JE ME DONNE - la transition 8
Récit érotique écrit par Maevads95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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JE ME DONNE - la transition 8
Nous sommes le cinquième dimanche. Dans une heure je dois descendre dans la loge du gardien. Malgré mon indisposition dû à la nature, le gardien veut quand même que je vienne le voir. Anthony me prend la tête pour que j’arrête de subir le gardien. Moi je ne le souhaite pas, je veux encore en profiter.
Je me prépare donc pour retrouver mon gardien.
Je frappe à la loge, il m’ouvre et me fait entrer.
-ça n’a pas l’air d’aller, il y a un problème ?
-non, non, c’est…..
-c’est quoi ?
-disons que mon mari veut que j’arrête de venir ici le dimanche.
-ah bon, alors très bien, je vais m’occuper de lui.
-non, ne lui fait pas de mal.
-ce n’est pas le sujet, je vais juste le calmer, il n’a pas compris que tu étais à moi et que lui s’était le cocu.
Il me plaque dos sur sa table en bois, retire mon pantalon de jogging, tenue dans laquelle il veut absolument me voir. Mon haut, il n’y touche pas, mes seins ne l’intéresse pas, certes ils sont petits, voir très petit, mais il pourrait au moins faire semblant de s’y intéresser. Ce monsieur ne fait pas dans la recherche de gentillesse ou dans le faux semblant. Etant indisposé côté intimité, le gardien plonge sa bouche entre mes fesses et commence à me lécher l’anus, il bave abondamment, sa langue me pénètre la rondelle. Il me lèche de longues minutes. Le gardien se relève, sort sa queue déjà bien dure et la présente devant ma rondelle. Il pousse, son gland écarte ma rondelle et je sens sa queue prendre possession de mon fondement, les mouvements commencent en moi. Il me prend encore et encore, faisant monter mon plaisir. D’un coup, il se retire complètement de mes fesses, il me prend le bras et me fait mettre à genoux au sol. Il me présente sa queue à sucer.
-non, pas après…….
Le gardien m’attrape la tête par les oreilles et me force à prendre son membre en bouche. Je suce un membre qui vient de me sodomiser, ça m’horrifie, mais la force de cet homme est tel que je ne peux résister. Le membre est en bouche, un goût particulier apparait dans ma bouche, ce n’est pas un goût vanille, vous vous doutez bien, je ne sais comment le qualifier. Mes oreilles sont lâchées, et une des mains vient s’applique sur ma nuque pour donner le rythme, un rythme assez soutenu, alors que ma bouche entoure ce membre très large.
-aller suce, suce-moi bien, oui comme ça, continu.
Je respire par le nez, ma bouche étant pleine de son membre. Un premier jet vient taper mon palet, puis un deuxième et encore et encore. Je m’étouffe presque avec tout ce jus en bouche. Sa main sur ma nuque me force à le garder en bouche avec le jus.
-rrraaaahh, avale tout, je veux que tu ne perdes pas une goutte.
J’avale autant que possible cet abondant jus, je déglutis avec difficulté. Son jus est par contre agréable au goût, contrairement à certains hommes. La queue se retire finalement de ma bouche, me permettant de reprendre un peu de souffle. Lui, ne souhaite pas perdre de temps, je suis relevée, plaquée face à la table. Je sens qu’il masse ma rondelle avec un gel ou une crème.
-c’est quoi ? tu fais quoi ?
-c’est pour éviter que ta rondelle chauffe.
Des doigts me pénètre pour y déposer du gel. Son membre pointe déjà à l’entrée. Il pousse, il entre sans aucune, mais aucune difficulté. Je suis rapidement labouré de toute sa longueur et s’est parti pour me faire prendre à sa guise.
-tu ne jouis pas, compris ?
Il refuse que je jouisse, il me claque violement les fesses, me les pinces, il fait tout pour ralentir la montée mon plaisir. Je m’exprime, qu’il sache que c’est bon.
-oh oui, huuuummm-ne jouis pas salope, c’est moi qui décide.
Face à moi, je vois une horloge, il a commencé cette deuxième fois il était 11h05, à 11h20, il est encore en moi, il me sodomise toujours et encore et je dois retenir mon plaisir avec ses coups sur mes fesses. J’ai envie de jouir maintenant. Je tente de retenir mon plaisir, il faut avouer que la fessée commence à me faire mal, j’ai les fesses qui chauffent. Ce membre continu à écarter à chaque passage mon fondement, sortant pour mieux m’ouvrir la rondelle. Des doigts passent sous mon bassin et viennent titiller mon bouton.
-ah oui encore, aaahh ouiii…..
