu ta petite tête ça te va pas si mal. Rire.
Séverine revient avec un miroir et je découvre ma tête. J’ai l’impression d’avoir un champignon sur la tête. Mes cheveux sont taillé comme.. comme quoi pour que vous puissiez imaginer ? Ah oui, vous connaissez Mireille Mathieu, et bien c’est exactement cette coupe, mais avec la nuque et les côtés tondus, je crois que ça s’appelle une coupe au bol. Je ne suis pas super ravie, voir pas du tout. Séverine fait une photo qu’elle envoie à Milo. La réponse est immédiate, « voilà, elle devra conserver cette coupe pour moi et l’entretenir, merci séverine, bises ». J’imagine mes collègues de travail, même s’ils sont habitués à me vois un peu holé holé, là je bats un record. Je me sens quand même un peu humiliée.
Je suis détachée et direction la chambre ou je suis allongée sur le lit. Anthony reprend la masturbation au vibromasseur, Séverine s’occupe de me lécher les seins et le pubis. Par moment sa langue remplace le vibromasseur et descend jusqu’à mon trou anal. Malgré tout ça, l’excitation monte minute après minute. Une des mains de Séverine passe sous mes fesses et deux doigts viennent se présenter devant mon trou anal qui est lubrifié par mon plaisir. Ils me pénètrent ensemble et me sodomise, alors que mon clitoris subit les assauts du vibromasseur. Je parts dans un plaisir non retenue. Mais malgré tout, je préfère le membre de Milo. Séverine nous libère et file sous la douche. En sortant, je me regarde de nouveau dans le miroir. La honte, cette coupe est, je ne sais même pas la définir.