Je sens le membre se crisper en moi et déverser sa semence chaude et abondante. Une fois vidé, il reprend quelques mouvements en moi et je craque.
-oh oui, oh ouiii, fais moi jouiiiirrrr, aaaaaaahhhhhhhhhhLe gardien se retire de mes fesses, je suis totalement affalée sur la table.
-c’est bon, tu peux rejoindre ton cocu.
Sans rien dire, je me lève et remets mon jogging.
-file-moi ton 06.
-mais pourquoi faire ?
-ton mec n’est pas content, très bien, maintenant tu descendras me voir quand je te sifflerais par un sms, fini que le dimanche, c’est quand je veux.
-j’ai peur que ça pose problème.
-problème, tu rigoles, passe-lui ce message « s’il n’est pas satisfait, qu’il vienne me voir, nous règlerons ça ».
Lorsque je suis remontée à l’appartement, Anthony m’a demandé des détails sur le temps passé dans la loge. Je lui ai tout détaillée, sans omettre que dorénavant ce n’était pas que le dimanche.
Anthony n’a pas réagi plus que ça. Les sms ont commencé à arriver les jours de semaine. Au début un jour, puis deux jours et à un moment c’était presque tous les soirs. Lorsque nous n’étions pas disponibles, je devais passer le lendemain matin tôt pour le sucer et repasser le soir pour me faire prendre.
A un moment, Anthony en a eu marre. Ce soir-là, je reçois un sms pour que je descende.
-non, tu n’y vas pas, je vais descendre régler le problème.
-non chéri, ça risque de mal se passer.
Anthony ne m’écoute pas et il descend à la loge furieux.
10 minutes passent, 20, puis 30 minutes, toujours pas de retour. 45 minutes plus tard, Anthony revient.
-alors mon chéri, ça va ?
-euhh… je suis désolé, mais j’ai pas pu faire grand-chose, enfin pour le moment, mais ce soir tu n’as pas besoin de descendre.
-mais non t’inquiète pas, j’avais juste peur qu’il te fasse du mal.
Je suis rassurée que mon Anthony aille bien et je reconnais que je ne m’imaginais pas ne plus être prise par le gardien. Cette situation me plaît horriblement, cette sensation quand je suis appelée pour descendre immédiatement et être à disposition de monsieur, c’est terrible l’excitation que ça déclenche chez moi.
-tu sais mon chéri, ce n’est pas grave, je préfère que ça se passe comme ça, crois-moi.
-peut-être, peut-être.
Le gardien n’a effectivement pas arrêté de me contacter pour que je descende le satisfaire dans sa loge.
Je me prépare donc pour retrouver mon gardien.
Je frappe à la loge, il m’ouvre et me fait entrer.
-ça n’a pas l’air d’aller, il y a un problème ?
-non, non, c’est…..
-c’est quoi ?
-disons que mon mari veut que j’arrête de venir ici le dimanche.
-ah bon, alors très bien, je vais m’occuper de lui.
-non, ne lui fait pas de mal.
-ce n’est pas le sujet, je vais juste le calmer, il n’a pas compris que tu étais à moi et que lui s’était le cocu.
Il me plaque dos sur sa table en bois, retire mon pantalon de jogging, tenue dans laquelle il veut absolument me voir. Mon haut, il n’y touche pas, mes seins ne l’intéresse pas, certes ils sont petits, voir très petit, mais il pourrait au moins faire semblant de s’y intéresser. Ce monsieur ne fait pas dans la recherche de gentillesse ou dans le faux semblant. Etant indisposé côté intimité, le gardien plonge sa bouche entre mes fesses et commence à me lécher l’anus, il bave abondamment, sa langue me pénètre la rondelle. Il me lèche de longues minutes. Le gardien se relève, sort sa queue déjà bien dure et la présente devant ma rondelle. Il pousse, son gland écarte ma rondelle et je sens sa queue prendre possession de mon fondement, les mouvements commencent en moi. Il me prend encore et encore, faisant monter mon plaisir. D’un coup, il se retire complètement de mes fesses, il me prend le bras et me fait mettre à genoux au sol. Il me présente sa queue à sucer.
-non, pas après…….
Le gardien m’attrape la tête par les oreilles et me force à prendre son membre en bouche. Je suce un membre qui vient de me sodomiser, ça m’horrifie, mais la force de cet homme est tel que je ne peux résister. Le membre est en bouche, un goût particulier apparait dans ma bouche, ce n’est pas un goût vanille, vous vous doutez bien, je ne sais comment le qualifier. Mes oreilles sont lâchées, et une des mains vient s’applique sur ma nuque pour donner le rythme, un rythme assez soutenu, alors que ma bouche entoure ce membre très large.
-aller suce, suce-moi bien, oui comme ça, continu.
Je respire par le nez, ma bouche étant pleine de son membre. Un premier jet vient taper mon palet, puis un deuxième et encore et encore. Je m’étouffe presque avec tout ce jus en bouche. Sa main sur ma nuque me force à le garder en bouche avec le jus.
-rrraaaahh, avale tout, je veux que tu ne perdes pas une goutte.
J’avale autant que possible cet abondant jus, je déglutis avec difficulté. Son jus est par contre agréable au goût, contrairement à certains hommes. La queue se retire finalement de ma bouche, me permettant de reprendre un peu de souffle. Lui, ne souhaite pas perdre de temps, je suis relevée, plaquée face à la table. Je sens qu’il masse ma rondelle avec un gel ou une crème.
-c’est quoi ? tu fais quoi ?
-c’est pour éviter que ta rondelle chauffe.
Des doigts me pénètre pour y déposer du gel. Son membre pointe déjà à l’entrée. Il pousse, il entre sans aucune, mais aucune difficulté. Je suis rapidement labouré de toute sa longueur et s’est parti pour me faire prendre à sa guise.
-tu ne jouis pas, compris ?
Il refuse que je jouisse, il me claque violement les fesses, me les pinces, il fait tout pour ralentir la montée mon plaisir. Je m’exprime, qu’il sache que c’est bon.
-oh oui, huuuummm-ne jouis pas salope, c’est moi qui décide.
Face à moi, je vois une horloge, il a commencé cette deuxième fois il était 11h05, à 11h20, il est encore en moi, il me sodomise toujours et encore et je dois retenir mon plaisir avec ses coups sur mes fesses. J’ai envie de jouir maintenant. Je tente de retenir mon plaisir, il faut avouer que la fessée commence à me faire mal, j’ai les fesses qui chauffent. Ce membre continu à écarter à chaque passage mon fondement, sortant pour mieux m’ouvrir la rondelle. Des doigts passent sous mon bassin et viennent titiller mon bouton.
-ah oui encore, aaahh ouiii…..
Je sens le membre se crisper en moi et déverser sa semence chaude et abondante. Une fois vidé, il reprend quelques mouvements en moi et je craque.
-oh oui, oh ouiii, fais moi jouiiiirrrr, aaaaaaahhhhhhhhhhLe gardien se retire de mes fesses, je suis totalement affalée sur la table.
-c’est bon, tu peux rejoindre ton cocu.
Sans rien dire, je me lève et remets mon jogging.
-file-moi ton 06.
-mais pourquoi faire ?
-ton mec n’est pas content, très bien, maintenant tu descendras me voir quand je te sifflerais par un sms, fini que le dimanche, c’est quand je veux.
-j’ai peur que ça pose problème.
-problème, tu rigoles, passe-lui ce message « s’il n’est pas satisfait, qu’il vienne me voir, nous règlerons ça ».
Lorsque je suis remontée à l’appartement, Anthony m’a demandé des détails sur le temps passé dans la loge. Je lui ai tout détaillée, sans omettre que dorénavant ce n’était pas que le dimanche.
Anthony n’a pas réagi plus que ça. Les sms ont commencé à arriver les jours de semaine. Au début un jour, puis deux jours et à un moment c’était presque tous les soirs. Lorsque nous n’étions pas disponibles, je devais passer le lendemain matin tôt pour le sucer et repasser le soir pour me faire prendre.
A un moment, Anthony en a eu marre. Ce soir-là, je reçois un sms pour que je descende.
-non, tu n’y vas pas, je vais descendre régler le problème.
-non chéri, ça risque de mal se passer.
Anthony ne m’écoute pas et il descend à la loge furieux.
10 minutes passent, 20, puis 30 minutes, toujours pas de retour. 45 minutes plus tard, Anthony revient.
-alors mon chéri, ça va ?
-euhh… je suis désolé, mais j’ai pas pu faire grand-chose, enfin pour le moment, mais ce soir tu n’as pas besoin de descendre.
-mais non t’inquiète pas, j’avais juste peur qu’il te fasse du mal.
Je suis rassurée que mon Anthony aille bien et je reconnais que je ne m’imaginais pas ne plus être prise par le gardien. Cette situation me plaît horriblement, cette sensation quand je suis appelée pour descendre immédiatement et être à disposition de monsieur, c’est terrible l’excitation que ça déclenche chez moi.
-tu sais mon chéri, ce n’est pas grave, je préfère que ça se passe comme ça, crois-moi.
-peut-être, peut-être.
Le gardien n’a effectivement pas arrêté de me contacter pour que je descende le satisfaire dans sa loge.
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